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|   Chroniques de l'empire Britannique ***** 1730 - 1745 ***** La guerre de Sucession d'Autriche La jeune Marie-Thérèse fut choisi par les Habsbourg pour devenir la nouvelle impératrice. Cependant sa condition ne pouvait l'y permettre et d'autres prétendants disposait ainsi de plus de droit à l'heritage. L'usurpatrice ne pouvait regner, et un nouveau conflit généralisé embrassa et divisa l'europe. La Suède, l'empire Britannique, la France, le Portugal et la Hollande s'opposèrent à Marie Thérese qui reçu évidement le soutien de l'Espagne et de la Russie mais aussi du Brandebourg Voici le plan initial - Les forces Suédoises bloquerait les Russes et tenteraient de percer en Pologne et en Allemagne vers le Sud et la Bohème - Les forces Françaises bloquerait l'Espagne sur les Pyrrénées et tenteraient de forcer le Rhin vers l'Allemagne du sud et l'Italie - Les forces Britanniques prendraient l'offensive à partir de la Hollande et s'intercalerait entre les Français et les Suedois - Les Portugais devaient prendre l'offensive en Extramadure et en Andalousie ou du moins fixer un maximum d'espagnol sur ce front Il fut établit entre tous, que la guerre n'auraient lieu qu'en europe et non dans les colonies. Ce fut la Suède qui prit l'offensive en 1er en Pologne car la mobilisation de l'armée Russe avait prit du retard. Rapidement les forces Suédoises dépassèrent Varsovie et avacèrent en direction de la Silésie. Dans l'Est de la France, les combats étaient indécis. l'armée Autrichienne bien commandé notamment par von Mercy et Von Laudon tenaient remarquablement l'Alsace et les forces Françaises ne bénéficiaient pas de la supériorité numérique suffisante pour percer. La France encore une fois n'était pas prete à une guerre d'une telle ampleur et ses effectifs initiaux étaient insufisant. L'armée Britannique du général Shirley forte de 35.000h dont 150 canons débarqua en Hollande et marcha sur Clève qui du se rendre et ensuite sur Luxembourg dont la forteresse céda apres quelques mois. Les forces Autrichiennes ne tentèrent pas de dégager Luxembourg à cause de la présence des armées Françaises sur leur flanc gauche en Lorraine. Une 2eme armée Britannique appareilla de Plymouth sour les ordre du général Cuningham avec pour mission de débarquer en Andalousie pour forcer la flotte espagnole de Cadix de prendre la mer et la détruire. Mais les fortifications espagnoles ne cédèrent pas et la campagne d'Andalousie fut un échec. Cuningham ré-embarqua et se dirigea en Adriatique pour debarquer à Mantoue dans le but de prendre à revers les forces Autrichiennes de la vallée du Po qui devait recevoir l'offensive de l'armée Française des Alpes. Mais l'armée Française des Alpes ne prit jamais l'offensive en Italie car les combats en Alsace avait été extrement couteux en vie et en soldat. Cunigham isolé en Italie ne pouvait esperer faire la différence seul avec ses 50.000h sans soutien de la France. Il décida donc de re-embarquer et de se porter cette fois en Baltique soutenir les Suédois et contraindre le Brandebourg alliés de l'Autriche à la paix.. Le debarquement à Lubeck se fit sans encombre et Cuningham marcha sur Berlin? Mais la ville était extrement bien defendu et tout siège serait extrement long. Cunningham passa les semaines suivante à pourchasser les differentes armées Brandebourgeoises forts nombreuses (+ 50.000h au total) Pendant ce temps plus à l'Est, les Suèdois étaient à présent en Silésie et d'importantes forces Autrichiennes et bientot Russes marchaient sur eux. Cunighma se porta alors vers le sud, atteignit les contreforts de Boheme dans la région des Sudètes. Les forces Protestantes Suedo-Britanniques étaient profondement enfoncés et trés dangereusements exposés. Une armées Russes longeant la Baltique coupa toutes les lignes de ravitaillements. Mais surtout de terribles nouvelles parvenaient enfind e France. Les armées du Sud de la France avaient été complètement détruite, Tout le sud de la Garonne étaient occupée... Bordeaux, Toulouse, Perpignant étaient aux mains des espagnols et des colonnes espagnoles étaient annoncé dans le limousin et le Berri marchand sur Paris. Il n'y avait virtuellement plus d'armée Française... En Lorraine également le front mena çait se s'effondrer... la France était au bord de la capitulation or la poursuite de la guerre était impossible sans le soutient de Louis XV. Britanniques et Suedois se rencontrèrent et décidèrent de changer de stratégie. - L'allemagne sera évacuée imédiatement avant que la retraite ne soit coupée. Cela permettra de se mettre hors de portées des armées russes - La France devait être sauvée. L'urgence était de stopper l'avance espagnole et de sauver Paris en attendant que de nouvelles troupes Françaises puissent être levée. - Un nouveau jeune général semblait prometteur à l'académie militaire de Londre mais il devait terminer sa formation encore pendant 1 an. Ce jeune général était l'espoir de tout l'empire... et il allait accomplir des miracles...   | 
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			La guerre de succession d’Autriche La Grande Guerre du Nord terminée  , la pacifique et paisible Suède espérait bien pouvoir goûter longuement aux délices de la paix… Aaaah, la paix, quelle merveille, quel délice ! Mais ce fruit exquis était devenu fort rare en Suède : 40 ans de guerre avaient laissés des traces  . En face, visiblement, on ne vivait que par et pour la guerre : l’Empereur insulta délibéremment les autres nations d’Europe  … Nous devrions plutôt dire l’impératrice car c’est Marie-Thérèse qui foula aux pieds les droits régaliens les plus séculaires. La Suède, juste et noble, se moquait de qui se vautrait sur le trône d’Autriche : un homme, une femme ou un âne  , que nous importait ? Encore que, il nous semble que l’Autriche se porterait bien mieux si cette dernière solution était retenue… Toujours est-il qu’une guerre mondiale venait à éclater en Europe et qu’il nous fallait choisir notre camp. Il était naturellement hors de question de rallier les bouchers Autrichiens, qui avaient pillés notre pays pendant 40 ans  : la Suède rallia donc le camp des anti-Habsbourgs, qui comprenait la France et notre allié d’Angleterre, ainsi que le soutien financier Portugais. En face, l’Autriche naturellement, son laquais Russe  et son cousin d’Espagne. L’axe du Mal en résumé. Acte I. 1741 – 1743. L’offensive en Pologne La Suède avait mobilisé et nos hordes se précipitèrent, bousculant tout sur leur passage. Chaque fois que l’Empereur, qui avait pourtant à son service les meilleurs généraux du monde, se décidait à nous affronter, il se prenait une raclée et s’enfuyait en gémissant  . La bataille de Poznan, mai 1741  La bataille de Wiekepolska, juillet 1741  Vienne tenta de réagir face à ces cascades de défaites, alors qu’elle luttait sur ses terres. l’Empereur s’était plaint durant la Grande Guerre du Nord que nous ne venions pas à lui ? Eh bien, quand nous venons, il ne cesse de fuir et de se prendre des raclées  ! Terrorisé, paniqué, il fit alors appel aux hordes Russes et retira une grosse partie de ses armées du front ouest, la France étant entièrement tournée vers le Sud suite aux étonnants succès Espagnols. Mais cela ne stoppa pas notre ardeur et notre avance continuait : la Silésie fut atteinte.  L’arrivée des armées Anglaises, par le brandenbourg, vit le point culminant de cette offensive, mais nos succès ne pouvaient malheureusement pas compenser l’inertie complète de la France sur le front ouest  et qui permit à l’Autriche de rassembler ses forces, sans même parler des hordes Russes. Une gigantesque bataille opposa ainsi nos héros aux Austro-Russes en Silésie : nous luttions à un contre trois… La bataille de Silésie, 1742  Ce fut une grande victoire  , une de plus, et nos forces armées poursuivirent impitoyablement l’ennemi : on raconte que le meilleur général Russe de son temps fut tué au cours de cette terrible victoire  . Moscou payait ainsi sa décision de se mêler d’une guerre qui ne la concernait vraiment en rien. La bataille de Krakow, 1743  Acte II. La chute de Vienne La mort, dans son lit, de notre seul général un peu compétent  nous décida à évacuer nos conquêtes en Pologne et nos armées décrochèrent avec succès, en parfaite coordination avec les armées Anglaises, qui évacuèrent elles aussi l’Allemagne du nord. Il était temps de refaire nos forces et, surtout, de venir en aide aux forces armées françaises, qui éprouvaient toujours les plus grandes difficultés face aux Espagnols. 65.000 Suédois partirent pour la France et attendirent le bon moment pour frapper  , mais, surprise, il ne fut finalement jamais nécessaire d’engager les hostilités sur ce front : Paris avait redressée la situation et chassé l’Espagne de ses terres. Au même moment, l’Angleterre triomphait des Autrichiens en Allemagne de l’ouest. La coalition marchait vers la victoire  ! Mais cela ne suffisait pas pour l’emporter et, à Londres, un plan grandiose vit le jour : débarquer en Adriatique et foncer sur Vienne. La Suède proposa immédiatement son aide et, fin 1745, nos hordes s’enfoncèrent à nouveau en Pologne puis en Bohème. Naturellement, tout cela n’était qu’une diversion  , il n’était pas question de vaincre… Pas contre les meilleurs généraux d’Europe alors que nous n’avions, nous, aucun chef. L’opération fut un succès complet : les armées autrichiennes, qui avaient été alertées des projets Anglais, abandonnèrent leurs positions devant l’Adriatique et remontèrent plein nord pour stopper notre furieuse avance. La manœuvre Anglo-Suédoise était un succès complet ! Le sacrifice de Moravia  Nos armées furent écrasées et même anéanties au cour d’une furieuse batailleà un contre 3 en Moravie  mais, au même moment, le général Anglais Wolfe débarquait et, écrasant tout sur son passage, foncait sur Vienne. La victoire était à portée de main et tout ce que les coalisés avaient encore sous la main fut dirigé vers la capitale impériale. Wolfe, ce génie de l’art militaire, arriva naturellement le premier, il était le fer de lance de l’offensive après tout, et se heurta aux Autrichiens. La bataille était furieuse et Vienne gardait toutes ses chances car plus de 45.000 hommes arrivaient en renfort : il fallait vaincre avant leur arriver… Vaincre ou les intercepter  . La Suède arriva juste à temps et parvient à bloquer ces renforts le temps que les armées Anglaises, superbement commandées, n’écrasent totallement les Impériaux. L’interception  La victoire était acquise, Vienne était tombé et des renforts continuaient d’arriver de Suède : Marie-Thérèse était battue ! La victoire!  L’Autriche reconnut sa défaite et la guerre se terminait (on se demande toujours ce que les vainqueurs y ont gagnés, mais passons…  ) La douce paix pouvait revenir, enfin ! Vraiment, rien n’est plus merveilleux que celle-ci et nous espérons pouvoir en profiter le plus longtemps possible… Dernière modification par Danton ; 15/12/2006 à 21h35. | 
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|   Chroniques de l'empire Britannique ***** 1730 - 1745 ***** La France resiste et sera liberée... L'urgence était de sauver la France. Les forces Britanniques évacuées d'Allemagne se regroupèrent à Londres. Le jeune général Wolfe en prit alors le commandement pour la 1ère fois. Pendant ce temps au Luxembourg, le général Shirley ne maintenait ses positions uniquement grace à l'attentisme des impériaux encore épouvantés par l'offensive Suédoise de pologne. Wolfe débarqua à Calais et marcha sur la Lorraine afin d'empecher l'invasion du royaume des bourbons par les Impériaux tandis que le Maréchal de Saxe tentait de reorganiser les forces françaises aprés la défaite et de repousser l'invasion espagnole venue du Sud. Von Daun et des hordes d'impériaux reprirent l'offensive et parvinrent en Alsace. Wolfe se lança au coeur du dispositif ennemis à la recherche des batailles décisives contre l'ennemis. Par 3 fois Wolfe livra bataille et par 3 fois Wolfe ecrasa les Autrichiens qui démoralisé refranchirent le Rhin et se refugièrent dans les états du centre de l'allemagne resté neutre. Pendant ce temps De Saxe parvenait à refouler les espagnols vers le Sud... la France était sauvé. Vers la victoire... Cependant, sauver la France ne signifiait pas que la guerre était fini et une guerre d'usure et longue sera favorables aux grands empires centraux. Le cabinet Dosière à Londres mis au point le plan qui devait conduire à la victoire. Des sommes colossales furent utilisées pour recruter 130.000 mercenaires dont une partie notable vint du riche Portugal. Le plan prevoyait une invasion de l'Autriche par le sud apres un debarquement en Adriatique avec pour objectif la chute de la capitale impériale et la capture de Marie Therese. Le gouvernement Suedois fut associé par la mise en place d'une puissante diversion au nord pour attirer un maximum d'impériaux vers le nord. Wolfe disposait finalement de 190.000h dont seulement 1/3 de Britannique, le reste étant des mercenaires. L'amiral Anson le transporta mais en passant devant Cadix, les vigies espagnoles durent reperer le convois car des corps impériaux firent mouvement vers le sud de Vienne. Le projet était t'il découvert? Wolfe décida de reporter le débarquement en attendant que l'offensive de diversion Suedoise produise son effet. La flotte fut déroutée sur la Crete et la Flotte mouilla à Candie. Les hommes eurent interdiction de debarquer et restèrent sur les navires pret à appareiller au moindre signe positif de l'evolution de la situation en Autriche. La promiscuité à bord des navires était pénible mais les hommes avaient foi dans le plan national pour terminer la guerre. La guerre serait fini à Noel leur avait t'on dit.... ils avaient confiances et chantaient à dans l'allegresse les chansons du pays.... Les Suèdois entraient en bohème à present et les forces du sud de Vienne remontèrent vers le nord.... il était temps enfin de terminer la guerre. . L'amiral Anson appereilla, quitta Candie et fonça sur l'Adriatique. un navire espion Autrichien fut coulé devvant Corfou découvrant la flotte Britannique. Vienne ordonna alors le mouvement vers le sud d'un corps de 65.000h.... mais il était trop tard ! Wolfe débarqua en force à Trieste et pris d'assault la ville. Puis il fonça vers le nord en esperant surprendre l'Autriche. Mais le corps de 65.000h Autrichien parvint juste à temps pour barrer le col alpin. Une terrible bataille s'engagea dans les montagnes, Wolfe ne pouvant attendre et bien qu'en situation trés défavorable, l'offensive fut lancée. La Bataille fut terrible et les Autrichiens se sacrifièrent jusqu'au dernier mais le corps impérial fut desintégré. La route de Vienne était ouverte.... Wolfe s'y porta et livra une nouvelle bataille décisive juste sous les murs de la capitale impériale. Mais l'armée britannique était trés éprouvée apres la traversé des Alpes et la dernière bataille et la bataille était incertaine et trainait en longueur quand une nouvelle armée impériale était annoncé traversant le Danuble. Nul doute que l'arrivé de ces renforts verrait l'echec de la bataille pour Vienne et peut etre un desastre. Mais un corps de 7.000 Suedois rattrapa inextremis l'armée Autrichienne et livra un combat desespéré. ces 7.000 Braves suedois perirent tous mais obtirent la poignée de jour necessaire pour la victoire. Wolfe remporta en effet la victoire devant Vienne juste 2 jours avant l'arrivé des renforts Autrichiens. Wolfe alors embusqué au sud du danube pu aisément les défaires. Wolfe décida ne ne pas attendre, et lança l'assault sur Vienne qui céda et Marie-Therese fut capturé. De Saxe et les français approchaient par l'Ouest et se trouvait déjà au Tyrol tandis que les Suedois tenait la Bohème.... Le plan du cabinet Dosière avait fonctionné au dela de toute esperance... la Guerre était terminée..... Marie-Therese abdiquait.... Dernière modification par Aedan ; 18/12/2006 à 12h00. | 
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|   Chroniques de l'empire Britannique ***** 1730 - 1745 ***** La Campagne de Chine La guerre de succession d'Autriche se terminait par un triomphe du camps anti-Habsbourg. L'argent Portugais, la vaillance des soldats Français, Suedois et Britanniques et la conception et la réalisation du plan audacieux conçu à Londres et qui avait permis la chute de Vienne.... Tout cela avait fait la difference sur un des Pros-Habsbourgs à présent démoralisé. Le général Wolfe quittait alors Vienne et rentra en Angleterre auréolé de gloire... Le gouvernement impérial Chinois avait profité de la guerre en europe pour déclarer un embargo commercial pour l'empire Britannique et ferma son centre de commerce de Canton. Le gouvernement Dosière ne pouvait le tolérer.... L'armée coloniale fut mis en état d'alerte. Le général Clive quitta la Nouvelle-Angleterre pour Shangaie, tête de pont Britannique au sein de l'empire du millieu. Il fut rejoins par une armée métropolitaire de 50.000 qui quitta Londres et l'armée des Indes forte de 30.000 h et stationné à Ceylan. Au printemps, disposant de 90.000h Soldats, Clive quitta Shangai et entra sur le territoire de la Chine. Une 1ere armée Chinoise de 75.000h tenta de defendre le fleuve Jaune et fut ecrasée. Une 2ème armée chinoise pourtant forte de 110.000h fut également dispersée devant Pekin. Clive décida de ne pas tarder et lança l'assault sur la ville qui du ouvrir ses portes. Clive et l'armée Britannique entrait dans la cité interdite et les principales oeuvrent d'art furent embarqué sur navires à destination du British Museum récement ouvert à Londre. L'Empereur de Chine s'était cependant echappé et clive s'elança à sa poursuite et s'enfoçant vers l'interieur des terres. 3 Nouvelles armées chinoises furent détruites et Clive retraversera le Yan-Tsé-Kiang vers le sud. Finalement Les forces Britanniques s'emparèrent du centre de commerce de Canton et du port de Hong-Kong. L'empereur de Chine avec la moitié de son pays occupé de pouvait que reconnaitre la puissance irresistible de l'empire Britannique. L'empereur leva alors son embargo commercial et la Grande-Bretagne annexa Hong-kong et le centre de commerce de Canton qui sera désormais ouvert définitivement au commerce international sans risque de la paert des autorité chinoises corrompue.... Clive Pouvait à présent quitter la Chine. Il embarqua à Hong-Kong avec l'armée des Indes... fit escale à Ceylan puis rentra seul à Londres recevoir les hommages de sa majesté et du peuple Britannique. Enfin recevant un nouveau commandement, il embarqua pour la Nouvelle-Angleterre et devint commandant suprème des forces Britanniques d'Amérique La Guerre de sept-ans se prépare... Au centre de l'europe, Le Brandebourg et son jeune roi Frederick II souhaitait augmenter son influence au sein du Saint-Empire. Mais l'Autriche qui sortait d'une humiliante defaite ne pouvait accepter de continuer à perdre de son influence en Allemagne. La France, alliés des Protestants quelques années plus tot se faisait discrete sur ce sujet. Mais l'ambassadeur Espagnol demanda à etre reçu dans le plus grand secret au 10 downing street. "La France s'apprete à prendre le partie de l'Autriche dans la crise qui secoue l'Allemagne. Louis XV aurait même convaincu le sultan Ottoman de prendre fait et cause pour l'empereur. Le royaume d'Espagne garde grief contre la trahison Française 20 ans plus tot durant sa guerre contre l'empire Britannique et contre le versatil et rusé roy du Portugal.. Enfin le roy d'Espagne estime qu'il en va de son honneur d'arreter de soutenir une vaste coalition qui verrait toutes l'europe se dresser contre les protestants. Le roy d'espagne gardant en souvenir que JAMAIS dans son histoire, l'Angleterre ou ensuite la Grande-Bretagne n'avait trahis l'Espagne ou ne l'avait trompé (bien qu'il y ai eu des guerres), le roy d'Espagne décidait d'informer le gouvernement Dosière de ce qu'il se tramait et du revirement imminent de la France..." Le gouvernement Britannique avertit immédiatement Lord Danton, 1er ministre de Suède du revirement à venir de la France et de son ignoble trahison. Le conflit à venir semblait perrilleux: L'Espagne, l'empire Britannique et la Suède se verrait opposée au Portugal, à la France, à l'Empire d'Autriche, à l'Empire Ottoment et à l'empire de Russie pour la sauvegarde du Brandebourge et de son indépendance. Le gouvernement Dosière se reunit une nouvelle fois et le stratège qui avait mis au point le plan qui avait vu la chute de Vienne durant le conflit précedent repris du service et travailla une semaine complète à un nouveau plan de guerre devant mener à la Victoire. Plan de campagne: 1) Fixation de l'ennemis ! - Les Suedois devraient fixer un maximum d'Autro-Russe en Allemagne et veiller à la protection du Brandebourg - Les espagnols devaient envahir le Portugal et defendre les Pyrrenées contre une invasion Française - Les Britanniques enverrait Shirley en Hollande en cas d'invasion Française. 2) La chute des dominos jusqu'a la victoire - Wolfe et 120.000h embarquerait sur la flotte Britannique - Wolfe debarquerait à Lisbonne pour forcer la flotte Portugaise à sortir et la detruire. Si absente de Lisbonne, il faudra la trouver et la debusquer de n'importe quel port - Destruction totale de la flotte portugaise, faire capituler le Portgal et le faire sortir de la guerre - Debarquer dans le nord (Wolfe), foncer sur Paris, la Prendre et la bruller... faire capituler et sortir la France de la guerre - Débarquement espagnol en egype et débarquement Britannique à Istanbul (Wolfe), destructions des forces Turques au coeur de l'empire, faire capituler et sortir la Turquie de la guerre) - Attaque conjointe Suedo-Britannique sur l'Autriche désormais isolé, offensives sur Vienne (Suedoise du nord et Britannique du sud) et fin de la guerre - Laisser les Russes faire ce qu'ils veulent et "pourrir dans leur coin" Le plan de bataille fut alors envoyé à Madrid et Stockolm peu avant le début du conflit.... sa réalisation sans faille et la determination des 3 coalisées devaient aboutir à une victoire complète et déconcertante de facilité face à des forces pourtant bien supérieur.... Le général Wolfe notament devait faire son entrée dans Paris et Constantinople et échouer de peu sous les murs de Moscou...  tandis que les Espagnols entraient dans Lisbonne et que les Suedois entraient dans Vienne... Le récit de la guerre de sept ans est à venir.... Dernière modification par Aedan ; 18/12/2006 à 12h50. | 
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			La guerre de sept ans Les idées nouvelles développées notamment en France avaient fait naître un vent de liberté et d’espoir au sein du SERG : les peuples opprimés se relevaient et réclamaient le droit à l’autodétermination, une justice équitable pour tous, la fin des privilèges. Mais les forces réactionnaires tentèrent de briser dans l’œuf ces idéalistes  : leur chef, Frederik II du Brandebourg, du prendre précipitamment la fuite pour sauver sa vie. Il trouva refuge en Suède, phare de justice, de bonté et d’honneur  . Fort de l’appui de notre petit mais courageux pays, Frederik II poursuivit ses actions et, grâce à lui, le Brandenbourg retrouva sa liberté et sut s’émanciper de la lourde et injuste tutelle impériale  . Mais les forces réactionnaires n’entendaient pas rendre un iota de liberté à ceux qu’elles opprimaient depuis des décennies : elles mobilisèrent leurs forces et la guerre devient inévitable…   En janvier 1756, le baril de poudre explosa : l’Angleterre et l’Espagne rallièrent le camp Suédois/Brandebourgeois tandis que l’Autriche, la France, l’Empire Ottoman, la Russie et le Portugal se coalisaient. Pour contrer leur supériorité numérique et, surtout, leurs immense capacités de recrutement  , une stratégie fut élaborée : les dominos, pour reprendre l’expression de notre allié d’Angleterre. Cela impliquait un esprit rigoureusement offensif, ce qui n’allait jamais sans risque, et une détermination sans faille. La Suède allait s’engager à 200% dans cette guerre : une mobilisation démentielle fut exécutée et, dès le début des hostilités, c’était la totalité de nos revenus mensuels qui passaient au simple entretien des forces armées  . Le pays était tendu à l’extrême pour atteindre son but et n’allait pas pouvoir soutenir ce rythme bien longtemps : il fallait vaincre, et vite ! Conformément à la stratégie établie, Frederic II s’enfonça en Bohème… Silésie 1756  Ce fut une immense victoire  , suivie d’une autre à Krakow, mais ce fut surtout l’occasion d’apercevoir le dispositif adverse : les effectifs étaient innombrables. Aux 300.000 Autrichiens s’ajoutaient en effet presque 200.000 Ottomans et 100.000 Russes. Même avec sa mobilisation démentielle, la Suède ne pouvait pas bousculer un pareil dispositif. Fort heureusement, telles n’étaient de toute façon pas nos intentions  . Frederic II se replia au Brandebourg et attendit. Miracle, les hordes ennemies n’attaquaient pas et se contentaient d’attendre : 600.000 soldats ennemis étaient fixés par 250.000 Suédois seulement  ! Et pendant ce temps, discrètement, 75.000 de nos soldats partaient pour la France. Nos alliés d’Espagne et d’Angleterre, eux, n’avaient pas perdu leur temps : le Portugal avait été pulvérisé et il venait de signer la paix. Le premier domino avait cédé  . Restait le gros morceau, celui qui faisait le plus douter les alliés, celui qui pouvait bien faire échouer toute leur stratégie : la France  ! Ce pays possédait des généraux excellents et un manpower très important, le vaincre ne serait pas simple. A notre grande surprise, cependant, lorsque notre corps expéditionnaire atteignit les côtes Françaises, les choses étaient déjà réglées : le génial général Anglais Wolfe avait capturé Paris et anéantis les armées de France  ! Le plus gros domino venait de céder et l’on pouvait passer au suivant : l’Empire Ottoman. Pendant que l’Angleterre foncait sur Constantinople, l’Espagne, elle, mettait le siège devant Alexandrie, mais se retrouva bien vite en difficulté et nous appela à l’aide : notre corps expéditionaire débarqua alors en Egypte. Egypte, 1758  La province capturée, ce fut la ruée vers le sud, où se trouvait stationnés 70.000 Janissaires Combat contre les Janissaires  L’armée du Sultan fut purement et simplement anénatie  . Cette immense victoire scellait le sort de l’Egypte mais, au même moment, Wolfe prenait Constantinople et le Sultan signa à son tour la paix. Le dernier domino venait de céder et il restait maintenant à passer au gros morceau, toujours intact et en pleine forme : l’Autriche elle-même  . Et c’est à ce moment, alors que tout avait si bien réussi, que les choses auraient pu se gâter fortement : la stratégie alliée allait en effet voler en éclat  . En fait, la Suède, seule, allait continuer à l’appliquer… L’Espagne, en effet, annonça son intention d’en rester là et de ne pas lutter contre l’Autriche, alors que l’Angleterre, elle, partait pour la Russie. Nous nous retrouvions donc seul mais avec quand même les imposants effectifs Ottomans en moins dans le SERG  . Nos troupes repartirent à l’assaut, mais il n’était plus cette fois question de raid, comme en 1756, mais bien d’invasion  . La bataille de Silesie, 1758  L’immense victoire de Silésie ne fit qu’ébranler Vienne, mais le deuxième coup fut porté dans la foulée : notre corps expéditionaire débarquait en Istrie et prenait la province d’assaut ! Puis ce fut le tour de la Croatie et, enfin, en décembre, nos forces armées venues du nord unirent leurs forces avec celle venues du sud. Odenburg, 1758   Ce fut à nouveau une grande victoire mais l’assaut contre la province tourna au désastre : l’anéantissement de nos armées était alors possible et le sceptre de la déroute vient nous hanter  . Fort heureusement, les Austro-Russes allaient préserver une attitude attentiste, qui allaient leur faire perdre cette chance unique de vaincre. Frederic II se replia dans les montages su Steiermark et attendit patiemment les renforts qui affluaient de Suède et que les soldats Russes tentèrent vainement d’arrêter. Dès qu’ils arrivèrent, un assaut concentrique contre la capitale impériale fut lancé. L’assaut contre Vienne  Frederic II arriva le premier et livra une bataille désespérée, les choses allaient fort mal pour lui… La bataille de Vienne  …Mais cependant, elles se terminèrent fort bien… L’assaut contre Vienne  Et ce fut la victoire  ! Le drapeau Suédois flottait sur Vienne, la coalition était vaincue, malgré le succès des Russes, qui réussirent in extremis à repousser l’intrépide invasion Anglaise du général Wolfe. Le Brandebourg retrouvait une pleine et entière liberté, la paix pouvait revenir.   Dernière modification par Danton ; 22/12/2006 à 21h34. | 
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			Chroniques portugaises Le coup de force italien fut une action menée de main de maître, en réaction à notre dernière grande défaite militaire. En effet, lors de la dernière guerre contre l’Angleterre et l’Espagne, notre flotte fut complètement anéantie par les forces anglaises lors de la titanesque bataille du Cap vert. Ce fut tout simplement la plus grande bataille navale de tout les temps après la dernière bataille au large de l’Ibérie voilà des décennies. En voici comme preuve un passage du livre de bord du vice-amiral Des Lorenzola Puentae, commandant l’O Todo Bonito (200 bouches à feu, 1500 h d’équipage): " En cette année 1757, le 18 avril, notre flotte, forte de plus de 520 navires de haute-mer, menée par l’amiral Des Morenza va affronter la flotte anglaise. Notre moral est d’acier, mais nous n’avons guère confiance en nos chefs qui n’ont que peu d’expèrience des batailles titanesque que les moyens modernes engagent. Nous attendons l’ennemi au large des îles du Cap Vert, après une poursuite de plusieurs semaines qui nous mené de l’Atlantique nord vers ici. La flotte anglaise est supérieure en nombre, dispose de plus de 650 navires de lignes, et surtout d’un amiral redoutable… […]. Ainsi le 18 avril, vers 12h du jour, les deux flottes se rencontrent. La mer est couverte de navire, jamais œil humain n’a pu voir un tel spectacle : l’horizon en face de nous est couverte de voile. La flotte anglaise est organisée en un squelette central de 3 colonnes contenant ses navires les plus puissants sur plusieurs kilomètres, alors que ses navires plus légers attendent en retrait et couvrent ses flancs. Une maneuvre habile nous a permis de nous placer en ligne, presque parallèlement à la flotte anglaise, mais néanmoins avec un certain angle dirigée vers sa pointe. […] 12h30 : Nous avons reçu l’ordre du navire amiral de virer de bord cap à l’est, mouvement qui devrait nous placer perpendiculairement à la triple colonne anglaise. Jusqu’ici seuls quelques salves de canons ont symboliquement étés tirées. Nos dernières avancées technologiques, concernant notamment la qualité des voiles et l’hydrodynamique de la ligne avant de nos vaisseaux, nous permet de gagner la flotte anglaise de vitesse, mais je ne vois toujours pas où Des Morenza veut en venir… […] 14h00 : la tactique de Des Morenza vient de me frapper dans son incroyable audace : il veut que nos navires se placent perpendiculairement à la ligne anglaise, afin d’écraser tout les navires anglais sous les boulets les uns après les autres, sans que ceux ci puissent utiliser leurs bordées de canons ![…] 15h00 : Ca y’est c’est à notre tour de " barrer le T " à la flotte anglaise. Jusqu’ici, les navires aillant déjà barrer le T ont causé de formidables dégats aux navires ennemis : Le " Sovereign of the seas ", fleuron de la flotte anglaise est en feu, et son équipage se noie…15h30 : Ca y’est, nous avons laché notre bordée de canon, mais avec toute la fumée qui s’étend, nous ne savons pas si nous avons touché quelque chose…. 19h00 : la bataille continue et fait rage, amis n’a plus rien à voir avec la tactique militaire : les anglais ont réussies par une maneuvre audacieuse à scinder leur force en 2 groupes et canonnent nos flancs vigoureusement, nous commençons à avoir de sérieuses pertes, mais les pertes anglaise sont supérieures aux nôtres, la victoire, inespéré mais espérée depuis des siècles est à portée de main ! 22h00 : la nuit met fin à la bataille, les anglais ont réussi à se dégager sans trop grande désorganisation mais nous les avons vaincus et ils fuient au nord, le vin et le rhum vont couler à flots ce soir ! J’ignore ce qui se passe en métropole, mais des rumeurs annonçent que l’Espagne auraient trahis notre alliance et ses armées seraient en route vers Lisbonne. Mais je ne puis croire à une telle trahison…. En attendant, ordre nous a été donné de pousuivre la flotte anglaise au nord, et de l’anéantir, nous savons maintenant que tout est possible ! […] Je laisse cette copie de mon livre de bord dans les coffres du palais du gouverneur de la province du Cap Vert….[…] " Le brillant et fougueux Lorenzola ne devait pas revenir de la poursuite : les anglais incroyablement réorganisées, et montrant des talents de marin inconnus des mortels mirent notre flotte en déroute et détruisirent, brulèrent, coulèrent ou capturèrent 350 de nos 520 navires en une seule bataille. Les rares survivants ( une petite centaine sur 95 000 hommes) une fois rentrés au pays lors e la paix ne purent jamais parlé de ce qu’ils avaient vus. Les rumeurs parlent d’une intervention de Satan lui même, qui aurait déchainé ses foudres sur nos propres navires au profit des anglais. Le petit peuple fort impressionnable du Portugal put facilement avaler cette histoire, et les anglais sont désormais surnommés " os amigos do diabo ". 150 navire rentrèrent au Cap vert et furent mis au blocus par l’anglais. Celui e hata d’amener une force d’invasion terrestre de plus de 120 000 hommes, qui prient les îles en quelques jours. Il fut décidé de sabordé l’intégralité de notre flotte restante, et se battre pour chaque parcelle de terrain. Les anglais gagnèrent mais subirent des pertes, et en représailles empalèrent 2 000 hommes, femmes et enfants sur des pics… Pendant ce temps en métropole, le martyr du peuple portugais continuait : l’armée du roi fut anéantie par des troupes espagnoles 6 fois supérieures en nombre, et supérieurement équipées. Nous remportâmes quelques succès mais ils ne suffisèrent guère…Toute notre métropole tomba, nous n’avions pas prévu cette trahison espagnole. Néanmoins ces troupes professionnelles se comportèrent charitablement et en bons chrétiens envers notre peuple. Les seuls incidents notables ne concernaient que les sbires anglais envoyés conseillé et rendre compte au Roi d’Angleterre de la situation chez nous : se croyant tout permis, ils violèrent, pillèrent et pissèrent sur les croix chrétiennes… La paix fut rapidement signée après que nous ayons capitulé sans conditions. Le centre de commerce de Zanzibar fut cédé à l’Angleterre. Pour consolement que cela puisse être, les marchands de zanzibar fuyèrent la tyrannie des marchands anglais pour se réfugier au brésil où ils ouvrirent un nouveau centre de commerce. L’Anglais fut forcé de fermer un de ses centre pour envoyer ses marchands combler celui de Zanzibar. Petite revanche… Après cette défaite, il fut décider que tout les moyens portugais seraient désormais mobilisées vers la destruction de l’Angleterre. Notre peuple ayant peu souffert d’exactions (sauf au cap Vert), il se rangea derrière le Roi et tout le bon peuple se mobilisa. Désormais, l’administration a été réformée pour mieux servir l’armée, les marchands ont dus signé un pacte de soutien au budget militaire. 100% du budget est désormais tourné vers le budget. Ainsi, même la reconstruction de Lisbonne après le tremblement de terre a été stoppée. Chaque homme dois désormais 10 ans de sa vie au service de l’armée sinon quoi il sera condamné à mort. Les chantiers navals travaillèrent et travaillent encore à plein régime. Afin de tester notre nouvelle organisation militaire, il fut décidé d’aller sécurisé les territoires de Rome vis à vis de la menace grandissante ottomane (celui ci possédant Apulie). Entre temps, nous nous étions réconcilié avec l’Espagne (un peu vite pour certain mais la diplomatie n’a cure des sentiments du peuple),et de concert nous débarquâmes à Rome. Mais le pape décida de mobiliser son armée et tenta de nous barrer la route devant les portes de la ville, nous dûmes donc les écraser (avec l’aide décisive de l’Espagne). Etant entré en guerre contre la papauté du fait de la seule volonté du Pape, il fut décidé de lui retirer toutes ses possessions afin d’en assuer la sécurité (étant incapable de la faire lui même. Plus tard, il fut découvert dans les coffres du Vatican des documents compromettants le mettant en cause dans des affaires d’espionnage au profit de l’Angleterre, contre notre allié d’Autriche. Ravenne, Naples et une autre province furent annexés. Néanmoins, cela ne plus guère amis autrichien, tellement obnubilé qu’il était par une victoire militaire facile pour se refaire après des années d’honteuse défaites consécutives. Il protesta et mobilisa en masse. Nos agents de renseignements avertirent également que des troupes autrichiennes en France menaçaient directement l’Espagne. Ainsi, comme il y’a 200 ans, lorsque la grande armada porto-espagnole pris l’Angleterre en se déclarant unis indéfectiblement, nos deux pays, face à la menace franco-autrichienne firent front commun. En ce jour du 20 mai 1768, la France, sans raison aucune, décide d’attaquer le Portugal. Puis l’Autriche attaque l’Espagne, mais par une maneuvre diplomatique extraordinaire, le roi espagnol réussi à empêcher l’Autriche de nous attaquer en menaçant de rendre public de nombreux document compromettants concernant les relations incestueuses de l’Autriche vis à vis de l’Angleterre (on dit que l’empereur aurait reçu de l’argent personnellement pour faire perdre son pays lors de la dernière coalition). A suivre… | 
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			#7  
			
			
			
			
			
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			Guerre d'independance d'amerique (1770 - 1789) round 2 au service de lord aedan, le captain Ric PH14 est appelé en renfort, prenant en cours une guerre durant deja depuis 7 ans La consigne de lord aedan est concise mais précise, ne pas perdre   c'est parti , captain ph14 sur le pont , prend sa lunette , hum hum on va mettre en chantier quelques warships, et tac une petite quarantaine....  pour amener la royale à 600 et voila ce que j'ai ramené de ma lunette, quelques images furtives.... thanks à tous England for ever !!!!!!          . Dernière modification par ric novice ; 31/01/2007 à 01h00. | 
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			#8  
			
			
			
			
			
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			Guerre d'independance d'amerique (1770 - 1789) round 3 Captain Ric de retour pour le dernier round mission accomplie, la revolution americaine est matée par l'angleterre les coalisés mis en echec Les USA sont crées par l'angleterre en nov 1788 England for ever !!!    . Dernière modification par ric novice ; 31/01/2007 à 01h01. | 
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			#9  
			
			
			
			
			
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|    Citoyennes ! Citoyens ! La Famine guette à nos portes, et pendant ce temps les Capet et leurs suivants mènent grand train dans leur palais, dépensant des sommes colossales, alors que le peuple francais a faim… Cela doit cesser, et les Etats généraux réunis à la demande du gouvernement royal, pour cautionner le deficit du Trésor, ont aujourd’hui décidé de se constituer Assemblée Nationale, représentant ainsi la Nation facez au Roi.  Les autorités réactionnaires ont tenté de museler le peuple en fermant la salle du conseil des Etats Généraux, mais nous avons repris nos activités, malgré la menace des soldats qui ont tenté de nous expulser. La Monarchie absolue n’a plus lieu d’être en France, et l’Assemblée Nationale travaille sur une nouvelle constitution. Nous ne pouvons plus accepter ses us et coutumes d’un autre âge, et seul le peuple est en droit de choisir ses dirigeants et son gouvernement., et nous en faisons ici le serment !   | 
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			#10  
			
			
			
			
			
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				__________________ EU2 : GPO Molo, l'AAR. Dernière modification par Leaz ; 14/02/2007 à 17h14. | 
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