GPO 1 - AAR & Diplomatie

[Reborn]

Missive du Sultan Ottoman Mehmed II Fâtih



Le grand Sultan s'est depuis toujours passionné pour l'Europe et c'est avec l'esprit ouvert qu'il salut les rois et empereurs éclairés de l'ouest. Avec la fin très proche de l'ancien empire byzantin, une nouvelle ère s'ouvre à nos deux civilisations. Puisse-t-elle être prospère et pacifique.

J'interpelle tout particulièrement les peuples des Balkans pour qu'ils nous rejoignent face au monstre hongrois. L'empire ottoman est l'un des plus tolérants et la liberté de culte qu'il soit catholique ou orthodoxe est assuré si vous consentez à rallier la seule nation pacifique de cette partie du monde.

Ce 29 mai 1453 est un grand jour. Il verra la réconciliation des frères musulmans et chrétiens. Il ne tient qu'à vous, souverains d'Europe, de prendre cette main tendue.

[Danton]

Histoire de la Moscovie. Introduction

Moscou, 1453. Une petite pièce sombre, glaciale et, surtout, à l’abris des regards indiscrets. Inquiet tremblant à l’idée de commettre une erreur fatale pour son faible royaume, le Grand Duc Vassili se resservit un grand verre de vodka pour trouver le courage de se retourner vers...EUX .

« Hum. Je... Je vous ai fait venir ici pour que vous me serviez de conseillers » osa enfin commencer le duc, en tremblant et en insistant lourdement sur le verbe servir. Silence. Nerveux, le duc continua : « Votre réputation, immense pour certains, plus obscurs pour d’autres, vous a précédé et je... bref, faites de la Moscovie un royaume puissant et craint ! Vous, Bubov, je vous confie le soin de dynamiser l’économie... la tâche est certes rude, quasi-impossible en fait car nos revenus sont dérisoires et notre technologie est et restera toujours bien en retard par rapport aux nations occidentales... Que voulez-vous, il fait si froid ici ... ».

L’air profondément dégoutté de Bubov n’échappa pas au duc : eh quoi, même lui ne pouvait pas faire de miracle. La Moscovie ne deviendra jamais riche. Pour un homme habitué à se vautrer dans l’or et l’opulence , c’était assurément une tragédie, mais il finit néanmoins par daigner déserrer un peu les dents : « Je ferai de mon mieux, mais à l’impossible nul n’est tenu »

Le grand duc, pas très rassuré, se tourna hâtivement vers le second personnage, espérant y trouver un peu plus d’enthousiasme et de chaleur humaine. « Ah oui, pas de chance, c’est lui... pourquoi l’ai-je fait venir encore celui là ? Me souviens plus, mais il devait y avoir une raison... ou ai-je abusé de la vodka ? Tant pis, maintenant qu’il est là, il faudra bien faire avec : euh... Iouri Stratcom, je... euh... je vous nomme grand amiral de la flotte ! » »Chouette alors, j’adore les petits bateaux ! ». Le duc sourit : allons, rien que pour cette approbation spontanée, il ne regrettait déjà plus son choix. « Combien de navires au fait ? » « Euh... eh bien... aucun en réalité, avoua piteusement le duc. Hum. En fait, nous n’avons aucun port non plus. Hé, hé. Hum ». L’oeil réjoui de Strat devient noir et il fusilla le duc du regard, cherchant déjà instinctivement son sabre pour décapiter l’insolent . « Attendez ! hurla le duc, paniqué. Je... Je... Je sais ! Vous serez aussi responsable de la colonisation ! Ah c’est pas bien cela ! » (« Inutile de préciser, cette fois, qu’il n’y a aucune terre à coloniser pour le moment » pensa le duc ).

Strat hésitait visiblement et le duc décida de vite passer au suivant avant que les choses ne se compliquent : « Ah, abbé Coelio, j’ai beaucoup entendu parler de vous ... Naturellement, vous aurez la haute main sur les affaires religieuses » »Et je serai votre confesseur... avouez-moi vos pêchés... et vous aurez l’absolution si vous me cédez la comtesse Catherina... » »Euh, oui, bon, enfin, je compte sur vous » déglutit péniblement le duc, angoissé rien qu’à l’idée d’imaginer les doigts boudinés du libidineux abbé caresser la douce peau de sa chère et tendre dulcinée. « Nous répandrons la foi chrétienne sur le monde et traquerons l’infidèle où qu’il se cache ! Je m’occuperai personnellement de convertir leurs plus belles femmes... en privé... » »La chrétienté compte sur vous, certes, mais n’oubliez pas que nous sommes orthodoxes ici » »oh ». L’air maussade et profondément attristé du jésuite n’échappa pas au duc perspicace qui, craignant un nouveau débordement, s’empressa d’ajouter : « Vous aurez aussi la haute main sur la diplomatie ! Vous pourrez utiliser toute votre fourberie... euh, toute votre ruse, pour nous rallier des alliés et des vassaux » »Voilà qui est mieux. Pour en revenir à la comtesse... »

Le duc, de plus en plus inquiet pour celle qui était son épouse, se détourna rapidement du pervers et passa au dernier conseiller... le plus terrible de tous : le redouté Dantonov lui-même ! Et celui-ci n’était pas content ! Quoi, on osait l’obliger à quitter ses invincibles Janissaires et le Sublime Empire, et tout cela pour un royaume ridiculement faible et misérable. Jouant nonchalamment avec son glaive, Dantonov ne laissa même pas le temps au duc de prendre la parole : « Naturellement, je serai le commandant en chef des armées » »oui... voilà. Mais rappelez-vous que nous sommes petits et faibles : du pacifisme, de grâce, pas d’actions inconsidérées » »N’ayez crainte... En fait, j’ai la guerre en horreur ». Le grand duc soupira de soulagement : « Eh bien, voilà qui est règlé alors. Aucune guerre n’est prévue pour le moment d’ailleurs » »Naturellement, si on nous attaque ou si l’honneur nous oblige à intervenir, il n’y aura pas à hésiter... Pas de quartiers ! Les cosaques vont déferler ! En avaaaaant ! » »Euh, oui, bon, bon.... » balbutia le duc, guère rassuré par cet élan de pacifisme.

« Enfin, vous êtes les pires fripouilles que... les plus talentueux conseillers qu’il soit possible d’imaginer. Je compte sur vous, ne me décevez pas. Sinon.... » osa conclure le duc d’un air martial, mais les quatre conseillers sourirent froidement, nullement impressionnés et échangeaient des regards complices des plus inquiétant. Vassili se demanda une fois encore s’il ne venait pas de commettre une erreur fatale, mais il était trop tard : les dés étaient lancés, la partie pouvait commencer.

A suivre.

[Danton]

Chapitre I. 1453 – 1472. 19 années, 16 seulement de guerre.


Les choses commencent fort : Nowgorod, la richissime nation, attaque notre allié le Pskov, ce qui nous oblige à intervenir. Le Duc ignorait alors qu’il était parti pour presque 16 années de guerres ininterrompues . En 1454, c’est le Tver qui attaque et une difficile guerre sur deux fronts commence. « Le bel allié que vous nous avez trouvé là, abbé Coelio, bravo, vraiment » »Oui, bein, j’étais occupé avec la comtesse, moi » »Comment ??? » « Duc ! C’est intolérable ! » »Dantonov ? Eh bien, que se passe t-il ? C’est la guerre, je sais, mais tout cela c’est à cause de ce libidineux jésuite » »L’ennemi impie sera écrasé, nous pourchassons déjà les mécréants jusque dans les montagnes de Kola, les cosaques sont impitoyables, la victoire est à nous » »Quel est le problème alors ? » » »Il faut des renforts ! Levez des troupes et vite ! » »Mais, il n’y a plus un seul ducat dans nos caisses » »M’en moque complètement, pas mon problème. Que Bubov souscrive donc un emprunt. Je repars châtier le Tver et je veux 30.000 cosaques, vous m’entendez ! pas un de moins ! » »Vous... vous les aurez... »

1456, Nowgorod capitule et cède Ingermanland, Kola, Karelia, Olonots et Archangelsks. Dans son infinie bonté, Dantonov a laissé Kexholm aux ploutocrates. « Duc, duc, c’est affreux ! » »Eh bien, abbé Coelio ? Vous n’allez pas commencer comme Bubov ? Il n’arrête pas de se plaindre que le budget militaire nous ruine » »C’est ce grand fourbe... cet illustre commandant , Dantonov, il a conquis le Tver et veut l’annexer... Le sauvage ! Ce sont des orthodoxes comme vous et moi... enfin comme vous surtout... cela ne se peut, les conséquences seraient terribles » »Allez donc lui expliquer cela » rétorqua le duc, qui n’avait guère envie de retrouver près de son nez le sabre ensanglanté du glorieux général. « Mais... c’est vous le duc ! » »Et la comtesse est mon épouse, n’oubliez pas cela ! » » »Ok, puisque c’est ainsi, je pars chez les mongols leur annoncer que nous cassons notre vassalisation » »Mais...ils vont nous attaquer alors !Revenez, c’est un ordre ! »

Quatre jours plus tard, le Tver était annexé et la Horde d’Or apprenait que la Moscovie rompait ses liens de vassalisation. Ces deux décisions allaient peser lourd sur l’avenir du jeune royaume : la haine de nos voisins était en effet désormais totale et déclarée .

L’Ordre Teutonique et la Prusse ouvrirent les hostilités, Ryazan et Smolensk suivirent aussitôt et le déferlement commença : les provinces de Tver et Tula tombèrent, ainsi que... Moscou ! Terrifié, le grand duc prit la fuite et tenta de négocier la paix. Mal lui en prit, ses conseillers lui tombèrent dessus et le bouclèrent dans sa chambre avec interdiction formelle d’en sortir tant que la guerre continuait (c’était pour le protéger naturellement ). Strat, qui n’avait rien de mieux à faire, monta la garde jour et nuit, Bubov partit vendre les bijoux de la couronne ducale pour rembourser l’emprunt de 1455, Dantonov repartit au combat sabre au poing et l’abbé Coelio... s’occupa religieusement de la comtesse en lieu et place de son malheureux mari (confession sous la couette )

1462, les provinces perdues sont récupérées, on respire enfin, mais voilà que le traître, l’ignoble, notre allié le Pskov... nous déclare la guerre à son tour ! Moscou tombe une nouvelle fois. « On les aura tous ! » rugit Dantonov. « Oui, toutes ! » rajouta Coelio en sortant sa tête des draps ducats. « Ouais, ben, je m’ennuie moi » geignit Strat. « Ruiné, ruiné, nous sommes ruinés. Ah, misère, mais qu’est ce que je fais ici moi » se lamentait Bubov .

Un rayon de soleil dans les ténèbres, les Teutons finissent pas signer une paix blanche tandis que le Ryazan, entièrement conquis, paye 119 ducats d’indemnités. C’est à ce moment que le Kazan nous déclare la guerre : ben tiens, tant qu’à faire, allons-y donc. Pas moyen d’être en paix ici. La mort dans l’âme, Dantonov partit châtier ces musulmans, qui n’insistèrent guère et signèrent rapidement la paix. Le royaume de Smolensk, lui, était plus hargneux : chaque fois que les troupes moscovites allaient enfin terminer le siège de Tula, il surgissait, nous mettait une raclée puis repartait tranquillement et attendait la prochaine fois en ricanant .

« Dantonov ! Comment expliquez-vous cela ? » »C’est Bubov, votre grâce ! Sous de fallacieux prétextes d’économie, cet avare divise systématiquement la solde et le ravitaillement des troupes par dix. Résultat, le moral s’effondre... ». Les lèvres pincées, Bubov refusait d’en démordre : »Ce royaume de miséreux ne peut soutenir de telles folies guerrières » »Folies ? Ces gueux nous ont attaqué ! Trouvez vite de l’argent et je pars les châtier comme il se doit. Décidément, je suis le seul conseiller utile ici moi ».Coelio s’étouffa presque de rage et, jaloux qu’il était de sa splendeur, promit de se venger... Chose qu’il fit fourbement, petitement, comme c’était son habitude : lorsque le fougueux Dantonov eut enfin pulvérisé l’ennemi et conquis Smolensjk, il le priva honteusement de la joie d’une annexion militaire et se contenta de 100 ducats d’indemnités + une vassalisation. Une paix blanche fut en outre accordée au Pskov. « Quoi, quoi ? C’est moi le responsable de la diplomatie ici ! » jubila t-il . L’infâme.

La paix revenait enfin, après presque 16 années de guerre quasi ininterrompue. Oh, certes, le Danemark trouva intelligent de nous déclarer la guerre (un de plus...), mais il fut promptement rappelé à l’ordre par notre voisin suédois, souvent en guerre lui aussi d’ailleurs.

La même petite pièce glaciale, sombre et à l’abris des regards : « Messieurs, trinquons à notre succès » sourit le duc enfin libéré et en insistant lourdement sur le notre. « Oui, j’ai repéré la comtesse Alexandra qui... » »Rhaaa, ruiné, nous sommes ruiné ! » »mais où ai-je donc mis mon sabre ? Ah, le voilà ! Faites seller mon étalon, la guerre va reprendre » »Mais je m’ennuie moi » pleurnicha Strat. « Mais... messieurs... messieurs... allons... mais revenez ! ». mais la joyeuse bande s’éloigna déjà pour de nouvelles aventures et le duc, une fois encore, se demanda s’il n’avait pas commis une erreur terrible...

A suivre.

[Coelio]

Mon bon, ta plume n'a rien perdu de sa vigueur

[Schnick]

Le Roi d'Angeterre lutte contre les gueux entre révolte et remboursement d'emprunts indispensables à l'expansion


Ceci dit un coup de Jarnac a été déjà donné par le perfide roi de France en acceptant une paix blanche dans notre juste guerre contre ces barbares d'Ecossais...
Notre lignée s'en souviendra

Quand aux autres souverains d'Europe et d'ailleurs, sa majesté est persuadée de pouvoir s'entendre avec tout le monde et en particulier le roi de Suède et l'empereur d'Autriche.

[Riwan]

Sa Très Chrétienne Majesté, Louis XI dit "le Prudent"








La fin du règne du Conquérant fut marquée par la victoire définitive sur le Roy d'Angloiterre, Henry VI de Lancastre, avec la prise de Bordeaux. Par la suite la perfide Albion sombra dans la guerre civile, et Richard d'York, le regent, emprisonna le Roy fou en 1461. Nostre nouvelle Majesté entrepris un renforcement interne du Royaume : le Bourbonnais fut matter, les reformes économiques se succederent. Sous sa tutelle, le Royaume de France devint le plus puissant d'Europe pour un temps, avant d'etre depasser par Philippe de Valois-Bourgogne, qui a annexé sans contre-partie la lotharingie.

Par excès d'arrogance, le Prudent decida qu'il etait grand temps de prendre les cartes portuguaises. La guerre contre la peninsule ibérique fut dure, les espagnols ne trouvant pas mieux que d'envoyer d'immenses armées se fraquasser contre nos piques et nos chevaliers. Pendant ce temps, un alliance militaire totaliement oportuniste fut faite avec la perfide Albion. Et apres avoir pris les precieuses cartes pendant que nous fixions les armées ennemies, il nous abandonna lachement. Mais le fourbe Louis XI se vengea ensuite en empechant toute conquete angloise au depand de l'Ecosse.

Actuellement la guerre fait toujours rage, mais nous sommes a present en mesure de l'emporter, nous avons nos cartes, reste plus qu'a signer la paix avec la Castille.

[Gwann]

Erispsson devant le conseil

Conseil des futurs Dirigeants du Monde:
"-Erispsson, on vous avait donné 19 ans pour prouver vos mérites, qu'avez vous fait ?
-Mon but principal a été de me developper économiquement et de m'étendre autour de la Baltique.
-Ces objectifs ont-ils été acomplis ?
-Economiquement, la Glorieuse Suède est couverte de collecteur d'impots. Ce rentrées d'argent nous permettent de maintenir une armée de quasiment 50 000 hommes.
-Et pour le second ?
-C'est malheureusement plus contrasté. Sur nos 4 guerres, nous n'avions réellement gagné que 2 guerres. Pour la première nous avions suivit notre allié danois dans sa guerre contre le Holstein. Nous avions pu nous en emparer avant que ces lourdauds de danois n'arrivent et j'avais magnanimement decidé de vassaliser ce petit état, pour ne pas froisser les autres dirigeants européens. Malheureusement, le roi du Danemark refusa de reconnaitre ce traiter et annexa le Holstein une année plus tard.
-J'espère que la suivante s'est mieux passé !
-Encore une fois, c'est le Danois qui a attaqué. Cette fois, c'était le Mecklembourg la cible. Mais la guerre ne devint vraiment interessante que lorsque Novgorod s'invita dans la guerre. Une fois écrasé ses rustres russes, la Carélie était devenu suèdoise.
-Bien, mais ce n'est pas suffisant !
-C'est pour cela que je declarai la guerre a la Poméranie. La Courlande que son allié Lituanien possèdait m'interessait. Et elle aussi devint suèdoise.
-Ce sont donc la vos deux guerres gagné. Qu'en ai-t'il des autres ?
-Officiellement, la glorieuse Suède n'en a perdu aucune. La guerre contre l'Ordre Teutonique s'est soldé par une paix blanche alors qu'il avait écrasé 2 fois notre armée. Et la deuxième guerre contre l'alliance Pomérano-Lituanie s'est plus mal passé. Nous sommes repartie avec 88 ducats alors que cette guerre a vidé notre manpower, nos caisses et qu'elle a détruite nos armée.
-C'est tout ?
-Oui votre grandeur.
-Il a été decidé de confier encore une fois la direction de la Suède. Vous résultats, bien que mitigés sont satisfaisant. Voux pouvez vour retirez."

Erispsson écrasant les barbares de Novgorod a 1 contre 40 000

[Riwan]

On prend les même et on r'commence.











Sa très Chrétienne Majesté, Charles VII dit "le Victorieux"







Missives aux souverains Estrangers :



Au Roy d'Angloiterre, Henry VI de Lancastre :

La guerre de cent-ans est bien finie, la paix est enfin installée, et elle durera tant que vous ne vous montrerez point en desaccord avec la politique estrangere de nostre très chrétien et très grand royaume.



A Karl VIII Knutsson Bonde, régent et maitre du Landsraad :

Belle avancée en Baltique, a present seul le Danemark des Oldenburg se dresse devant vous. Nos marchands sont bien implantés en Livonie, nous avons donc des interets la-bas.



Bab i Ali, la Sublime Porte, Au Sultan Mehmed II :

Il se trouve que nostre Roy Très Chrétien vient de découvrir l'empleur du desastre qui s'est abattu sur le monde. Romanophile, il n'a pas supporter la destruction de Constantinople. A present, nous aiderons activement toute nation Chrétienne à se defendre contre la menace que vous faites peser sur le monde occidental. Nous ne desesperons pas de voir un jour les francois retablir l'Empire des Rhomaoï.



A l'Empereur Latin du Saint Empire Germanique, Friedrich V von Habsburg :

Vous avez nostre total soutient contre l'infidèle, puisse vos armées pourfendre les maudis janissaires.

[Schnick]

Partie 2 :


L'Angleterre à la conquête du commerce mondial


Politique intérieure :


Les rebelles écossais ont été réduits à néans, un enclave plus ou moins autonome a été laissé pour satisfaire leur vélléité d'indépendance encore quelques années.
Le British Museum of Art a été inauguré en grande pompe, à la grande joie de la population, l'entrée est encore payante pour le moment, ce qui fera une rentrée annuelle pour la couronne de 12 ducats.


Politique extérieure :


Nos amis irlandais ont acceptés un traité les rendant de fait vassal de la couronne d'Angleterre, nous sommes en pleine négociation parlementaire pour renommer notre nation en Royaume-Uni de Angleterre, Ecosse et Irlande. Les négociations n'aboutiront vraisemeblablement que dans une vingtaine d'année...


Politique commerciale :


Notre royaume a décidé d'investir énormément dans une politique commerciale forte. Nous sommes actuellement en possession de 4 monopoles, en Flandres, Tago, Ligurie et Venise. A eux seuls, ils génèrent plus de 30% des revenus de la couronnes mais la bonne nouvelle c'est que cette situation pousse de nombreux sujets à investir dans le commerce, plus de 10 sociétés commerciales chaque année.


Missives diplomatiques :


Au roi de Suède :

Nous sommes en paix avec votre nation et nous souhaitons de parfaire votre mainmise sur la Baltique. Une ère de stabilité pour cette région est à votre portée.


A l'empereur d'Autriche :

La taille de son empire inspire le respect, néanmoins ses capacités commerciales étant encore limités, nous l'encourageons à ne pas nous provoquer sur ce terrain. Nous pouvons nous entendre.


Au roi de France :

L'accord concernant le kot de France est respecté, nous sommes donc en paix. Rien d'autre compte à nos yeux.

[Riwan]

Sa Majesté Très Chrétienne, Charles VIII dit "le Courtois"








Faits économiques :

Sous la ferule du Roy Louis XI, la France devint le plus puissant Etat commercial en Europe, d'ailleurs la France devint le plus puissant Etat tout court, avec un revenu mensuel de plus de 55 000 livres tournois, et un revenu annuel de plus de 200 000 livres tournois. Cette prospérité permis la mise en chantier d'une grande distillerie royale en Champagne, a present le Champagne est exporté en masse depuis Paris. De plus, la fin de la bourgogne, ce qui signifie la fin d'une grande puissance commerciale en flandre a permis a Paris de s'imposer comme centre de Commerce d'une bonne partie des iles britanniques, faisant de notre CoT le plus riche d'Europe.

Malheureusement, 2 crises majeures fit chuter notre stab, dont l'une fut une petition pour l'obtention de reparations au Roy à cause d'impots trop élevés. Le resultat fut simple, nous perdions notre capacité a envoyer des marchands a l'etranger. L'anglais put donc a loisir installer ses monopoles infects dans beaucoup de regions sauf en France ou son implatation etait limitée par notre monopole. La construction de l'Academie Francaise nous permetra de mieux nous munir contre ce genre de crise.

Actuellement, la stablilité en partie reptrouvée nous permet d'entrevoir une reprise de la concurence en Europe.



Faits Politiques :

Le règne de louis XI fut marquer par l'annexion directe au Domaine Royal de la maison de Bourbon, assurant une integrité territoriale.

En 1477, le temeraire mourrut sans héritiers. Hors sa fille au lieu de se marier tout naturellement au Dauphin Charles de Valois, se maria avec Maximilien de Habsbourg, le fils de l'Empereur Latin. Néanmoins nous avons recuperer légitimement l'apanage de bourgogne, et la dot de Marie de Valois-Bourgogne : la Franche-Comté, l'Artois, et les villes de la somme.

Le prochain objectif se portera sur le domaine des Valois-Anjou, avec la mort annoncée du Roy René de Jérusalem et de Naples.



Missives aux souverains estrangers :


Au Roy d'Angleterre, Henry VII Tudor :

Il n'y a pas d'accord concernant notre centre de commerce, vous avez vous meme abandonner l'idée de venir s'installer chez nous. Et c'est une bonne chose, nous avons le monopole et il est assez peu aisé et cher de tenter une action commerciale.


A Sten Sture den äldre, regent et maitre du Landsraad :

Il est grand temps de parfaire votre domination commerciale sur la Baltique. Si vous prenez Lübeck et son riche centre de commerce, nous pourrons serieusement envisager un accord éconnomique.


A Friedrich von Habsburg, Empereur Latin du Saint Empire Germanique :

Nous sommes pret a un accord entre nos deux pays :

- Nous reconnaissons votre héritage sur les territoires flamands du domaine bourguignon.
- Nous reconnaissons votre propention à avoir un monopole en Flandres.
- Nous abandonnons nos droits de souverain pour le territoire de Flandres, vous n'etes donc pas notre vassal. ( et oui la Flandre appartenait au royaume de France )

En echange :

- Vous reconnaissez notre aquisition de la Franche-Comté, et de l'Artois
- Selon notre droit de Mère et Mixte-Empire, qui dit que le Roy de France est empereur en son royaume, nous ne pouvons etre votre vassal pour les territoire sus-nommés, qui sont donc détachés de Saint Empire et incorporés au Royaume de France.
- Vous acceptez les droits du Roy de France, Charles VIII, sur le Royaume de Sicile, et en général à être hégémon en Italie.