Da vinci Code

[florian]

Pour comprendre les critiques:

Déferlement de rires, silences de reproches: l'accueil réservé à Cannes au phénomène cinématographique de l'heure fut glacial, hier soir.

Montré à près de 2000 journalistes la veille de sa présentation officielle en ouverture du Festival de Cannes, le Code Da Vinci s'est attiré des critiques acerbes.

Le cinéaste Ron Howard (A Beautiful Mind, Apollo 13) a essuyé un blâme sévère de la part des journalistes américains, qui le montrent tous du doigt.

Le quotidien Variety écrit: "Le metteur en scène et le scénariste ont comploté pour retirer tout plaisir du mélodrame, donnant au public un film bavard. Le résultat est peut-être la meilleure chose que pouvaient espérer les critiques du projet."

Pour Peter Brunette, du quotidien américain Boston Globe, l'expérience fut des plus navrantes: "C'était presque aussi mauvais que le livre. Tom Hanks était un zombie, heureusement qu'il y avait Ian McKellen. L'interprétation est outrée, il y a trop de musique et c'est trop grandiloquent."

«Le public était perplexe, il n'y a pas eu d'applaudissement, juste le silence», d'ajouter à sa sortie Margherita Ferrandino, de la télévision italienne RAI 3. «Je n'avais lu le livre que jusqu'à la moitié et là je me suis ennuyée, c'est terrible !», a-t-elle lancé.

Transformé en course poursuite ridicule, la quête contemporaine du Saint Graal, telle que décrite dans le roman à succès de l'auteur Dan Brown, fait encore couler beaucoup d'encre.

Certains passages malhabiles, comme ce moment-clé au cours duquel le professeur Robert Langdon (Tom Hanks) révèle à Sophie Neveu (Audrey Tautou) sa filiation directe avec Jésus-Christ, ont même suscité des fous rires non souhaités.

Souvent accusé de tourner les coins ronds, Howard, dont la vision naïve est généralement appuyée par une partition musicale sirupeuse, se voit aujourd’hui reprocher, ce qui était prévisible, sa propension à la grandiloquence et à l'artifice.

Reste à voir maintenant si tous ces doutes nourris par la presse terniront le plaisir du public nord-américain, qui, dès vendredi, aura le dernier mot.

On voit bien que deja les critiques des le depart n'aiment pas le bouquin, a partir de la qu'il n'aime pas un film qui suit le bouquin ca m'etonne peu... Ensuite ce qui a beaucoup mecontenter les critiques c'est le fait que le film quand il se passe en France, ben les acteurs sont francais, ils parlent en francais ou en anglais avec un accent francais, quand il s'agit de religieux de l'opus dei, ils parlent en latin et quand il s'agit de personne du vatican, ils parlent en italien. Perso je sais pas comment ca va rendre en Francais, mais en VO c'est super sympa. La BO est pas geniale, mais ici ce qui est interessant c'est l'histoire et donc la BO n'est la qu'en support, car contrairement a des films ou tu vois un plan pendant 2 minutes (Un bon exemple est SdA avec les armees et une tres tres tres bonne BO) la il y a presque que des dialogues, donc une bonne BO est inutile.