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La 1er guerre de la Mer Noire Qu'Allah soit loué mille fois. Que des infidèles soient convertis ou tués pour rendre grâce à mon Dieu. Par sa bonté il m'a donné la vie que j'ai eu et je lui en rends grâce. Puisqu'il a fait de moi un lettré, j'espère lui donner un peu de ce qu'il attendait de moi par ce récit. Introduction Alors que les dernières années de la décennie 1580 s'achevaient, l'Empire Ottoman avait atteint sa maturité. Le temps de la chrysalide était achevé et il restait à voir si nous nous étions transformé en une larve impériale grotesque ou en un Etat redoutable. Je sentais déjà en notre peuple les prémices de la fierté, de l'assurance, de l'arrogance d'appartenir à une grande puissance de ce monde. Je me souviens du temps de ma jeunesse où les frontières du nord étaient craintes à outrance peut être. 60 années ont passé depuis et la jeunesse de l'Empire se sent prête à renverser des montagnes. C'est ce nouvel état d'esprit qui fut à l'origine de la guerre contre les russes. A cette époque, la puissance russe est à son apogée. Tout le monde la craint, personne n'ose l'affronter. Les rumeurs sur le caractère inombrable de cette armée affolent plus d'un monarque. L'empereur-qui-fait-dans-sa-culotte avait, dès 1500, signé un accord secret avec le Tsar qui stipulait en gros ceci : l'Autriche, plus peureuse qu'une femme, reconnaît volontiers la toute puissance de la Russie et la laissera allégrement bouffé du catho comme bon vous semblera Majesté le Tsar, mon maître, et si vous voulez nos terres il ne suffira que d'un ordre de votre part. Une chose ne peut être dite : c'est que l'empereur-qui-mouille-sa-culotte ne tient pas parole. En effet, en un peu plus de 100 ans, JAMAIS il ne broncha, ne bougea un sourcil à une action russe. Sa loyauté était totale même quand elle en advenait absurde. C'est ainsi que l'Empire Ottoman se retrouva à plusieurs occasions comme le seul défenseur de la Pologne ou de la Lithuanie. Mais revenons en à notre époque, donc tout le monde craint la puissance russe. Tout le monde ? Non ! Un petit empire local résiste encore à la peur générale et bon an mal an avance ses pionts petits à petits, attendant patiemment le jour où il n'aurait plus à courber l'échine devant la russie. Oh bien sur, il n'avait jamais été question de lui faciliter la tâche et à plusieurs reprises nous nous interposèrent au projet russe mais pour autant d'échecs. Notre peuple n'était pas assez fort, pas prêt mentalement à de grandes ambitions. En cette fin de XVIe siècle, c'est tout cela qui avait changé. Depuis ma naissance, l'Empire s'était nettement développé. Les conquêtes du XVe siècle dans le Caucase et en Perse occidentale étaient à présent complètement intégrées à l'Empire et avait été complété par les terres voisines. La culture perse s'était répandu dans tout l'Empire, fusionnant même avec celle existante pour donner une nouvelle forme à notre civilisation dont nous pouvons retrouver des influences, aujourd'hui, dans la culture grecque, turque et perse. Cette politique avait eu de nombreuses conséquences. Economiquement d'abord, le pays avait les moyens de son ambition, une armée permanente de 150000 hommes pouvait être entretenue sans faire souffrir notre économie. Cette solidité économique avait également un impact certain sur notre technologie qui se mis à avancer au même rythme que nos voisins chrétiens dans certains domaines (grande révolution qui fait qu'aujourd'hui l'Empire Ottoman dispose d'une des meilleures tech terrestre du monde). Plus de moyens permettaient de multiplier les oeuvres de foi et l'Empire s'unifie alors progressivement en une même foi. Toujours plus grand, toujours plus peuplé était notre empire, et déjà notre potentiel militaire distançait celui impérial pour nous rapprocher de plus en plus de celui russe. Ces changements, mes compatriotes les virent autant que moi. D'autant mieux qu'elles s'accompagnaient de nombreuses victoires sur le plan extérieur. La confiance en un avenir toujours meilleur s'ancra dans chaque âme ottomane. Cette optimisme devint glconfiance en soi. Cette confiance devint ambition. Au moment où je couche ces lignes sur le papier, pas un ottoman ne rêve de gloire et de grandeur. Aujourd'hui nous regardons nos frontières du nord non plus avec l'espoir qu'on nous oubli mais avec l'envie d'aller voir ce qu'il y a au delà. C'est ce contexte générale, la force de l'Etat, cette évolution lente des mentalités tout au long du XVIe, qui explique grandement ce qui se passa au tournant de 1600. L'Empire Ottoman est entré dans ce nouveau siècle en frappant fort, très fort. Il a violemment claqué la porte du siècle et jetté la stupeur parmi les chrétiens. Puissance ne rime plus qu'avec chrétienté. Notre Empire est redouté par nos voisins, soutenu par nos alliés, admiré par le peuple hongrois (et kate est morte...). L'Empire Ottoman a mis à genoux l'ogre russe ! Le récit Tout commença en 1579. Notre Sultan aimé, Celui-dont-on-ne-souvient-plus-du-nom V, avait montré de manière publique la confiance qui habitait les ottomans. Il accepta, pour la première fois dans toute l'histoire du monde, de revecoir des envoyés de provinces russes venus se plaindre de leur sort et demander aide et secours. Ce geste incensé alors pour tous les chrétiens du monde était une grande preuve de courage pour les musulmans. Nous reçumes les envoyés de Karkhov, frères de foi. Mais notre Sultan, dans sa grande clairvoyance, accueillit aussi les envoyés orthodoxes de Voronecz. Ces derniers ayant connaissance du bon traitement des chrétiens au sein de l'Empire manifestérent leur confiance en un meilleur sort en tant que sujet du Sultan. Leurs doléances furent donc entendus en séance pleinière et le Sultan rendit son verdict : l'Empire Ottoman acceptait cet appel à l'aide et faisait immédiatement porter au Tsar une missive l'invitant à reconnaître la volonté de ces 2 peuples. C'est ainsi qu'éclata la guerre de la Mer Noire. Fort de n'avoir jamais perdu, ou peut être trompé par le fait de n'avoir jamais connu la défaite, le Tsar refusa d'entendre nos réclamations et foula du pied notre avertissement. Il était persuadé que nous ne faisions que bluffer ou, au pire, que notre armée serait broyée en quelques semaines. Bien mal lui en pris. La campagne de Russie avait été merveilleusement préparée par le Sultan et ses généraux. L'Empire Ottoman était prêt à se lancer dans ses rêves de grandeur et à les transformer en réalité. ![]() En automne 1600, la guerre éclatait. Conformément au plan prévu, le Sultan porta une attaque sur le front est, temporisa au centre mais fut pris de court sur le front ouest. C'est dans cette zone que le Tsar avait vraisemblablement choisi de frapper fort. Ne voulant pas sacrifier ses troupes, le Sultan ordonna la retraite générale sur 100 km de la zone ouest. Il fit prélever des renforts sur les armées du centre et mobilisa toutes les réserves restées au coeur de l'Empire. Sur le front est, tout se passait parfaitement. Dès la première offensive, 10000 russes tombèrent pour seulement quelques centaines de nos frères. Déjà le Mordvar et Saratow subissaient le siège de nos armées. Une contre-attaque russe avait été repoussée et sévèrement affaibli pour garantir quelques mois de tranquilité. Sur le front central, la temporisation était toujours de rigueur, d'un côté comme de l'autre. A l'ouest, les Russes ne rencontrant guère de résistance avançaient à grands pas. La Crimée, le Cherson et la Bessarabia était tombé et les armées russes venaient d'atteindre la Silicie, juste à quelques dizaines de kilomètres de Byzance. Le Sultan estima qu'il était grand temps d'agir et d'enrayer l'avancée russe sur ce front. En été 1601, une offensive moyenne fut lancée sur la Silicie pour la dégager. Pendant ce temps, le Sultan fit convergé d'importantes troupes pour les lancer simultanément sur Bessarabia et la Crimée. La victoire fut rapide en Silicie mais les pertes russes avaient été minimes. Il ne fallait surtout pas laisser à l'ennemi le temps de reformer ses troupes. Les troupes victorieuses de Silicie, renforcée par 20000 cavaliers, foncèrent en Bessarabie. Une première importante bataille se joua là. Aux troupes russes stationnées en Bessarabie s'ajoutèrent ceux retraitant de silicie et quelques renforts milliers d'hommes en renfort. Plus de 20000 russes se trouvaient là quand les 30000 ottomans déferlèrent sur eux. 10000 janissaires arrivèrent quelques jours après en renfort. Après quelques jours de combats intenses, les troupes russes furent décimées. Les armées ottomanes venaient de détruire la menace pesant sur la capitale. Poursuivant son élan victorieux, les troupes encore fraiches se portèrent alors sur la Crimée, appuyés par 10000 janissaires du Kersh. Victoire ! Le front ouest était totalement dégagé et l'Empire venait d'envoyer en enfer plusieurs dizaines de milliers de russes pour peu de morts de son côté. ![]() En hiver 1602, fort de ses premiers succès éclatants, le sultan décida de renforcer l'offensive sur le front est. 20000 hommes furent ajoutés au 20000 déjà sur le secteur et un nouveau siège débuta : celui de Samara grâce à un accès au travers du territoire de notre voisin Timuride. Le Mordvar venait de tomber et une nouvelle offensive russe sur Saratow fut repoussée pour un minimum de pertes de notre côté. Sur le front ouest, les troupes russes ayant été décimées, l'espace était ouvert pour que nos armées s'y engouffrent. Conjointement avec le front centre, le Sultan lança plusieurs dizaines de milliers d'hommes bousculer les troupes défensives russes situées sur une bande allant de Podolia à Voronecz Les Russes refluèrent sur le secteur ouest et 3 sièges furent entamés. Au centre, la situation fut plus contrastée : Azow et zarapotovia étaient assiègés mais les Russes nous avaient repoussé de Karkhov et Voronecz était encore trop bien défendu pour y lancer un assaut. La situation se figea durant tout le reste de l'année 1602. Nos troupes poursuivaient les différents sièges et les russes furent à chaque fois repoussés. L'état major jouait la patience et l'économie des troupes. L'objectif était d'attendre que le fruit soit mûr avant de lancer plus en avant les troupes. De leur côté, les Russes rassemblés de nouvelles forces et amorcèrent ce que nous attendions : une contre-offensive sur plusieurs points stratégiques simultanément. Mais encore une fois les troupes ottomanes firent merveille et le Tsar ne retrouva que des lambeaux de son armée. L'année 1602 s'achevait par la conquête des provinces russes frontalières à notre empire, excepté Voronecz et Karkhov. ![]() ![]() Les bases d'opérations plus profondes ayant été posées, notre Sultan décida d'amorcer une nouvelle offensive de grande envergure. Sur les trois fronts, les ottomans avancèrent, heurtèrent et repoussèrent les russes. Les combats devenaient de plus en plus acharnés, de plus en plus nombreux. Visiblement le Tsar considérait cette étape de la guerre comme celle décisive : la chute ou la victoire. Les Russes s'acharnaient aux combats, même lorsque les conditions climatiques ou géologiques ne favorisaient pas l'offensive. En maints endroits, des janissaires s'illustrèrent mais ce sont les cavaliers saphy qui soutinrent l'ensemble du front. Ne prenant guère de repos, ils enchainèrent bataille sur bataille, tout en prenant le temps de décimer les fuyards qu'ils croisaient. Cette pugnacité se paya au prix fort du côté russe. Le silence qui suivi symbolisait probablement les doutes qui rongeaient le Tsar. Karkhov et Voronecz étaient tombés dans la foulée de l'offensive, en un seul assaut. Déjà certains corps remontaient vers le coeur de l'ancienne Lithuanie. Abattu, le Tsar entama des négociations en fin d'année 1603. Nos exigences l'accablèrent. Il pris sur lui une dernière tentative, un baroud d'honneur, qui couta encore le sang de plusieurs dizaines de milliers de russes. C'en était trop. La Russie était vaincue et capitulée selon nos conditions. Au printemps 1604, la paix était signée et l'Empire Ottoman accédait au rang des très grandes puissances militaires.
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Dernière modification par lemarseillais ; 07/04/2008 à 17h27. |
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La revanche tsarine Auréolé d'une victoire retentissante, l'Empire connut une tranquilité comme jamais il n'aurait pu imaginer. Plus aucun Etat ne prenait de haut le nôtre, plus aucun Etat ne nous menaça pendant une 20e d'années. Au contraire, nous eûmes la très nette sensation que les brayars d'hier, toujours prompts à se mêler de nos affaires, s'étaient subitement tûs. Nos voisins hostiles comprenaient à quel point le péril était grand pour eux s'ils éveillaient notre couroux. C'est ainsi que, comme par enchantement, les ambassadeurs de certaines nations chrétiennes (Venise, Empire) devinrent tout mielleux. Mais l'on ne trompe pas un lion avec du miel. Le Sultan ne fut pas dupe. Il fit congédier certains de ces ambassadeurs et réserva ses grâces aux fidèles et honnêtes gens. Les années passaient, des années de paix. L'Empire continuait de croitre en richesse et en force. La pacification religieuse avançait à bon rythme. Personne n'osait venir nous reprocher de convertir des chrétiens. Sûr de notre force, il était temps de rétablir ce qui n'aurait jamais dû être changé. La Dalmatie, sous contrôle vénitien, était ancestralement une province de l'empire byzantin dont nous étions les dignes successeurs. Elle devait donc revenir sous notre juridiction directement ou indirectement. Soucieux de récompenser son vassal bosniaque, le Sultan proclama sa volonté de rattacher la Dalmatie au royaume de Bosnie. Evidemment, la grenouille vénitienne qui voulait se prendre pour un boeuf refusa nos légitimes demandes. Pendant ce temps, Français et Autrichiens se faisaient la guerre. Si beaucoup d'hommes quittèrent cette terre du côté des latins, on ne peut pas en dire autant du côté germanique. L'empereur-qui-rêve-le-jour méritait depuis longtemps notre juste châtiment. Mais le Sultan, dans sa grandeur et magnificence, décida qu'il faudrait punir seul l'empereur quand il serait au sommet de sa puissance. Sa défaite inéluctable lui serait alors d'autant plus humiliante et le marquerait bien plus en profondeur. C'est pourquoi la paix fut maintenue. Toutefois, à la fin des années 1610, l'Autriche qui avait signé une paix victorieuse contre la France depuis quelques années déjà se montrait de nouveau arrogante et nullement reconnaissante de notre neutralité passée. Le fol empereur avait l'audace de croire que cela était normal. Notre maître lui fît alors savoir qu'il avait le choix entre se repentir en rendant sa liberté à la Transylvanie et au Krain ou ce serait la guerre. Evidemment un fou ne voit jamais le danger dans lequel il peut foncer tête baissée. L'empereur était de cet accabit. Atteint d'une paranoïa aigue depuis plus de 30 ans, l'Autriche entretenait une armée complétement démesurée par rapport à ses moyens. 130000 impériaux servaient continuellement, et l'empereur porta même ces effectifs à 145000 hommes après notre ultimatum. Le Sultan n'en disposait que de 150000 en face. Pire encore, allant contre toutes les lois de guerre signées à la convention de Genève, l'Autriche alignait presque autant de cavalerie que d'infanterie à 10000 hommes près. Voici le comportement de celui qui se prend pour un Dieu et se permettait de reprocher à la France d'avoir levé 75000 cavaliers pour 100000 hommes d'arme. Il en fallait toutefois plus pour faire renoncer le fier peuple ottoman. Conscient de sa force, notre Empire était prêt à en découdre face à celui dont on disait qu'il disposait en qualité de la meilleure armée du monde. Sans avantage numérique, sans avantage technologique, sans avantage de commandement le Sultan déclara la guerre à l'Autriche.... Ce fourbe, ce mécréant, sous ses beaux airs, avait en fait monter une réseau défensif autour de lui. Perfide petit joueur et trouillard invétéré, l'empereur fit mine de ne pas être au courant que l'Espagne, Venise et la Russie soutiendraient l'Autriche. C'est de cette manière que le Sultan se retrouvait en guerre contre ces 4 nations, avec le seul appui de son allié de toujours le sultan des mamelouks. Face à cette attitude honteuse, le Sultan prit un destrier et, seul, s'engouffra en Hongrie et fonça sur Vienne. Il eut bien quelques impériaux à trucider ici ou là mais il filait à une telle allure que personne n'arrivait à le stopper. Arrivé aux portes de Vienne, il les fracassa d'un bon coup de pied, terrassa la garnison en lançant sur la place des morceaux de viande (ils s'entretuèrent tous pour un morceau) et pénétra comme un tigre dans le palais impérial. L'empereur-fou qui était alors en train de se maquiller se trouva confus d'être vu par un Grand Seigneur de ce monde en petite robe d'étée avec un corset rembouré... La colère du Sultan fut elle qu'il ne remarqua pas cet accoutrement travesti. D'un bond, il se retrouva près de cette femme-dans-un-corps-d'homme, lui écrasa le visage contre un parchemin et ordonna d'une voix divinement en colère : Signez cette paix vaurien où je vous jette aux cochons. Terrifiée, la pauvre enfant obtempéra. Ce n'est que plus tard, une fois le Sultan repartit, que les conseillers de cette femme lui firent remarquer que le Sultan lui avait fait signer un traité de paix en échange de la dévassalisation de la Wallachie. Retrouvant des couleurs, l'empereur-folle fit mine d'avoir exigeait cela de la part du Sultan et transforma sa petitesse en un coup diplomatique mineure mais un succès tout de même. La vérité c'est que l'Empire Ottoman avait gagné plus qu'il n'avait perdu. Turcs et Russes se trouvaient de nouveau l'un contre l'autre. Sauf que cette fois, pris de cours, les armées ottomanes étaient loin du front russe et c'est donc notre allié mamelouk qui dû tenir les positions le temps que nos troupes se positionnent. Guidé par Allah, les troupes mamelouks firent des merveille et nous leur en somme fort reconnaissant car ils nous permirent d'installer le front sur des positions avantageuses pour nous. Ayant acquis de grands honneurs, les troupes ottomanes prirent le relais et les mamelouks se retirérent des champs de bataille. La guerre qui s'ensuivit fut assez similaire à la précédente. Le Tsar avait reruté plus de cavalerie et disposé de généraux de qualité. Mais face à l'ardeur ottomane, les défaites russes s'accumulèrent aussi vite que les pertes humaines. Déçu, le Tsar se résigna à signer la paix contre la session d'une province musulmane : Saratow. Ainsi, une province de notre foi était libérée du joug orthodoxe. En quelques décennies, la chrétienté avait fait étalage de ses divisions pendant que les musulmans se montraient unis comme les doigts d'une main. ![]() ![]()
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Dernière modification par lemarseillais ; 07/04/2008 à 20h11. |
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Epopées mamelouks (1608 - 1626)
En ce début XVIIème, toujours sous la régence malienne, les Mamelouks piaffaient d’impatience pour repartir à la conquête du monde. Préparant l’avenir, ils envoyèrent des émissaires aux extrémités du royaume afin d’améliorer les relations avec nos voisins. Et là, surprise !, tandis que nos relations avec le Swahili frisaient l’amour passionnel, nous nous aperçûmes que nous pouvions leur proposer de rejoindre notre glorieux royaume, même en l’absence de souverain. Sans illusion sur l’issue d’une telle proposition, convaincu de devoir multiplier les arguments avant de les convaincre, nous tentèrent notre chance. Et nouvelle surprise !, ces adorables sauvages acceptèrent d’emblée, reconnaissant en nous leurs dieux éternels. Hélas, la venue soudaine de cette nouvelle nation en notre sein nous amenait au bord de l’indigestion, notre réputation ayant explosée ses limites. En catastrophe nous dûmes casser les fondements de l’état moderne récemment construits, et retourner au despotisme féodal. S’ensuivit une descente en flèche de notre stabilité, aggravée par d’autres événements, dont des soulèvements massifs qui nous prirent de cours. ![]() Au final, en quelques mois, nous passèrent de +3 en stabilité, à virtuellement -6, ce qui nous obligea à pédaler longuement pour restaurer notre stabilité, au détriment d’autres investissements. Cependant grâce aux richesses des nouvelles provinces (or, ivoire), l’assemblée réunie des peuples de la Terre nous éleva au rang de grande puissance ! .Pour clore cette période en demi-teinte, les mamelouks retrouvèrent leur autonomie dynastique en 1615 lors de l'avènement d'Ahmad III. Nous n'entretinrent plus de relations avec le Mali, malgré leurs demandes fourbes et répétitives de mariage royal ! SnoopyNap, Grand Vizir des Mamelouks Dernière modification par SnoopyNap ; 07/04/2008 à 17h32. |
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Aux nations chrétiennes qui prennent la planète pour un terrain de jeux et de coloriage :
Nous voyons passer de plus en plus d’expéditions à destination de l’Asie. Nous prenons la décision unilatérale de vous compliquer la tâche dans vos entreprises d’asservissement de ces peuples asiatiques. Si ce n’est pas nous, qui d’autres essayera de limiter votre puissance expansionniste ? Veuillez donc nous verser une dîme conséquente si vous voulez pouvoir poursuivre vos expansions. Nous attaquerons en Asie (du moins ce que nous en voyons) toute colonie d’une nation avec laquelle nous aurions une relation inférieure à 50. Inversement nous accorderons le passage et l’abris de nos ports (Zanzibar, Ceylan), à toute nation qui veillerait à maintenir ces relations à plus de 50. [Hors rp : je vous invite à me dire ce que vous pensez de ce niveau fixé à 50. Trop, pas assez ?] Aux Ottomans : Nous espérons votre soutien dans cette entreprise, sur le continent, le cas échéant. |
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Diplomatie ottomane A l'empereur : L'Empire Ottoman exige de l'empereur qu'il prête serment de vassalité. En cas de refus, nous irons libérer les terres que nous considérons ne pas vous appartenir légitimement. Voyez sur ce plan : ![]() Au Tsar : Maître de la Russie, vous nourrissez de nombreux projets vers l'Est. Nous ne voulons pas la guerre avec vous malgré votre dernière fourberie. Nous sommes même disposé à revoir notre position gracieusement vis à vis de la Pologne. Ne nous entrainez pas encore dans uen guerre. Si jamais cela se reproduisait, sachez que nos demandes seraient alors très sévères comme jamais jusqu'à maintenant. A notre frère musulman : Nous vous remercions encore pour votre aide passée. Vous le savez déjà mais jamais nous ne manquerons de vous aider. En tant qu'ami nous estimons qu'il est de notre devoir de vous avertir sur les conséquences de votre dernière déclaration diplomatique. Nous sollicitons donc une rencontre avec votre majesté (ingame).
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Demande de Kalmar à Venise:
Très cher Doge, face à l'embargo que vous avez decretré contre nous, vous nous avez obligé à la guerre! Malgrès nos derniers déboires, notre flotte détruite en grande partie, nous nous sommes résolue à la guerre totale. Avant notre défaite nous n'aurrions rien demander de plus que l'arret de votre embargo, mais maintenant la colère et le prix du sang, nous oblige à vous demander une indemnité de1500 ducas pour rembourser nos familles, même si sa ne lavera pas leur peine. Cordialement Christian VII.
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L'homme n'est pas fait pour travailler, la preuve c'est que cela le fatigue. ( Voltaire ) On dit qu'il y a trois millions de personnes qui veulent du travail. C'est pas vrai, de l'argent leur suffirait. ( Coluche ) Si l'Administration travaillait dans le Bâtiment, elle aurait les doigts pris dans le béton. ( Coluche ) |
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Diplomatie Française.
Face aux injustes revendications autrichiennes, face aux blasphèmes autrichiens, face aux mensonges autrichiens, face aux mépris total de l'Autriche pour la Paix, ainsi que face au mépris qu'elle a pour ces propres enfants, déjà décimés par milliers dans la Guerre qu'elle mène actuellement contre le Sultan Face donc aux menaces autrichiennes dont la France est la cible depuis ces derniers mois, le Roi de France prends la décision de lever une armée sur le champs. Si l'Autriche ne revient pas sur ces menacers et revendications injustes, la France se préparera à vous attaquer et n'attendra certainement pas que vous soyez prêt à nous attaquer. Gaston II, Roi de France, Prince des libertés et Empereur de la droiture.
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Pedrolane Town, une ville ou il fait bon vivre ! |
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#8
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Déclaration Impériale
Puisque la France refuse de libérer les pays sur lesquels elle exerce une tutelle parfaitement illégale ( pour info au reste du monde, l'Empereur s'est contenté de demander la libération de Cologne, Liège et la Silésie) et n'a de courage que pour menacer un pays dévasté par quatre ans d'une des guerres les plus sanglantes de ces deux derniers siècles ( guerre menée par l'Empereur, soit dit en passant, pour protéger la Chrétienté...), qu'elle fasse face aux conséquences. Les petits bourgeois avides de France risquent bien de trouver les puissants guerriers Impériaux, élevés dans la guerre contre l'Infidèle, particulièrement indigestes... A la libération de Cologne, Liège et la Silésie, l'Empereur rajoute désormais celle de la Pologne et de Gênes. Pour la liberté des peuples! |
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#9
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Déclaration britannique:
La folie de l'empereur a fini de nous insupporter. La Grande-Bretagne a décidé de s'impliquer dans les affaires du continent ! La Grande-Bretagne déclare qu'elle entrera en guerre contre l'autriche si elle s'en prenait aux interets Fraçais et à ceux de ses alliés. Nous metrons notre modeste armée mais aussi nos moyens financier au service du roi de France ! |
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#10
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Déclaration de Kalmar:
Nous donnons tout notre soutien au roi de France dans l'affaire contre l'Empereur, qui menace ses interêts et les notres perpetuelements! Malgrès notre tentative de détente en libérant Hambourg et Brèmes de notre autorité, l'Empereur ne veut rien entendre! Notre armée, notre marine, et nos moyens financier se porteront naturelement vers la France si elle est agressé! Vous êtes prévenu, très cher Empereur!
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