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#1
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Probleme de save, je n ai pas reussi à rechargé la mission.
Heureusement il y a un autosave à chaque ravitaillement : J ai donc repris depuis Midway et rejoint la zone où l'on était arrivé : En chemin, j ai coulé 2 cargos, égalant le tonnage dans l'ancienne save.... Les 3 Glorieuses : 18-19-20 Mars 1942 Alors que l USS Grampus poursuit sa route vers notre zone de patrouille au sud de l'archipel d'Okinawa, le matelot Herman Sentenza affecté à la vigie signale un panache de fumée au 270 en fin de journée ... ![]() 'Kapitan, gross fumée zu 270 !' Il a un drôle d'accent cet Herman.... Saisissant mes jumelles, j'observe dans la direction indiquée et constate également le signe révélateur d'un navire dans les parages ![]() Malheureusement, le radar indique que le navire fait route vers le Nord Est, alors que l'USS Grampus file au Sud Ouest. De plus, impossible d'apporcher en plein jour vers le marchand japonais sans être repéré. Nous allons donc marcher en parallele à distance respectable et repiquer vers la cible dès que la nuit sera tombée... ![]() Un peu avant 22h00, nous arrivons en position. Notre sous marin est immergé pour éviter d'être repéré et j'observe le navire japonais à travers le périscope d'observtion qui approche sans se douter de notre présence. ![]() Notre cible, un petit cargo cotier de 1600 Tonnes. ![]() Une premiere torpille est lancée, mais un peu dans la précipitation : Elle explosera dans le sillage du navire, sans provoquer des dégats critiques. ![]() ![]() Mais l'impact semble avoir endommagé les moteurs du navire, qui ralenti: Sa silhouette quasi immobile se dessine dans le soleil couchant à travers le périscope : Une cible facile. Une seconde torpille est tirée : ![]() Notre deuxième torpille déchire littéralement le navire japonais qui s'embrase... ![]() Quelques minutes plus tard, il ne reste qu'une tache de mazout à la surface qui signale la dernière position du cargo nippon. ![]() Nous sommes encore à plusieurs jours de notre zone de patrouille : Pas le temps de trainer, Cap au Sud Ouest Le lendemain, un peu après midi, le matelot Duncan Danton, de quart au poste radar, signale un nouvel echo au 327 faisant cap au Nord Est. Un rapide coup d'oeil à la carte, et je calcule un point d'interception : ![]() Mes estimations sont bonnes et 15mn plus tard, le panache de fumée du navire japonais approchant confirme mes calculs ![]() A 13h30, la silouhette du navire japonais se dessine parfaitement à travers le périscope. Un petit cargo de 1700T. ![]() Cette fois ci pas de précipitation. J'attends le moment opportun avant de tirer. Pas question de prendre des risque et de gaspiller nos torpilles, dont la réserve est déjà bien entamée... La torpille heurte le navire ennemi directement sous la passerelle, le touchant à mort. ![]() L'eau s'engouffre alors rapidement dans les compartiments du cargo le faisant dangereusement giter sur tribord, avant de l'envoyer finalement par le fond. ![]() L'USS Grampus fait alors surface à quelques metres du naufrage, permettant à notre équipage de constater le résultat de notre attaque. ![]() Mais le Dieu de la guerre est à nos cotés, (ce qui compense l'incapacité chronique de notre équipage). Dans la soirée, un nouvel echo est signalé au radar par le matelot Edgar TahitiBob affecté au quart de nuit. Même topo : On calcule un point d'interception en fonction du cap et de la vitesse estimée du navire ennemi : ![]() Arrivé au point estimé, nous passons en profondeur périscopique, moteur à l'arret, tel un chasseur à l'affut attendant patiemment sa proie. Régulièrement, je demande les informations à notre poste d'ecoute hydrophonique. Le matelot Austin Tcao me donne régulièrement le signalement du navire japonais en approche. ![]() Celui ci bien evidemment ne se doute de rien et continue sa route ![]() Finalement, comme prévu, un peu moins d'une heure après le premier contact, le navire japonais se dessine clairement à travers le périscope. Cette fois ci c'est un vieux et gros cargo : plus de 6000 Tonnes. Il va falloir plusieurs torpilles pour en venir à bout... ![]() Je décide donc d'envoyer une salve de 3 poissons. Cette fois ci nos torpilles font mouche et heurte les flancs du cargo ennemi ![]() Sur le pont, c'est l'enfer, les incendies font rage et les seuls quelques rares survivants parviennent à mettre un canot à l'eau ![]() Quelques minutes plus tard, le cargo s'enfonce par l'arrière dans les profondeurs de l'océan Pacifique ![]() Notre sous marin fait alors surface croisant à quelques metres les marins japonais souquant ferme pour séloigner du lieu du naufrage ![]() Et c'est alors que l'incident se produit. Le matelot Huck Bubu, dont le frère avait péri lors de l'attaque de Pearl Harbour, et frustré de son peu d'action (affecté au poste de DCA, il n'a encore tiré aucun obus), s'empare soudainement du canon de 20mm, et vide un plein chargeur sur le canot des japonais l'envoyant par le fond..... ![]() Nous transmettons donc nos derniers rapports au SubPac ![]() ...et continuons notre route vers notre zone de patrouille. Mais alors que nous sommes encore à plusieurs jours de notre destination, nos réserves en torpille sont bien entamées ![]() 3 torpilles à l'arrière 6 torpilles à l'avant, et 1 en réserve |
#2
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Effectivement à la vue diminuante de notre stock de torpilles et l'absence d'escorteur japonais, nous allons privilégier l'attaque au canon des navires japonais isolés.
Notre première victime sera un petit pétrolier. La tactique est de calculer son cap, de rester en plongée jusqu'à ce qu'il soit à portée et de faire surface subitement pour l'attaquer au canon. Les marins de ce pétrolier ignorent à ce moment qu'ils vont servir de cobayes à notre nouvelle tactique : ![]() L'USS Grampus se met en route jusqu'au point d'interception ![]() Une trentaine de minute plus tard la fumée de cheminée de notre cible est repére, indiquant l'inévitable rencontre... ![]() Le navire est maintenant proche: Consultant notre manuel d'identification, je compare la silouhette du navire : C'est un petit pétrolier de 1500 Tonnes. ![]() Je rabaisse le périscope et ordonne de faire surface. Déjà les servants du canon sont au pied de l'échelle de coupe, prêts à bondir sur le pont. Aussitot, nos deux servants font rugir notre pièce d'artillerie, et les premiers obus pleuvent sur le pétrolier ![]() (L'offcier marinier Griffon a quleques problemes de calvitie naissante...) L'équipage japonais tout d'abord surpris par cette attaque se ressaisit et lance ses machines à fond pour tenter de s'échapper alors que les premiers incendies font rage sur le pont ![]() Mais peine perdue, déjà l'eau s'engouffre à travers les coursives du pétrolier ![]() Finalement, les japonais décident d'évacuer le bord, les flammes ravageant maintenant la quasi totalité du navire ![]() L'USS Grampus quitte alors la zone, laissant le petrolier glisser lentement dans les profondeurs de l'océan ![]()
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In The Navy !!! Elvis, Maréchal d'Empire 1806 Elvis, Maréchal d'Empire 1809 Elvis, Maréchal d'Empire 1812 Dernière modification par Elvis ; 24/03/2008 à 21h22. |
#3
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L'attaque au canon sur les petites proies (et même sur quelques gros tankers gonflés de pétrole) est toujours quelque chose d'aussi jouissif... rien de tel que voir l'ennemi apeuré dans le blanc des yeux, et non par le biais du périscope.
Les torpilles, c'est bon pour l'attaque des convois ou des batiments de guerre, ou quand les conditions climatiques sont mauvaises... mais face à un ennemi isolé et franchement inoffensif à plus de 100 métres, c'est un bon moyen de faire prendre l'air à l'équipage et de garder des suppositoires en stock pour les grosses rencontres ![]() |
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