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  #1  
Vieux 16/03/2008, 02h25
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Par défaut Epopées mamelouks (1557 - 1578)

Epopées mamelouks (1557 - 1578) - Les années noires
Au faîte de sa gloire notre regretté souverain Jaqmaq III mourût mystérieusement dès août 1557. Sans héritier, c'est un obscur neveu, Qânsawh I, qui hérita du trône. Il était doté de piètres compétences et ne bénéficiait d'aucune reconnaissance nobiliaire. Au point qu'à ce jour personne ne s'est résolu à écrire l'histoire de son règne. C'est donc à vore humble serviteur, SnoopyNap, qu'incombe la charge de relater brièvement les événements passés.
Dès son accession au trône, Qânsawh I dût affronter une révolte des nobles du pays. Durant 5 longues années, l'armée - ou plus exactement les quelques troupes demeurées fidèles, car les effectifs chutèrent - dût être mobilisée en permanence afin de mater les révoltes qui éclataient aux quatre coins du pays, et reconquérir les provinces qui tombaient l'une après l'autre aux mains des rebelles. Lorsqu'il fût finalement accepté, à défaut d'être chassé, Qânsawh I tenta de reprendre les travaux entrepris par son oncle. Hélas en vingt ans réussît-il tout au plus à convertir Qoijiam et Gonder, deux provinces chrétiennes orthodoxes. La Tunisie, notre vassal, profita des troubles du pays pour refuser obstinément une annexion diplomatique qui eût pourtant fait le bonheur de nos peuples. Voyant cela, le petit état du Yémen lui-même refusa pareillement l'annexion de ses deux provinces. Les efforts de rapprochement avec le Swahili initiés sous le règne précédent aboutirent tout juste à une alliance, cet état barbare armé de sagaies refusant net toute vassalisation. Comble du désastre, tous les espoirs placés en nos chercheurs sont suspendus à une révolution scientifique pourtant promise mais dont nos savants semblent difficilement accoucher. S'ils tardaient trop, cela pourrait retarder d'une trentaine d'années le décollage de notre nation. A mort notre souverain !

Cet écrit fût retrouvé dans le bureau de SnoopyNap-père , et caché jusque la fin du règne de Qânsawh I. Quant à SnoopyNap-père, il était interné et torturé dans les geôles du sultan usurpateur pour tentative de rébellion.

SnoopyNap fils, Grand Vizir des Mamelouks.
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  #2  
Vieux 16/03/2008, 02h34
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Par défaut Délégations Mamelouks

Au sultan ottoman : malgré les troubles internes de notre pays, nous garantissons à notre voisin notre soutien militaire au moment où des bruits de bottes et d'épées nous parviennent de Russie.
Aux royaumes chrétiens méditerranéens : nous n'abandonnons pas notre promesse de pacifier le Maghreb et supprimer les pirates barbares de ses côtes, nous avons simplement besoin de plus de temps. Nous appelons l'Autriche à une diplomatique retenue en cas de guerre entre les musulmans et la Russie ; il n'est pas de l'intérêt des souverains chrétiens de laisser indéfiniment grossir leur voisin orthodoxe.
Au roi espagnol : nous lui rappelons que son dernier ancêtre castillan s'était engagé jadis à dévassaliser le Maroc, avant qu'une malheureuse régence ne suspende cet accord.
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  #3  
Vieux 16/03/2008, 11h10
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Déclaration française à L'Empereur:

Empereur, nous vous demandons d'intervenir pour règler la question genoise et apporter une vision neutre et objective, sans vous souviez des affaires qui nous préoccupent et font qu'inévitablement vous cherchez la guerre contre nous.
Nous vous demandons de bien vouloir presser l'Espagne de libèrer Genes, sans quoi un nouveau pt de discorde surviendra entre plusieurs nations européennes, l'Espagne n'a rian a faire en Italie, je suis sur que dans votre analyse et votre objectivité, certes peu développée, mais qui existe tout de meme vous trouverez la sagesse d'accèder à notre requete.

En ce qui concerne la Russie, sachez Empereur, que votre attitude à l'égard de cet ogre nous surprend on ne peut plus, là ou vous crier au scandale lorsque la France intègre des monoprovinciaux, vassaux epuis des dizaine sd'années en elle, vous laissez la Russie annexée des dizaines de povinces lithuanienne et polonaises.
Nous vous demandons de vous montrer ferme envers la Russie et ce malgré votre alliance militaire claire envers l'Ottoman.
Nous vous demandons de clairement revoir votre politique internationale, qui pour l'instant n'est pas dirigée vers la paix et la sauvegarde des petites nations mais plustot vers une obstination quasi-maladive à vouloir faire la guerre à l'Empire Ottoman et à controlé ce que fait la France, tout en occultant le reste de ce qui se passe dans le monde.

Empereur, voilà ce que nous vous demandons, malgré le fait que nos deux pays ne peuvent plus maintenant reculer et règler nos différents autrement que dans une guerre ' qui s'annonce magnifique-sublime-pleine d'honneur, cependant il vous faut jouer le role d'Empereur que vous vous acharnez à conserver et pour cela, nous vous demandons de proposer des solutions aux conflits somnolents qui se balencent telles des épées de Damoclès au dessus de l'Europe.

Dernière modification par Pedrolane ; 16/03/2008 à 11h29.
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  #4  
Vieux 16/03/2008, 17h16
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Déclaration Impériale



La position Impériale en ce qui concerne Gênes est claire, limpide et nullement neutre : le Royaume de Gênes fait en effet partie du Saint Empire Romain Germanique. Ce Royaume, s’il ne peut rester indépendant, ne peut donc avoir qu’un seul et unique Suzerain légitime : l’Empereur du Saint Empire Romain Germanique, c'est-à-dire Nous .



Depuis trop longtemps, certains pays violent honteusement les droits des peuples et du Saint Empire en particulier, profitant du fait que l’Empereur ne peut être partout . Nous sommes ravis de constater que la France, enfin, semble se préoccuper du sort de ces royaumes martyrisés. Aussi, nous en faisons le serment, dès que la France aura rendu leur liberté aux pays du Saint Empire sur lesquels elle exerce actuellement une tutelle illégale ( Brunswick, Suisse, Savoie, Trier, Liège, Provence, Milan etc etc), nous prendrons, à ses côtés, toutes les mesures nécessaires pour contraindre l’Espagne à faire de même ( libération de Gênes). Ainsi, la liberté des peuples aura été rétablie au sein du Saint Empire ! Que la France nous rejoigne dans notre éperdu soucis de liberté et nous serons les meilleurs alliés du monde !


Nous profitons d’ailleurs de l’occasion pour rappeler que la guerre qui se prépare entre nos deux royaumes est votre seule et entière responsabilité . L’Autriche, elle, ne cherche nullement la guerre et s’en tient à l’accord Franco-Autrichien qui fut signé lors de la disparition tragique de la Bourgogne. Ce traité que vous avez signé stipulait clairement et sans équivoque possible que les Flandres étaient légitimement Terres d’Autriche.


En remettant en cause ce traité, le Roi de France ne viole pas seulement sa parole et ne montre pas uniquement son bellicisme avide au reste du monde : il fait aussi voler en éclat le traité qui nous liait. Les conséquences seront inimaginables...




L’Empereur rit enfin de vos déclarations concernant l’Infidèle : le Roi de France nous reprocherait-il maintenant de défendre la Chrétienté ? Il faut bien que quelqu’un le fasse et Paris semble plus motivé par l’annexion de ses frères chrétiens que par la défense de ceux-ci, l’Aragon martyr en est le témoin le plus vibrant, innocente victime d’une barbarie qu’on pensait d’un autre âge .


Par ailleurs, l’Empereur a tendu sa main bienveillante vers l’Infidèle, ne demandant que le respect des terres chrétiennes en échange de sa neutralité : le Sultan nous a craché dessus et menacé de guerre . Nous ne verserons donc pas une larme quand les Cosaques raseront la capitale de cet outrecuidant personnage grossier et malpoli qui refuse de vivre en paix avec nous .




L’Empire est Paix et Amour, mais ceux qui défieront les libertés des peuples et ses droits les plus sacrés apprendront à leurs dépens qu’il est aussi Gloire et Victoire .
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  #5  
Vieux 17/03/2008, 15h10
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Par défaut Espagne - Maroc

Oups, une bourde. Toutes mes excuses au souverain espagnol quant à ma remarque sur le Maroc. J'avais dû rater une étape.
SnoopyNap, Grand Vizir des Mamelouks
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  #6  
Vieux 22/03/2008, 14h15
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Chroniques Impériales. 1578 – 1595. La première puissance mondiale attaque l’Empire





L’année 1578 vit des changements malsains se réaliser en Italie : la France, de loin la première puissance mondiale, cédait la Lombardie à Venise, tandis que l’Espagne cédait Gênes à Kalmar. La boulimie annexionniste de certains semblent vraiment sans limite . Cela se confirma avec la débauche de menaces françaises à notre égard : Paris voulait la guerre. Soit, elle allait l’avoir, qu’elle ne vienne pas se plaindre après : quand on défie l’Empereur Dieu, on en paye toujours le prix .


A partir de 1581, les effectifs de la France, première puissance mondiale, commencèrent à enfler de façon vertigineuse et cela se poursuivit deux années entières. Enfin, en 1583, la France nous agressait sauvagement. Si les effectifs étaient à peu près semblables des deux côtés, le renouvellement des troupes allait vite poser problème pour l’Empire, qui ne disposait pas , et de beaucoup, des formidables moyens financiers de la France, qui disposait en outre de tout un puissant réseau d’alliés ( Savoie, Milan, Suisse, Liège, Utrecht, Auvergne etc etc).


L’Empereur Dieu , en réalité, n’avait qu’un seul avantage : il était un Vrai Chrétien . De ce fait, il avait pris la croix contre l’Infidèle et avait longuement bataillé pour libérer la Pologne de l’emprise du Sultan. Conséquence de tout cela : la croisade avait permis la promotion de jeunes officiers de grands talents . Instruits durant la guerre contre l’Infidèle, ces hommes de talents allaient diriger avec le plus grand talent les forces armées Impériales contre l’assaut Français.



De grandes batailles commencèrent en effet aux frontières, au cours desquels les pertes Françaises étaient parfois jusqu’à 10 fois supérieurs aux notres. Nos habiles généraux faisaient merveilles, tout simplement.







Devant cette hécatombe, les Français réagirent et gonflèrent encore plus leurs effectifs. Ainsi, 44.000 soldats se ruèrent dans les Flandres, au devant des 28.000 Impériaux. 40.000 Français ( sur 44.000 !) furent massacrés .







Même chose en Franche-Comté, où la puissante cavalerie Française est écrasée par nos troupes d’élite .







12 mois seulement après le début de la guerre, la France était déjà usée et affaiblie, mais non pas démoralisée. C’est à ce moment que fut lancé une grande contre-offensive Impériale, qui emporta rapidement sur son chemin le Luxembourg et la quasi-totalité des alliés Italiens et Germaniques de la France. Le torrent impétueux de nos armées semblait irrésistible et toutes les tentatives Françaises pour nous arrêter étaient brisées dans l’œuf : l’offensive avait changé de camp .


Son armée en déroute, ses alliés conquis, le Roi de France dut se résoudre à admettre l’évidence : la première puissance mondiale subissait sa première défaite en 170 ans ! L’Empire victorieux, champion de la liberté des peuples, exigea la libération de Trier, de Liège et de Brunswick, ainsi que la cession du Luxembourg et l’abandon des revendications françaises sur la Franche-Comté.



L’Europe incrédule et endormie se réveilla en sursaut : le colosse Français avait été vaincu, non pas par une coalition, mais par un seul et unique pays . Pendant 150 ans, l’ombre de Paris avait fait trembler l’Europe. L’Empire avait mis fin à cette ère de terreur sans nom et, de partout, les ambassadeurs déferlèrent : Anglais, Espagnols, Vénitiens, tous se précipitaient pour adresser leurs plus chaleureuses félicitations à l’Empereur .


La liesse généralisée qui gagna l’Europe libérée fut cependant rapidement ternie par le bruit des canons : l’Espagne et Kalmar attaquaient Venise. L’Empereur, n’ayant été sollicité par aucun des deux camps et ne comprenant de toute façon pas les raisons de cette guerre , se retrancha derrière la plus parfaite neutralité. Mais celle-ci fut violée par Kalmar qui, sans le moindre scrupule aucun et sans même nous prévenir, utilisa notre port de Krain comme base avancée pour sa redoutable flotte. Venise était de ce fait acculée et la neutralité Impériale bafouée. L’accès militaire fut donc légitimement cassé : Vienne refusait de se mêler de cette sombre histoire.


Kalmar, qui nous avait trompé , réagit avec la plus grande haine et un mépris insondable : Hambourg fut vassalisé de force, dans le seul et unique but de nuire à l’Empereur… La riposte ne se fit pas attendre et le riche centre de commerce des Flandres fut interdit aux marchands de Kalmar, dont les revenus s’effondrèrent rapidement : défier l’Empereur, c’est souffrir d’avance . Vienne invite toutes les capitales Européennes à frapper Kalmar d’un blocus impitoyable.


Sournoisement, la France profita des tensions en Europe pour attaquer sauvagement la Saxe et la Pologne, déclarant publiquement qu’elle ne vassaliserait ni l’une ni l’autre. Le monde entier connaît désormais le crédit que l’on peut accorder à la parole du Roi de France : AUCUN . La Saxe et la Pologne furent en effet vassalisés de force. Choqué par ce manque total de sens de l’honneur et de respect de la parole donné, l’Empereur intervient pour exiger la libération des deux pays martyrs. Avec une rare mauvaise foi, le Roi de France fit alors traîner les choses de longs mois durant, inventant un prétexte après l’autre pour retarder le moment de la libération… La raison de ces nouveaux mensonges odieux nous fut connue quelques mois après : une mobilisation démentielle qui avait demandé presque deux années entières pour arriver à son terme.



En 1594, la France sournoise et menteuse attaqua brutalement l’Empire : plus de 80.000 cavaliers déferlèrent, la plus gigantesque force montée jamais vue en Europe. Et comme si cela ne suffisait pas, Paris s’était allié à Kalmar… Ce coup de force abject avait visiblement pour but de rétablir la domination totale de la France sur l’Europe qui, menacée, ne bougea pourtant pas d’un pouce. L’Empereur était seul pour sauver la liberté de l’Europe, seul contre les 80.000 cavaliers Français ( il n’en disposait de son côté que de 32.000), seul contre la France, première puissance mondiale, et le haineux de Kalmar, qui avait annexé le territoire de Sa Sainteté le Pape : rien de tout cela ne décida les autres royaumes Chrétiens à intervenir .


Pendant que des forces françaises nous frappaient à partir de territoires neutres du Saint Empire, positionnées là avant le début de la guerre en violation de toutes les conventions du droit internationales, les hordes de cavaliers Français déferlèrent, vagues après vagues.








Les officiers Français étaient de meilleure qualité et avaient été instruits au cours de la guerre précédente, mais l’Empereur, lui, disposait toujours de ses brillants officiers formés durant la croisade. Si le choc initial fut clairement à l’avantage des Français, qui s’emparèrent du Luxembourg, de Breisgau et de la Franche-Comté, la résistance Impériale se raidit rapidement. Afin de brise celle-ci, le Roi de France céda une fois de plus à sa folie démentielle : il lança pas moins de 40.000 soldats, dont 37.000 cavaliers , en Lorraine .







Les forces Impériales furent anéanties, mais les pertes Françaises étaient bien supérieures : le Roi de France cependant, grand boucher devant l’Eternel, ne s’en souciait nullement. Plus économe de la vie de ses hommes, l’Empereur lança un petit groupe d’assaut contre les alliés Italiens de Paris : trois mois plus tard, toute la Savoie était entre nos mains, ainsi qu’une partie de la Toscagne .


Dans les Flandres, le Roi de France tenta de répéter sa manœuvre de Lorraine : 43.000 soldats s’élancèrent contre les positions Impériales, tenues par seulement 19.000 hommes.







La déroute Française fut suivie d’une contre-offensive Impériale qui permit de récupérer le Luxembourg. C’est à ce moment qu’une nouvelle étonnante parvient aux oreilles délicates de l’Empereur : les armées de Kalmar étaient à moins de 50 kilomètres de Vienne . Jusqu’à présent, en effet, cet allié de la France s’était fait discret, mais la raison en était enfin connue : il avait attendu dans l’ombre, perfidement, que les armées Impériales partent sur le front pour ensuite traverser le Saint Empire Romain Germanique de la Baltique à Vienne et surgir inopinément devant les murs de la capitale Impériale.


En janvier 1596, l’Empereur doit faire face au soudain raid de Kalmar, aux nouvelles offensives Françaises dans les Flandres et en Lorraine, ainsi qu’à la contre-attaque de Paris en Savoie : les heures sont sombres et ce n’est pas le sort de l’Empire qui se joue actuellement, mais la destinée de l’Europe. Si l’Empereur Dieu succombe, la domination Française sera repartie pour durer encore 150 ans .




Au nom du Christ Sauveur, au nom de la Liberté des Peuples, au nom de l’Equilibre Européen, l’Empereur Dieu en fait le serment : nous lutterons et nous vaincrons !



Vive l’Empereur ! Vive Danton I !

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  #7  
Vieux 23/03/2008, 13h06
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Déclarations Diplomatiques Impériales





A la France. Renoncez tant qu’il est encore temps : poursuivre dans votre folie ruinera votre pays et entraînera des bains de sang d’une ampleur inimaginable . Sachez que si le sort des armes nous est contraire, nous reviendrons cinq ans plus tard puis encore et encore, jusqu’à ce que Justice soit faite .


Au Kalamar perfide. Par bêtise et orgueil aveugle, vous avez défié l’Empereur Dieu. Préparez-vous à en payer le prix...


A Venise. Savez-vous au moins que le Kalamar sournois a annexé le Saint Siège ? Rejoignez nous dans notre Sainte Lutte et décrétez sans attendre un impitoyable embargo commercial contre l’hérétique. N’ayez nulle crainte pour vos territoires, l’Empereur va détacher deux bataillons chez vous, largement de quoi repousser 40.000 Kalmariens si nécessaire .


A l’Espagne. Nous vous invitons aussi à frapper sans attendre le Kalmar infidèle d’un embargo impitoyable et n’ayez nulle crainte pour vos territoires : l’Empereur va garantir votre indépendance. La foudre Impériale anéantira ceux qui oseraient vous attaquer.


A l’Angleterre. Nous vous invitons à prendre votre revanche sur le Kalmar sournois et à le frapper d’un embargo impitoyable. L’Angleterre est une nation fière, elle ne saurait accepter la tutelle dont Kalmar se vante en privé, si ce n’est en public .


A la Russie. Vous êtes notre frère et nous pouvons réaliser de grandes choses ensembles. Des ambassadeurs Impériaux vont partir pour Moscou, afin de discuter de choses diverses et variées, comme un embargo impitoyable contre Kalmar et une invasion puissance de cet hérétique .


A l’Infidèle. Nous sommes au regret de vous annoncer que d’importantes affaires exigent toute notre attention en occident, veuillez pour une fois vous trouver d’autres occupations que nous .


Aux Mamelouks. Votre pacifisme est admirable et l’étendue de votre culture impressionnante. Tous les Infidèles ne sont donc pas des barbares assoiffés de sang.
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  #8  
Vieux 23/03/2008, 19h55
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Chronique de Scandinavie : 1578-1595.



I. L’affaire vénitienne.



En l’année 1578, le grand souverain de l’union de Kalmar eut la bonne surprise de recevoir des ambassadeurs espagnols à Copenhague. Il portait en urgence les demandes de rachat de la ville de Gènes menaçait par une entente entre français et vénitiens. Notre politique ne prenait pas en compte l’achat d’un centre de commerce, malgré que nous ayons porté cette solution dans cette affaire pensant qu’elle serait rejetée. Les ambassadeurs demandaient 740 ducas pour la province, une somme rondelette. Le conseil royal débâta de la question durant plusieurs jours, lors de séance houleuse, mais nous avions porté cette situation précédemment notre honneur demandait un respect de notre parole, la province protestante fut donc achetée et le conseil municipal reprit forme purgée des éléments qui avait conduit la politique militariste.

Les discutions engagé prirent rapidement un autre tour, l’Espagne était enfin prête à partir en guerre contre Venise, une guerre que nous étions en train de préparé. Avec l’alliance espagnole nous, nos préparatifs prirent du retard, les Espagnols voulant une préparation d’une offensive sur la péninsule, changeant notre plan qui ne devait toucher que les iles de la Sérénissime. Comme tout le monde le sait, notre engagement était des plus justifié, l’ile de Sardaigne demandant notre aide après la répression sanglante qui avait touché l’ile lors d’une insurrection pour se libérer, de plus Venise se targuant d’avoir une meilleur marine que nous, l’orgueil est un vilain défaut !

La guerre débuta donc le 29 juin 1529, nos forces navales fonçant face à Venise où étaient établit la flotte du doge, nous ravitaillant dans les ports autrichiens et de Modène, attendant une sortie de l’amiral vénitien, qui survint le 23 décembre, empêchant la célébration de Noel ! Des hérétiques, que des hérétiques, ces catholique, nous perdîmes beaucoup plus de navires que l’ennemie lors de l’épisode mais Venise étaient maintenant totalement affaiblit, ne pouvant percer notre étau.




Pendant ce temps nos forces s’installé devant les places fortes des iles de Venise. Les Espagnols eu débarquant sur la péninsule, en nombre conséquent vainquant les troupes italiennes face à eux.

Durant la période nous tombèrent en discorde avec l’Empereur, celui-ci remettait en cause notre droit de passage demandant d’enlever notre suzeraineté sur la ville de Brème, nous prirent l’engagement de ne peut vassaliser Hambourg, allié de Venise, mais ceci ne suffit pas, l’Empereur croyait nous faire peur ! Nous avons un droit de passage avec Modène, pas besoin de vous ! Nous installâmes donc notre autorité sur Hambourg…

La guerre se termina après une seconde sortie navale de Venise le 31 mars 1587 alors que notre flotte était en ravitaillement, grâce à notre vivacité de réaction, nous éclatèrent les restes de la flotte de Venise ! Alors qui est le maitre des mers ! Le doge signa donc la paix qui lui était assez favorable, l’Espagne ne gagnant rien, nous ne prenant que la Sardaigne.



II. Le Pape, un fou !



Cette guerre nous avait placé dans une nouvelle place en méditerrané, alors que nous étions en train de rapatrier nos troupes, nous fumes alerté en juillet 1588 que le Pape venait de déclarer la guerre au reste du royaume de Naples qui avait demandé notre alliance pour les protéger de ses voisins boulimiques. Nous ne comprimes pas ce geste, celui-ci était en guerre depuis juin en guerre contre Venise, belle preuve de l’amitié que porte les catholiques à leur guide spirituel… Nous portâmes donc des renforts en Italie, Frederik IV se déplaçant en personne pour diriger les opérations, 16 milles hommes furent amener pour cette guerre.

Après la signature de la paix entre Venise et le Pape, ce premier lui enlevant tous ses territoires autres que ceux autour de Rome, pour le protéger, belle excuse ! Leur père religieux n’est qu’un impotent à déposséder ! Le Pape malgré ce fait garder une belle force, près de 6 milles cavaliers, 6 milles fantassins et de l’artillerie, totalement fanatisé ! Nous miment donc 3 ans après la première rencontre en aout 1591, les pertes furent nombreuse, prêt de 20 milles hommes de notre coté contre 5 milles de l’autre, mais soudainement lors de la bataille d’octobre 1592, l’armé ennemie se débanda malgré nos pertes bien supérieur, un miracle, dieu est avec nous ! Votre idole n’a aucun autre soutien que votre hypocrisie sur lui.

Après 1 ans et demi de siège, la ville s’écroula enfin, Frederik IV faisant son entré en triomphe dans les rues de Rome, telle un empereur romain.

Face à cela, aucune réaction internationale, des catholiques, leur idole, fondement de leur dogme, leur est donc totalement indifférent ?



III. La guerre contre l’Empereur.



Malgré l’inaction des catholiques celle-ci ne durerait pas indéfiniment, nous engageâmes dans ce but des pourparlers avec Paris pour défendre nos positions à Rome. Leur demande un soutien contre l’Empereur, un autre hérétique de première, il se dit l’empereur dieu !

Celui-ci ayant déjà vaincu la France, il fallait rééquilibrer la situation. Nous entrames donc en guerre avec la France sans avoir été prévenu de la déclaration de guerre préalablement, le 11 novembre 1594. Nos armées totalement détruites, n’ayant pu de réserve à mobiliser furent installer en cantonnement dans les pays frère de l’empire, se préparant à frapper Vienne…
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L'homme n'est pas fait pour travailler, la preuve c'est que cela le fatigue. ( Voltaire )

On dit qu'il y a trois millions de personnes qui veulent du travail. C'est pas vrai, de l'argent leur suffirait. ( Coluche )

Si l'Administration travaillait dans le Bâtiment, elle aurait les doigts pris dans le béton. ( Coluche )

Dernière modification par TCAO ; 23/03/2008 à 20h17.
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Vieux 23/03/2008, 20h10
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Missive diplomatique de l'empire Scandinave.

A l'Empereur: Vous êtes devenu fou? Vous radicalisez vos relations avec nous mais vous croyez que sa vous venez mené quelques part? Le royaume britannique est notre allié, ne chercher pas par des pathétiques demande à ce qu'il nous embargote! Notre sang est mélée, il est notre cousin par le sang et le coeur de nos croyances communes, nos liens sont inébranlable, nos actions sont libre, l'angleterre agissant comme bon lui semble, comme le prouve sa non participation à nos derniers conflits...
Si vous voulez radicaliser notre politique, nous pouvons faire de même et soutenir les demandes française d'annexion des Flandres que nous refusions jusque là...

PS: Maintenant les Mamelouks sont des gens de bien? Mais où va Vienne! Première à denoncer les mahométants?

A la France et à nos frères britanniques: A tous nos frères de foi! Aujourd'hui c'est ouvert une nouvelle époque glorieuse, l'idolatre ville de Rome est tombé! Une preuve pour tout les chrétiens que le dogme catholique n'est qu'un culte hérétique, levons nous et battons nous pour établir l'union de la foi chrétienne en Europe, première étape de la conversion mondial au Christianisme!

A l'Espagne: Très cher souverain d'Ibérie, souvenez vous, face au demande de Venise, que nous avons été dernièrement votre seul soutien d'importance face au crise qui vous ont frappé, vous avez toute notre amitié, peut être pourrons nous parler de votre conversion à notre foi?
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Vieux 25/03/2008, 15h16
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France : 1578-1596



Ainsi la guerre éclata entre l’Autriche et la France, malgré nos appels au calme et à la raison adressés à l’Empereur (de pacotille), rien n’y fut, il continua, obstinément à nous librer Iatus et rendre sa liberté au peuple Flandrien.



La France, courageuse et oeuvrant pour un monde meilleur, décida donc de déclarer la guerre à l’Autriche afin de stopper ce que nous appelons aujourd’hui « la boulimie autrichienne ».

Dès le départ la France partait avec un désavantage net, en effet l’ Etat-Major Français était caduc et les tactiques de guerres n’avaient pas été repensées depuis le 15 ème siècle.



Ainsi la guerre commença et les offensives furent lancées, rapidement elles furent toutes repoussées par les hordes Autrichiennes qui possédaient le double de cavalerie par rapport à nous, des généraux excellents hérités des nombreuses guerres menées par l’Autriche et un avantage net en moral de troupes vu que l’Empereur, dans sa barbarie immense, permit à ces soldats de violer femmes, enfants et vieillards (si si même eux !) et de piller les villages qu’ils croiseraient.

Ainsi les armées de libérations furent repoussées.



Le Roi de France dans sa grande sagesse et dans son grand intérêt des peuples décida de ne pas poursuivre la guerre afin de préserver les populations frontalières.

Ainsi il demanda la paix à l’Empereur-satan, qui exigea entre autre la cession du Luxembourg et la rupture de vassalisation avec de nombreux états qui pourtant l’avaient demandés pacifiquement.





Après ces déboires militaires, la France se ressaisit et modernisa son armée, des troupes de cavaleries furent recrutées au vue de leur rôle primordial dans la victoire autrichienne.

De nouveaux officiers furent nommés et des centres de recrutement furent bâtis dans le nord et le nord-est de la France.



C’est alors qu’advint un évènement terrible, Riga, petit état Baltique se fit attaqué par la Pologne, au début le Roi pensa que son ami de Kalmar s’occuperait de cette affaire, cependant il constata que le Roi Kalmarien fouettait déjà d’autres chats.

Ainsi, le Roi de France, toujours animé par cette farouche volonté de liberté des peuples décida de se lancer à la défense de Riga, aussi loin que fut situé cet état.

Ainsi les troupes Françaises prirent la routes et marchèrent à travers tout le Saint Empire Germanique ( d’ailleurs de nombreux poèmes existent aujourd’hui encore, pour saluer ce passage des troupes françaises qui furent acclamées dans chaque village allemand où elles passaient).

Très vite l’Armée Française atteignit Mecklenbourg et y mena un siège, le reste des troupes se dirigèrent vers la Saxe, féroce allié de la Pologne, les batailles en Saxe ne furent pas nombreuses, en effet peu de soldats Saxois acceptèrent de combattre contre l’Armée Française et préférèrent rejoindre la France et fuir le Saint Empire afin d’y mener une vie meilleure.

Même le Roi de Saxe décida de demander au Roi de France la Paix, et accepta la vassalisation avec joie.

Ensuite les armées Françaises se massèrent à la Frontière Polono-Saxoise et mirent le siège devant Cracovie. La Capitale Polonaise tomba rapidement de même que Riga fut rapidement délivrée de son agresseur.

Ainsi la Pologne accepta la Vassalisation, et la population acclama le choix de son monarque qui avait fait preuve d’une grande clairvoyance.

Après cette campagne Française en Allemagne, un poète itinérant racontera que tous les lundi soir de 21h à 00h00 un cierge brûlait dans chaque famille Allemande et Polonaise afin de se rappeler ces merveilleux jours de libertés et d’humanisme.



Hélas pour l’Allemagne le Tyran-Empereur régit virulemment à ces vassalisations et ne supporta pas les scènes de joies, au passage des troupes françaises, que ces précepteurs lui rapportaient. Furieux il menaça plusieurs fois la France directement .



Le Roi de France décida de ruser tout en sachant que l’Esprit de l’Empeur-Sataniste (666) n’était remplis que de vengeance et de haine mais que l’Empereur ne pouvait déclarer la guerre sans une bonne raison. Ainsi la réforme de l’armée se poursuivi pendant encore deux ans, seulement au bout de deux ans, la tension devint de plus en plus forte, l’Empereur décida de mobiliser ces troupes et recruta de nouveaux officiers, ces indices mirent la puce à l’oreille du Roi qui compris que le Félon se préparait à attaquer.

Ainsi, le Roi de France prit les devant et déclara la Guerre à l’Autriche, l’Armée de libération était de Nouveau en marche, remaniée et réorganisée.



Cette fois-ci, les succès ne se firent pas attendre et très vite la France prit un avantage irrattrapable sur l’Autriche, des provinces étaient conquises et la paix avec le Wurtembourg fut rapide. La Contre-offensive Autrichienne parvint toutefois à briser certaines de nos lignes, nous faisant reculer et nous obligeant à laisser le Luxembourg aux hordes barbares.

Ainsi que la Savoie qui fut conquise par surprise, mais qui est sur le point d’être récupérée.

Notre ami de toujours et allié, le roi de l’Union de Kalmar accepta de se joindre à nous dans la lutte contre l’Impérialisme et la Boulimie de l’Empereur-Félon.

Les premières armées Kalmariennes entrèrent enfin en Autriche et nulle doute qu’elle sèmeront le trouble et seront décisives pour l’avenir.



La Guerre continue, et une incroyable victoire Française se profile, la Flandres enfin ne sera plus emprisonnée sous le Joug Autrichien et rejoindra le Royaume des libertés, à savoir la France, et ce afin qu’elle soit protégée des velléités de l’Empire, la Bavière sera libérée de l’emprise impériale et Clèves retrouvera son indépendance !

Vive le Roi de France, vive la Liberté et Gloire à Dieu !
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