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Chapitre II. Il fait chaud ici, non ?
Furtivement, je me glisse de pièce en pièce, d’étage en étage, au milieu de tous ces affreux soldats Dorniens. Je trouve d’abord l’équipement de mes compagnons puis, enfin, les cellules. Dans la première, je tombe sur un berserker orque qui m’attaque immédiatement : serait-ce pour le libérer que Vrigor avait besoin de l’armure du commandant ? Peu importe, le principal est que dans la deuxième cellule… ![]() Enfin réunies ![]() ![]() ![]() ![]() Curieux, il me semblait pourtant l’avoir bien tué la fois passée ![]() ![]() ![]() La racaille éliminée, je donne le signal de monter à bord, mais Andren m’arrête : il faut continuer à pied. Pouvait pas me le dire plus tôt celui là ![]() ![]() ![]() De plus, me fait-elle remarquer, Norah n’est qu’une sal… qui ne porte strictement rien en-dessous de son armure ![]() ![]() Nettoyage ensuite des fermes aux alentours, où nous libérons un groupe d’humains captifs et éliminons les chefs orques et leurs shamans après un farouche combat : la tête éliminée, le danger est passé. L’autorité de la région devrait nous récompenser pour ce haut fait d’arme, mais comme il s’agit des Dorniens, nous préférons ne pas trop insister à ce sujet ( Bran et Norah ont eux aussi eu quelques démêlés avec les envahisseurs). Bon, il s’agit maintenant de trouver ces mines qui traversent les infranchissables montagnes noires pour atteindre le cœur de l’empire Dornien. C’est là que les problèmes vont commencer. Andren localise en effet vite les mines, mais celle-ci sont très vaste et il ne les connaît pas du tout ![]() Certes, les distractions ne manquent pas dans ces mines ![]() Mais ces échecs successifs commencent à tous nous taper sur les nerfs et chacun se défoule comme il peut. Vico ne cesse de nous harceler, Pia et moi, se gaussant de notre courage ( après chaque rencontre avec une ombre des roches notamment : « C’est bon, vous n’avez pas encore mouillés vos culottes ? Non ? Je peux vérifier ? Non ? Pourquoi pas ? ») et nous faisant sans cesse des propositions toujours plus indécentes ( « Il fait si sombre… Je pourrais te baiser là, maintenant, sur la pierre, que les autres ne s’en rendraient même pas compte… On y va ? Non ? Allez, ce ne sera pas la première fois pourtant ! Tu préfères baiser ta copine ? Vas y, je regarde, deux femmes ensembles, cela m’excite etc etc »), Andren passe plus de temps à mater les seins de Norah, ou les miens, qu’à essayer de trouver le bon chemin. Mécontente d’être ainsi ignorée, ma douce Pia prend prétexte de la chaleur pour dégrafer le haut de son armure et continuer la poitrine à l’air ![]() Et cela, naturellement, cela me plait moins, surtout quand j’aperçois Bran se rapprocher d’elle et lui souffler quelques mots à l’oreille, qui la font sourire en plus ! Bon, retour à la surface et j’essaye de tirer cela au clair. ![]() Ok, j’ai compris le problème. Si on continue ainsi, tout cela va se terminer en orgie sexuelle où tout le monde couchera avec tout le monde sans aucune retenue ![]() LA SOLUTION ![]() Combat très difficile, ils en sortent calmés… Pour le moment en tout cas. Pas facile de gérer un groupe pareil ![]() |
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