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#1
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Lisbonne, An de grâce 1434
Le Roi du Portugal fait savoir qu'il aspire à la paix et à la prosperité, comme cela a toujours été le cas. En conséquence de quoi le Royaume d'Afrique du Nord a été crée afin de servir la paix - et nos interêts - dans la région. Nos comptes ont été purgés et l'économie, désormais prospére, permet à nos marchands de s'implanter peu à peu dans les différents centre de commerce. Celui de Tago sera bien entendu toujours privilégié, au vu des bénéfices non négligeables qu'il apporte à la Couronne. Nous espérons que nos royaux cousins seront à même d'apporter le même calme dans leurs pays respectifs. Ce qui à en juger par le manque de stabilité sur la grande majorité du continent, se rapproche plus d'un voeux pieux. Mais c'est là toute la bonté de notre Royale Excellence : Prier pour ses voisins sans que ceux-ci n'aient à demander quoi que ce soit... Nous félicitons également grandement la Castille, qui a enfin pu mettre un terme à l'inaceptable domination du Royaume de Grenade sur la province de Gibraltar. C'est un bon pas vers la christianisation de la région, amorcée par nous même il y'a de cela déjà prés de 20 ans. Dans le cadre de l'entente fraternelle que nous souhaitons consolider en Europe, il nous est bien entendu impossible pour l'instant d'adhérer à une quelconque alliance. La proposition anglaise nous apparu donc particulièrement choquante, alors même que l'épée n'a pas encore été totalement rengainée sur le sol françoy. Nous n'en tiendrons néanmoins pas rigueur à l'Anglois, et préférons tourner notre regard vers le large. L'air y est largement plus respirable, et l'odeur de mort moins présente... Qui plus est, l'expédition menée par Diogo de Silves nous apporte bonheur et réconfort, comme toute bonne bouillote. Nous avons "redécouvert" le passage menant au Cap Vert, et la flotille de l'Amiral, forte de trois navires, a pu constater la présence de territoires inconnus jusque là. En vérité, mes aimables cousins, nous espérons que vos guerres fratricides rempliront toutes vos espérances. Les notres sont déjà largement comblées, et ce n'est pourtant là que début... http://www.streamload.com/madQG/1434.wmv (9 Mo) |
#2
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Discours du Grand Prince devant la noblesse.
Seigneurs de mes terres, écoutez donc ma voix! La Principauté semble au bord du gouffre. J'en appelle à votre aide, à tous. Les mongols, il fallait s'y attendre, on finit par reprendre les armes contre nous, ne supportant plus de voir Moscou enfin libre. Leurs nombreuses armées ont tenté d'envahir la ville de Ryazan. Heureusement nous les avons repoussé, mais d'autres reviendront, plus nombreux et féroces encore! Une de nos armées, commandée par Yuri Patrikeev s'en est allé mener le combat dans la région de Tambov. Mais la situation est encore plus grave que cela; Pskov également nous attaque! Ces charlatants, qui avaient déjà soumis et annexé la région de Tver il y a quelques années veulent maintenant s'agrandir à notre dépend! Boyards, nos richesses doivent être mobilisées pour recruter des hommes et sauver Moscou! Pour la troisième fois en moins de 20 ans on nous attaque traitreusement, et cette fois, c'est de la survie de notre Principauté qu'il est question! Si nous pouvons vaincre ces deux enemis, rien ne pourra plus nous empêcher d'unifier la Russie. Le Seigneur est avec nous, et nos soldats vaincront, parcqu'il le faut. Ce n'est pas une possibilité mais une obligation! Que Dieu vous bénisse et nous donne la victoire! La guerre contre les mongols se terminera par une magnifique victoire, la Moscovie prenant le controle de la province de Tambov. Les armées principautaires pouvant dés lors se tourner contre celles de Pskov. L'issue de cette guerre là semble incertaine...
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Allez les Cajuns!! http://www.youtube.com/watch?v=0dglMqP_zEI Parleeeez-nous à boire.... |
#3
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Chroniques de l'Abbé : 1426-1434
La guerre est vraiment chose terrible... O seigneur, quelles épreuves imposes-tu donc à tes fidèles serviteurs ? Mais Ta Volonté à toujours un but : pousser tes serviteurs à se dépouiller de toute vanité terrestre, et à t'obéir sans discuter. Tu as voulu que l'Autriche sorte meurtrie d'une guerre longue et ruineuse sans aucun gain pour elle, dans le seul but de maintenir la paix. Nous aurions pu, pourtant, continuer la lutte... La Bohème était fatiguée, à terme nous aurions vaincu. Nous en avions le droit le plus sûr, d'autant que les hérétiques hussites avaient annexé la Saxe, leur propre ancien allié et notre récent vassal. Mais à quel prix aurions nous eu notre vengeance ? Au prix de combien de morts ? De combien de haines ? Non Dieu ne voulait pas ca...et nous acceptâmes une paix des braves. A Vienne, la Cour fut d'abord sceptique : "L'Abbé doit savoir que la politique n'est pas oeuvre de charité, où va t-on avec des bigots pareils qui hésitent à pousser la guerre jusqu'à la victoire ?" Mais l'Abbé restait serein : il savait que le Seigneur récompenserait sa piété : et cela ne se fit pas attendre : en un an à peine, la Bohème abjurait l'hérésie hussite, et s'alliait dans la foulée avec l'Autriche, en récompense de la bonté autrichienne lors du traité de paix. Et c'étaient ensuite la Bavière et Mantoue qui se reconnaissaient spontanément vassales de l'archiduché, impressionées par son réel amour de la paix et par sa volonté de protéger le Saint-Empire. La paix avait donc permis finalement à l'Abbé d'élargir largement l'influence autrichienne, et de montrer à la face de tous que sa haine de la guerre n'était point qu'un mot... Missives diplomatiques Espagne : Cher cousin, vous etes bien revenus au pouvoir après l'étrange usurpateur Palafox ? Nous vous portons nos amitiés, et sommes surs que vous partagez notre amour de la paix. France : Votre pays est certes encore morcelé, mais il s'agrandit rapidement au Sud et à l'Ouest et est fortement prospère...Nos félicitations ! Angleterre : Il n'est pas à douter que vous êtes le royaume le plus puissant de la chrétienté actuellement. Nous en sommes ravis, connaissant votre modestie et votre piété Portugal : Il parait que votre dernier film "Je mets des régents au nom louche en Afrique du Nord puis je me tape Marie de Cressay, le tout en moins de 3 minutes" est un franc succès ! Esperons que vous trouvez aussi le temps de veiller aux assauts des infidèles en même temps ![]() Venise : D'une discretion exemplaire ces dernières années...Le doge est probablement absorbé par le négoce... Suède : Continuez à vous préoccuper des affaires internes à votre pays de pingouins, et ne revenez plus en Allemagne... Moscovie : Bravo pour votre victoire face aux infidèles ! Il ne vous manque plus qu'a arreter de critiquer toutes les actions de l'Autriche et nous deviendrons surement amis... Empire Ottoman : Le Grand Turc est décidemment toujours aussi sanguinaire.... Mais veillez à ne pas avancer trop profondement dansles Balkans, ou il vous en cuirait...
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![]() [20:58:20] Akmar Nibelung, Gott dit: je m'incruste pour faire genre j'ai des amis autres que les pizzas |
#4
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![]() ![]() Erik av Pommern, Kung av Danmark och Norge, Kung av Sverige Extraits de l'Histoire de la Scandinavie :
Au Grand Prince de Moscou, Basile II : Il est evident que nos 2 peuples ont interet à s'unir, nous avons au moins une menace commune : l'alliance polono-lithuanienne des Jagellons. Nous vous proposons un accord pour Narva : - Cette cité vous reviendra dans un premier temps. Mais a l'avenir, si l'Ordre teutonique venait a disparaitre et que nous prenions, nous le royaume de Suède, part au partage, Narva devra alors nous etre rendu. Cela vous laisse grandement le temps de conquerir un accès vers le Pont Euxin. - Il serait aussi grandement profitable de sceller une alliance pour pouvoir nous appuyer mutuellement en cas de conflit. A l'Archiduc d'Autriche, Albert V : Vos insultes envers le peuple de suède et le peuple russe trahissent votre mepris total pour nous. Elles ne seront point oubliées, et vous le regreterez amèrement a l'avenir. Au Doge de la Serenissime République de Venise : Nous sommes bien surpris de l'immobilisme qui s'est emparé de cette vieille ville, alors meme que le fourbe au nord prenait le controle de Mantoue, terre très riche qui se doit de vous appartenir. Si jamais vous avez besoin d'une aide exterieure pour retablir votre influence sur l'Italie, vous nous trouverez. Dernière modification par Riwan ; 17/11/2005 à 17h42. |
#5
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Régent à la Sublime porte Mehmet Al Chazam.
1434 Situation intérieure mauvaise, une grande instabilité (-3), un trésor à sec (3 en or en Avril), la guerre contre deux coalition (les Italiens, et Nogai). Les directives sont pourtant très claires : Je dois maintenir une inflation à zéro, et éviter tout emprunt indésiré. Néanmoins, la guerre nécessite l'entretien des troupes au maximum des possibilités, pour repousser toute tentative de débarquement de la Toscane, des Etats du Pape ou de Sienne. Nos alliés (Horde d'Or et Ak Konlyu) s'occupent de la guerre à l'Est. C'est ainsi que pendant l'été 1434, deux régiments de Sienne, de près de 3000 hommes à pied et 3000 cavaliers cumulés sont anéantis par les 15 000 cavaliers de Mehmet II, notre Sultan. Quelques mois plu tard, 15 000 Toscans sont à nouveau exterminés dans la privince du Hellas. Une paix blanche est ainsi signée. Nous pouvons dès lors diminuer l'entretien des troupes et nous concentrer sur le retour à une stabilité correcte. L'inflation est restée à 0,2%. Dans les années suivantes, l'effort se portera sur le retour de nos marchnts dans le CoT de Trace, où notre instabilité avait provoqué nombre de faillites. Enfin, la décennie 1440 était marquée par la mise au pas de la Serbie, défaite lors de la bataille de Kosovo. Cette province nous était cédée, 150 Talent d'Or offerts en hommage et un traité de vassalité signé. Mais (illisible) Serbie ne s'arrêtèrent pas là La Hongrie et son alliés croate dépouillèrent les restes.peu de temps après. Nous saurons nous souvenir de cet acte charognard. A l'avenir nous souhaitons concentrer nos efforts militaires vers l'est. En politique intérieur, le Sultant estime nécessaire de promouvoir nombre de baillis, ainsi que d'aider à l'implantation de nos commerçants. La situation est enfin stabilisée, les revenus réguliers, les marchants en Trace solidement implantés. (Suite du parchemin illisible, Mémoires d'un régent traduction anonyme, milieu du XVème siècle)
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"Péricliter = tourner autour du clitoris" d'après "Le Dictionnaire de ceux qui ne savent pas" de Ar Sparfell |
#6
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![]() ![]() Karl VIII Knutsson Bonde, Kung av Sverige ![]() 12 des Kalendes de Novembre, An de l'Incarnation du Verbe 1439, l'Aalborg vient d'apareiller, à son bord Magnus, danois de son état. Il est chargé d'annoncer une bien triste nouvelle au Landsraad. - Mes Seigneurs, le Roy est mort ! Karl Knutsson Bonde remarqua alors que le vieux Erik Karlsson Vasa ne cacha pas un sourire qui en disait long. Ce sourire se mua vite en larmes de joie. Oui Erik était bel et bien mort...Le peuple suédois avait oublié depuis le temps que le Landsraad avait pris les reines du pouvoir, il avait oublié a quel point ce Roy pouvait etre cruel. Mais lui Erik Vasa, il n'avait pas oublié. Son fils, Johan Eriksson Vasa brisa le silence : - Mais qui est le nouveau Roy ? - Je suppose que les danois vont arrivés dans quelques semaines avec leur nouveau Roy et une garde suffisament nombreuse pour nous obliger à l'élire. - Nous devons les devancer, c'est impératif. Les danois sont des mécréants, ils ont déja imposé leur langue aux norvégiens. Ils veulent devenir les maitres de la Scandinavie. Karl Knutsson réfléchit un temps à ces dernières paroles avant de dire : - Très bien je propose de convoquer l'host immédiatement, mais si nous n'élisons pas le souverain des danois, il nous faut en trouver un autre. - Qui seraient donc les prétendants ? Allons nous encore une fois chercher notre Roy chez les allemands ? - Hors de question !! Notre Roy sera suédois ! Nous ne pouvons nous permettre de rester dans une telle situation avec des monarques etrangers. Cela ne peut nuire qu'a notre puissance. - Je suis effectivement d'accord avec Karl, nous devons renforcer le pouvoir royal pour faire face a l'avenir a certaines menaces exterieures. Moi Erik Karlsson, je propose d'élire Roy Karl Knutsson ici présent, et cela pour l'interet du Landsraad. 7 Jours plus tard, Karl Knutsson devenait le 8e Karl a monter sur le trone de Suede. Kristofer of Bayern, le nouveau Roy du Danemark ne fit rien d'autre que de ne pas le reconnaitre publiquement. Adoph de Holstein vint personnellement à Stockholm preter hommage à son nouveau Roy. |
#7
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1443, Madrid, palais impérial.
Jean II, notre bon Roi, toujours vert malgré son âge canonique, couchait avec toutes les princesses que les pays européens lui envoyaient avec toujours la même dignité : il ne faisait qu’accomplir son devoir de souverain ![]() Puis, comme il avait bon cœur et qu’il était très pieux, il fournissait aux ex-pucelles un noble de sa cour, cela faisait toujours plaisir (c’est ce qu’on appelle le droit de cuisage ![]() ![]() Arriva un homme sage et avisé… Don Danton naturellem… ah non, Alvaro de Luna ![]() Les gueux avaient la vie plus difficile et se soulevèrent deux fois en moins de dix années : tous des impuissants jaloux de l’énergie virile d’Alvaro ![]() A notre ami l’Archiduc : nous vous avions pourtant prévenu ! Les bohèmiennes ne sont pas des femmes faciles ! Tournez votre regard lubrique dans une autre direction et vous trouverez toute satisfaction. A notre voisin et ami portugais : merci pour le raccommodage de nos chaussures, vos talents de cordonniers sont vraiment admirables. Nous espérons maintenir de bonnes, et même d’excellentes relations car nous avons toujours besoin de vos compétences : il nous faut souvent changer de chausses en effet ![]() Au Roi d’Angleterre. Nous savons que la Reine est très belle, mais, de grâce, songez aussi parfois aux affaires de votre pays. Au Sultan : restez donc dans votre harem, c’est là un sage et plaisant conseil que nous vous donnons. Au Roi de France : il n’y a pas que la guerre dans la vie ! Venez donc passer quelques semaines à Madrid et nous vous ferons découvrir tous des plaisirs sont vous ignorez actuellement même l’existence. La survie de la lignée royale française est peut-être même en jeux ![]() Au grand fan de Palafox : comment se porte vos pingouins ? Est-il vrai qu’ils remplacent les femmes dans votre si étrange pays ? Au grand duc de Moscovie : savez-vous que l’empire ottoman, s’il est bien gouverné, peut devenir une très grande et dangereuse puissance ? Oserons-nous le dire, nous savons de quoi nous parlons ![]() Au Doge. A vous qui vous êtes déjà et depuis longtemps adonné aux sept pêchés capitaux, nous n’avons rien à dire. On raconte que les orgies sont incessantes à Venise, cela nous fera au moins un point commun. |
#8
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De la prise de Tver à l'annexion de Suzdal ! Une Russie naît...
Extraits des Chroniques de Baltimir De toute guerre ne peut naître que mort, ruine et désolation, tels furent les mots des boyards, quand ils apprirent qu'en pleine bataille face aux mongols, Pskov également nous déclarait guerre. Peu d'entre eux avaient voulu soutenir le Grand Prince dans la défense de la principauté quand la Horde d'Or tenta d'envahir et de soumettre la Principauté. Encore moins acceptèrent de verser l'impôt de guerre pour défendre Moscou face à l'armée Pskovienne qui avançait rapidement sur nos terres, faute de résistance. Heureusement, Patrikeev, main armée de Dieu en nos plaines et serviteur du Prince alla vaincre les tatars jusqu'à Samara. La victoire moscovite fut totale et les mongols ne purent que reconnaître leur défaite, malgré leur largement plus grand nombre. Tambov et les régions avoisinantes furent offertes en compensation, alors que nombres de soldats russes étaient d'avis à aller encore plus loin ibèrer nos frères de la domination musulmane. (...) Tver fût donc la nouvelle destination de l'armée Principautaire, gonflée par des levées de milices, volontaires ou non, dans les villages et régions traversés par ce long convoi toujours à court de vivre mais pouvant compter sur la générosité des Seigneurs locaux... même si il fallut les inciter par la menace parfois. Rapidement, les batailles en rase campagne mirent à terre les troupes de pskov et le siège des deux grandes villes régionales, Tver et Pskov put commencer. Ces marchands de Novgorod profitèrent de l'occasion pour eux aussi attaquer Pskov. Et à la fin de la guerre, Moscou se contenta de Tver, Novgorod annexant le reste du territoire. Moscou grandit encore, mais Novgorod également. (...) Extrait du livre "Histoire de Russie", chapitre 4, l'unification. Dans sa lutte avec Novgorod pour la domination en Russie, Moscou se livra à la prise de nombreuses villes pour grandir, grossir, et accroitre sa force. Seule Suzdal parvint à longtemps rester indépendante, malgré une population et une richesse (denrées rares dans ces contrées de l'Europe) qui eurent put confortablement consolider la Moscovie. C'est dans les années 40 du XVème siècle de l'ère chrétienne, que Moscou achèva l'inclusion à ses territoires de Suzdal. Le monde russe libre (la moitié du monde russe total, la différence appartenant alors soit aux lithaniens soit aux mongols) se retrouva divisé en deux parties égales... L'une sous l'autorité de Novgorod, dirigée vers la Baltique et le commerce, l'autre sous le pouvoir déjà centralisateur de Moscou, tournée vers l'Oural et les terres centrales où les premières populations ne tarderaient à prendre pied. Suzdal: ![]()
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Allez les Cajuns!! http://www.youtube.com/watch?v=0dglMqP_zEI Parleeeez-nous à boire.... Dernière modification par Cypho51 ; 22/11/2005 à 23h01. |
#9
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![]() ![]() Le Roy de Suède, Charles VIII parle :
A l'Archiduc d'Ostermark, Ladislas von Habsburg : La fin du règne de votre père fut... mouvementée. Sachez que nous sommes désolée des devastations causées par la guerre. Certes, par le passé le Landsraad ne ratait jamais une occasion de fustiger contre votre famille. Et cela est reciproque. Pourtant, le Roy de Suède est pret a oublier les querelles enfantines et a promouvoir un lien d'amitié entre Wien et Stockholm. Nous reconnaisson votre total primauté sur le Saint Empire des Germaniques pour autant que nous souhaitons que vous consideriez la Baltique comme notre. Nous avons 3 conseils a vous donner : - La Pologne n'est pas un bon allié, mais pas plus que la Bohème-Moravie en ce moment. - Se mettre a dos Venise est un tres mauvait plan a long terme, nous esperons que vous ne tomberez pas dans ce travers. - Faites grandement attention aux françois, ils sont fourbes, et la conquete de la Burgundia est tout sauf une bonne nouvelle pour l'Empire. Au Grand Prince de Moscou, Basile II : Nous vous avons proposer une alliance etroite, vous avez refuser, soit. Nous avons meme eu vent que le Princeps nous craints, nous sommes flaté. Nous vous dirons ceci : tant que vous respecterez votre part du marché pour le demantellement de Novgorod, et tant que vous ne toucherez pas a la domination commerciale suédoise en Baltique, nous serons en bon termes. Au Roy de Castille et de Léon, Juan II : Nos femmes, qui cela dit en passant sont les plus belles du monde, n'aiment pas les poilus qui selon nos sources, hantent votre pays. Si le Roy de Castille consentait a un rasage integral, peut etre qu'il aurra l'honneur d'etre notre invité et pourra se faire lui meme une opinion raprochée sur nos "pingouins". |
#10
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![]() GPO II Le Jugement Dernier France Episode II : "la convalescence" (nota : désolé pour le retard)Localisation : Paris, France Lieu : Conseil royal, palais du Louvre Date : 1er janvier 1426 Personnages : Charles VII, Le grand chancelier (GC), le grand argentier (GA), Richemont et Jeanne d'Arc ![]() Jeanne : Il faut attaquer, mon Roi, liberons la france. Nous recevons des encouragements même de la Suède Le Grand Chancelier : Des encouragements ou un incitation au suicide ? Le Grand Argentier : Avec quel or ? nous devons des fortunes aux banquiers lombards ! GC : De plus le nouveau régent anglais Sir Gwann vient de nous faire des propositions, ma foi très sympathique ... Jeanne : Non, nous devons attaquez, la Provence est assiégé par les anglais Richemont : non Jeanne, pas par les anglais, mais par ces traites de Bourguignon et le Holstein Charles VII : Il dit vrai, Jeanne. Nous devons pensez aux impôts qui écrasent le pays, nous devons pensez à nos soldats, c'est trop tôt silence Charles VII : la proposition anglaise est sérieuse nous racheterons notre propre terre ... Sir Gwann, le nouveau régent anglais, a raison Jeanne : ... GC : Certe votre majesté mais pendantce temps il profite de notre indisponibilité pour asservir l'Ecosse même endroit, 2 ans après (1428) GA : nous amassons l'or, majesté, nous allons terminé de payé nos dettes d'ici 3 ans Charles VII : bien Jeanne : Et maintenant, mon roi ? Charles VII : rien, cette stupide guerre entre le Bourdonnais et le Poitou nous a mis au ban de l'Europe. Notre réputation a trop souffert (NDT BB = 7.2) Jeanne : mais ... Charles VII : patience, nous n'avons aucune alliance à part nos 2 vassaux survivants GC : Majesté, les sucessions du Bourdonnais et de l'Auvergne arrivent bientôt, nous pourrions ... Charles VII : faites même endroit, 2 ans après (1430) Charles VII : UN DESASTRE, UN FIASCO, .... GC : Mais majesté Charles : SILENCE ... non seulement le Bourdonnais est toujours indépendant mais l'Auvergne nous refuse maintenant son serment de vassalité ... GC : mais la diplomatie est la seule voie, nous devo... Richemont : Ca reste à prouver Charles VII : SILENCE ... je vous laisse une chance, une seule chance ... ... GC : ... bien, majesté ... Charles VII : Et l'Ecosse ? Richemont : toujours en guerre, aucune alliance n'est possible Charles VII : Mais enfin, ils sont en guerre depuis combien de temps ? 10 ans, 12 ans ... et la Savoie ? GC : ... rien votre majesté, déjà allié avec des princes allemands Charles VII : la suisse ? Richemont : en guerre Charles VII : la Lorraine ? GC : déjà allié Charles VII : La Navarre ? Richemont : Elles nous entrainerais dans une guerre avec l'Aragon et donc avec la Castille ... Charles VII : Seigneur, cela ne finira donc jamais. ... nos dettes GA : (grand sourire) remboursé, majesté. nous commencons à mettre de côté Localisation : Paris, France Lieu : Conseil royal, palais du Louvre Date : 1er janvier 1433 GC : Majesté, nous avons réussit. Le bourdonnais rejoint notre nation Charles VII : Bien, et nos armées Richemont : nous avons enfin rétabli la situation. Nous pouvons compter sur 35.000 hommes et surtout nous avons maintenant de jeunes officiers de valeur. Votre demi-frère le comte de Dunois montre de grande valeur ainsi que certain de ses compagnons ![]() Charles VII : Bien, Jeanne ... Jeanne : ... Charles VII : Jeanne, tu dois comprendre, sans alliance, avec des dettes et une armée à peine remise nous n'avions aucune chance. Surtout il faut que tu comprennes que le monde est rempli de charognard aux agguets qui nous auraient poignardés dès la fin de la guerre avec l'Angleterre terminé. ... Maintenant que la situation est rétabli nous pouvons nous tourner vers les anglais pour négociez
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Un Worms peut en cachez un autre |
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