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on peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas... En France, on n'a ni pétrole, ni idées. Mais on a des taxes... ![]() |
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![]() ![]() Dernière modification par Marco Rale ; 12/07/2007 à 23h58. |
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Chroniques Anglaises 1475 – 1483
Acte I. Le baril de poudre explose L’Angleterre se remettait péniblement de sa trop longue guerre de Troie et n’aspirait qu’à la paix… Hélas, hélas, trois fois hélas, les actions de nos voisins allaient faire voler en éclat notre pieuse volonté pacifiste ![]() Tout commence en 1475, avec l’attaque de la France contre l’Aragon : jusque là, rien qui ne nous concerne. Mais, moins de 12 mois plus tard, la Castille entre dans la danse et ne se contente pas de voler au secours de l’Aragon : ses troupes marchent sur les colonies Françaises d’Amérique. A Londres, c’est aussitôt l’effervescence : la boulimie Espagnole serait-elle donc sans limite ? Madrid souhaite t-elle contrôler les côtes d’Amérique du Mexique au Canada ![]() ![]() Acte II. La débacle La France nous accord prestement l’accès militaire et nos régiments franchissent la frontière pour, douce ironie, défendre les colonies Françaises ![]() ![]() Malheureusement, cela ne ralentit guère les Espagnols, qui lancent 30.000 soldats sur l’empire colonial Français, défendu exclusivement par des régiments Anglais ![]() ![]() Avertie du redoutable danger, la France avoue son impuissance : elle est entièrement concentrée sur l’Europe et ne peut rien envoyer en Amérique. Lord Macbeth serre les dents et le rude Ecossais entame un combat désespéré pour défendre l’œuvre de sa vie. Déjà, deux villes coloniales Anglaises tombent, mais nos régiments se battent avec une furie incroyable et s’accrochent sans fléchir à nos colonies menacées. De nouveaux renforts arrivent d’Angleterre, où l’on dépense sans compter pour défendre la Macbethie, tout en maudissant la France qui nous a plongé dans cette situation si précaire ![]() Acte III. La contre-offensive victorieuse de Lord Macbeth Les combats incessants et les marches forcées usent de plus en plus les soldats Espagnols, qui ne sont plus que 18.000 lorsqu’ils lancent un nouvel assaut contre nos colonies : leur marche est difficile, ils doivent explorer le terrain et, derrière chaque arbre, se trouve un soldat Anglais ![]() ![]() Vaincus et traqués, les Espagnols, après la bataille de Lenape, tenteront vainement d’échapper à nos soldats victorieux : des 25.000 soldats partis pour conquérir nos colonies, aucun n’est revenu en territoire Espagnol ![]() ![]() ![]() Acte IV. La guerre reprend Cette guerre terminée, nos régiments repartent plein nord, où les Hurons ont profité de l’éloignement de nos soldats pour lancer d’incessants raids meurtriers contre la Macbethie. Ils sont châtiés et annexés, cela leur apprendra ![]() La paix, enfin ? Malheureusement non, toujours pas ![]() Dernière modification par Danton ; 14/07/2007 à 15h18. |
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![]() ![]() Histoire de Frise : 1454-1483 L’histoire glorieuse de Frise débuta avec le règne de Hendrik III qui régna de 1454 à 1460, durant celui ci Frise commença son expansion territoriale, les territoires de Osnabrück et de Gueldre rejoignirent le minuscule royaume tourné alors vers la mer, un rêve tourné vers l’intérieur des terres prenait forme, ces successeurs Hendrik Casimir I (1460-64) et Albrecht II continuèrent dans la même voix, l’un en prenant Brème et Liège et le second en prenant le Lunebourg et Munster. L’agrandissement du royaume nu pas que des effets bénéfiques, ces années de guerre firent souffrirent grandement les populations soumissent aux pillages des hordes de soldats traversant la région, menant à une rancœur des populations soumissent, menaçant la paix du royaume, la force armé permirent dissuader toute Jacqueries. Le retour à la cour d’un noble revenant des grandes universités d’Espagne, Vritz Von Litenbourg, celui-ci arriva à changé la politique du pays en 1474, le retour a la prospérité devint alors une priorité pour le royaume, des conseillers furent engagé dans ce sens remplaçant les défunts conseillers militaires. Il avait amené aussi dans ses bagages ses relations avec des personnes des plus influentes a la cour d’Espagne, permettant un l’établissement d’une très grandes amitiés envers les deux pays, de très nombreux furent fait entre les deux ligné ce qui amena une alliance entre c’est deux puissances L’année 1475 fut des plus tristes avec la mort du roi le 10 aout, celle ci étant d’autant plus regrettable qu’il n’avait eu aucun héritier malgré son règne qui battait les records de longévité (11 ans de règnes), établissant une période morose pour la nation, la politique international fut des plus réduites, a par le soutien a l’allié Hessien contre Clèves, rien ne fut entreprit. Le principal problème qui se posa aux conseils fut la guerre contre la France en soutient à l’allié Castillan, les discutions furent des plus houleuse mais malgré cela rien ne fut entreprit, démoralisant les corps d’armé prêt a frappé Paris. La période du conseil se termina en 1481 avec l’arrivé sur le trône d’un nouveau suzerain, Ernest Casimir I intronisé le 2 septembre dans la plus majestueuse cérémonie qu’avait connue le pays jusqu'à lors. Le début de son règne fut marqué par la demande d’appuie militaire de la Castille contre le royaume félon de d’Aragon et ses laqués, la réponse de notre fut des plus positives, Frise voulant faire oublier sa passivité durant la guerre franco-castillane, après de couteuse transaction pour traverser la Lorraine nos troupes purent atteindre le royaume de Savoie, les combats qui se déroulèrent furent des plus éprouvant, l’armé de Frise n’étant point habitué à subir un tel relief, chacun des combats demanda un dépassement de soit pour chacun de ses combattants, le 21 aout 1483, la victoire de la coalition était déjà assuré. ![]() ![]() La suite au prochain tome Situation de Frise le 21 Aout 1483 : ![]() La situation du royaume en 1483 après de grand investissement est stabilisé, le risque de Jaquerie est encore là mais aucun de leur leader n’a encore réussit a ce que la populace se soulève. L’intégration des provinces conquise a commencé à se faire, la population voit en Frise une garantit de stabilité face aux autres nations. En économie, la situation reste des plus catastrophique, aucune amélioration notable ne vint améliorer le système productif et commercial du royaume, l’inflation galopante dut a l’entretien des moyens militaires, est des plus inquiétante, atteignant 9% cette dernière année. Lettre diplomatique : A la Castille : Très cher ami nos bonnes relations me ravisent, nous vous soutiendrons totalement dans votre unificatrice de l’Espagne, votre amitié et l’un des fondements de notre paix. Une seule chose nous grippe dans votre politique, le soutien que vous affiché à la Bourgogne, un royaume fondé sur la déloyauté, celle ci empiète sur notre sphère d’influence légitime, qu’ont ils à faire en Allemagne et en Hollande qui sont des territoires en dehors de la France ! Son alliance est elle si importante a vos yeux, nous ne requérons aux mieux votre soutien ou sinon votre passivité dans l’affaire. A la France : Nous protestons contre la capture des territoires que vous avez faite en Espagne lors de votre guerre contre l’Aragon, vous n’avez aucune légitimité à contrôler ses territoires, cela est il raisonnable de continuer sur cette voie ? A la Bourgogne : Votre politique agressive dans notre région, nous rend plus que perplexe, que a à faire la Bourgogne en dehors de France et de son royaume que celle –ci lui donner ? Quitter les territoires de Hollande et d’Allemagne que vous avez acquit par votre félonie, où sinon nous serons obliger d’agir par la force, pour les libérés ! Au Danemark : Nous vous sommons de nous céder Oldenbourg ! Ce territoire fait partie de notre nation, notre légitimité est plus grande que la votre, votre refus n’amènera que la guerre entre nous ! |
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-Venise - Chroniques 1453 - 1483
![]() Rapidement, la guerre contre la Lombardie commenca a tourné a la faveur de la glorieuse nation Venitienne, et le problème fut vite réglé: le Monarque Millanais qui craignait la plèbe vu sa mauvaise gestion accepta bien vite la paix qui consistait a laissé au peuple de parme le droit de choisir à quelle nation il désirait être attaché. Bien évidément il choisit Venise. Parme fut donc rattachée à Venise. C'est alors qu'une GENIALISSIME idée germa dans le cerveau du Grand Doge des Doges Pedro l'anus , renommé Pedrolane Ier Le Gueux , lors de son sacre. L'idée consisterait à faire de l'Italie une gigantesque République ou la Plèbe aurait le droit de s'exprimer. Ce gigantesque projet devait dans un premier temps s'exercer lentement dans le temps et par la voie de la paix. Mais hélas cela ne se passa pas comme prévu... Dans un premier temps, le Grand Doge voulu régler le compte à Raguse qui ne cessait d'envoyé des espions afin de savoir comment fesait le Doge pour que sa population soit à ce point heureuse... La guerre fut donc déclarée a Raguse, mais hélas la morée décida de s'en meler, après quelques batailles, la guerre était gagnée, raguse sans défense fut annexée par la Bosnie tandis que la Morée fut vassalisée par la Glorieuse Venise qui n'en avait que faire de ces barbares. Venise recommenca après cette épisode a se concentrer sur ca vocation pacifique et d'unification, mais les Monarques Italiens ayant eut vent de ce projet prirent peur, en effet les plèbes de toute l'italie demandait à etre rattachées à la glorieuse République de venise. Les chefs Italiens se réunirent donc en secret à Gênes afin d'y signer l'accord de lutte contre Venise. Cet accord, d'après nos espions prévoyait de déclaré la guerre a Venise au tour par tour afin de faire baissé sa stabilité et de l'empechée de pouvoir accomplir son projet. Le Doge était au pied du mur, il n'avait plus le choix, lorsque la 1ère déclaration de guerre savoyarde arriva au Palais, le Doge dut ordonné à contre coeur la formation de nouvelles troupes de cavaliers et ordonna dans un premier temps que l'on défende la frontière uniquement, mais les attaques des savoyards et de leurs alliés étaient trop sauvages, venise répondit alor s avec vigueur et jamais nous ne vîmes des soldats se battre avec autant de bravoure. Comme l'avaient décidés les Rois Italiens, ils déclarèrent tous la guerre à Venise les uns après les autres, et souvent meme les uns en meme temps que les autres, biensur Ce fut une période noire pour Venise car beaucoup de soldats périrent dans de gigantesques batailles . Mais à chaque fois Venise parvenait à remportée la victoire décisive et à chaque fois elle pratiqua les memes résolutions de paix que pour Milan, le peuple avait le choix entre rejoindre Venise ou rester sous l'autorité de leur ancien Despote. Bien entendue à chaque fois les villes d'Italie préfèraient se rattachées à la glorieuse république Venitienne. Seuls 2 régions refusèrent et jamais Venise ne les y forca malgré qu'elle en avait les moyens, dans un premier temps la Savoie dont le peuple refusa toujours de rejoindre venise (malgrés que ces derniers temps des dissentions se font ressentir...) Et Gênes dont le peuple ne voulait pas perdre sa souveraineté, par contre ils souhaitaient tout de meme faire partie de l'aura Venitienne et nous proposèrent de les faire devenir nos vassaux, nous acceptâmes dans notre grande Manduétude et c'est ainsi que Gênes propspera comme jamais, son âge d'or était très certainement en train de se déroulé. Jusqu'a Kaffa ont voulu rejoindre la République mais vu leurs barbaries la région fut cédée à L'empire Turc avec lequel Venise entretient de plus que bonnes relations... Le contat de Venassin décida aussi de rejoindre venise mais vu son isolation, le Doge se pose encore pas mal de questions sur le bienfait de se rattachement. Il n'est pas exclu de s'en séparé... Messages diplomatiques : - A l'Autriche, nous sommes désolés que notre scribe se soit perdu en chemin, en effet nous vous garrantissions que Siene ne sera pas annexée, biensur après votre déclaration de Guerre, nos chefs militaire furent pris de folie et obligèrent les habitants de sienne à rejoindre la République... Tous ces chefs ont été pendus et Sienne sera, comme le désire sont peuple vassalisée à l'image de Gênes. Nous sommes désolé pour ce mal entendu. - A Frise, si jamais un seul territoire Savoyard est rattaaché a votre royaume ou que le Roi savoyard vous pret allégence, toute raltion entre nos deux nations sera gelée immédiatement, vous serez baniis de nos centres de commerces et la guerre vous sera déclarée. Faites attention Roi ... Dernière modification par Pedrolane ; 14/07/2007 à 18h30. |
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![]() ![]() Castille 1474-1483 La coalition anti-castillanne : guerre et défaite Alors que nous étions bien conscient qu'une guerre allait se déclarer prochainement de l'initiative de la France, voir de l'Angleterre, nous ne pensions pas que la France utiliserait la tromperie et la duperie, pourtant moyens plus anglais que français, pour arriver à ses fins. La France en effet n'était pas sans savoir, comme toute l'Europe d'ailleurs, de nos volontés d'unification avc le Royaume d'Aragon, étant donné que nous en avions fait la déclaration publique. Sachant cela, la France sur-préparée militairement, possédant notamment des milliers de cavaliers en armures de plate, ainsi qu'une avance technologique militaire considérable par rapport à nous, attaqua vilement l'Aragon, dans le but non-déclaré de vassaliser ce royaume, empéchant ainsi tout possiblité pour nous d'unification. Cela ne pouvait être toléré, et immédiatement la guerre fut déclaré à la France, qui put compter sur son allié anglais, toujours à l'affut d'opportunités financières. Malheureusement pour Nous, la guerre fut déclarée sans aucune préparation car nous ne pensions pas qu'elle viendrait si tôt, de plus il fallait intervenir immédiatement en Aragon car les provinces commes celles de Navarre ou de Barcelone tombaient à un rythme alarmant. La guerre une fois déclarée fut donc une grande défaite pour la Castille. Au départ, dans les colonies, nos troupes avancèrent sans mal en balayant quelques troupes françaises, et les colonies furent capturées, mais l'arrivée décisive de troupes anglaises bien pourvues, notamment en cavaliers, eu raison de notre corps colonial qui fut bientôt complètement exterminé. En effet les javeliniers indiens ne pouvaient faire grand mal aux cavaliers lourdement cuirassés anglais. Et seul la lointaine province de Mexico possédait les élevages de chevaux pouvant ainsi lever quelques cavaliers. La guerre dans les colonies fut donc une défaite, et il était en outre impossible pour nous d'envoyer le moindre renfort d'Espagne, car la situation en métropole fut encore plus catastrophique : une armée fut envoyé en Aragon dès que le roi nous donna un droit de passage militaire, mais nos armées furent battues par les français devant les murs de Valence. Dès lors l'Aragon fut perdu, et le roi de france, dans un délir mégalomanique annexa purement et simplement les marches d'Espagne de feu l'empire de Charlemagne (on se doute donc de ses intentions en Italie et en Allemagne...). Une fois l'Aragon tombé, il fut facile pour la France, et il faut reconnaitre là le talent des généraux et des maneuvres françaises, de nous battre à chaque rencontre. L'exemple le plus frappant en fut les batailles de Madrid, où nos troupes en surnombre au début ne réussissent pas à faire fuir les français (admirablement commandés) assez vite pour empêcher les renforts français de venir écraser nos hommes. ![]() ![]() Les batailles pour Madrid : à chaque fois des renforts français viendront remporter la bataille. Il faut dire ici que nos campagnes bien peu peuplées ne purent pas supporter l'effort de recrutement nécessaire. Le roi fort sage décida donc d'envoyer une proposition de paix à la france et à l'Angleterre : il proposa de céder 10 colonies de culture et de religion barbare du nord de la Floride. Ceux ci acceptèrent, et au final cette défaite se révéla bien moins couteuse qu'il n'y parait : en effet, les couts de stabilité et de technologie diminuèrent sensiblement, alors que nos revenus mensuels restèrent stables. Une fois la paix signée, nos conseillers de talent nous permirent par deux fois d'augmenter notre stabilité et de gagner en réputation. Des révoltes éclatèrent au Mexique et ce de façon très soutenu. Une campagne de fortification des colonies est donc en passe d'être lancé afin de faire taire cet menace. L'unification A la suite de la défaite contre la France, il fut décidé par le Roi d'une campagne militaire rapide et décisive en Aragon afin d'empècher d'autres puissances de nuire à notre unification. L'Aragon épuisé par la précédente guerre fut facilement conquise, de même que son allié napolitain. Diplomatie Une alliance militaire fut signée avec Gueldre et la puissante Bourgogne. A la France et l'Angleterre : toute négociation est possible pour la cession des marches d'Espagne, à la condition qu'elles soient correctes. De même nos colonies enclavées de Louisiane hors centre de commerce pourraient être vendues. A Gueldre : Nous assurons entier soutien militaire à votre royaume, et notre aide vous est acquise en toute occasion. A l'Autriche et Venise : D'une part, il est évident pour Nous que le maître d'Autriche est le seul à pouvoir prétendre au titre d'Empereur, et par conséquent nous condamnons les actions menées par la vorace Venise. Il nous semble qu'une libération de Sienne et de Modène puis dévassalisation serait un geste appréciable. Nous serons ainsi tout à fait prêt à ne pas toucher à Naples qui est tombé entre les mains de nos troupes il y'a quelques semaines. Au Portugal : Vous ne nous avez pas apporté votre soutien militaire lors de la dernière guerre en prétextant que votre pays n'était pas prêt et donc nous vous croyons.Vous associez à la défaite inévitable n'aurait en effet servit à rien. Nous vous remercions pour votre aide à réprimer les rébellions au Mexique. La flotte portugaise en construction nous semble tout à fait impressionnante tant en nombre qu'en qualité, et nous sommes sûr que vous saurez en faire bon usage. |
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Déclaration Venitienne :
Après avoir écouter toutes les parties Venise en est venue à la conclusion avec l'Empereur qu'une erreur avait dut etre comise en ce qui concerne Modène, en effet le vote aurait été truqué par les memes généraux qui ont forcés l'anexion de Sienne. Leur exécution étant déja programmé, nous éspèrons qu'elle apaisera nos voisins, cependant il est clair que nous ne pouvons pas continuer à oppresser le peuple de Modène c'est ainsi que tout comme Sienne,Modène sera vassalisée lors de la signature du traité de Paix de Corfou (paix entre Viennet et Venise). De plus Venise garantira pendant 20 ans minimum l'indépendance de ces deux nations. En ce qui concerne la revendication Castilanne de dévassailsé ces pays , sachez Mr qu'il nous est impossible d'y accéder, en effet les dévassalisation nous couteraient énormément en stabilité (-6) , deplus nous nous devons de controler un minimum ces etats qui n'hésitèrent pas à déclaré guerre sur guerre à Venise lorsqu'elle était encore frèle et petite. |
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La 1er guerre d'Espagne : tenants et aboutissants
Contexte de l'époque Au cours de la guerre qui avait opposé la France à la Bourgogne durant les premières années de 1470, la Castille, déjà fortement enrichie par sa découverte de riches mine d'or dans le nouveau monde, avait fait étalage de son côté rapace et de son envie de dominer le monde. Pour comprendre cela, il faut revenir quelques années en arrière. Nous sommes alors vers 1465, le jeune roi de France, Louis XI, vient de monter sur le trône après la longue folie de son père. La France qui ne s'était que modestement lancé dans la conquête du nouveau monde change de politique. Sur les directuves de son nouveau roi, des colons snot envoyés coloniser la façade atlantique des terres du nord de l'Amérique où les anglais et les espagnols sont déjà présents. Dans le même temps, des discussions sont ouvertes avec le roi de Castille pour un échange de colonie. La France fait clairement comprendre à son voisin qu'elle entend se réserver une zone coloniale. La castille accepte l'échange. Cet accord fut perçu par la France comme une marque de bonne volonté castillane qui semblait prête à reconnaître une zone française sous peu que l'on pouvait s'entendre ailleurs. C'est cet esprit qu'allait trahir la Castille quelques années plus tard avec la plus grande lacheté. Alors que les troupes royales luttaient contre la Bourgogne, alors que ce conflit s'éternisait sans qu'aucun des deux bélligérants ne puissent vraiment prendre le pas sur l'autre, le roi des Castillans en profita pour attaquer et annexer les tribus indiennes du nord de l'amérique, précisément celles situés dans le voisinage immédiat des colonies françaises (ce qui en bloquait d'ailleurs les possibilités d'expansion). Evidemment, ce prince courage prit soin de ne pas ébruiter ni de se vanter de sa guerre. Aussi, notre bon roi de France ne s'en rendit compte que bien après que castillan et indiens se soient affrontés. L'annexion était déjà faite depuis un moment. La colère du roi fut grande. Que voulait donc ce roi ? Tout rattaché à sa couronne ? Il n'avait pas assez de ses mines d'or d'amérique qui l'engraissaient, lui et les siens, comme jamais ? Il lui fallait venir donc, sous les yeux des français et des Anglais, venir se place. Il poussa même le vice jusqu'à capturer et revendiquer sien la riche colonie de Louisiane qui servait de point de rencontre pour les marchands. Cet espace tirait principalement ses richesses des colonies anglais et françaises et ce serait la Castille qui en tirerait les bénéfices ? Le rapprochement franco-anglais Il n'en fallait pas plus pour motiver le roi a entreprendre une expdition armée contre la Castille pour lui faire comprendre comment nous traitions ceux qui se moquent de nous. L'Angleterre, qui était aussi mécontente que nous, prêta une oreille attentive à nos projets au point d'en devenir un maillon actif. Depuis la guerre de Cent ans c'était la première fois que les rapports entre nos deux royaumes passaient de l'ignorante neutralité à des actions communes. Pourtant Dieu sait que l'anglais est mal vu en France, mais la Castille était allée trop loin. Les deux rois se rencontrèrent à 2 reprises pour mettre au point leur projet. Il fut alors convenu de prendre le temps de se préparer. Le porjet initial prévoyait d'entrer en guerre vers 1484 pour prendre le temps de renforcer nos positions. Il faut en effet rappeler qu'à ce moment la Castille seule possède plus de 50% des revenus de la France et de l'Angleterre combinés. Sa flotte n'est pas loin d'égaler celles de la France et de l' Angleterre réunies. que dire alors si le pportugal soutient la Castille ! Enfin, la Castille possède autant d'homme quasi que la France. Mais le pire c'est qu'elle en possède autant en temps de paix que nous qui sortons d'une guerre avec les finances militaires qui tournent à plein régime. Le tableau n'est pas avantageux mais les deux rois s'efforcèrent de trouver une soplution qui offrait une bonne chance. C'est alors que notre jeune roi Louis XI proposa l'idée qui allait devenir le plan de la guerre. Et le succès de ce plan que nous pouvons constater aujourd'hui, préfigure le génie de notre roi. Nous louons le seigneur de nous avoir envoyé un maitre de la guerre. Le plan se décomposait ainsi : il fallait jouer de nos forces chacun de nore côté. En nous divisant le travail, nous avions deux avantages sur l'adversaire : nous ne sommes pas pénalisé par les commandements partagés qui ont toujours le défaut de nuire à la réactivité des chefs, nous pouvons ouvrir deux fronts très éloignés. L'Angleterre dont la position était beaucoup plus stable et solide en amérique gérerait seule le front américain ; la France mènerait la guerre en Castille même. Un problème se posait : la France n'avait pas d'accès terrestre à la Castille, l'angleterre n'avait aucun accès direct aux colonies espagnoles. Pour le cas de l'Angleterre la solution était simple, la France lui donnerait un accès à travers ses colonies. Pour nous, il n'y avait qu'une seule solution : traverser l'Aragon. De l'attaque contre l'Aragon à la guerre générale L'idéal aurait été de pouvoir battre l'Aragon sans que la Castille intervienne (c'était un pari osé il est vrai) ce qui nous aurait laissé du temps pour nous préparer. Hélas, il n'en fut rien et en fait, là où la grande guerre ne devait débuter qu'en 1484, le conflit se généralisa dès 1476-77, quelques mois seulement apres l'entrée en guerre de la France contre l'Aragon. La france fut pendant plusieurs mois seule dans cette guerre. L'angleterre tentait de gagner le plus de temps possible pour acheminer des troupes en amérique. Sur les batailles en amérique, nous ne pouvons en dire mot. La France n'y a pas participé et ses qlq troupes ont été abandonnées . L'Angleterre, conformément au plan, se débrouilla seul sur son théâtre comme nuos sur le nôtre. Il est revenu à nos oreillesque de grandes batailles eurent lieu et que les Anglais firent preuve d'un grand courage et de beaucuop de ténacité pour parvenir à vaincre à l'usure les castillans. Est ce cela qui précipita la défaite de la Castille et la résolution de ce roi à accepter la paix du vaincu ? Impossible à dire. D'aucuns, des Français bien sur, pensent que le coup décisif fut porté en Europe. Nous ne sommes pas là pour dire qui a raison car en fait personne ne connait la vérité et cela n'a pas d'importance. Ce que nous savons, c'est ce que nous allons raconter ici : la guerre d'Espagne. La campagne d'Aragon était une promenade de santé pour nos troupes aguerries contre la Bourgogne quelques années auparavant. déjà la Navarre et Barcelone était tombé dans nos mains quand la Castille entra en guerre. Notre roi prit alors la décision d'avancer méthodiquement et patiemment pour ne jamais laisser une troupe de siège sans un soutien de cavalerie savamment commandé. Cette tactique se révéla payante. D'autant plus qu'en légère infériorité numérique les troupes françaises tenaient fort bien le choc face aux troupes espagnoles alors que dire lorsque les troupes royales étaient en supériorité. En quelques mois l'Aragon tomba complètement et la paix fut conclue avec celle-ci. La seule chose qui nous intéressait était d'avoir un accès terrestre vers la Castille : seule les Pyrénées et la Navarre furent réclamés. Notre roi était même prêt à restituer ces terres au roi d'Aragon si il signait une alliance avec nous et entrait en guerre contre la Castille. Celui-ci refusa. Il aura tout le temps de regretter son erreur. La lutte continuait en Espagne et les français menaient toujours la même tactique. Plusieurs grandes batailles opposèrent plus de 15000 castillans contre autant de Français. Pas une fois ! Pas une fois la France ne connut les affres de la défaite. C'est invaincu que les troupes royales entrèrent dans Madrid la riche. Aucun pillage, aucune exaction ne furent commis dans la capitale ennemie. Les ordres du roi étaient clairs. L'honneur de notre seigneur ne pouvait être baffoué par les pulsions de certains hommes. Je crois surtout que c'est la discipline de fer que faisait règner les remarquables généraux français qui permit à la ville castillance de s'en sortir vierge dans tous les sens du terme. Petit à petit, le nord de la Castille tombait aux mains des français. Plusieurs fois les castillans tentèrent de briser nos sièges, de casser nos colonnes mais à chaque fois ils furent repoussés. La victoire des alliés, la défaite du riche goinfre Vaincu, humilié, écrasé dans son propre royaume, en difficulté dans le nouveau monde, le roi de Castille ne pouvait plus en arriver qu'à une seule conclusion : il avait perdu. Il fallait signer la paix. Ses ambassadeurs furent envoyés au devant des troupes françaises. Ils portaient une demande paix avec proposition de céder 4 colonies d'amérique du nord. L'offre était ridicule. Tellement que le roi de France ne prit même pas la peine d'en faire part à son allié. Il refusa net. Quelques jours plus tard, il fit savoir aux ambassadeurs castillans qu'il accepterait 4 colonies dont la riche place commerçante de louisianne. Le roi d'angleterre était d'accord pour signer une telle paix mais cette fois-ci le roi de Castille refusa. En temps normal, une roi vaincu qui refuse une paix n'aurait eu qu'à s'en mordre les doigts car la guerre aurait alors duré pour son plus grand malheur. Mais le roi de Castille cru pouvoir jouer au plus malin : dans le même temps où il refusait l'offre française il contre-proposait 10 colonies. Le roi de France en discuta alors avec son allié. Il fit savoir au roi de Castille que les deux anciennes colonies françaises devaient être restituées en plus des 10 colonies et que la Castille devait s'acquitter d'un tribut de 150 ducats pour dédommager la France pour avoir raser une colonie entière et fortement ravagé une autre. La réponse fut positive. La paix étaient signée. Les deux rois alliés convenaient de se partager les terres gagnées de la manière suivante : à la France 6 colonies et à l'Angleterre 4 colonies. De mauvaises langues d'Angleterre trouvèrent à redire et il est fort à parier que de mauvais esprits castillans tentèrent ou tenteront d'user de cette différence pour créer un sentiment de rancune chez les anglais envers les français. Pourtant, aucun problème ne se posait entre les deux rois. Le roi d'Angleterre avait bien conscience que 4 ou 6 cela changeait peu de chose et n'était pas lié à une volonté française d'en avoir plus mais simplement aux circonstances géographiques. D'autre part cette collaboration avait une grand mérite, beaucuo plus important que de simples terres : dans les esprits français l'Angleterre, après plus de 100 ans, redevenait un partenaire potentiel. Les intérêts français n'étaient plus à la nuisance totale de l'Angleterre, dès lors l'alliance écossaise n'avait plus d'utilité. Voilà pourquoi, Louis XI ne bougea pas lorsque l'Angleterre attaqua l'Ecosse.
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Messages diplomatiques :
Angleterre : Nous ne pouvons que nous réjouir de la réussite de notre entreprise. Sachez que nous avons de l'estime pour le peuple anglais. Certes, il fait encore mauvais de se dire anglais par chez nous, mais tout le monde en France connait bien la valeur au combat des anglais. L'adage ne dit-il pas que ton vieil ennemi est celui qui te connait le mieux ? Votre peuple aspire à la paix comme le nôtre, elle est amplement méritée. Que Dieu vous garde ! Autriche : Archiduc, nous sommes heureux de la nouvelle manière de gouverner que vous imprimez à votre maison. Nous constatons que vous avez su trouver une issue avec Venise sans faire parler les armes. C'est signe d'une grande sagesse. J'aimerais vous entretenir au sujet de la situation au nord de l'Europe particulièrement étrange. Venise : Cher doge, vous savez à quel point la disparition rapide des Etats italiens nous a choqué, comme vous savez que la Savoie demeure un point de déssacord entre nous. Mais cette franchise dans nos relations est une force qui nous permet, malgré tout, d'entretenir de bons rapports. Faisons confiance au temps et méfions nous des formenteurs de coalition qui, sous couvert de nous séduire, ne pense toujours qu'à leur seul intérêt propre au final. Frise : Votre récente arrivée à la tête du duché a été marqué par des décisions assez surprenantes et des prises de positions malvenues. Il est évident qu'un jeune prince a besoin d'être bien conseillé pour apprendre son métier. Nous regrettons que la disparition brutale de la famille ducale, qui vous a porté vous sur le siège ducal, n'ait pas permis à vos proches de vous offrir une formation adéquate à votre rang d'aujourd'hui. Qui aurait pu prévoir. Toutefois, mon ambassadeur m'informe que vous devriez faire un grand duc très vite. Sachez que la France n'a pas la prétention ni le mensonge assez fort pour pouvoir prétendre vous conseillez au mieux de vos intérêts. De même, elle n'a pas l'argent pour, sous couvert de vous aider à vous développer, vous faire faire participer et prendre des positions qui ne vont pas dans l'intérêt de votre peuple. De toute façon, même si nous avions cet or, nous ne le disposerions pas pour nous "acheter" des armées. Une roi de France n'est pas élévé ainsi. Vous nous avez menacé de guerre une fois, puis avez accepté de rester neutre après nos explications. Aujourd'hui encore, vous vous alliez à un roi qui ne cherche qu'une chose : monter un maximum de pays contre notre royaume. Sous quel prétexte : la surpuissance présumée de la France. Le vrai prétexte le voulez vous ? La Castille a deux rivaux : l'Angleterre et la France. Elle sait qu'elle a commis une erreur en rapprochant ces deux pays contre elle. Elle sait également que, ne pouvant refreiner sa rapacité annexioniste, elle va de nouveau subir les foudres de ces deux pays. Sa fragile richesse d'amérique est menacée alors elle veut frapper. Le plus simple a atteindre, le pays qui suscite le plus de crainte, le pays qui peut le plus potentiellement nuire aux intérêts d'autres pays, celui donc contre qui il sera le plus facile de trouver des alliés (se dit-il) c'est la France. Epargnons l'Angleterre et peut être que ça la détournera de la France après tout. Beaucoup d'hommes sont guidés par la cupidité. Aucun homme cupide ne peut réellement se soucier des intérêts d'autrui. Il feint de le faire. Dites moi, duc de Frise, qu'a fait le peuple de France au peuple de Frise ? Quand avons nous porté atteinte à vos intérêts ? Vous êtes jeune, vous ne savez peut être pas qu'il est illusoire de croire que l'argent peut remplacer la considération diplomatique, l'image de votre Etat. N'entretenir aucun contact si ce n'est pour déclarer la guerre à son voisin sans motif est une chose indigne qui ne vous fera ni gagner le respect de vos pairs ni leur confiance. Lorsque la Castille vous abandonnera (quand elle n'aura plus besoin de vous ou quand elle aura trouvé plus fort), vous comprendez alors l'importante d'avoir une bonne situation diplomatique. Castille : mon cousin, vous êtes visiblement très mal conseillé. Vous l'êtes en plusieurs points. D'abord en profitant de l'inexpérience d'un prince pour l'acheter et le perdre dans la défense de VOS intérets. La maison de Castille n'a t'elle aucun honneur ? Ensuite, vos pitoyables tentatives pour susciter la haine de la France dans les cours de nos voisins montre les moyens que vous appréciez (et que nous avons déjà pu apercevoir dans vos guerres pleines de courage contre les indiens) : fourberie, corruption, pot de vin. De plus, votre alliance avec notre vassal félon, le duc de Bourgogne est une gravissime erreur. Vous avez décidé de nous mettre des batons dans les roues alors que vous n'avez que faire de la Bourgogne. C'est pourquoi nous avons accueilli la famille royale d'Aragon en notre sein. Sachez que la France va jouer à votre petit jeu. Si vous provoquez une guerre, ne vous avisez surtout pas de la perdre, car nous ferons renaitre l'Aragon selon ses frontières de 1453 et nous la défendrons comme nos propres terres. Enfin, votre dernière erreur, la plus grave, c'est d'avoir cru un seul instant que vous pourriez sortir vainqueur dans un conflit avec nous. Vous gagnerez peut etre quelques guerres, mais vous aurez tout le loisir de regretter n'avoir choisi la voie de la médiation lorsqu'il était encore temps.
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