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#26
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Je suis pas un grand fan de Radiohead, mais j'aime bien creep :
When you were here before, Couldn't look you in the eye You're just like an angel, Your skin makes me cry You float like a feather In a beautiful world I wish I was special You're so fuckin' special But I'm a creep, I'm a weirdo What the hell am I doin' here? I don't belong here I don't care if it hurts, I wanna have control I want a perfect body I want a perfect soul I want you to notice when I'm not around You're so fuckin' special I wish I was special But I'm a creep I'm a weirdo What the hell am I doin' here? I don't belong here, ohhhh, ohhhh She's running out again She's running out She runs runs runs runs... runs... Whatever makes you happy Whatever you want You're so fuckin' special I wish I was special But I'm a creep, I'm a weirdo What the hell am I doin' here? I don't belong here I don't belong here... traduction : Quand tu étais là, avant Je ne pouvais pas te regarder dans les yeux Tu es comme un ange Ta peau me fait pleurer Tu flottes comme une plume Dans un monde merveilleux Je souhaiterais être spécial Tu es si spéciale Mais je ne suis rien, je suis un cinglé Qu'est-ce que je fais ici Je n'appartiens pas à ce monde Peu importe si ça blesse Je veux avoir de l'autorité Je veux un corps parfait Je veux une âme parfaite Je veux que tu remarques Les moments où je ne suis pas là Tu es si spéciale Je souhaiterais être spécial Elle s'enfuit en courant Elle s'enfuit en courant Cours, cours ... Peu importe ce qui te rend heureuse Peu importe ce que tu veux Tu es si spéciale Je souhaiterais être spécial Mais je ne suis rien, je suis un cinglé Qu'est-ce que je fais ici Je n'appartiens pas à ce monde Je n'appartiens pas à ce monde Et également, une chanson brésilienne : (meme si la traduction détruit un peu la mélodie des paroles brésiliennes) Chega de Saudade Vai, minha tristeza E diz a ela que sem ela não pode ser Diz lhe numa prece que ela regresse Porque eu não posso mais sofrer Chega de saudade, a realidade É que sem ela não há paz, não há beleza É só tristeza, e a melancolia Que não sai de mim, não sai de mim, não sai Mas se ela voltar, se ela voltar Que coisa linda, que coisa louca Pois há menos peixinhos a nadar no mar Do que os beijinhos que eu darei na sua boca Dentro dos meus braços os abraços Hão de ser milhões de abraços apertado assim Colado assim, calado assim Abraços e beijinhos e carinhos sem ter fim Que é pra acabar com esse negócio De viver longe de mim Não quero mais esse negócio De você viver assim Vamos deixar desse negócio De você viver sem mim traduction : Va-t-en, ma tristesse, et va lui dire Que sans elle, moi je n'existe plus Dis-lui dans une prière de me revenir Car je n'en peux plus de souffrir Au diable le chagrin! C'est que, sans mon amour, pas de paix, pas de beauté, Il ne me reste que tristesse et mélancolie, Qui ne me lâchent plus, ne me lâchent plus, me lâchent plus. Mais quand elle revient, quand elle revient, Comme ça devient beau! Comme ça devient fou! Y a bien moins de poissons qui nagent dans la mer Que tous les baisers que je poserai sur sa bouche... En t'enlaçant dans mes bras, Il faudra qu'il y ait des millions d'étreintes Fortes comme celle-là, serrées comme ça, tendres comme ça, Des baisers, des caresses et des étreintes tout le temps. Ça doit finir cette histoire-là où tu vis sans moi. Je n'en veux plus de cette histoire où tu vis comme ça. Je n'en veux plus de cette histoire où tu es loin de moi et bien sur presque l'intégralité du repertoire de brassens, avec une préférence pour les moins connues! Un roi d'Espagne, ou bien de France, Avait un cor, un cor au pied; C'etait au pied gauche, je pense; Il boitait aù faire pitie. Les courtisans, espace adroite, S'appliquerent aù limiter, Et qui de gauche, qui de droite, Il apprirent tous aù boiter. On vit bientot le bénéfice Que cette mode rapportait; Et de l'antichambre aù l'office, Tout le monde boitait,boitait. Un jour, un seigneur de province, Oubliant son nouveau métier, Vint aù passer devant le prince, Ferme et droit comme un peuplier. Tout le monde se mit aù rire, Excepté le roi qui, tout bas, Murmura:"Monsieur,qu'est-ce aù dire ? Je crois que vous ne boitez pas." "Sire, quelle erreur est la votre! Je suis crible de cors; voyez: Si je marche plus droit qu'un autre, C'est que je boite des deux pieds." .... Comment ca on avait dut une seule chanson ? ![]() |
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