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  #1  
Vieux 09/04/2007, 20h37
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Essayez de reconnaitre celle-là (c'est facile) :



"There must be some way out of here," said the joker to the thief,
"There's too much confusion, I can't get no relief.
Businessmen, they drink my wine, plowmen dig my earth,
None of them along the line know what any of it is worth."

"No reason to get excited," the thief, he kindly spoke,
"There are many here among us who feel that life is but a joke.
But you and I, we've been through that, and this is not our fate,
So let us not talk falsely now, the hour is getting late."

All along the watchtower, princes kept the view
While all the women came and went, barefoot servants, too.

Outside in the distance a wildcat did growl,
Two riders were approaching, the wind began to howl.




Je suis toujours pas bien certain d'en comprendre les paroles.
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  #2  
Vieux 09/04/2007, 21h12
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Jimi Hendrix ?
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My name is Jag.


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  #3  
Vieux 10/04/2007, 09h48
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Dylan, mais je crois qu'effectivement Hendrix l'a reprise.

/Tgx
__________________
- What makes you think she's a witch?
- Well, she turned me into a newt!
- A newt?
- ... I got better. [shouts] Burn her anyway!
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  #4  
Vieux 10/04/2007, 18h46
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Exact c'est Dylan à la base, reprise en mieux par Hendrix. J'ai aussi une version Clapton+Lenny Kravitz
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  #5  
Vieux 19/04/2007, 18h16
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Pour Chal!(un peu de nostalgie)

Un superbe poème avec une musique de fond absolument géniale....envoutant!

(dommage qu'il n'y soit pas sur youtube car je l'aurais bien mis en lien )





Claude Nougaro
PLUME D'ANGE
Paroles: Claude Nougaro, musique: J.C. Vannier, 1977


Vous voyez cette plume?
Eh bien, c'est une plume... d'ange
Mais rassurez-vous, je ne vous demande pas de me croire, je ne vous le demande plus.
Pourtant, écoutez encore une fois, une dernière fois, mon histoire.
Une nuit, je faisais un rêve désopilant quand je fus réveillé par un frisson de l'air.
J'ouvre les yeux, que vois-je?
Dans l'obscurité de la chambre, des myriades d'étincelles...
Elles s'en allaient rejoindre, par tourbillonnements magnétiques, un point situé devant mon lit.
Rapidement, de l'accumulation de ces flocons aimantés, phosphorescents, un corps se constituait.
Quand les derniers flocons eurent terminé leur course, un ange était là, devant moi, un ange réglementaire avec les grands ailes de lait.
Comme une flèche d'un carquois, de son épaule il tire une plume, il me la tend et il me dit:
"C'est une plume d'ange. Je te la donne. Montre-la autour de toi.
Qu'un seul humain te croie et ce monde malheureux s'ouvrira au monde de la joie.
Qu'un seul humain te croie avec ta plume d'ange.
Adieu et souviens-toi: la foi est plus belle que Dieu."

Et l'ange disparut laissant la plume entre mes doigts.
Dans le noir, je restai longtemps, illuminé, grelottant d'extase, lissant la plume, la respirant.
En ce temps-là, je vivais pour les seins somptueux d'une passion néfaste.
J'allume, je la réveille:

"Mon amour, mon amour, regarde cette plume... C'est une plume d'ange!
Oui! un ange était là... Il vient de me la donner...
Oh ma chérie, tu me sais incapable de mensonge, de plaisanterie scabreuse...
Mon amour, mon amour, il faut que tu me croies, et tu vas voir... le monde!"
La belle, le visage obscurci de cheveux, d'araignées de sommeil, me répondit:
"Fous-moi la paix... Je voudrais dormir... Et cesse de fumer ton satané Népal!"
Elle me tourne le dos et merde!

Au petit matin, parmi les nègres des poubelles et les premiers pigeons, je filai chez mon ami le plus sûr.
Je montrai ma plume à l'Afrique, aux poubelles, et bien sûr, aux pigeons qui me firent des roues, des roucoulements de considération admirative.
Je sonne.
Voici mon ami André.
Posément, avec précision, je vidais mon sac biblique, mon oreiller céleste:
"Tu m'entends bien, André, qu'on me prenne au sérieux et l'humanité tout entière s'arrache de son orbite de malédiction guerroyante et funeste.
A dégager! Finies la souffrance, la sottise. La joie, la lumière débarquent!"
André se massait pensivement la tempe, il me fit un sourire ému, m'entraîna dans la cuisine et devant un café, m'expliqua que moi, sensible, moi, enclin au mysticisme sauvage, moi devais reconsidérer cette apparition.
Le repos... L'air de la campagne... Avec les oiseaux précisément, les vrais!

Je me retrouve dans la rue grondante, tenaillant la plume dans ma poche.
Que dire? Que faire?
"Monsieur l'agent, regardez, c'est une plume d'ange."
Il me croit!
Aussitôt les tonitruants troupeaux de bagnoles déjà hargneuses s'aplatissent.
Des hommes radieux en sortent, auréolés de leurs volants et s'embrassent en sanglotant.
Soyons sérieux!
Je marchais, je marchais, dévorant les visages. Celui-ci? La petite dame?
Et soudain l'idée m'envahit, évidente, éclatante... Abandonnons les hommes!
Adressons-nous aux enfants! Eux seuls savent que la foi est plus belle que Dieu.
Les enfants... Oui, mais lequel?
Je marchais toujours, je marchais encore.
Je ne regardais plus la gueule des passants hagards, mais, en moi, des guirlandes de visages d'enfants, mes chéris, mes féeriques, mes crédules me souriaient.
Je marchais, je volais... Le vent de mes pas feuilletait Paris...
Pages de pierres, de bitume, de pavés maintenant.
Ceux de la rue Saint-Vincent... Les escaliers de Montmartre.
Je monte, je descends et me fige devant une école, rue du Mont-Cenis.
Quelques femmes attendaient la sortie des gosses.
Faussement paternel, j'attends, moi aussi.
Les voilà.
Ils débouchent de la maternelle par fraîches bouffées, par bouillonnements bariolés.
Mon regard papillonne de frimousses en minois, quêtant une révélation.
Sur le seuil de l'école, une petite fille s'est arrêtée.
Dans la vive lumière d'avril, elle cligne ses petits yeux de jais, un peu bridés, un peu chinois et se les frotte vigoureusement.
Puis elle prend son cartable orange, tout rebondi de mathématiques modernes.
Alors j'ai suivi la boule brune et bouclée, gravissant derrière elle les escaliers de la Butte.
A quelque cent mètres elle pénétra dans un immeuble.
Longtemps, je suis resté là, me caressant les dents avec le bec de ma plume.

Le lendemain je revins à la sortie de l'école et le surlendemain et les jours qui suivirent.
Elle s'appelait Fanny. Mais je ne me décidais pas à l'aborder.
Et si je lui faisais peur avec ma bouche sèche, ma sueur sacrée, ma pâleur mortelle, vitale?
Alors, qu'est-ce que je fais? Je me tue? Je l'avale, ma plume?
Je la plante dans le cul somptueux de ma passion néfaste?
Et puis un jeudi, je me suis dit: je lui dis.
Les poumons du printemps exhalaient leur première haleine de peste paradisiaque.
J'ai précipité mon pas, j'ai tendu ma main vers la tête frisée...
Au moment où j'allais l'atteindre, sur ma propre épaule, une pesante main s'est abattue.
Je me retourne, ils étaient deux, ils empestaient le barreau: "Suivez-nous."

Le commissariat.
Vous connaissez les commissariats?
Les flics qui tapent le carton dans de la gauloise, du sandwich...
Une couche de tabac, une couche de passage à tabac.
Le commissaire était bon enfant, il ne roulait pas les mécaniques, il roulait les r:
"Asseyez-vous. Il me semble déjà vous avoir vu quelque part, vous.
Alors comme ça, on suit les petites filles?
- Quitte à passer pour un détraqué, je vais vous expliquer, monsieur, la véritable raison qui m'a fait m'approcher de cette enfant.
Je sors ma plume et j'y vais de mon couplet nocturne et miraculeux.
- Fanny, j'en suis certain, m'aurait cru. Les assassins, les polices, notre séculaire tennis de coups durs, tout ça, c'était fini, envolé!
- Voyons l'objet, me dit le commissaire.
D'entre mes doigts tremblants il saisit la plume sainte et la fait techniquement rouler devant un sourcil bonhomme.
- C'est de l'oie, ça..., me dit-il, je m'y connais, je suis du Périgord.
- Monsieur, ce n'est pas de l'oie, c'est de l'ange, vous dis-je!
- Calmez-vous! Calmez-vous! Mais vous avouerez tout de même qu'une telle affirmation exige d'être appuyée par un minimum d'en quête, à défaut de preuve.
Vous allez patienter un instant. On va s'occuper de vous. Gentiment hein? gentiment."

On s'est occupé de moi, gentiment.
Entre deux électrochocs, je me balade dans le parc de la clinique psychiatrique où l'on m'héberge depuis un mois.
Parmi les divers siphonnés qui s'ébattent ou s'abattent sur les aimables gazons, il est un être qui me fascine.
C'est un vieil homme, très beau, il se tient toujours immobile dans une allée du parc devant un cèdre du Liban.
Parfois, il étend lentement les bras et semble psalmodier un texte secret, sacré.
J'ai fini par m'approcher de lui, par lui adresser la parole.
Aujourd'hui, nous sommes amis. C'est un type surprenant, un savant, un poète.
Vous dire qu'il sait tout, a tout appris, senti, perçu, percé, c'est peu dire.
De sa barbe massive, un peu verte, aux poils épais et tordus le verbe sort, calme et fruité, abreuvant un récit où toutes les mystiques, les métaphysiques, les philosophies s'unissent, se rassemblent pour se ressembler dans le puits étoilé de sa mémoire.

Dans ce puits de jouvence intellectuelle, sot, je descends, seau débordant de l'eau fraîche et limpide de l'intelligence alliée à l'amour, je remonte.
Parfois il me contemple en souriant. Des plis de sa robe de bure, ils sort des noix, de grosses noix qu'il brise d'un seul coup dans sa paume, crac! pour me les offrir.

Un jour où il me parle d'ornithologie comparée entre Olivier Messiaen et Charlie Parker, je ne l'écoute plus.
Un grand silence se fait en moi.
Mais cet homme dont l'ange t'a parlé, cet homme introuvable qui peut croire à ta plume, eh bien, oui, c'est lui, il est là, devant toi!
Sans hésiter, je sors la plume.
Les yeux mordorés lancent une étincelle.
Il examine la plume avec une acuité qui me fait frémir de la tête aux pieds.
"Quel magnifique spécimen de plume d'ange, vous avez là, mon ami.
- Alors vous me croyez? vous le savez!
- Bien sûr, je vous crois. Le tuyau légèrement cannelé, la nacrure des barbes, on ne peut s'y méprendre.
Je puis même ajouter qu'il s'agit d'une penne d'Angélus Maliciosus.
- Mais alors! Puisqu'il est dit qu'un homme me croyant, le monde est sauvé...
- Je vous arrête, ami. Je ne suis pas un homme.
- Vous n'êtes pas un homme?
- Nullement, je suis un noyer.
- Vous êtes noyé?
- Non. Je suis un noyer. L'arbre. Je suis un arbre."

Il y eut un frisson de l'air.
Se détachant de la cime du grand cèdre, un oiseau est venu se poser sur l'épaule du vieillard et je crus reconnaître, miniaturisé, l'ange malicieux qui m'avait visité.
Tous les trois, l'oiseau, le vieil homme et moi, nous avons ri, nous avons ri longtemps, longtemps...
Le fou rire, quoi!

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  #6  
Vieux 17/05/2007, 18h42
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Allez, une petite Aznavour, autre que la superbe "Emmenez-moi", mais elle donne autant envie de se saouler au genièvre:

Je bois.
Je bois pour oublier mes années d'infortune
Et cette vie commune
Avec toi mais si seul
Je bois pour me donner l'illusion que j'existe
Puisque trop égoïste
Pour me péter la gueule
Et je lève mon verre à nos cœurs en faillite
Nos illusions détruites
A ma fuite en avant
Et je trinque à l'enfer qui dans mon foie s'impose
En bouquet de cirrhose
Que j'arrose en buvant
Je bois au jour le jour à tes fautes, à mes fautes
Au temps que côte à côte
Il nous faut vivre encore
Je bois à nos amours ambiguës, diaboliques
Souvent tragi-comiques
Nos silences de mort
A notre union ratées, mesquine et pitoyable
A ton corps insatiable
Roulant de lit en lit
A ce serment, prêté la main sur l'Evangile
A ton ventre stérile
Qui n'eut jamais de fruit
Je bois pour échapper à ma vie insipide
Je bois jusqu'au suicide
Le dégoût la torpeur
Je bois pour m'enivrer et vomir mes principes
Libérant de mes tripes
Ce que j'ai sur le cœur
Au bonheur avorté, à moi et mes complexes
A toi, tout feu, tout sexe
A tes nombreux amants
A ma peau boursouflée, striée de couperose
Et à la ménopause
Qui te guette au tournant
Je bois aux lois bénies de la vie conjugale
Qui de peur de scandale
Poussent à faire semblant
Je bois jusqu'à la lie aux étreintes sommaires
Aux putes exemplaires
Aux froids accouplements
Au meilleur de la vie qui par lambeaux nous quitte
A cette cellulite
Dont ton corps se rempare
Au devoir accompli comme deux automates
Aux ennuis de prostate
Que j'aurais tôt ou tard
Je bois à en crever et peu à peu j'en crève
Comme ont crevé mes rêves
Quand l'amour m'a trahi
Je bois à m'en damner le foie comme une éponge
Car le mal qui me ronge
Est le mal de l'oubli
Je m'enivre surtout pour mieux noyer ma peine
Et conjurer la haine
Dont nous sommes la proie
Et le bois comme un trou qu'est en tout point semblable
A celui que le diable
Te fait creuser pour moi
Je bois mon Dieu, je bois
Un peu par habitude
Beaucoup de solitude
Et pour t'oublier toi
Et pour t'emmerder toi
Je bois, je bois
__________________
Allez les Cajuns!! http://www.youtube.com/watch?v=0dglMqP_zEI
Parleeeez-nous à boire....


Dernière modification par Cypho51 ; 17/05/2007 à 18h47.
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  #7  
Vieux 18/05/2007, 13h15
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Actuellement, j'ecoute Frankie Goes To Hollywood - Welcome to the Pleasuredome

Un vieux CD retouvé, et remis dans ma bibliothèque I-Tune

J'aodre la chanson Welcome to The Pleasuredome - 13 minutes...

"Welcome To The Plesuredome"

The world is my oyster........
Ha ha ha ha ha........

The animals are winding me up
The jungle call
The jungle call

Who-ha who-ha who-ha who-ha

In Xanadu did Kublai Khan

A pleasuredome erect
Moving on keep moving on-yeah
Moving at one million miles an hour
Using my power
I sent it by the hour
I have it so I'm mocking it
You really can afford it-yeah
Really can afford it

Shooting stars never stop
Even when they reach the top
Shooting stars never stop
Even when they reach the top

[Repeat]

There goes a supernova
What a pushover-yeah
There goes a supernova
What a pushover

[Repeat]

[1]-We're a long way from home
Welcome to the Pleasuredome
On our way home
Going home where lovers roam
Long way from home
Welcome to the Pleasuredome

Moving on
Keep moving on

I will give you diamonds by the shower
Love your body even when it's old
Do it just as only I can do it
And never ever doing what I'm told

Keep moving on
Got to reach the top

Don't stop
Pay love and life-oh my
Keep moving on
On again-yeah

Shooting stars never stop
Shooting stars never stop

Shooting stars never stop
Even when they reach the top
There goes a supernova
What a pushover

[Repeat]

[Repeat 1]

Who-ha who-ha
Welcome to the Pleasuredome

WELCOME........ha ha ha ha ha........

Long way from home
WELCOME TO THE PLEASUREDOME !!



Bien entendu, il y a toujours les double sens très 'sexuel', typique des chansons de FGTH, mais j'adore surtout le refrain - très à la mode dans ce contexte politique libéral actuel :

Shooting stars never stop
Even when they reach the top
There goes a supernova
What a pushover

Les Etoiles filantes ne s'arretent jamais
Meme quand elles atteignent le sommet
Elle deviennent des supernovas
C'est d'une facilité

Bref, ne jamais se satisfaire de la situation actuelle, et toujours visé plus haut...
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  #8  
Vieux 18/05/2007, 15h35
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Jcrois parler au nom de moi-même, Guitt et Mthebest pr dire que ze very good chanson en soirée reste l'apologie de Matmatah !! :fume2: :fume2:

Mais ma chanson reste Dreaming of you de The Coral

The Coral - Dreaming of You

What's up with my heart when it skips a beat
Can't feel no pavement right under my feet

Up in my lonely room
When I'm dreaming of you
Oh what can I do I still need you, but
I don't want you now

When I'm down and my hands are tied
I cannot reach a pen for me to draw the line
From this pain I just can't disguise
Its gonna hurt but I'll have to say goodbye

Up in my lonely room
When I'm dreaming of you
Oh what can I do I still need you, but
I don't want you now

Oh yeah
Ohhh Oh Ohhhh
Ohh Ohh Ohhhh Ohh Ohhhh

Up in my lonely room
When I'm dreaming of you
Oh what can I do
I still need you, but I don't want you now

Découverte dans un épisode de Scrubs
__________________
~~" Je suis John Dorian, roi des Nuls et des Ringards "~~

Zach Braff's Powaaa
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  #9  
Vieux 18/05/2007, 15h37
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Zut je voulais mettre un lien vers Youtube !

Allez hop il est jms trop tard :

http://www.youtube.com/watch?v=KRy8N1P1EUI
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~~" Je suis John Dorian, roi des Nuls et des Ringards "~~

Zach Braff's Powaaa
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  #10  
Vieux 18/05/2007, 18h55
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Esprit engourdit, n'est pas là pour le moment veuillez laisser un message après le "bip" sonore
 
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Très bon The Coral

Je vous propose cette chanson du groupe d'Anathema. Elles sont toutes tellement magnifiques que le choix est difficile à faire...Etonnant pour un groupe qui a débuté par du doom death / doom métal et qui est maintenant dans le style rock atmosphérque/alternatif...

----------------------------------------------

Anyone, Anywhere


No one seems to care anymore
I wander through this night all alone
No one feels the pain I have inside
Looking at this world through my eyes

No one really cares where I go
Searching to feel warmth forever more
The wheels of life they turn without me
Now you are gone... eternally

No...
Don't leave me here
The dream carries on
Inside
I know...
Its not too late
Lost moments blown away
Tonight

Mankind, with your heresy
Can't you see that this is killing me
There's no one in this life
To be here with me at my side

------------------------------------------------

Et le lien de de la chanson. Malheureusement les vidéos qui y sont associées (il 'existe apparement pas de clip original..seulement des types qui se sont amusés à y coller des vidéos) sont totalement nulles, j'vous conseille d'écouter sans regarder l'image ...

http://www.youtube.com/watch?v=n_VIeQ7Sbf8
(des bouts d'vidéos du seigneur des anneaux...mais c'est trop nullllllllll )
__________________
"Au nom du Seigneur, je vous botte le cul!"

- Le curé dans "Brain Dead" -


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