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A gibraltar, le contingent était là uniquement pour fixer au sud des espagnols pour faciliter l'attaque austro-française. ça n'a pas trop mal marché, 70000 sont venus à me rencontre.
En Italie c'était sympa, tes 30000 cavaliers craquant devant mes 4000 survivants éberlués, mais totalement sans lendemain. J'aurai du avoir une seconde vague de prete au Tyrol mais hors de question de degarnir Istambul et l'Egypte (soit 150000 hommes indéplaçables). De toute façon cette guerre a démarré trop vite. J'assume totalement d'avoir suivi mon ancien allié, animé par une vague envie de revanche et je ne sais quoi, mais franchement qu'avais-je à apporter, quelle valeur ajoutée ? Surtout avec mon manque de bol dans les events de la soirée. L'empire Ottoman est bien mais tout simplement trop lent, trop loin pour etre pret pour une guerre offensive en 2 ans, c'est aussi simple que ça. Alors je l'annonce solennellent cette-fois-c'est-la-bonne je ne me mêle plus de rien pendant au moins 20 ans sauf peut etre pour reprendre la grece qui m'a été volée. Pour la France, merci de respecter son style de jeu. Elle se retrouve au milieu d'une guerre tous les 5 ans et n'est pas forcément sa volonté - même si dans ce cas il suffit de ne pas suivre l'Autriche (facile à dire ![]() Pour la dernière période, je ne suis pas favorable à remettre à ce point les compteurs à zero. 100000 ducats c'est quand meme 500 points de bonus ! ça ne respecte pas les efforts des autre bons gestionnaires (Danton par exemple). Elvis a aussi le droit de jouer une révolution "pépere" si ça lui chante (peu payante). Plusieurs scénarios alternatifs, à la fois souples et respectueux de l'histoire de la molo, sont possibles: double révolution (avec le joueur le plus susceptible, sliders, volonté), externalisation des revolutionnaires, au bon voulir de votre imagination ! Je reparlerai aussi des non annexions qui me semble se relacher ![]() syrco; save un peu plus haut |
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