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#1
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Missive du Royaume d'Espagne
Non satisfait de coloniser en Amérique du nord, le Royaume de France vient de commencer à coloniser dans les zones du traité de Tordesillas. Non seulement dans la zone espagnole, mais aussi dans la zone portugaise, en Afrique, afin de contourner ce continent et d'accèder aux centres commerciaux d'Asie. L'Espagne a proposé à la France de racheter ces provinces (y compris les portugaises) afin de supprimer le problèmes. Ces provinces en effet, ne sont pas trés riches en elles même, mais Dakkar, par exemple, peut être une excellente plate forme vers l'Océan Indien. Et la France n'a rien à y faire. Nous pensons d'ailleurs que d'autres pays sont d'accords avec cette vue. Mais la France refuse de restituer ces provinces contre dédomagement pécunier. L'Espagne pensait même proposer le Roussillon en échange d'une promesse de la France de ne plus coloniser les zones espagnoles ET portugaises. L'Espagne doit donc se résoudre à faire cette proposition à l'Europe (et non plus à la France qui contrairemment à ce qu'elle prétend refuse de négocier réellement): L'Espagne et le Portugal ainsi que leurs alliés entreront en guerre contre la France. Nos SEULS objectifs seront les colonies françaises situées en zone Tordesillas. Soit,; en tout et pour tout: deux provinces ! Inutile donc, pour le français, de commencer à clamer que l'équilibre des forces va basculer, ou d'user de tout autre argument mensonger. Notre intervention est le résultat d'une non négociation française, et seules les provinces (pauvres) de Savannah et Dakkar seront réclamées, quelle que soit l'ampleur de notre victoire. Néanmoins, nous aimerions aussi que la France soit punnie de son entetement. Toutes ses colonies d'Amérique du nord, devront revenir à la couronne anglaise, qui à nos yeux, est seule légitime en Amérique du nord. L'Angleterre n'aurait nul besoin d'entrer en guerre, ce conflit concernant la France et Charles Quint. Nous prendrions les colonies françaises, et rendrions TOUTES à Londres, sauf les deux situées en zone Tot. Quand la diplomatie et les propositions honnetes échouent, hélas, cent fois hélas, il faut se résoudre à faire la guerre. Gageons que les Nations d'Europe comprennent la problématique de ce conflit purement colonial, et saisisse la nécessite d'empecher les commercants français de mettre la main sur les différentes richesses du monde. Esperons également que la propagande française sur un soit disant déséquilibre des forces en acs de défaite française ne trouve oreille attentive dans les cours Royales d'Occident. Nous le répetons. SEULES Savannah et Dakkar seront réclamées. Quant au plan espagnol tentent à sanctionner la France via la confisquation de son Empire colonial au profit de l'Angleterre, nous attendons l'avis de cette dernière sur la question.
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#2
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Missive du Royaume de France
Plusieurs attaques d’indiens Creek dans nos colonies d’Amérique du Nord, nous ont amené à conduire des expéditions punitives contre les indigènes qui menacaient les installations de nos colons. Les Creeks furent sévèrement battus, et leurs chefs s’inclinèrent face à la puissance de notre soldatesque. En gage de soumission, ils nous cédèrent la province de Savannah. Malheureusement, le gouverneur local oublia que cette province se trouvait dans la zone du Traite de Tortillas, sous influence espagnole, selon l’édit papal. Soit, la France reconnaît son erreur, et affirme au Royaume d’Espagne que nous n’avions aucune prétention à enfreindre ce traité et à nuire aux intérêts espagnols dans le Nouveau Monde. Cependant, nous déplorons l’attitude mesquine de l’Espagne qui, sans aucune notification, ni aucune ambassade diplomatique, a envoyé des cohortes de mercenaires hidalgos agresser nos garnisons en Savannah. La France a lancé, à son initiative, des négociations sur la crise de Savannah, puisque de crise il s’agit quand le Royaume d’Espagne menace d’embraser l’Europe. En effet, les premières annonces de Madrid étaient plus qu’intransigeantes quant à la cessation de Savannah. Soit, le Saint Père, dans sa sagesse, a octroyé cette province au Royaume d’Espagne, mais cela ne peut se faire au détriment de l’Honneur de la France, qui ne peut accepter l’attitude belliciste de l’Espagne, ni ces tentatives mesquines pour s’emparer de cette colonie, attitude indigne d’un grand souverain d’Espagne. Nous déplorons également les prétentions mégalomaniaques et blessantes de Madrid qui croit pouvoir parler au nom du Portugal, de l’Autriche et de l’Angleterre, en voulant les impliquer et dicter leur conduite dans une crise qui ne les regarde pas, et les conduire dans un conflit loin de leurs intérêts. Nous nous gaussons aussi de la grossière tentative d’implication du Royaume d’Angleterre pour faire respecter un Traité signé du sceau papal, quand depuis quelques années, le Royaume de la Blanche Albion s’est écarté du chemin du catholicisme. Mais peut-être la nouvelle n’a pas encore atteint Madrid, aussi en gage de notre bonne volonté, nous vous offrons 5 magnifiques étalons de nos écuries royales de Chantilly, pour que vos ambassadeurs puissent se débarrasser des bourricots qui leur servent de monture. Mais trêve de plaisanterie, et revenons à de chose plus constructives : Comme nous vous l’avions déclaré dans nos précédents changes diplomatiques, avant que vous ne mettiez la situation sur la place publique, nous sommes prêts à négocier la cessation de Savannah tant que l’Espagne ne brandit pas l’épée de la guerre à chaque fois qu’elle désire quelque chose. Nous notons avec plaisir qu’aujourd’hui, de nouvelles options sont apparues et que nous nous rapprochons donc d’une solution pacifique et mutuellement bénéfique. Les nouvelles propositions espagnoles nous semblent acceptables, aussi nous voudrions les affiner pour qu’un accord puisse être signé. Encouragé par l’attitude de l’Espagne, la France est prête à accepter les points suivants : - Reconnaissance royale de l’inviolabilité du Traité de Tortilla - Acceptation des uniques légitimités Espagnoles et Portugaises sur les provinces du Nouveau Monde reconnues dans le Traité de Tortillas. - Restitution des provinces de Savannah à l’Espagne et de Dakar au Portugal sans aucune demande de dédommagement En contre partie, nous souhaiterions que le Royaume d’Espagne clarifie ses nouvelles déclarations quant à la promesse de restitution du Roussillon à la Couronne Francaise. Proposition qui n’avait pas été énoncée lors de nos précédentes discussions, ce qui nous aurait fait gagner un temps certain. La France et l’Espagne ont souvent été opposées, et la poudre a déjà beaucoup parlé. Cependant, force est de constater, que l’Espagne a toujours été un adversaire honorable, et que si nos intérêts ont été divergents, nous portons grande estime pour le Royaume Castillan. |
#3
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Déclaration du Portugal
En vertu de l'accord que sa sainteté le Pape, l'Espagne et le Portugal ont signé, il ne peut y avoir de présence française, ni d'aucun autre pays européen d'ailleurs, dans les provinces revenant légitimement aux ibériques. Nous sommes cependant ravi de la position française de conciliation et de paix, et nous la soutenons sans réserve. La France fait donc amende honorable en nous rendant les comptoirs volés. Concernant l'Espagne, nous sommes au regret de dire que nous ne pouvons vous suivre quand vous affirmez vouloir dépouiller la france de ses colonies américianes au profit de l'Angleterre. Pourquoi l'Angleterre intervient elle ici ? Elle n'a rien à voir avec cete affaire. Cependant que ceci soit bien clair : si la france ne nous cède pas immédiatement les comptoirs, nous rentreront immédiatement en conflit avec elle, au côté de l'Espagne, et nous détruirons toutes ces colonies en Amérique. Mais nous avons confiance dans la sagesse française. Pour le Roussillon, le statut de cette province n'a rien à voir dans la situation qui nous concerne, et nous nous garderons bien de donner notre avis sur la légitimité de la propriété de cette province. Cependant, cela fait des siècles que les Espagnoles la gouverne, et nous n'avons pas constaté de problèmes particuliers. Nous sommes neutre sur cette question. Enfin, nous rappelons à tout les pays européens quelques principes : Le Portugal et l'Espagne sont les deux premières puissances économiques de notre monde, et peuvent mobiliser à leur guise grâce à leur colossal revenus, une flotte importante, ainsi que des hommes d'armes en nombre. Hormis en Amérique du Nord, seuls l'Espagne et le Portugal ont le droit de coloniser, et ce principe ne peut être remis en cause, pour l'instant. Si un seul de nos pays est attqué, l'autre l'aidera immédiatement. Il nous semblai opportun de rappeler ces quelques faits.:portug: |
#4
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Réponse du Trés Catholique Royaume d'Espagne
Effectivement, l'Espagne souhaite, tout comme la France, rester en paix en Occident. Nos pays doivent avant tout se concentrer sur un objectif commun: La christanisation des nouveaux mondes. Le menace turque n'étant plus ce qu'elle était, nous pouvons nous consacrer à cette sainte tàche. Ces différents nouveaux mondes, que les geographes nomment continents, ont été partagés en zones d'influences. Certaines régions sont revenues au Portugal, d'autres à l'Espagne, et d'autres sont totalement libres de colonisation par qui le désire! Aussi, la réaction espagnole n'est-elle pas compréhensible? D'immenses teritoires au nord sont vierges de toute présence chrétienne... et la France préfère envoyer ses colons dans une zone espagnole. Et ce alors, que d'aprés nos informations, les richesses de Savannah ne sont pas plus grandes que celles des régions québecoises où fourrures sont trouvées en quantités. Madrid a donc vu cette action française comme une provocation. Notre réaction était à prévoir pour qui sait l'attachement que nous portons aux décisions du Saint Père. Mais que Dieu bénisse les hommes de bonne volonté, car dans cette houle diplomatique, une éclaircie semble poindre. La légitimité de l'Espagne et du Portugal sur certaines régions du monde semble aussi bien acceptée par Paris que la légitimité de la France sur le Roussillon par Madrid. Du troc diront les mauvaises langues. La suppression d'une pomme de discorde, dirais-je plutôt. Dés que l'Espagne aura pris possession de Savannah, et dés que le Portugal aura pris le controle de la petite colonies sénégalaise de Dakar, l'Espagne cèdera sans aucune compensation la région du Roussillon à la France. Néanmoins, comme l'a déjà précisé la missive française, cet accord se base sur une reconnaissance publique et sur l'Honneur de la France, du respect, à l'avenir, des zones d'influences dont nous avons parlé plus haut. L'Espagne, et d'autres, comprendraient mal, que la France puisse dans le futur revenir sur cette parole donnée. Les diplomates français sont ils disposés à confirmer leurs propositions et à nous tenir au courant de l'acceuil des nôtres, à Paris? Une résolution semble proche, ne laissons plus trainer ce dossier.
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#5
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1535 – 1546. Renforcement de la monarchie Suédoise
Le conseil des haches rouges vikings commençait à somnoler, tout était paisible et calme… Trop ![]() ![]() Mais quasi au même moment, Gustav, notre bon Roi, imposait de très audacieuses réformes centralisatrices pour sortir le pays du marasme économique dans lequel il s’enfonçait de plus en plus inexorablement : deux manufactures de vodka ont notamment été fondées, les Russes nous aiment désormais comme jamais et nous leur vendons notre production à prix d’or ![]() ![]() Naturellement, certains états lâches et perfides profitèrent de notre faiblesse très passagère pour se jeter sauvagement, fourbement, contre notre allié de Pologne. L’alliance Pomméranie, Oldenburg, Magdebourg et Saxe a montré au monde toute l’étendue de sa vilenie abjecte, mais c’était bien mal connaître le sens de l’honneur, la loyauté et la pureté du peuple de Suède (et de son Roi ![]() Sans hésiter un seul instant, l’armée embarque et, alors que la révolte gronde, impitoyable, dans notre beau pays, marche sur le continent : le Oldenburg est écrasé. Nos fiers guerriers repartent alors pour la Baltique, où notre allié de Pologne a subi une très lourde défaite contre l’agresseur de Pomméranie ![]() ![]() Les Vikings retournent alors sur le continent et prennent d’assaut le Mecklenburg : la Pomméranie est désormais occupée, pour 2/3 par la Pologne et pour 1/3 par la Suède. Naturellement, notre pacifique pays n’a nullement l’intention d’arracher des provinces à l’alliance impie : nous sommes venu secourir notre allié, perfidement attaqué, en dépit de l’existence très passagère d’immenses troubles intérieurs et maintenant que cela est fait, les haches rouges vont rentrer au pays. Le Oldenburg a payé le prix de sa traîtrise, il a été vassalisé, cela suffira : une très généreuse paix blanche sera très prochainement accordée à la Pomméranie perfide. De nombreux pays, qui annexent sans même prendre le temps de respirer, feraient bien de prendre exemple sur nous ![]() L’honneur est sauf, notre allié connaît désormais toute la force de notre engagement : l’alliance Polono-Lithuano-Suédoise est l’axe lumineux du nord, le rempart contre la barbarie, un modèle de civilisation pour tous ![]() |
#6
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1503-1520 : Les guerres déshordes
![]() La guerre de 1503 s’étala sur 5 ans, non pas que les armées de la Horde d’or fussent à même de nous repousser, mais les sièges et la rigueur des hivers prolongea la durée du conflit. C’est à cette occasion que je fis mes premières armes en participant aux charges formidables de nos cavaleries à travers les steppes infinies du grand Est. La campagne fut donc un succès mais notre vassal nous trahit en signant la paix au moment même où nos armées s’emparaient de la capitale ennemie…Ainsi après m’être illustré sur les champs de bataille, mon père m’envoya au Riazan afin de remettre à sa place notre vassal et alliée. Ces derniers nous versèrent la moitié du butin de guerre tiré de la paix. Les dix années qui suivirent furent des plus calmes pour notre pays, je me consacrai principalement à favoriser l’expansion commerciale de nos marchands. Mais en 1516 la guerre contre la Horde frappa de nouveau mais cette fois Moscou n’entendait pas se laisser doubler. Cette nouvelle campagne fut encore plus fulgurante que la dernière cependant ce fut la paix qui fut difficile à précipiter. La Horde d’Or avait en effet agressé l’Astrakhan et en occupait la capitale. Ils espéraient pouvoir tirer de leur victoire des bénéfices leur permettant de renverser la situation catastrophique dans laquelle les plongeait notre occupation. Afin d’éviter un redressement de la Horde, Moscou fit donc parvenir de par mon intermédiaire de nombreux ducats vers l’Astrakhan afin que ce dernier lève une nouvelle armée pour chasser l’envahisseur. Cette politique nous permit à la fois signer la paix avec la Horde d’Or et de nous faire un nouvel allié dans la région ! Nous annexâmes à nos contrées l’essentiel des territoires de la Horde, ne lui laissant presque que sa capitale, ceci afin qu’elle ne se relève pas de cette défaite. En 1520 Moscou était sans rivale dans les steppes de l’Est, mais à l’Ouest, d’autres dangers se levaient…
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" España camisa blanca de mi esperanza, aquí me tienes, nadie me manda, quererte tanto me cuesta nada ![]() |
#7
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1535 – 1546. Des temps troublés
La pologne voit naitre en ce début d'année sa première académie des beaux-arts ![]() Tableau de l'école polonaise La pologne, nation pacifique s'il en est se contentera durant la période d'administrer paisiblement son territoire, de supporter les gaffes de ses alliés IA ![]() ![]() Le souverain polonais Le roi de pologne se rendit utile à l'empereur d'autriche en lui mattant ses rebelles protestants. Un jour la pologne sera bien contente si l'autriche lui rend la pareille. La grande affaire de l'époque fut la guerre lachement mené contre nous par une coalition de protestant du nord aux armée infiniment supérieures. Les pertes furent terribles le royaume y perdit toute son artillerie. Pire encore la mort du seul leader potable de pays ![]() Le commandant des forces polonaise peu avant sa mort. Mais en 1546 la guerre est en passe de s'achever et la pologne compte bien faire rendre gorge à la poméranie une bonne fois pour toute afin de concentrer ses forces sur l'est ou se lève une terrible menace: les hordes barbares russes! ![]() ![]() Barbares russes se ruant vers l'ouest Encore une fois il faut le répéter: la pologne et son allié suédois sont tout ce qui se tienne entre l'occident et le chaos!
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And so he spoke, and so he spoke, that lord of Castamere, But now the rains weep o'er his hall, with no one there to hear. "Si le droit est avec nous, qui sera contre nous?" ![]() Citation:
Dernière modification par GA_Thrawn ; 04/07/2006 à 11h15. |
#8
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L'Affaire de Savannah :
Une fois de plus, l'Espagne a su démontrer aux yeux del'Europe la plus grande considération qu'elle porte à autrui, et le peu d'estime que ses actes et paroles peuvent lui accorder. De fait, suite à une guerre indienne, la France occupait la province de Savannah, qu'un édit Papal avait octroyé de fait à l'Espagne. Soit, nous avions pris fait de cet acte, et nous nous étions engager à respecter dorénavant le dit Traité de Torillas. Dakar avait été repris par le Portugal, et aucun colon francais n'a jamais posé le pied sur ces dits territoires espagnols ou portugais. De fait, la France a démontré à l'ensemble de l'Europe qu'elle sait respecter sa parole, et que l'honneur existe à Paris. Sans aucune ambassade pour prévenir de ses futures actions, l'espgnol débarque 60.000 de ses hommes et massacre la garnison française de Savannah. Une nouvelle page à gloire de l'armée espagnole.... Cependant, le roi de France se demande si le roi d'espagne et ses ministres ont bonne mémoire.... Peut être pas, alors laissez nous vous la raffraichir : Citation:
La diplomatie espagnole semblant donc se résumer à la rapière et au mousquet, il nous faudra donc utiliser le même language si l'Espagne refuse de respecter ses engagements.... Vous avez repris Savannah, le Portugal a repris Dakar La France a respecté sa parole Nous demandons retour du Roussillon et de la Franche Comté dans les plus brefs délais... ![]() Diplomates espagnols... Dernière modification par Elvis ; 17/08/2006 à 22h59. |
#9
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DECLARATION DU ROYAUME DE FRANCE
Nos dernières entrevues avec les représentants espagnols ont été décevantes. Non seulement, la parjure Espagne ne veux pas honorer ses engagements quant à la retrocession du Roussillon, mais aujourd’hui Madrid revient avec de nouvelles prétentions sur nos colonies d’Amérique du Nord ; Yazoo et Alabama. La France a respecté le Traité de Tortillas, mais aujourd’hui l’Espagne qui dispose de vastes zones potentielles pour l’implantation de ses colons lorgne belliqueusement sur les plaines d’Amérique du Nord ou nous avons investi depuis de longues années, dans le seul but avouable d’affaiblir les intérêts de la France. La France a depuis longtemps démontré son attitude conciliante et a toujours honoré ses engagements avec l’ensemble des royaumes européens… Aussi face à cette attitude inacceptable, il ne peut y avoir qu’une seule réponse : La guerre… |
#10
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Déclaration de l'Empire du Portugal, des Indes et d'Amérique
Aux souverains d'Espagne et de france, nous affirmons notre position par la présente missive : D'une part, nous reconnaissons la pleine et entière légitimité des demandes françaises sur la province du Roussillon. L'accord qui a été conclu voilà des années a désormais atteint sa phase finale : l'Espagne ayant récupéré Savannah, et le Portugal Dakar, plus rien n'empèche notre voisin espagnol de céder le Roussillon. En revanche, nous nous interrogeons : pourquoi la France défendait elle Savannah ? Elle aurait du l'évacuer bien plus tôt. En conséquence, nous demandons que la France verse 300 000 Ducats de dédommagement à l'Espagne quand celle ci aura rendu le Roussillon. Nous prévenons que nous romprons toutes relations d'alliance si l'Espagne ne respecte pas sa parole, mais qu'également nous interviendrons militairement si la france ne daigne pas payer son amende. Nous ne soutenons pas les nouvelles prétentions espagnoles en Amérique, mais nous sommes persuadé qu'il ne s'agit là que de prétextes pour la négociation de l'affaire en cours, et qu'en fait ces prétentions ne sont pas sérieuses. Enfin, concernant la colonisation des terres d'Afrique (et d'Afrique uniquement), nous autorisons les nations qui le souhaitent à venir s'y implanter, en échange d'un impôt annuel dont le montant sera discuté. |
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