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Lettre du Okan de Macédoine à un ami
Mon vénérable ami, c'est de la tente de commandement de la 1er armée que je t'écris. Celle même qui, comme tu as du l'apprendre maintenant, a déconfit l'armée autrichienne stationnée en Wallachie. J'ai été fort surpris d'apprendre que les affiches de propagande chrétiennes étaient parvenues jusque dans ton pays. Le mensonge y occupe une place de choix comme tu le pensais. Je vais te raconter ce que j'ai pu apprendre des mes collègues ou que j'ai vu de mes yeux. Qu'Allah soit témoin que de ma bouche ne sorte que la vérité. Lorsque notre Sultan Mehmet II le Sublime, juste après avoir accueilli sa nouvelle épouse la princesse Eva Mendes dans son harem, appris que le royaume de Hongrie et ses alliés nous avaient déclaré la guerre il pris la chose avec sérieux mais sans aucune crainte. Les forces ottomanes, la qualité de nos troupes, le dynamisme de notre jeune royaume et la vigueur de notre religion nous offrent un avantage devenu évident sur nos vieux voisins chrétiens. En quelque semaines de batailles, la Serbie rendait les armes et reconnaissait la souveraineté de notre aimé Sultan. En homme d'Etat avisé, notre guide montrait par sa mansuétude à tous les orthodoxes de son empire qu'il respectait leur foi. Les armées turques se dirigèrent alors vers la Transylvanie, point de passage à conquérir avant de fondre sur la Hongrie. Nos frères volaient de victoire en victoire et bientôt la Hongrie serait vaincue. Ce n'était plus qu'une question de semaines. C'est à ce moment que d'autres chrétiens, celui qui se fait appeler empereur et le petit doge de Venise, se joignirent aux forces hongroises sans aucune sommation préalable. Voilà qu'on nous reprochait de nous défendre. La propagande impériale d'un niveau limitée échoua lamentablement dans sa tentative de lever une énième aventure des chrétiens en terre musulmane. Evidemment, ces nouvelles forces ennemis, bien commandées, se frottèrent, non pas à nos solides armées de bataille, mais aux troupes de sièges qui avaient déjà du résister à plusieurs assauts hongrois. Allah ne pouvant multiplier les miracles partout à la fois, nos troupes furent défaites et réculèrent. Intelligement, notre sultan Mehmet II choisit la retraite générale jusqu'en terre d'empire pour reformer l'armée ottomane. Ayant connaissance des faibles moyens logistiques de ses adversaires, il choisit le parti de la patience et attendit calmement, laissant passer 2 saisons entières. Contrairement à de fausses rumeurs chrétiennes toujours prompts à mentir, Mehmet II ne commandait alors plus les troupes actives et ne s'éteignit certainement pas lors d'une bataille mais après une folle (dernière) nuit avec la princesse Eva Mendes. Evidemment cela laissé la place aux troupes ennemis pour reprendre les provinces tombées et avancer leurs armées près de nos frontières. Pourtant, aucune n'ose s'y aventurer. La seule a l'avoir fait en a facilement été chassé. Plus fort encore, les armées regonflées ont chassé de Wallachie les troupes autrichiennes et ont poussé leur avancée jusqu'au Banat Transylvanais. Alors tu vois mon ami, les chrétiens se contente de peu de choses pour se sentir vainqueurs. Ils n'ont plus défait l'armée ottoman depuis qu'elle s'est reformée. Notre sultan, loué soit sa sagesse et sa patience, a mené une vaste politique de recrutement qui fait que nos camps débordent d'hommes formés prêt à prendre la relève des morts (pour mes adversaires comprenez manpo à fond ![]() Nous menons nos batailles sans aucun grand leader. Je te laisse imaginer les dégats quand ceux-ci seront là. L'impôt rentre très bien et l'inflation est stable et faible. Leur seule vraie victoire fut celle navale contre nos 21 galères (avec la maintenance à 0%.................... ![]() Crois en l'avenir mon amis, car il ne sourira certainement pas à ces fous.
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VIVE LA FRANCE !!! VIVE L'OM !!! VIVE LE ROI DES rois !!! Vous voulez vraiment savoir qui est Danton ? Alors cliquez ici (surtout montez le volume avant ![]() Dernière modification par lemarseillais ; 02/02/2008 à 13h41. |
#2
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Déclarations Françaises :
A l'angleterre, nous vous ommons de quitter immédiatement la gascogne et de nous la livrer en gage de bonne volonté, nous souhaitons la paix entre nos deux peuples et nous pensons que la cession e la gascogne serait une bonne preuve de votre volonté de paix. Au danemark, la France reconnait officiellement vos justes prétentions sur la mer baltique et les terres qui la borde. A l'Autriche & venise : Continuez, continuez ![]()
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Pedrolane Town, une ville ou il fait bon vivre ! |
#3
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![]() Chroniques du royaume d'Angleterre 1) La guerre de cent ans s'eternise Les négociations avec la France de Charles VII devait se terminait début 1453 sur un échec total. L'Angleterre était prete à negocier sond épart du continent contre une juste compensassion pour ses terres anglaises par heritage et traité. Mais la France faisant fit de toute légalité exigeait une cssion sans condition de la Gascone. L'Angleterre refusa tout naturellement. Charles VII se desinterressa de la guerre et confia à ses généraux le soin de mener la campagne. La guerre durera 5 ans. Dans un premiers temps, la flotte Française batit la Royal Navy mal commandée. Profitant de cet avantage, des régiments Français dénarquèrent en Irlande et en Cornouiaille tout en metant le siège devant Bordeaux. Le royaume d'Angleterre était bien moins riche en or et soldat que la France. Heureusement la république de venise se porta au secour du trésor du royaume. De nouveaux vaisseaux furent construit et progressivement le controle maritime fut rétablit et les français refoulés sur le continent. Le comte de Warwick débarqua à Royan et marcha le long de la Gironde pour degager Bordeaux. Les forces Françaises se debandèrent et Bordeaux fut dégagé. La route de la Garonne s'ouvrait alors, la France n'ayant plus de soldat à nous opposer dans le sud. Mais une paix d'usure fut cependant possible, la guerre s'achevait en 1459. 2) la guerre des roses Henry VI ne faisait pas l'unanimité en Angleterre. Loin de disposer du charisme de son père Henry V victorieux à Azyncourt, Henry VI faisait figure du roi qui avait tout perdu face à la France et qui , pire, se compromettait avec elle en ayant épousée une princesse Française. Richard d'York était le duc le plus puissant d'Angleterre et chacun lui reconaissait des qualités de leaders bien supérieur au roi Henry VI de Lancastre. Le 1er fils d'Edward III s'était etein d et avec lui la lignée des Plantagenet direct. Depuis c'était la lignée des Lancastre, issue du 2eme fils d'Edward III qui regnait. Les York étaient issue eux du 3eme fils du roi edward II. Suite aux revers initiaux de 1453-1454, Richard d'York pris les armes contre son cousin Henry de Lancastre ouvrant une terrible période de guerre civile en Angleterre qui devait durer trente ans. Cependant à la Bataille de St-Alban, les Lancastres furent écrasées et le revirement du principal soutien des Lancastre, Richard Neuville comte de Warwick, fini de fragiliser les Lancastres contraint d'endosser alors le role d'opposant à une royauté ferment tenue par les York. 3) La 2eme guerre contre la France. La Bretagne avait depecée violelement par les Valois et la Maison de provence avait du se resigner à renoncer à ses terres confisquée par le roi de France. Le grand duchée de Bourgogne serait assurement le prochain sur la liste insatiables des valois. Le duc de Bourgogne vint en Angleterre négocier la protection des York. Dans le même temps, des rapprocjement eurent lieu entre Londres, Madrid et Venise. L'encre était à peine seche que la guerre éclata entre la France et la Bourgogne. L'Angleterre honnora ses engagements mais les Lancastre qui avaient fait alliance avec la France et les Ecossais provoquèrent l'entrée en guerre de l'ecosse. Dans le Nord de l'Angleterre, un vent de panique souffla. 17.000 écossais franchirent la murailles d'Hadrien ravageant les grandes villes du nord du Royaume. York mais aussi Newcastle furent incendiée. La réaction de l'armée royale fut lente. Disposant de seulement 8000 hommes, Warwick prefera attendre que les écossais deux fois plus nombreux s'essouflent. Pendant ce temps sur le continent, La castille et Venize était entré en guerre contre la France pour proteger l'intégrité bourguignone. L'Angleterre fit rapidement savoir qu'elle ne pourait pas envoyer de soldat en France tant que les Ecossais ne serait pas refoulée. Les Vénitiens étaient loin et peu nombreux. Restait les ibériques. Les Aragonais prirent l'offensive vers le Languedoc tandis que des forces castillanes embarquée en galice débarquèrent à Bordeaux. Les armées Françaises controlait déjà le comté de Bourgogne et la moitié des Flandres Bourguignones. Bien que l'armée Française controlait la situation, le roi de France pris peur devant tant de force déployées pour contrer ses ambitions et annonça sa volonté de faire la paix. La paix fut acceuilli avec soulagement en Angleterre. Warwick était parvenu à dégager l'Angleterre de l'emprise Ecossaise mais l'armée était réduute à moins de 3000 hommes et les reserves déjà epuisées. La Paix avec l'Ecosse sauva le royaume d'Angleterre. Cependant nul doute qu'a Londres, jamais la trahison ecossaise ne serait pardonnée. Quand à Bordeaux, elle était Anglaise et le resterait... |
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Chronique de Scandinavie : [1453-1487] La monté en puissance.
I. Un commerce fort. Depuis le règne de l’illustre Christian Ier, le Danemark a bien changé, aujourd’hui ne peuple de Scandinavie c’est définitivement tourné vers la mer, notre flotte marchant est là plus importante derrière Venise, avec même des dépassements des revenus de la sérénissime, avec en 1480 des revenus allant jusqu'à 90 ducas, notre peuple retrouve enfin sa place sur les mers. Il est vrai qu’aujourd’hui notre commerce est en baisse, mais cela n’est qu’une mauvaise passe, quoiqu’en disse les pessimistes qui harcèle notre souverain Philippe II, ceci ne mérite que notre mépris ! Les causes de cette baisse de régime de notre commerce, les pauvres bandes de Mercantiliste qui ne connaisse pas le libre échange qui est seule source de développement, lissé les écrits de Franck Brokenhuss, « Libre commerce ou le développement raisonné ». Nous espérons que cela vous ramènera à la raison pour la que la guerre commerciale redevienne fair play , 40 ducas de perte sur nos revenus c’est déjà trop ! ![]() II. Vive l’Union de Kalmar ! Une date historique dans l’histoire Mondiale, je dirais même plus universel ! Le 8 juillet 1457, l’Union de Kalmar est née par la décision de Frederik I, avec le soutien de noble des 3 royaumes, ceux de Suède ayant fuit le tyranisme dont fait preuve la dynastie félonne qui depuis 1455 utilise toutes les ressources de ses provinces pour guerroyer contre la Lituanie et la Pologne, mettant à feu et à sang toute la région, telle des diables ! Mais bientôt nous recouvrerons nos terres qui nous ont été offert par le Seigneur. Cette journée est aujourd’hui fêtée tous les ans dans toutes les terres de notre royaume par des TE DEUM, à l’honneur de nos souverains. 1. La guerre de Poméranie. Cette journée sainte n’amena pas que des réjouissances dans le royaume, la Poméranie et l’Ordre Teutonique nous déclarèrent la guerre en réponse à nos prétentions sur toute la Scandinavie ! Frederik II, qui avait succédé peu de temps à son père, après la création de l’Union, après 2 ans de préparation fit marcher ses troupes vers la Poméranie. Les Teutons étant totalement défaits, continuant une lutte acharnée de guérilla contre le polonais. En janvier 1461, après une dure lutte avec 2 batailles et 3 sièges nous vainquirent, et vassalisèrent la Poméranie en réponse à leur attaque par bonté, Frederik I ne voulant pas écraser sa pauvre sœur que son père avait marié à ce sénile. 2. La Guerre de libération de l’évêché de Brême. Après d’âpre négociation avec le grand empereur, qui voulait vérifier notre bonne foi, par soucis de protéger l’intégrité de ses peuples, nous purent en janvier 1464, nous lancer à l’attaque de l’alliance ploutocrate, regroupant Lubeck, Hambourg et Brême. Dès septembre 1464, Lubeck fut prise, et un traité de non concurrence signée avec ceci, en avril 1465, l’année 65 fut quant à elle marqué par la paix avec Hambourg que Frederik II laissa libre. La fin de la guerre fut signée en décembre 1466, obligeant Brême à nous céder l’évêché qui revint à son possesseur légitime et Brême vassaliser pour l’empêcher de remettre sa encore. L’empereur peut voir que nous savons respecter nos engagements, les Scandinaves n’ont qu’une parole ! ![]() III. Situation actuelle de nos états. Aujourd’hui notre souverain continu de suivre les politiques passés. Politiquement de très grandes réformes ont été lancées, premièrement, pendant le règne de Christian Ier, une large réforme fut lancer pour lancer notre force vers les mers, dans cette perspective une amirauté fut construite à Copenhague pour former l’élite de notre pays. D’autre part, sous Frederick I, une autre réforme de longueur fut lancée, la destruction de toute la puissance des aristocrates, qui représentent, un élément de blocage vers notre évolution commercial et naval, de plus ceci, sont la source de multiple révolte face à l’Union, leur privilège et leur moyen doivent être réduit au maximum ! ![]() Commercialement nous assistons à la plus grave crise de notre histoire en 30 ans, le royaume souffre des multiples embargos des nations mercantilistes, à Venise et Constantinople. Nous tenons dans les autres centres de commerce, mais avec quelle difficulté ! Quant au niveau technologique, notre avance est assurée dans les technologies gouvernementales et commerciales, où nous sommes premiers, ou dans les premiers, prochain objectif la modernisation de notre flotte. Missive Diplomatique de Scandinavie : A la France : Nous vous demandons, très humblement de levé l’embargo sur Venise, qui n’a pas lieu d’être ! Tant que cela ne sera pas fait, nous bloquons tous nos échanges diplomatiques avec vous. Vous savez ce qui vous reste à faire. A la Moscovie : Nous sommes heureux de voir votre développement, et espérons que vos prochaines guerres à l’Est auront autant de succès que dernièrement. Que la voix du Christ se portent à tous ces païens ! A Venise : Très cher Doge, nous espérons que les portes de votre belle ville, soient rouverte à nos marchants. Quant à la réouverture de la route de Constantinople à nos flottes commercial, j’attends de voir vos propositions à ce sujet. A l’Empereur : Nous espérons que nos dernières actions, vous ont montré que nous savons tenir notre parole, nos troupes sont prêtes à ce porter aux frontières de l’empire si l’Ottomans les menaces, que l’empire soit grand et fort ! A l’usurpateur de Stockholm : Abandonné le trône que vous nous avez usurpé, où nous y ferons descendre de force, cela fait trop longtemps que nous acceptons cet état de fait ! Que l’Union soit faite, comme le souhaite, le tout puissant !
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L'homme n'est pas fait pour travailler, la preuve c'est que cela le fatigue. ( Voltaire ) On dit qu'il y a trois millions de personnes qui veulent du travail. C'est pas vrai, de l'argent leur suffirait. ( Coluche ) Si l'Administration travaillait dans le Bâtiment, elle aurait les doigts pris dans le béton. ( Coluche ) |
#5
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![]() L'Empire Ottoman 1457-1487 I - Une défaite au goût amer En 1457, chrétiens et Musulmans s'affrontaient depuis quelques années. Si jusqu'à maintenant le sultan avait dù abandonné les terres hongroises, il ne cédait pas un pouce de terrain et infligeait régulièrement de sévères défaites à ses adversaires dans les Etats balkaniques frontaliers de l'Empire. Voyant qu'il leur était impossible de passer, de nous vaincre. Les chrétiens choisirent de frapper dans la partie orientale de l'Empire en bloquant soigneusement le Bosphore. Leur débarquement grossier failli même échouer, la cavalerie ottomane étant à 2 doigts de franchir le Bosphore à temps. Evidemment, ils leur étaient beaucoup plus facile de faire des sièges là où il n'y avait pas d'adversaires. Des quantités importantes d'hommes débarquèrent ce qui nous laisse penser que plus aucune troupe ne se trouvait à Venise ou en Autriche. Pendant ce temps, étant dans l'impossibilité d'atteindre leur royaume pour les frapper au coeur, le sultan choisit de tenter de dégager la partie orientale de l'Empire. Une longue et difficile traversée commença, allant de la Crimée aux Mamelouks en passant par le Caucase. Ce choix eu des conséquences importantes sur les effectifs déjà atteints de l'armée. Un jour, les 8000 cavaliers (du moins en théorie) arrivèrent en Anatolie. Malheureusement, pendant ce temps, les chrétiens vomissaient de plus en plus de troupes sur nos côtes. Avec un grand étonnement nous constations que la petite puissance militaire vénitienne était la plus représentée ce qui n'avait pas de sens vu son poids démographique. Cet Etat faisait en fait grimper son inflation dans des proportions folles et assurément sans aucun respect pour le peuple vénitien qui allait en subir les conséquences. Ce qui devait arrivé arriva. Malgré quelques victoires initiales, l'usure de nos troupes et surtout l'impossibilité de renouveller les effectifs perdus nous obligèrent à signer la paix. Ce n'était pas une victoire chrétienne mais une défaite ottomane, en ce sens où ce ne sont pas les chrétiens qui nous ont privé de nos ressources en hommes par leur victoire mais nous-même par les épuisantes traversées qu'il fallait faire. Karaman, dans notre dos, fut vassalisé de force par l'Autriche. La Morée fut cédé à Venise et Athènes retrouva son indépendance. Enfin la Serbie fut libéré de sa vassalité envers nous mais préféra rester notre allié. Ce qui en dit long sur le besoin de liberté et la haine qu'étaient censés nourrir les peuples chrétiens au sein de l'Empire turc. II - L'affirmation de la souveraineté ottomane Nullement abattu par ce contre-temps, le sultan décida de poursuivre ses projets comme si de rien n'était. Il était temps d'affirmer la supériorité ottomane sur les petits Etats orientaux comme Dukadir et autres. Si certains ne posèrent guère de difficultés et ce rangèrent sous notre autorité, d'autres furent plus réticent. C'est le cas du Qara Koyunlu. La guerre devenait inévitable. Elle ne fut pas évité mais provoqué. Le sultan prit préxtexte d'une énième attaque des Qaraéns contre un de ses voisins pour intervenir. Le Mamelouk, qui avait noué peu de temps auparavant une alliance avec l'Empire Ottoman, en fit autant. La campagne ne fut que démonstration de l'art militaire ottoman. Car rapidement les Mamelouks se retirèrent de la guerre. 3 provinces : Ajam, Gilan et Manzadarin tombèrent dans notre giron, pendant que notre vassal Ak Koyunlu récupérait l'Azerbaïdjan. Malheureusement, peu de temps après, la région connu de graves troubles et de nombreuses provinces entrèrent en révolte. Notre ancien adversaire, le Qara Koyunlu, incapable de faire face fut divisé en 2 avec la création d'un royaume perse indépendant. 2 des provinces que nous venions de conquérir dans la région choisirent de se rallier à cet Etat perse naissant. Cela était inadmissible. Le Qara Koyunlu fut placé sous notre protection car ce jeune Etat perse semblait particulièrement vorace et irrespectueux des plus puissants que lui. Nous ne nous étions point trompés. Très vite une guerre éclata entre anciens sujets d'un même Etat. Nous étions appelé à l'aide. Le sultan choisit d'intervenir. Il assura d'abord l'indépendance du Qara Koyunlu, écrasa les armées perses et les traita en vaincu. L'Etat perse devait restituer les 2 provinces turques qui l'avait rejoint et une 3e en dédommagement. De plus, il devenait un vassal de l'Empire Ottoman. Alors qu'à l'est la paix et le calme reprenait leurs droits. Le guide des Turcs tourna son regard vers l'Occident. Les 5 années du traité de paix d'avec les chrétiens s'étaient écoulées, notre guide frappa alors d'embargo Venise et, au passage, l'Union de Kalmar. Les marchands des 2 royaumes étaient si présent dans notre cot qu'il nous étaient impossible d'envoyer nos marchands. De plus Venise payait également la dernière guerre. Le sultan leur fit savoir que notre cot ne serait rouvert à leur marchands que contre un dédommagement pécunier. Bien sur, il demanda nettement plus à Venise qu'à l'Union de Kalmar qui n'avait rien à se reprocher. D'ailleurs, à ce jour, cette dernière peut de nouveau commercer en Thrace. Le duché d'athènes que le sultan avait dù relacher fut annexé en qlq jours après démonstration de sa puissance militaire. Aucun chrétien ne broncha. Cette activité incessante du chef des Turcs avaient été récompensé par un développement économique et militaire certain. Les revenus de l'Etat augmentèrent de plus de 50%. La puissance militaire s'est accrue : plus d'hommes, un ravitaillement meilleur, un entrainement plus performant. D'autre part, l'absence d'une flotte ottomane sera compensé très probablement par le traité de non prolifération chrétienne en Orient en pourpaler avec les Mamelouks qui assurerait ainsi une protection sur les bases arrières de l'Empire. La puissance ottomane monte indiscutablement. Progresse t-elle aussi vite à Venise et en Autriche ? Il vaudrait mieux pour eux... DIPLOMATIE : - aux Etats chrétiens : tous ceux qui commerceront dans nos cots seront susceptibles d'être frappé d'embargo s'il ne s'acquittent pas d'un droit de commerce. Dans notre grande sagesse, nous savons faire la différence entre les commerçants voraces, ceux qui nuisent à nos propres marchands et les autres qui ont bien du mal à maintenir 2 marchands. - à la Castille : nous n'oublierons pas de si tôt ce que vous avez fait subir à nos frères musulmans de Grenade. Si Allah nous en donne la force, vous le paierez un jour.
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#6
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1458 – 1475. La dixième Croisade
La Sainte Croisade reprenait de plus belle ![]() ![]() ![]() ![]() Le but de l’Empereur était cependant plus vaste, plus rusé ![]() ![]() ![]() Le Sultan ne capitula cependant pas et fit appel à ses formidables ressources humaines pour lever une nouvelle armée directement en Anatolie. Ces troupes lui permirent très rapidement de passer à la contre-offensive, d’autant que l’usure était terrible pour les croisés ![]() ![]() Formidable puissance navale et dirigée par un souverain Juste et Bon ![]() ![]() Les Janissaires cependant trouvèrent refuge dans les royaumes musulmans voisins et, après de longs mois pour reconstituer leurs forces, alors que l’usure décimait toujours les croisés, les Infidèles contre-attaquèrent à nouveau : la vague emporta tout sur son passage ![]() ![]() Le gain semblait cependant bien dérisoire en comparé des formidables moyens engagés. C’est alors que le Doge et l’Empereur, sans concertation aucune mais animés par la même nécessité, lancèrent un nouvel et puissant effort : le Doge se ruina pour lever de nouvelles troupes, l’Empereur prit la terrible décision d’abandonner complètement le continent européen ![]() ![]() Cet afflux de troupes permit, en 1464, de repartir de l’avant et les deux chrétiens se partagèrent cette fois les rôles : l’Empereur retournait vers l’est de l’Anatolie, le Doge remontait directement vers Constantinople. ![]() Cette fois, les Janissaires échouèrent complètement à refouler l’invasion et toutes les provinces du Sultan tombaient les unes après les autres ![]() ![]() Désespéré, le Sultan concentra ses meilleurs troupes pour une ultime contre-offensive : en décembre 1464, il lança ses Janissaires contre les Croisés qui assiégeaient Constantinople ![]() ![]() ![]() Pulvérisés, les Janissaires offrirent enfin leur reddition : les conditions de paix Chrétiennes furent TRES généreuses, que le Sultan ne l’oublie pas ![]() Ainsi s’acheva la dixième Croisade : elle avait duré 10 ans et se soldait par une victoire indiscutable de la Chrétienté :epee: … Représentée malheureusement uniquement par ses deux champions : le Doge de Venise et l’Empereur d’Autriche. Dernière modification par Danton ; 09/02/2008 à 13h31. |
#7
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1476 – 1487. L’Empereur sauve une fois encore la Hongrie
La situation en Hongrie sombre dans le chaos le plus complet : partout, des agents Infidèles sèment le trouble et poussent à la révolte, afin de permettre au Sultan des Infidèles de cueillir ce joyau de la chrétienté comme un fruit mûr ![]() « Ainsi, l’Infidèle, après sa tentative de conquérir militairement la Hongrie, essaye désormais de s’en emparer par des moyens plus subversifs ![]() ![]() ![]() ![]() Brisés, les Autrichiens doivent reculer sans cesse et les pertes sont terribles, mais l’Empereur garde son calme : ses réserves sont inépuisables. De plus, le Sultan des Infidèles, Osman II, décède enfin et son âme perverse est précipitée en enfer ![]() ![]() Le Roi Janos I de Hongrie est sauvé et peut reprendre les rennes du pouvoir mais, très vite, il réalise que les saboteurs Infidèles n’ont pas désarmés : ils se sont juste repliés et concentrent désormais tous leurs efforts non pas sur la totalité du royaume Hongrois, mais uniquement sur les provinces de Pecs, Serton et Ersekujvar. Débordé, le Roi Janos I sent son pouvoir vaciller et il fait à nouveau appel à l’Empereur, lui offrant ces trois provinces ![]() Cette œuvre libératrice terminée, l’Empereur peut enfin tourner son regard éclairé et bienveillant vers d’autres cieux. Ce qu’il vit ne lui plut pas toujours : certains avaient honteusement profité de sa Sainte Lutte contre les Infidèles pour se remplir les poches et violer tous les préceptes Chrétiens. Que ceux là prennent garde car qui pactise avec l’Infidèle, qui frappe dans le dos un Chrétien en croisade, celui là sera excommunié par le Saint Père et promit aux tourments éternels ![]() Dantonus Magnus, Historiographe officiel de l’Empereur Danton I, Roi d’Autriche, Rempart de la Chrétienté, Empereur du Saint Empire Romain Germanique et descendant de Pierre ![]() |
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Quand la Sublime Porte parle tout le monde se tait
L'empereur d'un empire décadent et inexistant ferait mieux d'apprendre son histoire. En aucune façon, nous signâmes une paix blanche avec la Hongrie c'est un affâme complot du dieu des chrétiens, EUesque, qui imposa une paix pour des raisons futiles et pleines de mauvaise foi. D'autre part, l'annexion du duché d'Athènes, terres légitimes de l'Empire Ottoman successeur de l'Empire byzantin s'est produite bien avant l'année 1464. Au contraire de vous qui agissait dans le dos, cette annexion fut faite à la vue de tous et en représaille suite au débarquement dans nos terres orientales ![]() N'est ce pas étonnant que des chrétiens qui remportent une victoire laissent des conseillers musulmans, soit disant, autour du roi de Hongrie ? De même, quelle surprise que de voir que les troupes hongroises se sont ardemment battues pour préserver l'indépendance de leur royaume contre les troupes impériales censées être venu les sauver. Enfin, il est fort étonnant de constater que malgré le fait que le roi de Hongrie en personne, soit disant, vous ai confié 3 des terres hongroises vous ayez subi une réprobation d'une partie du monde chrétien (les ia parce que les joueurs humains, à part un, s'en foutent) à l'origine de votre mauvaise réputation ![]()
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Chroniques vénitiennes
La guerre venéto-turque (1454-1464) : la Victoire Alors que la guerre s’enlisait de plus en plus dans les Balkans, où, profitant du terrain favorable à la défense, les deux camps se neutralisaient réciproquement, la République de Venise, profitant de l’anéantissement de la flotte turque suite à l’écrasante victoire de Loredan à Naxos, proposa à l’Empereur un projet d’une audace inouïe : l’invasion de l’Anatolie turque par le blocus du Bosphore. On ne narrera pas ici les évènements de cette campagne victorieuse ayant amené le Sultan à céder, ces évènements ayant été brillamment exposés par les historiens de Vienne. On notera juste les difficiles batailles près d’Ankara où les janissaires faillirent remporter une victoire remettant en question toute l’expédition, mais qui fort heureusement n’eut pas lieu. Notons également le siège de Constantinople par les troupes vénitiennes pendant plusieurs mois. La ville ayant pu être prise si la Sultan n’avait pas sagement décidé de négocier avec les Croisés. La force de nuisance des blocus ayant amené le trésor turc à la quasi-faillite, fut une expèrience très intéressante. Cet accord de paix apporta à Venise le contrôle direct de la Morée, restaurant ainsi la grandeur et la puissance républicaine des anciens temps que nos ancêtres avaient construit. La Serbie fut exemptée de tribut envers le Turc, tout comme la principauté d’Athènes qui fut libérée. L’Alliance entre Venise et l’Empereur avait parfaitement réussie dans son objectif : mettre un point d’arrêt à l’expansionnisme mahométans en Europe. Félicitons nous également des succès des rois de Castille qui ont à cœur de se débarrasser définitivement de la verrue que représente Cordoue en Andalousie. Néanmoins, cette victoire aussi éclatante qu’elle fusse, eut de sérieuses répercussions sur le trésor républicain : bien que le commerce eut été peu touché malgré les raids de pirates incessants, le Doge dut ordonner la frappe de nouvelles monnaies durant la guerre, l’inflation, bien que contenue augmenta donc sensiblement. L’avertissement français. Alors que plusieurs s’était écoulées de relative paix en Europe, voilà que la Royaume de France se retrouve en guerre contre la Bourgogne, et menace très clairement d’annexer le Brabant, le Valenciennois, l’Artois, et la Bourgogne. Ceci faisant suite à l’annexion de la Bretagne, de la Provence et de l’Anjou… A cette longue liste s’ajoute les prétentions françaises en Gascogne toujours anglaise (et probablement après la Flandres annexée, Calais…). Non seulement le Roi de France ne daigna faire aucune diplomatie, aucune déclaration, aucune concertation, aucun avertissement… mais encore il osa se déclarer choqué quand l’Angleterre, Venise, Castille et Aragon réagirent promptement en déclarant la guerre à la France. Fort heureusement pour l’Europe, le Roi se décida à traiter et fit paix blanche avec la Bourgogne et la Coalition. Néanmoins, ce même Roi toujours jaloux des richesses vénitiennes et de son implication diplomatique pour l’équilibre européen, se lança dans des guerres d’Italie inconsidérée : non seulement la Savoie fut vassalisée, mais encore notre voisin Milanais ! Mais ça n’est pas fini : non content de cela, la France fut engagée dans une guerre contre Rome et le Pape lui-même ! A cette heure, Avignon, terre papale est occupée par la France ! Mais ça n’est toujours pas fini : la France est également en guerre contre la Toscane ! Nous n’avons nulle envie de défendre la Toscane, puisque celle-ci n’a pas hésité à annexer Ancône au pape. Pour protéger l’Italie et le Pape des appétits français, les troupes vénitiennes ont été obligées d’intervenir en Toscane avant que les français n’arrivent… Dès que celle-ci sera sous notre contrôle, nous rendrons Ancône au Pape, nous annexerons Ravenne, et nous ne vassaliseront pas la Toscane, qui sera ainsi remise à ces frontières de 1453. Ainsi toute l’Europe est témoin que Venise affiche et communique ses intentions très clairement contrairement à d’autres… Mais bien sûr cela ne sera possible que lorsque la France aura fait paix blanche avec la Toscane ET avec le Pape : une annexion d’Avignon serait tout à fait intolérable et déclencherait immédiatement une 2e coalition contre la France. Nous prévenons la France : Venise sera toute prête à ouvrir de nouvelles relations uniquement quand un certains nombre d’exigences, entièrement partagées par nos amis et alliés seront remplies : -La libération de la Savoie et du milanais, terres d’Empire -La paix blanche avec la Toscane et le Pape -Le renoncement des prétentions françaises en Bourgogne et en gascogne et à Calais -La levée de l'embargo à Paris Suite à venir.. Dernière modification par comeon ; 09/02/2008 à 19h53. |
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![]() ![]() Histoires Moscovites 1453 – 1487 Naissance d’une puissance Nos diplomates ont su se montrer convaincant, et les principautés de Tver et Yaroslav ont rapidement rejoint le destin du Grand Duché de Moscovie. Mais, cette puissance naissante a effrayé les hordes tartares de Kazan et de Crimée, qui s’allièrent dans le but avoué de détruire la civilisation chrétienne dans cette partie du monde. Les premières vagues submergèrent les armées moscovites en large infériorité numérique. Mais les batailles successives démontrèrent à l’ennemi notre farouche volonté et entamèrent leur détermination avec le temps. Au bout de 3 ans de guerre sans succès, les Tartares décidèrent alors qu’il était temps de rentrer dans leurs steppes. Le Grand Duché de Moscovie avait survécu A l’Ouest, la puissance de Novgorod était sur le déclin. Ils n’avaient pas su défendre leurs provinces orientales, dont les populations russes et orthodoxes avaient été abandonnées au joug tartares de Kazan. Le temps était donc venu pour la Moscovie de devenir le Champion des populations russes. Le Grand Duc Vassily II décida donc d’envoyer des milliers de diplomates moscovites, soutenus par notre allié et vassal Khanate jusqu’aux rives de la Baltique. Une nouvelles fois, notre diplomatie fut concluante et Novgorod décida volontairement de renoncer à sa souveraineté sous la pression de sa population. Les frontières du Grand Duché de Moscovie furent donc repoussées, nous octroyant un nouvel accès à la mer. ![]() Diplomates moscovites CARTE DU GRAND DUCHE DE MOSCOVIE : 1487 ![]() Tout aurait pu aller pour le mieux du monde, si ce funeste jour du 3 Septembre 1483 n'avait pas vu la mort de notre bien aimé Grand Duc Vassily II emporté par un mal soudain. Rapidement, la rumeur d'empoisonement fit son apparition car sans descendant direct, plusieurs familles avaient des vues directes sur le trône. Un conseil de Régence pris donc les affaires en mains, mais l'instabilité atteignait son paroxysme, et plusieurs nobles affichaient ouvertement leur opposition. ![]() Les diplomates moscovites portaient donc dorénavant toute leur attention sur la restauration de la paix à l'intérieur de nos frontières. Fort à faire avec toutes ces préoccupations, luttant pour sa propre survie, le grand Duché n'a pas pu porter grande attention aux restes des affaires du Monde. Nous saluons cependant les efforts de l'Empereur du Saint Empire Germanique à lutter contre les velléités impérialistes ottomanes, comme nous l'avons fait contre les Tartares. Nous apportons également notre plus profonde estime au Roi du Danemark. Nous sommes tous deux concernés par les tribulations des rebelles suédois, et espérons que votre Royaume saura imposer son pouvoir dans ces contrées nordiques. Nous sommes également fort contrits par l'arrogance de marchands vénitiens, à qui nous avons ouvert les portes de nos centres de Commerces, mais qui visiblement n'ont donc d'autres volonté que de s'enrichir sans porter la moindre considération au pays hôte. |
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