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#1
02/12/2007, 00h06
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Citation:
 tu confonds avec d'autre pays...  , en France un partis qui perd les élections il retourne dans l'opposition !
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#2
02/12/2007, 00h18
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Citation:
Justement, alors qu'un parti qui perd peut rester au pouvoir dans un système belge (basé obligatoirement sur les coalitions car il est impossible d'avoir un parti unique qui dirige comme chez vous). Mais ici, le SPA (socialistes flamands), même si ils pouvaient participer à une coalition fédérale numériquement parlant, a exclu cette possibilité, souhaitant retourner dans l'opposition pour se refaire des voix/sièges aux prochaines élections. Ce qui est compréhensible. D'où ma remarque vis à vis du sysème français, qui est beaucoup plus bipolaire (et moins parlementaire par nature) qu'ici en Belgique.
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Allez les Cajuns!! http://www.youtube.com/watch?v=0dglMqP_zEI Parleeeez-nous à boire....
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#3
02/12/2007, 00h44
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Citation:
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#4
02/12/2007, 00h46
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Moi j'aimerai dabord passer ce message aux admins: c'est certes de l'actu, mais il ne faut pas fermer le topic.
Car, sans dramatisation extrême, je pense que l'on a atteind aujourd'hui l'ultime frontière du système politique belge, et que l'on se trouve à un tournant historique pour le pays. Un tournant qui si il est mal négocié sonnera le glas d'une certaine forme de belgitude. Je pense que Cypho ne sera pas d'un avis très éloigné du mien ! Alors petite explication: Le système electoral belge est basé sur la proportionnelle, c'est à dire que tous les partis peuvent être présent au Sénat et à la Chambre. Le système gouvernemental est celui des coalitions, c'est à dire que dans chaque communauté plusieurs partis peuvent se retrouver au gouvernement. Jusqu'a ce jour la coalition la plus souvent au pouvoir était de type tripartite. Et depuis la fin de la seconde guerre mondiale, socio-chrétien et socialistes se sont toujours retrouvés aux commandes du pays, à l'exeption de ses huits dernières années, ou les socio-chrétiens se sont retrouvés dans l'opposition. Lorsque l'on forme un gouvernement on s'arrange toujours pour avoir la majorité simple, ou si nécessaire (pour de grande réformes) être le plus près de la majorité des deux tièrs. Voilà Aujourd'hui que se passe-t-il ? Depuis la mise sur pied du fédéralisme, les politiciens du sud et du nord ne se présentent plus dans l'autre communauté, et plus grave ne connaissent plus leurs homologues. De ce fait l'on arrive à la table des négociations sans comprendre les souhaits des uns et des autres. En plus comme la nouvelles culture politique ne prend pas en considération le principe de "la raison d'état", et bien on se retrouve avec des gens qui ne veulent rien céder !
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_________________ « Un de mes frères était si maigre que lorsqu’il avait bu un verre de vin rouge, on le prenait pour un thermomètre. » «Ma femme est tellement molle, que pour la mettre au lit j'ai besoin d'une truelle !» (Pierre Doris) -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- http://twitter.com/#!/evrargi Dernière modification par Gilou ; 02/12/2007 à 01h07.
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