![]() |
|
|
|
#1
|
||||
|
||||
|
Chroniques Autrichiennes 1631 – 1640
Venise, essouflée par sa dernière guerre avec l’empire de la sublime porte ; la France, se préparant à une confrontation avec l’Espagne ; la Pologne, désorganisée par une longue période de régence. L’occasion était trop belle pour ne pas la saisir, de récupérer ce qui nous avait été volée 20 ans plus tôt (Hesse et Nassau). Dés 1630, le projet d’attaque était élaboré, mais c’est en 1631 qu’il démarra. Toute notre armée envahit le duché de Frise. L’empereur avait embauché pour l’occasion, un Pasteur Hollandais, évincé du pouvoir par la confrérie des moines d’Euhutrois, un dénommé Ric Grossach . Sa réputation de ne « pas faire dans la dentelle », était grandement connue de tous, et l’Empereur lui donna loisir de prouver qu’elle n’était pas usurpée. C’était également l’occasion de démontrer que, « la grosse masse », en Autriche, on sait faire aussi…La campagne fut donc menée tambour battant par Grossach, et rapidement les deux tiers du duché Frison étaient occupés. Alors que les vestiges de l’armée ennemie, faisaient la navette entre la Flandre et Zeelande, c’est le moment que choisit la France, pour voler au secours de son allié. Personne ne lui reprochera de respecter ses engagements, mais était-ce opportun ? Dieu seul le sait. Toujours est-il que cette intervention brisa l’élan de Grossach, et une guerre de position s’instaura, sans que personne ne put savoir jusqu’à quand elle aurait duré. Fort heureusement, l’Espagne, éternel ennemi et rival français, sauta sur l’occasion pour déclarer une guerre qui était déjà imminente, avant l’assaut Autrichien sur Frise. Cerise sur le gâteau, la Sérénissime république de Venise, fort mécontente de l’attitude Française au sujet de la Savoie, se joignit à la fête. Grossach, dans un ultime effort, profita de la confusion et enrôla moults mercenaires, qui délogèrent les français de leurs positions récemment acquises. L’état major Français, devant se couper en trois fronts, jugea bon de jeter l’éponge, laissant à Frise le soin de payer seule, la note. Hesse et Nassau, revenaient dans le giron Autrichien. Messages diplomatiques A Venise Cher ami, nous avons le même objectif : la défense de la chrétienté. Puisse Milan revenir dans le droit chemin de l’église catholique, sous votre autorité. A la France Mon cousin, nos affaires ne s’arrangent décidément pas. Votre politique « pragmatique », comme vous vous plaisez à la qualifier, reste hélas à nos yeux, …nébuleuse. A la digne et fière Angleterre Notre porte vous est toujours ouverte…
__________________
on peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas... En France, on n'a ni pétrole, ni idées. Mais on a des taxes... ![]() Dernière modification par vince ; 19/11/2007 à 13h48. |
|
#2
|
||||
|
||||
|
Réaction du Patriarche Orthodox d'Istambul à la missive Autrichienne
Citation:
Il semble que votre conception de la chrétienté s'arrête aux frontières du catholicisme. Vous semblez oublier que les Chrétiens Orthodox, Protestants et Réformé sont aussi des enfants du Seigneur notre Dieu. Nous appelons les Puissances défendant ces cultes à dénoncer publiquement l'intégrisme Religieux dont s'affuble certains grand de ce monde ! Que la Russie, grande puissance orthodox sorte de son autarcie et prenne la défense de notre communauté aux côté de l'éclairé Sultan ! Réaction Pasteur Ric représentant Impérial des immigrés protestants français en Turquie à la missive Autrichienne Citation:
Voilà qu'à votre tour vous excluez les protestants de la communauté chrétienne qui, pour vous, n'est formé que des seuls membres du Culte catholique dont les Eglises semblent plus emplies d'or que de foi et dont les curés bedonnants dégoulinent de corruption. Cette mise à ban des Protestants annonce de nouvelles victimes d'un obscurantisme dont notre Seigneur ne se serait jamais voulu. Revenez à la raison avant qu'un peuple éprit de liberté vienne chercher dans vos églises l'or qui lui permettra d'acheter son pain !
__________________
J'acheterai tout dit l'or... Je prendrai tout dit l'épée... |
|
#3
|
||||
|
||||
|
Réponses de l'Empereur :
Au patricharche de l'église orthodoxe de Constantinople Vous extrapolez nos propos. L'empereur n'a pas remis en cause le schisme d'orient de 1054. Vous vous affolez inutilement. Soyez rassurés, il n'y a pas de population orthodoxe dans le Saint-Empire, et donc nulle raison de hurler à l'intégrisme religieux. Au Pasteur Ric représentant Impérial des immigrés protestants français en Turquie (Mais combien y'a t-il de Pasteur RIC ??? )Réveillez-vous mon bon... Cela fait plus de 100 ans, que les Empereurs du Saint Empire ROMAIN Germanique, ont déclaré impies, les thèses luthériennes et Calvinistes. Quoi de plus normal, quand on dispose de l'onction de sa Sainteté le Pape, que de défendre son Eglise ? D'ailleurs, si vous tenez tellement à jeter l'opprobe sur ceux qui défendent l'Eglise Romaine, sachez que la fille ainée de celle-ci, la France, partage le même point de vue que l'Empereur à ce sujet. En effet, le roi de FRance n'a jamais caché ses désirs de convertir ses provinces infidèles, ce dont l'Empereur s'est toujours félicité. Rappelons-nous également que l'Autriche a cédé gracieusement la province de Metz à la France, moyennant une promesse de conversion.
__________________
on peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas... En France, on n'a ni pétrole, ni idées. Mais on a des taxes... ![]() |
|
#4
|
||||
|
||||
|
Message du Kniaz
Au nom du Velche La Russie n'est en aucun cas autarcique. Lors de la dernière guerre entre l'Autriche et la Frise, elle a immédiatement amené 30000 hommes à la frontière autrichienne, à travers les plaines Polonaises, jusqu'à ce que la France annonce qu'elle assumait le rôle de défenseur de la Frise. Nous avons renoncé alors à entrer en action car la guerre à 3 contre 1 ne fait pas partie de nos valeurs, mais si la France n'avait pas souhaité agir nous ne nous serions pas défilé. Nos alliés ont toujours pu compter sur nous. A l'Angleterre: si vous estimmez que mener la guerre aux Mings est une partie de plaisir, n'hésitez pas à vous lancer ! Leur équipements et leurs techniques sont peut etre obsolètes mais leur nombre infini fait que le front est toujours une boucherie, surtout en Sibérie centrale. Ces guerres extraordinairement couteuses ne nous ont jamais apporté que quelques plateaux arides. Mais conformément à nos annonces, nous n'avons pas hésité à dépenser ensuite sans compter pour porter le message du Christ dans ces territoires. Les Mings font toujours partie des nations les plus riches du monde , ce ne sont pas vos tribus d'Amérique du Nord. La Russie est prête à toute forme de collaboration, en particulier au niveau commercial et colonial. Faites-nous donc des propositions au lieu de gémir, nous les étudierons avec bienveillance. Nos voisins se sont montrés dignes de confiance. Nous menons la politique que nous avons toujours annoncé et n'avons été trahis par personne. Pour ceux qui en doutent, nous rappelons notre position générale: la Russie n'est pas là pour changer les rapports de force en Occident, à moins que celà serve notre politique: prédominance en Asie, extension commerciale, succès de l'orthodoxie. Sinon, c'est comme le disent nos marchands allemands: Demerden Sie Sich Quant à notre position vis-à-vis des Balkans, nous resterons en bons termes avec quiconque respectera la religion orthodoxe là où elle est installée. Toute tentative de conversion forcée se heurtera à notre hostilité. Toute libération de nation orthodoxe sera extrémement bien vue par la Russie. Pour l'heure, les comportements se valent.
__________________
http://blog.les-noeuds.net |
|
#5
|
||||
|
||||
|
Citation:
Regardez un peu la titulature du pasteur ric, bougre d'âne , si c'est un représentant des immigrés protestants français en Turquie c'est qu'il connaît parfaitement la situation de la France .
__________________
VIVE LA FRANCE !!! VIVE L'OM !!! VIVE LE ROI DES rois !!! Vous voulez vraiment savoir qui est Danton ? Alors cliquez ici (surtout montez le volume avant )
|
|
#6
|
||||
|
||||
|
Citation:
Après tout, qu'importe... Cela ne fait que conforter l'idée que la France et l'Autriche sont à mettre dans le même sac ![]() et puis c'est pas "prix repère" mais "marque repère"
__________________
on peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas... En France, on n'a ni pétrole, ni idées. Mais on a des taxes... ![]() |
|
#7
|
||||
|
||||
|
1640 –1647. Pas de changement sous le brouillard d’Angleterre
A la traîne technologiquement, ruinée et abandonnée de tous, maudite par les Dieux qui s’acharnaient contre elle, l’Angleterre était bien mal en point en 1640 . L’ambitieux programme lancé il y avait déjà 15 ans fut poursuivi avec une vigueur nouvelle : Londres avançait désormais à pas de géants pour combler le fossé immense qui la séparait des autres nations occidentales.En 1643, le monde éberlué apprenait que l’économie Anglaise était désormais la troisième mondiale . Un océan gigantesque nous séparait toujours de l’Espagne, qui avait quasi le double de nos revenus, et des décennies d’avance dans le domaine technologique, mais le Portugal était rattrapé et la France orgueilleuse laissée derrière nous. L’heure arrivait tout doucement de solder certains comptes : un embargo commercial fut décrété contre Lisbonne. Paniqué, le Portugal vient nous implorer de lever celui-ci, en échange de la levée de son propre embargo illégitime et injuste, qui durait depuis presque un siècle. Soit, l’Angleterre a accepté, mais que Lisbonne soit bien conscient d’une chose : à la plus petite incartade de sa part, nous rétablirons immédiatement notre embargo. La croix dans une main, le mousquet dans l’autre, nos missionnaires extirpent enfin complètement tout le paganisme de nos provinces d’Amérique : des constructions d’églises viennent saluer ce nouvel exploit. Gloire à l’Angleterre, qui a apporté la parole de Dieu dans ses contrées sauvages pendant que les autres nations d’Europe ne pensent qu’à leur petit portefeuille.Missives diplomatiques France. Votre alliance contre-nature avec votre du voisin du sud nous surprend et nous inquiète. Nous demandons des explications et vous prévenons que nous vous gardons toujours à l’œil, notamment et principalement cet ambassadeur nommé « Lemarseillais » ( si ce dernier pouvait s’expliquer clairement de temps en temps, cela nous changerait )Espagne. Cela ne vous coûte pas trop cher d’entretenir tant de catins ? Ne vous laisser pas vampiriser non plus, tant de monde compte désormais sur vos largesses que la terre cesserait probablement de tourner si vous veniez à disparaître. Autriche. Courage, digne choupinette. Frise. Toutes nos félicitations pour vos succès contre les Mings avides. Portugal. Nous vous avons aussi à l’œil… Venise. Si votre empire colonial est désormais un fardeau pour vous, n’hésitez surtout pas à nous le céder. Juste retour des choses, c’est grâce à notre aide formidable que vous avez pu le bâtir… L’absence de tout retour vis-à-vis de nos sacrifices ne sera pas oublié de si tôt en Angleterre… Tibet. Nous vous remercions pour votre proposition d’alliance, mais sommes au regret de devoir la refuser : l’Angleterre n’est pas isolationniste par volonté, mais par nécessité. La guerre est un privilège de riche. |
|
#8
|
||||
|
||||
|
Chronique espagnole 1630-1647
Or et libre commerce Après une sombre période au début du XVIIe sièce, où les finances et la richesse de l'Espagne furent ratrapées par des Etats comme la France ou la République de Venise, l'Espagne connue une véritable rennaissance économique en à peine une dizaine d'année. La création de la compagnie des Indes Orientales suite à la capture de Malacca, ainsi que notre avance technologique nous permit ainsi de remonter la pente descendante sur laquelle nous étions dangereusement engagée. De plus, la doctrine commerciale ultra-libre échangiste génialement imaginée par nos penseurs économiques et nos Rois, nous permit d'envoyer des marchands dans tout les centres de commerce connus. La qualité et le talent de nos marchands permettant de supplanter les marchands français et vénitiens. Les revenus de la couronne d'Espagne s'élèveront ainsi à plus de 520 millions de ducats par mois. Parallèlement à ce renouveau, la position diplomatique de l'Espagne fut comme toujours celle de l'équilibre européen : Ainsi lorsque l'Autriche décida de recouvrer ses terres légitimes d'Allemagne illégalement en possession de Frise, et que voyant la France attaquer par la suite l'Autriche, nous ne pouvions et ne devions que suivre notre fidèle allié, et nos armées passèrent les pyrennées. L'unique but de l'Espagne était de permettre à l'Autriche de recouvrer ses terres, et notre royaume n'émit aucune revendication. La guerre fut courte, et volontairement nos troupes avancèrent lentement dans le sud de la France, le but étant de fixer les armées françaises pour que l'Autriche puisse finir sa besogne sans trop de difficulté, sans faire trop couler le sang français contre lequel nous n'avions aucun grief. La paix fut donc signée,l'Autriche eut gain de cause, et l'Espagne signa une paix blanche générale. Pendant cette houleuse période, un changement de Doge à Venise allait avoir des conséquences politique majeures puisque Venise ancien allié de la France et de Frise trahis ses anciens alliés pour s'allier à l'Autriche. Notre sentiment était alors paradoxal. D'une part nous étions heureux que l'Autriche ait enfin trouvé un allié proche de ses frontières, et partageant quelques intérêts communs. Ce faisant l'Autriche navait plus besoin de nous pour assurer sa sécurité vis à vis de sa frontière du Rhin et pouvait voler de ses propres ailes. D'autre part la trahison de Venise, chose que nous exécrons tout particulièrement, eut le douloureux effet de nous rappeler la trahison polonaise. Et le message diplomatique envoyé à Venise avant ces évènements fut amèrement regretté. Ainsi la position diplomatique de l'Espagne se devait d'évoluer et de tenir compte de ce nouvel état de fait : d'une part par un rapprochement et une réconciliation définitive avec la France (chose attendue depuis plus de 200 ans!), d'autre part par une prise de distance avec Venise car la couronne espagnole ne s'aurait s'enticher des traîtres et des miéleux. De la réconciliation avec la France une idée communemment admise émergea aux fil des discussions : les deux royaumes devaient signer leur alliance par la guerre, seul moyen de montrer notre confiance réciproque. Ainsi la France nous incita à la guerre contre Venise contre laquelle elle avait encore de grands griefs. Dans un premier temps nous repugnâmes à attaquer ce pays dont l'allié était notre ami autrichien, mais les propositions de la France nous incitèrent à attaquer, et des revendications très mineures (4 villes coloniales en amérique du sud anciennement espagnoles) furent annoncées. En réalité cette guerre n'était nullement une guerre de conquète, mais seulement une guerre pour la confiance. Parallelement à cela, la France annonça des revendications mineures envers l'Autriche (à savoir la vassalisation de la Suisse) une fois convaincue par nous de ne pas charger inutilement la barque. La guerre fut rondement menée et en quelques jours Venise capitula en nous cédant 4 colonies. Pendant ce temps Autriche et France sont toujours en guerre, dont nous félicitons la modération en pertes humaines, et espérons que celle ci prennent rapidement fin. A vrai dire si la guerre n'aboutit à aucun avantage concret pour un camp particulier, la paix blanche peut très bien être une solution, l'Espagne pouvant dédommager financièrement la France pour ses efforts à la place de l'Autriche, à condition qu'elle suive le modèle de notre modération. Pendant cette période, l'armée espagnole, afin de garantir l'indépendance de ses territoires devant une concurrence de plus en plus acharnée fut portée à 200 000h de façon permanente. Parallèlement la flotte fut considérabelment renforcée pour garantir les routes de commerces trans-océaniques. A ce propos d'ailleurs, l'Espagne signale que du fait de sa doctrine libre échangiste, tout marchand est le bienvenu dans nos centres de commerce, tant qu'il n'empiète pas sur les affaires des notres. Cela à pour corolaire de laisser nos propre marchands faire fructifier leurs affaires dans tout les centres de commerce du monde connus. Bien évidemment nous garantissons le fait de ne pas attaquer les monopoles sur les centres de commerces nationaux. A la France : nous sommes heureux de notre réconciliation, et sommes prêt à servire de médiateur dans votre conflit avec l'Autriche si les deux parties sont d'accords. A Venise : allez et ne recommencez plus. La traitrise est une chose que nous avons en horreur , à vrai dire mais si elle ci sert nos propres adersaires, nous ne pouvons pas ressentir de l'amitié ou un autre sentiment approchant pour ceux qui se livrent à une telle activité. Mais le pardon de notre Seigneur se doit d'être appliqué également dans les relations entre Etats. Afin de montrer notre volonté de repartir sur de bonnes bases, nous sommes prêts à vous racheter à bon prix votre empire colonial d'amérique du sud. A vrai dire, notre prix serait tellement généreux, que nous ne pourrions trouver qu'extrèmement désagréable si ces terres étaient vendues à une autre puissance. Au Portugal : vous avez toujours été notre fidèle allié, et avez toujours respecté votre parole. Tant que ces relations entre nos deux pays continuent de la sorte, et que nos marchands peuvent librement commercer, nous resterons des amis en toute circonstance. A l'Angleterre : Votre proposition d'achat des terres vénitiennes en Amérique a reçu à Madrid un accueil extrèmement défavorable. Ce n'est pas de cette manière que les relations entre nos deux royaumes s'amélioreront. A cela est cumulée l'éternelle pleurnicherie anglaise désormais célèbre dans toute l'Europe. Prenez garde que quelque écrivains de théâtre n'en viennent pas à user de ce défaut pour en faire des comédies qui traversaient l'histoire et marquerait votre peuple de cette marque peu flatteuse pendant longtemps. |
|
#9
|
|||
|
|||
|
Chronique Frisienne. (1640-1650)
Une nouvelle croisade ! L’envie de repartir combattre l’incroyable hydre chinoise continuer depuis la signature de la paix à obséder les cadres militaires du duché, le duc voyait dans l’affaire un moyen de réaffirmer sa puissance dans la région et renforcer l’amitié de la « rodina » russe auxquelles il tenait. Les premières années de la période furent marquées par une diplomatie en vu de former une coalition viable pour tenir tête au mastodonte oriental, les deux états trouvés furent la Russie et la Pologne. L’armement pu alors enfin commencer, la préparation militaire de l’invasion obligea le renforcement du corps déjà installer sur place c’est à dire 12 milles cavaliers, à deux corps d’armé constituer chacun de 4 milles fantassin et milles artilleurs ayant pour but de prendre les places du pays. La guerre fut lancer un avril 1646, avec les Polonais, en quelques mois l’armé manchou fut balayé les forces coalisées et la paix signé avec eux laissant les Mings seuls face à nous, mais au contraire de la dernière guerre l’ennemie c’était mobiliser en son cœur et faisait face à nos forces nous empêchant toute descente vers le sud, bien sur nous tenions le corps du pays tant économiquement avec Jiangsu que politiquement avec Pékin. Il est vrai que nous pourrions signer la paix mais Frise continuera sa lutte avec les chevaliers polonais jusqu'à l’écrasement de ce titan ! La fin de l’unification néerlandaise ! « Quel bonheur pour nous que cette déclaration de guerre de Utrecht et de son allier Raguse contre l’empire ottomans qu’elle bande de fou ! », Voilà la première remarque que notre duc fit lorsqu’il apprit les décisions de la petite république irréductible au milieu de son duché. Le duché avait enfin une chance de faire taire cette misérable république en son cœur et détruire cette ennemie à notre arriver au trône impérial qui nous est de plus en plus à notre porté avec la disparition de la Savoie et de l’Alsace détruit dans les dernières luttes du continent. Après une brève réunion avec quelques représentants du parlement il fut décidé d’envoyer un messager porté une demande aux sultans pour plaider notre cause contre cette pathétique république qui lui déclarait la guerre. Très rapidement en plan fut dressé avec ceci moyennant quelque finance, l’Ottoman enverrait une expédition pour faire taire ceci, après avoir débarqué discrètement dans nos ports des soldats venus des Balkans pour leur blancheur pour garantir le secret jusqu'à la surprise finale, la ville fut surprise par cette horde sortant de nul part, ceci avait investit la ville sans combattre prenant l’hôtel de ville sans cout férir, exécutant les notables indésirables à notre duc. De bien entendu une armée Frisienne fut dépêchée sur place pour « sauvé » notre voisine, après quelque jour les Turcs durent se rendre face à notre incroyable détermination à protéger la chrétienté de cette invasion repartant chez eux chargé de quelques biens en récompense de leur aide dans cette affaire. La cité dut se rendre à l’évidence qu’elle ne pouvait survivre sans nous dans les turpitudes de se monde et fut donc annexer selon ses « vœux » à notre duché, finissant l’unification néerlandaise. |
|
#10
|
||||
|
||||
|
La guerre des Dupes (1631-1640)
En l'an de grâce mil six cens quarante et ung, Xavier ( ) roi de France par la grâce de Dieu, m'ordonna à moi, Monseigneur de Montargis, historien royal, de faire le récit de tenir les chroniques de la dernière décennie achevée. Me fut également explicitement demandé d'accorder grande place à la guerre des Cinq.C'est donc pour le plaisir et le bon vouloir de mon roi que j'ai réalisé ce précis de l'histoire de France de la dernière décennie. Contexte : Notre grand roi, noble et preux parmi les princes du monde, avait envoyé cinq ans plus tôt une ambassade au roi d'Espagne pour lui signifier notre ultimatum : il avait 5 années que Dieu fait pour se soumettre ou bien c'était la guerre. Beaucoup s'étonnèrent de cette démarche, mais il faut rappeler que notre roi avait proclamé lors de son avénement sa volonté de conduire la France vers la gloire éternelle. Or la gloire est fortement amoindrie par la spontanéité d'une déclaration de guerre. Plus elle est mûrie par votre adversaire, plus la victoire est grande. Toujours est-il que l'Espagne était avertie et avait 5 ans pour préparer son royaume à la guerre puisqu'il était évident que son orgueil l'empêcherait de céder. Or, voilà qu'en ce début des années 1630, alors que l'ultimatum allait prendre fin dans qlq mois, l'empereur attaqua dans la surprise la plus totale la Frise. Contrairement aux habitudes, aucun ultimatum, aucune demande ne furent annoncées avant les premiers affrontements. Le duché de Frise jouissait alors d'une position diplomatique enviable : allié de notre roi, de la riche Venise et de la lointaine république de Russie. Bien sur, de longtemps, Venise et Frise avait noué des accords étroits et toujours respectés. La France ni la Russie (qui de toute façon ne pouvait atteindre le front) ne devaient intervenir dans ce conflit. Venise et Frise avaient prouvé peu de temps avant leur capacité à écraser les armées impériales. L'entreprise impérial semblait folle. Semblait seulement ! En effet, en y regardant de plus près la situation n'était peu être pas si mauvaise que cela pour eux. L'Espagne, avertie chevaleresquement par la France, était prête à la guerre ou presque et aurait inévitablement porté secours à la maison autrichienne. Venise sortait d'une grande défaite contre les armées turques et avait fortement amoindri son potentiel militaire. Il lui fallait du temps pour se refaire. Surtout, et fort probablement, l'empereur savait que l'assassinat de l'ancien doge avait remis en cause les alliances passées. Il ne s'était pas trompé. Alors que la guerre durait depuis plusieurs mois, la France remarqua que l'Autriche concentrait TOUTES ses forces contre la Frise qui, malheureuse, était débordée face au grouillement ennemi. Notre étonnement fut grand. Mais que faisait le doge. Même avec une armée réduite, il pouvait facilement mobiliser 20-30000 hommes sur le front dès le début des hostilités et mener de nombreux sièges puisque l'opposition était inexistante. Non ! Venise assiégeait le milanais et uniquement le milanais, sans se presser qui puis est en y envoyant un faible corps expéditionnaire qui mis des mois à parvenir à ses fins. Notre roi dépêcha aussitôt un ambassadeur à Venise pour s'enquérir de la position officielle du doge. Celui-ci lui assura, après plusieurs semaines d'attentes (j'aurais très bien pu écrire après plusieurs milliers de frisons supplémentaires morts), que Venise soutenait la Frise contre l'Autriche et avait besoin de temps pour un plus grand effort. L'ambassadeur repartit faire part de la situation au roi. C'est alors que la Savoie, notre alliée récent, décida de profiter de l'embrasement général pour entrer en guerre contre Venise. Cela était absurde et malvenu de la part de notre allié. Nous proposames aussitot une paix blanche à Venise que nous pensions encore animer de bonnes volontés pour la Frise. Contre toute attente le Doge refusa !!! Cette fois-ci c'est une ambassade vénitienne qui vint à nous (nous pumes d'ailleurs constaté à cette occasion que la capacité de réaction et de dialogue existaient chez le doge. Etonnant alors le temps qu'il mis à nous répondre lorsqu'il s'agissait de parler de la guerre et de la Frise...). Le doge nous demandait si nous comptions protéger la Savoie car il souhaiterait l'annexer. Comme le doute sur les véritables intentions vénitiennes à l'égard de la Frise commençait à poindre chez notre roi, il répondit que l'heure n'était pas venu à l'annexion de la Savoie, qu'il y avait une guerre à finir avant. L'ambassadeur revint à la charge avec une nouvelle offre : des terres dans les Alpes pour la France si nous abandonnons la Savoie. Notre roi refusa séchement. Comment Venise pourrait-elle avoir le temps d'assièger la Savoie puisqu'elle n'a, soit-disant, pas d'autres forces à envoyer contre l'Autriche ? Cette question passa dans l'esprit de notre roi. La réponse semblait évidente. Elle fut claire comme de l'eau de roche après un nouvel échange entre le roi et le doge. Ce dernier exprima clairement son but de guerre : Milan. Ainsi, étais-ce sa conception de la guerre défensive ! Venise ne vise qu'a s'aggrandir en abandonnant à son sort son allié. Du même coup, la situation de la Savoie devenait plus claire : Venise restait en guerre car, d'une part, elle se savait non menacé par l'Autriche (au contraire même), d'autre part, elle attendait l'intervention espagnole tout en continuant à reconstituer ses forces. Toujours est-il que le temps s'écoulait inlassablement, face au comportement de Venise, la France décida d'entrer dans la guerre pour tenter de sauver l'Autriche. Mais la situation était déjà pénible, la moitié de la Frise était occupée. La France annonça officiellement son intention. L'Espagne intervint aussitot qu'elle n'accepterait pas une invasion de l'Autriche. La France répliqua qu'elle ne voulait que défendre la Frise et rien d'autre. De fait, pas une seule armée royale ne foula du pied le territoire autrichien de toute la guerre. Hélas, si la France tient parole on ne peut pas en dire autant de l'Espagne. Quelques mois plus tard, elle ouvrait un nouveau front et attaquait la France dans le dos. Alors même que nous avions respecté ses demandes. Bref, nous aurions dû le savoir que la parole espagnol ne vaut pas son or. La situation était très difficile pour plusieurs raisons : - la France, avant cette guerre, avait réformé son armée pour limiter la part de cavalerie à 33% des effectifs totaux. Or, l'Autriche, puis Venise ensuite, ne recrutèrent que, ou presque, de la cavalerie. Les armées n'avaient pas la même structure et cela se ressentit dans les pertes de nos troupes. - l'Autriche et Venise disposaient de généraux, parfois même de très bons, la France n'en avait aucun - la France devait tenir trois front en Europe et donc partager son armée. Sans compter le front américain avec l'Espagne. Alors que l'armée française est une des plus grande du monde, la division en trois lui fit perdre l'avantage du nombre sur chaque front, ce fait s'ajoutant aux autres. Si bien que la France avait envoyer environ 60000 hommes pour soutenir la Frise et avait lancé le recrutement en urgence de 20000 cavaliers supplémentaires. Face à Venise, 30000 hommes étaient réquisitionnés. Face à l'Espagne, dans les Pyrénées, se trouvait plus de 50000 hommes. Le reste de l'armée assurant la défense de l'empire colonial. Si nos armées purent bloquer l'avancée autrichienne en Frise et la repousser de qlq kilomètres, l'usure nous empêcha bientôt de faire un effort plus important. Au Sud, les provinces montagneuses furent abandonnés carrèrement à l'Espagne. Quelques combats s'y déroulèrent avec des pertes plus fortes chez l'ennemi. Mais notre priorité était la Frise, notre attention était fixée la haut. Sur le SE, rien ne se passait. Plusieurs mois s'écoulèrent encore jusqu'à une année noire où l'édifice craqua de toute part : - au Sud, par un débarquement dans le dos de nos lignes, l'Espagne tenta de nous encercler. Il fut repoussé après plusieurs combats mais les armées furent usées et durent prendre du repos. - au SE, Venise envoya 31000 cavaliers commandés sur la Savoie que nous défendions alors avec 13000 fantassins. Malheureusement l'information arriva tard à nos oreilles et quand nous mismes en mouvement nos renforts (20000 hommes) ils ne pouvaient qu'arriver avec 1 semaine de retard. Nos 13000 fantassins disparurent en 3 jours, en pleine montagne la cavalerie parvenait à charger (QUELLE PRODIGE ). Nos renforts stoppèrent leur mouvement pour fixer une ligne de défense derrière le Rhône. 20000 contre 27000 cela était jouable.....nouveau désastre la moitié de mort. La cavalerie parvient à charger à travers un fleuve (QUELLE PRODIGE ). Face à ce désastre, nous sommes contraint de prélever 19000 hommes du front espagnol pour faire face à Venise à hauteur du comtat Venaissin avec les restes de notre armée en déroute. Cette fois-ci, la victoire fut notre et notre adversaire pu s'estimer heureux que notre cavalerie était trop loin pour poursuivre sinon il ne serait jamais revenu en Italie.- au Sud, l'Espagne profita du retrait de 19000 hommes du front pour prendre position en Languedoc. Dans le même temps, une armée débarqua en Bretagne pour prendre le port de Brest où se trouvait la flotte royal. La citadelle fut pris d'assaut et notre marine dû quitter le port en urgence.....l'armada espagnole l'attendait. Malheureusement, personne ne nous avait averti de la chose et nous étions encore en train de suivre du regard l'évolution des fronts frisons et vénitiens. - en Frise, le duc commença a entamer des discussions voyant que la situation ne s'améliorait plus depuis que l'Espagne et Venise passaient à l'offensive Deux semaines plus tard, alors que nous pestions contre l'ouverture de multiples fronts qui nous rendait la gestion de la guerre tout bonnement impossible, alors que nous louions le courage de nos adversaires à 3vs1 (l'armée frisonne était réduite depuis plusieurs mois), nous remarquames qu'un faible contingent espagnol se trouvait en Bretagne. Tiens ? Que font des espagnols si haut. Tiens toute la flotte espagnole est là aussi !................................................. ........OU EST LA MARINE ROYALE ????????!!!!!!!????? Dépité nous apprimes que les 120 batiments français avaient tous coulé. La moitié de la marine espagnole aussi mais c'était une maigre consolation. Nous envoyames aussitot un diplomate suicidaire en Espagne pour lui signifier la honte qui entoure son nom. Alors que nous avions eu le tact de le prévenir d'une guerre suffisament tôt pour qu'il s'y prépare, ce cher cousin d'espagne a coulé notre flotte alors même qu'il avait bien remarqué qu'il était étrange que je la laisse se suicider ainsi. Quelle grande victoire pour l'armada espagnole ! Finalement, la guerre pris fin ainsi. La Frise céda deux provinces à l'Autriche. Venise annexa la Savoie et obtint de son nouvel allié le milanais. Venise venait de réussir le superbe coup de magie suivant : entrer en guerre soit-disant pour soutenir son allié pour finir par être allié avec celui qu'elle "affrontait" et faire la guerre à la France. Diplomatie : Autriche : Je constate qu'en pleine guerre vous êtes capable de vous arranger avec Venise pour le Milanais. C'est fort étonnant quand on sait que vous n'avez pas le temps de discuter en temps de guerre avec nous. Venise : Votre prédécesseur avait obtenu par la patience notre renonciation sur le nord-ouest de l'Italie. Félicitations, nous réclamons à présent la libération de la Savoie, du Milanais et de Gênes. Espagne : Angleterre : Vive la France EO : A la place du doge je vous dirai "ok ok faisons copain copain pour obtenir la levée de l'embargo", mais entre vous et moi vous y croyez ? Frise : Votre peuple est voué à vivre au quotidien la guerre, mais c'est le prix de sa liberté. Tenez bon ! Russie : On dit qu'à l'Est la neige est blanche. Ici elle est rouge. Suède : Vous ne seriez pas en train de monter une contre-gpo avec l'Angleterre ? Pologne : .....l'heure est à la méfiance ! Gardez vos frontières. Portugal : Un jour ou l'autre cet embargo va se retourner contre vous.
__________________
VIVE LA FRANCE !!! VIVE L'OM !!! VIVE LE ROI DES rois !!! Vous voulez vraiment savoir qui est Danton ? Alors cliquez ici (surtout montez le volume avant )
|
![]() |
|
|