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LE PORTUGAL EN 1560
Le Portugal continue son ouvre colonisatrice en Amérique, en développent de très nombreuses colonies au Brésil, nous permettant de devenir le première nation productrice de tabac du monde. Mais c'est surtout en Asie, que le portugal prend une place tout à fait considérable : D'une part par la suprématie commerciale que nous montrons en possédant de nombreux marchands dans dans tout les caravensérails de cette riche région. D'autre part, la colonisation de terres encore inconnues il y'a quelques années encore : des îles immenses dans une mer située au Sud du royaume de Chine. Royaume de Chine, qui dans sa bienveillance et sa sagesse, a bien voulu nous octroyer une terre au sud de Guangdong, pour le commerce. Cette suprématie portugaise en Asie a été prouvée de la plus brave et fougueuse des manières, par la prise du centre de commerce d'une île appelée Japon. Cette île qui a su si souvent repoussé les attaques mongoles, d'après les écrits des historiens chinois, n'a pu rien faire face à nos troupes, et surtout face à notre flotte ! Ainsi, le génial Memdoza, le plus brillant de nos généraux colonisateur, est il parti avec 15 000 hommes de Lisbonne, et plus de 30 navires de lignes lourdement armés en guerre, vers les côtes du Japon. Tout d'abord, l'armada fit escale au Cape Vert, puis à Fernando-Po, puis dans nos colonies du Cap, où ils firent le plein de vins et de victuailles, qui sont en abondance dans cette région. Puis, l'expédition arriva à Zanzibar, puis à Goa, puis à Jakarta, puis à Macao. Le portugal est décidemment l'empire le plus étendu de toute l'histoire de humanité... Arrivé en vus des côtes du Japon, par le Sud, des navires furent envoyés en reconnaissance, puis revienrent rapidement porteurs de mauvaises nouvelles : une armée de plus de 50 000 hommes campait autour de notre objectif ! Mais le général ne fut pas abattus, alors que n'importe quel homme aurait pris la fuite piteusement, lui ne se laissa pas démonter, et décida de débarquer malgré tout, mais plus au sud encore, et de prendre directement la capitale du royaume. Les navires arrivèrent dans la baie de Fukuandomi et commencèrent à pilonner grâce à leurs lourds canons les fortifications de la ville. Après avoir ouvert facilement une brèche dans ces murs qui ne sont pas conçus pour résister aux boulets, les navires de débarquements furent mit à l'eau, et 2 000 hommes d'élite lourdement armée fondirent sur le palais ! La résistance fut des plus brève : l'ennemi n'avait que des flèches et des sabres à nous opposer, alors que nos arquebusiers, et surtout notre organisation supérieure nous permiment de prendre la poterne sud ! Au prix de seulement 10 des notres, notre armée put alors pénétrer en masse dans le palai où nous attendait les lambeaux de la garnison ennemi. celle-ci était d'ailleurs complétement désorganisée : c'était bien la première fois qu'ils voyaient des hommes blancs, nous prenant probablement pour des démons étrangers où des demi-dieux, ils prirent la fuite vers le nord, certain se plantèrent même leur sabre dans le ventre, dans un geste desespéré. Dieu ne leur pardonnera jamais ce geste ! Ainsi, en seulement 3 heures de combat, la capitale du Japon était notre, mais il n'y avait pas trace de quelques roi ou gouverneur, ceux ci avait fuits dès la vu de nos navires, et rejoint la puissante armée de 50 000 hommes au nord ! Nous n'étions donc toujours pas rassuré : notre objectifs, le centre de commerce n'avait toujours pas été pris, mais nous avions quand même en prenant la capitale un avantage décisif dans la guerre qui allait s'ensuivre. Quelle stratégie devait on adopter maintenant ? La décison fut prise rapidement, Memdoza décida de laisser 5000 hommes en garnison dans la ville nouvellement conquise, pendant ce temps, les 10 000 hommes qui restaient partiraient via notre flotte prendre l'île de Shikoku. En moins de 2 mois, l'île fut entre nos mains, elle était peu peuplée, et cela nous permit de nous en servir comme base. Néanamoins, nous devions toujours prendre la province où se situait le centre de commerce. Mais comment faire avec une armée de 50 000 hommes qui la gardait ? C'est alors que des renseignements surs, nous lertèrent : l'armée japonaise avait fait route vers la capitale. L'occasion était inespéreé, pendant que la piétaille japonaise iraient pourrir sous les remparts bien protégés par nos troupes de la capitale, notre armée prendrait le centre de commerce. Alors nous n'aurions plus qu'à négocier avec les japonais qui s'en nul doute céderaient alors à toute nos revendicaitons. Ce plan était sur le point de réussir parfaitement : nous débarquâmes à Kiushu, vide de troupes ennemis, et mîmes le siège à la ville. pendant ce temps, nos 5000 hommes de garnison tenaient facilement leur position, les japonais avaient tentés maints assauts, mais à chaque fois nos canons et nos arquebusiers, placés en hauteur, transformaient tout leur assauts en piteuse défaite. Mais soudain, l'armée japonaise décida de lever le siège, et se mit en marche vers nous , alors que nous n'étions pas encore parvenue à prendre la cité ! Nous ne fûmes prévenus que 5 jours avant l'arrivé des troupes japonaises. il fut décider de combattre : Dieu était à nos côtés, la défaite ne pouvaient exister. Evitant les erreurs passés, notamment lors de la bataille de Lisbonne face aux Suédois, où les troupes étaient trop désorganisées, trop empréssées, Memdoza prépara savamment sa défense. 5 jours plus tard, l'armés nippone fut en vue : 35 000 hommes, 15 000 cavaliers, couvraient littéralement l'horizon. Celui ci n'était plus qu'un océan de lances et de drapeaux richement colorés. L'armée nous attaque de front : le sol se mit à trembler comme jamais, les troupes japonaises en furie criaient de toute part, leurs amis de la ville assiégait criaient aussi, et se préparaient manifestement à faire uns sortie. Mais l'organisation des troupes portugaises brisa net l'élan ennemi : 2 000 arquebusiers de première ligne tirèrent tous en même temps : en même temps qu'un bruit assourdissant, plusieurs centaines de japonais tombèrent au sol. Puis la deuxième ligne, puis encore la troisième... Après, alors que l'ennemis ayent perdu tout élan, était en train de se ressaisir, ce fut les piquiers qui se mirent formation devant les tireurs : tel les phalanges d'Alexandre, elles engloutirent littéralement les japonais dans un mare de sang et de tripes. La btaille était terrible, chaque japonais tué était remplacé par deux autres !! Pendant ce temps, à l'Est, un petit groupe de 1200 cavaliers Portugais, arrivé en renfort de la métropole il y'a à peine 3 jours !, avaient pris position dans les hauteurs boisés. Au signal, ils se ruèrent sur le flanc arrière droit de l'ennemi, les transpèrcèrent complétement de part en part, comme un lame géante, et réduisit en bouillier tout l'arrière de l'armée japonaise. Ainsi, Les Japonais furent vaincus, écrasés, et la ville se rendit en voyant ainsi la démonstration de notre supériorité invincible. Les japonais signèrent la paix en nous cédant le CoT De Kiushu, et cela alors que seulement 500 des notres étaient morts. Leur retour à Lisbonne 11 mois plus tard fut une véritable eplosion, digne des plus grands triomphes romains. Nul doute que cet épopée deviendrait légendaire, et que le portugal rentreraient dans l'Histoire à tout jamais. ![]() Diplomatie à venir |
#2
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Chroniques du Royaume de France 1520-1560
Cette dernière période a été assez funeste pour notre dynastie royale. Après la mort de François 1er, Henri II lui succéda, mais perdit la vie qu cours d’un tournoi de chevalerie. François II alors devient le nouveau roide France. ![]() Mais si la couronne valse de tête en tête, le travail du Connétable Elvis au siège du Conseil se poursuit avec grand labeur. La dynastie des Hasbourg a continué ses visées impérialistes sur l’Europe malgré nos efforts. Cependant une alliance avec certains Princes Electeurs ne résista pas longtemps aux pressions de Charles Quint, ni à l’alliance austro-ibérique. Soit, cet échec nous amena à revoir nos prétentions sur l’Europe Centrale que nous laissâmes aux mains de l’Autriche. Cependant, nos revendications persistent sur la province d’Artois, voler par le félon Duc de Bourgogne et cédée à l’Autriche. A la mort de Charles Quint, paix à son âme, l’Autriche céda la Franche Comté à l’Espagne mais conserve encore cette province de population française. Nous invitons donc l’Archiduc Albrech, fraîchement déchu de son titre impérial, à rejoindre les tables de négociations afin de résoudre ce litige. Ainsi, nous avons pu négocier avec la couronne d’Angleterre pour le rachat de Calais, et avec l’Espagne pour le retour du Roussillon. Comprenez bien cher Albrecht, que ce problème de l’Artois réglé, il n’existera plus de tension entre nos royaumes, et que la France ne pourra plus être alors considérer comme un danger pour les intérêts autrichiens. Cependant malgré ses tensions persistantes, notre travail se concentra également au développement des richesses du royaume de France. Nos explorateurs ont enfin atteints les rives du nouveau monde, et nos colons ont établit de nouvelles villes et comptoirs aux Amériques. En quelques décades, les fondations de la Nouvelle France furent scellées. Preuve de la réussite de nos colons, rapidement, un centre de commerce fleurissant émergea dans l’une de nos provinces. ![]() Mais si le Nouveau Monde est immense, il est déjà convoité par de nombreuses puissances européennes. Heureusement, des négociations avec Londres et Madrid ont permis une stabilité de la région. Nous reconnaissons la zone d’influence anglaise au nord de la rivière James, ainsi que nos comptoirs dans le grand nord canadien. Avec l’Espagne, les discussions furent plus ardues après l’incident de Savannah. En effet, cette province est sous juridiction du Traité de Tortillas saint édit papal. Aussi, dans un accord, nous nous sommes engagés à céder Savannah à l’Espagne, Dakar au Portugal, et à respecter l’intégrité du Traité. De son côté, Madrid nous promis la cessation du Roussillon. Malheureusement, pour une raison encore inexpliquée, les affaires espagnoles restèrent longtemps sans ministre pendant de nombreuses années. Aussi, nous décidions d’attendre son retour afin de clôturer cet accord, m^me si le Portugal, lui ne perdit pas de temps et envoya ses hommes reprendre Dakar… Mais, de nouvelles affaires nous ramenâmes à étudier les affaires intérieures du royaumes de France. La situation est grave. Le Protestantisme gagne beaucoup de terrain en Europe, et de nombreuses provinces françaises ont rejeté l’Eglise catholique Les Maréchaux Français sont divisés, le Duc de Guise soutient le mouvement une ligue ultra catholique, tandis que l’Amiral Coligny est le chef du parti protestant. ![]() Le Duc de Guise ![]() L'amiral de Coligny Le pays est au bord la guerre civile, et le roi, sous les bons conseils du dévoué Connétable Elvis devra prendre sa décision sur le futur destin du royaume de France. Rester dans le giron de l’Eglise de Rome, ou rejoindre le riche parti protestant…. |
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Chroniques russes 1560-1572
![]() Sous le règne du tsar Ivan IV, la russie mute progressivement vers un empire désireux d’élargir ses frontières tout en imprimant une certaine terreur à l’intérieur de celles-ci. Ainsi se crée l’Opritchina, domaine royal possédé par le tsar, administré par la police locale les Opritchiniki. Après le rattachemenbt à l'empire, de la principauté de Ryzan, l'armée avait sensiblement grossie. Malgré cela, la conscription est imposée pour alimenter le front qui s’est créé par la déclaration de guerre à la Lithuanie. 100 000 hommes sont lancés à l’assaut dans les plaines lithuaniennes. 3 villes tombent, Belgorod, Donetsk et Bogutjar où les russes affrontèrent des troupes polonaises. Celles-ci furent défaites et poursuivies jusqu’à Kiev. Un repli est néanmoins ordonné avant l’hiver. ![]() Cette pause fut mise à profit par les armées lithuaniennes, polonaises et suèdoises, nouvellement arrivées dans le champ des opérations(ce qui ne manqua pas de décevoir le tsar au plus haut point.) pour se réorganiser et préparer la contre-offensive. C’est Belgorod qui sera souvent le champ de batailles préféré. Les lithuaniens tentaient de la récupérer. L’hiver passé, nous tentâmes de les en déloger, mais ceux-ci étaient bien épaulés par les armées polonaises et suèdoises, attenantes. Belgorod rebasculait. Donestk en fit de même. Malgré la menace suèdoise qui marchait sur elles, les armées russes tentèrent de reprendre Belgorod. Vorotinski, le chef des cosaques, dont la vitesse de déplacement a souvent été gage de succès, fut malheureusement trop prompt à rejoindre les rangs des armées de siège, en vue de les soutenir face aux suédois. Pensant les prendre à revers, elle arriva malheureusement trop tôt et dans dans la confusion de l’assaut de la ville, fut elle-même prise à revers lorsque les suèdois de Flemming arrivèrent un peu plus tard. Il fallut donc lever le siège. L’élan était définitivement brisé, et une guerre de positions s’installa. ![]() Grâce à de généreux mécènes (à qui nous offririons volontiers notre partenariat dans le futur) le tsar relancça la conscritpion, et deux nouvelles armées furent constituées. L’une fut lancée à l’assaut de Kursk, non défendue, qui capitula. Puis elle marcha à nouveau en direction de Belgorod, toujours pas reconquise. Elle stoppa à la vue des Suédois qui y stationnaient. Les cosaques, qui faisaient mouvement à l’est, rebroussèrent chemin et marchèrent vers kursk lorsqu’ils apprirent que les polonais tentaient de la libérer. Leur vitesse de déplacement pris par surprise les polonais, qui, lourdement équipés n’eurent pas le temps de s’échapper. Et d’ailleurs, aucun d’eux n’en réchappa ![]() Cette victoire, fragilisa la position suèdoise à belgorod, qui se voyait donc privée d’un soutien. Ils décidèrent donc de se replier, laissant l’opportunité aux russes de capturer à nouveau Belgorod, ce qui fut fait. ![]() La situation était donc la suivante : 3 villes lithuaniennes capturées (Kursk, Belogorod, et Bogutjar). Le conflit durait déjà depuis de longs mois. Les ressources humaines étaient fragilisées, même si les Oprichiniki remplissaient bien leur rôle de tenir la populace en respect. Mais le trèsor avait souffert et les sacrifices financiers commençaient à peser lourd. De plus, l'élan initial n’a pas été assez fort pour briser les défenses ennemies en même temps. Polonais, Suédois et Lithuaniens se renforçaient à tour de rôle. Les russes commençâmes les pourparlers, bien que leur objectif premier n’était pas encore atteint. Ceux-ci échouèrent, mais incompréhensiblement, d’autres avaient été entâmés entre alliés Polonais et Lithuainiens. De russie, on ne sait pas ce qu’il s’est passé mais, soudainement une grande confusion règna dans la populace lithuanienne. Des rumeurs d’annexion fusèrent. Les russophones de Kursk, Belgorod et Bogutjar, se désolidarisèrent du joug polonais, et se déclarèrent membres de l’empire russe, qui en détenait le contrôle militaire. La pologne n’insista pas et la paix fut signée. Un vent de libération souffla dans les nouvelles villes russes. Bogutjar abjura même la foi catholique et revint rapidement dans le giron de l’église orthodoxe. Preuve, s’il en fallait, que ces villes n’avaient rien à faire sous une administration autre que russe. ![]() Dans son élan, le tsar attaqua la Crimée, qui le défiait depuis des lustres, allant même jusqu'à asservir la méritante Georgie. Le tsar avait besoin de terres fertiles et agraires pour nourrir les nouvelles recrues d’une armée nécessaire à ses ambitions et qu’il avait l’intention de bâtir. Les chiens musulmans furent rapidement balayés et Tsaritsyn annexée. Lugansk patientera un peu…
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on peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas... En France, on n'a ni pétrole, ni idées. Mais on a des taxes... ![]() Dernière modification par vince ; 19/07/2006 à 14h37. |
#4
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L'Espagne. De son histoire...
![]() Son Altesse Royale Felippe II -L'essor colonial: La population espagnole est désormais beaucoup plus importante, en nombre, dans les colonies qu'en métropole. Les plus inquiets prétendent que cette situation est intenable. Jamais les colons n'accepteront de se battre pour Madrid, disent-ils. Nous pensons que ces prévisions sont tout à fait folles. Et donc nous continuons à envoyer nombre de paysans, qu'ils soient castillans, catallans ou même basques, vers les Amériques, afin de faire tourner l'économie coloniale qui ne cesse de croitre. Les villes sont trés nombreuses, et le sucre est avec l'or une richesse énorme pour notre Royaume. Mais le café, le tabac, et des denrées classiques comme le métal et le blé sont aussi produites en quantité. Si ces satanés pirates, dont nombre de français et d'anglais, ne venaient pas piller nos convois dans les Caraibes, tout serait parfait. ![]() Village colonial type, dans les Antilles. -La situation en Europe: ![]() La guerre faisant rage dans les Provinces Unies autrichiennes, l'Espagne a put se consacrer à régler un vieux litige. La Corse, ile soeur de la Sardaigne espagnole était depuis longtemps revendiquée par Madrid. Gênes refusant toute négociation, il a été décidé une intervention militaire. 100.000 hommes, divisés en deux armées, allant assièger Gênes et Bastia. Gênes, comme punition, devra désormais être vassal espagnol. Tout comme le sont déjà Naples, la Lorraine, et la Savoie. Mais notre regard dut également se tourner vers la rive sud de la Méditérranée; -L'Afrique du nord, nouvel horizon espagnol: Dans notre lutte contre la progression musulmane, l'Afrique du nord se devait d'être une priorité. En effet. Le Portugal avait commencé à s'implanter dans la région, mais ses maigres moyens l'empechaient d'aller au delà d'une simple vassalisation de quelques territoires mineurs. L'Espagne se devait donc de prendre le relais, aidée par ses moyens financiers et militaires. Les terres portugaises furent annexées, contre dédommagement financier, naturellement. Et l'armée espagnole put ainsi bénéficier d'une base afin d'envahir le vaste Maroc. Celui-ci fut vassalisé. Voilà un pays qui ne tombera pas dans l'escarcelle de l'Ottoman. Mais l'Algérie et la Tunisie seront nos prochains objectifs. Nul doute que les combats à mener dans ces régions seront difficiles. Des guerres anglaises: Londres avait profité de plusieurs années de mauvaise gestion espagnole pour prendre pied en plusieurs endroits de notre zone légitime de colonisation. Le traité de Tordesillas est toujorus en vigueur, à notre connaissance, et Londres se devait donc de rendre ces terres à Madrid. Cela a été refusé. L'armée espagnole se devait donc de faire respecter notre droit indiscutable sur les Amériques non portugaises. Entre des interventions en Guyane, de la Floride au Mexique, dans les Antilles, et même au Québec, il ne faisait aucun doute que le combat le plus difficile serait celui de la métropole anglaise. Ces anglais sont réputés bons marins, et si le nombre de nos vaisseaux nous inspirait confiance, prudence serait de mise, tout de même. Aussi, décision était prise de jouer sur la surprise et la discrétion. Finalement, la surprise fut pour nous. Aucune troupe ne se trouvait en Angleterre pour la défendre d'une invasion. Et la flotte anglaise n'intervint jamais pous tenter de nous empecher de débarquer. Bref, la prise de Londres et de quelques villes anglaises fut relativement aisée. La paix fut signée mais toutes nos revendications n'étant pas satisfaites, une seconde guerre fut déclarée quelques années plus tard. Et ce malgré nos riches offres pour règler les litiges. (250.000 ducats d'or pour une seule ile!) Finalement, toutes les Antilles devinrent espagnoles. Que l'Angleterre se souvienne de la volonté espagnole de faire respecter les décisions du Pape ! Même vis à vis d'un renégat protestant. Ce qui nous amène à cette mise en garde destinée à la Suède. Votre petite implantation en Argentine risque de vous mener à la ruine. Prenez en conscience. 150 ducats d'or seront offerts à la Suède si elle se décide à rendre ces colonies sans les défendre. Sinon quoi, l'Espagne se verra obligée d'intervenir massivement, faisant parler toute sa puissance contre votre Royaume qui malgré sa flotte reste vulnérable. Intervention espagnole qui visera alors bien plus que ces deux misérables colonies... Provoquer le gourou de Madrid se paye. Et la Suède aura beau remuer tous les arguments du monde, elle n'en trouvera pas un qui justifie son implantation en zone espagnole!
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Allez les Cajuns!! http://www.youtube.com/watch?v=0dglMqP_zEI Parleeeez-nous à boire.... |
#5
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Missive du Royaume de France à la Couronne Espagnole.
![]() Le récit des péripéties hispaniques est ma foi fort intéressant, mais nulle mention n’est faite de la position espagnole face à l’agression autrichienne en France. Cette guerre dure depuis des années, et nous n’avons pas encore entendu la moindre condamnation de Madrid face à cet acte de barbarie… |
#6
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Royaume d'Autriche 1547 - 1560 :
![]() Ferdinand Ier ne voulait pas être comme son grand frère Charles, ainsi en 1556 aprés l'abdication de son frère il prêta l'oreille a ce qu'il considérer comme le plus sûr alliés de l'Autriche, le royaume de Pologne. Ce dernier, poussé a la guerre par son alliés Suédois se trouvait en difficultés face aux armées des princes Allemands du Nord. Là où son frère n'y voyait qu'une guerre régretable, Ferdinand accourus a l'aide de la Pologne et déclara la guerre a l'alliance Allemande composée de la Saxe, du Brandebourg, de la Poméranie et du Holstein. Cette guerre lui permettrait en outre d'accomplir un voeux pieu : il devait libérer les peuples d'allemagne du nord de ses princes protestants et les faire ramener a la vraie foi. ![]() Les troupes du Roi se mirent en marche sur la Saxe, et partirent faire le siège de Dresde. Des garnisons campé dans les Sudètes, guettant toute incursion allemande a l'interieur de l'empire. Le succés fut totale, la Pologne débarassée des nombreuses troupes Saxonne et Brandebourgeoise ne tarda pas a occupée toute la Poméranie, et les villes de Saxe tombaient une a une. Bientot la paix fut signée, le prince de Saxe et sa famille renoncait a leur fausse foie protestante et revener dans le giron de l'Eglise. Au point de vue interieure, des forts furent édifiés le long des frontières française et ottomane de l'empire, tandis que les percepteurs du Roi travaillaient a remplir les coffres.
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EU2 : GPO Molo, l'AAR. |
#7
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1560 – 1572. La guerre !
Un inquiétant changement du pouvoir en place en place à Moscou ne laisse planer aucun doute pour l’avenir : Suédois et Polonais se rencontrent à Danzig pour renouveler leur serment de défendre la civilisation occidentale contre la barbarie orientale ![]() En 1562, le loup carnassier passe à l’attaque et se précipite sur les innocents agneaux, dévorés à pleine dents ![]() Malheureusement, les Lithuaniens, sottement fiers et inconscients, refusent de nous accorder l’accès militaire, ce qui va considérablement compliquer notre juste tâche : certes, notre armée peut circuler en Lithuanie, mais ses paysans nous refusent, sur ordre de leur souverain inepte conseillé par un étranger dont nous ne révéleront pas la nationalité mais qui était bien loin, très loin, de chez lui, l’approvisionnement que nous étions pourtant en droit d’attendre. Les sots ! Mais qu’espéraient-ils donc ? Leurs armées sont décimées, trois de leurs provinces tombent et même les Polonais, arrivés avant nous sur le front, ne peuvent rien faire pour stopper l’irrésistible vague barbaresque. Mais nous sauverons ces ingrats même contre leur volonté ! En 1563, Flemming se heurte pour la première fois aux armées russes triomphantes qui se voyaient déjà à Riga : même à un contre deux, il remporte la victoire et récidive trois mois plus tard ![]() ![]() Les Polono-Lithuano-Suédois parviennent à libérer deux provinces, mais les réserves russes semblent inépuisables, alors que la Suède, nation pauvre mais méritante, ne peut compter que sur quelques renforts envoyés au compte goutte ![]() La Pologne, elle, envoi une puissante deuxième vague qui fait un moment reculer les Russes puis se brise complètement lors de la tragique bataille de Koursk, une sanglante boucherie qui décime la noblesse Polonaise et mine sa volonté de combattre ![]() ![]() C’est chose faite en 1567, mais le Tsar profite de la confusion ambiante pour annexer en toute impunité les trois provinces qu’il avait réussi à conquérir ![]() Alors que la civilisation vient de reculer devant la barbarie, un bouffon en occident trouve malin de menacer la Sainte Suède : le sot ne comprend t-il pas que notre petit mais courageux pays est tout entier tourné vers l’est ? Souhaite t-il tellement, avec ses beuglements hystériques et ses menaces incessantes, nous contraindre à nous tourner désormais vers l’ouest ? Assurément, voilà qui serait très lourd de conséquences pour certains royaumes d’occident justement… Qu’il réfléchisse bien aux conséquences de ses actes avant d’agir, qu’il retrouve lucidité et raison, car, une fois que la machine sera lancée, une fois que nous aurons été contraints de modifier notre politique générale, il n’y aura plus de retour en arrière possible et la face du monde en sera changée pour toujours… Dernière modification par Danton ; 22/07/2006 à 15h45. |
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1560-1572 La guerre
Un brusque changement de gouvernement à moscou amène au pouvoir les faucons au kremlin. Face à cette menace la pologne mobilise ses forces et signe à nouveau un pacte d'éternelle alliance avec la pologne au cours du sommet de Dantzig. ![]() Statuette commémorant l'amitié eternelle polono-suédoise Non daté La menace ne tarde pas à se préciser et les russes finissent par nous aggresser traitreusement. La pologne n'en veut pas à la russie, pauvre brebis égaré, la Pologne en veut à l'instigateur de tout ca: Un sombre individu conseillant le roi d'espagne et qui déverse son or dans le camp des barbares et des violeurs. Cela se payeras!! Heureusement l'autriche nous soutient dans notre lutte et nous informons les russes et autres barbares que désormais notre indépendance est garantie par elle. Les russes déferlent très rapidement en lithuanie avant d'etre stoppé aux portes de l'ukraine. Attaque et contre attaque se succcèdent jusqu'a la bataille tristement celebre de kursk ![]() Bataille de kursk L'armée polonaise est massacré par les cosaques qui ne font aucun prisonnier. A la suite de cette défaite le vieux roi polonais s'enfonce dans la dépression et perd toute idée de victoire. Mais un evenement innatendu se produit alors. La lithuanie décide son rattachement à la pologne. Malheureusement les russes en profitent pour garder ce qu'ils occupaient déja! Usé par de longs mois de guerre et conscient que les populations des territoires occupé sont des russes orthodoxes et prefèrent donc subir le joug de moscou, le Roi signe une paix généreuse avec le russe. Mais la pologne n'oubliera jamais le comportement indigne du roi d'espagne, qui ne montra son courage dans cette période qu'en envahissant un pays privé de soldat et de navire pour lui extorquer une paix infamante. ![]() Espagne attaquant l'angleterre Allégorie Les barbares ne sont pas toujours ce qu'on croit.... ![]() Espagne offrant son amitié au russe. Allégorie du XXIème
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And so he spoke, and so he spoke, that lord of Castamere, But now the rains weep o'er his hall, with no one there to hear. "Si le droit est avec nous, qui sera contre nous?" ![]() Citation:
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#9
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![]() Chroniques du royaume d'Angleterre ***** 1540 - 1573 ***** ![]() La Situation de l'Angleterre en 1540 Le royaume d'Angleterre se trouve fort isolé en cette année 1540. Sa majesté Henry VIII Tudor vient de rompre une nouvelle fois avec la papauté romaine pour cause de nouveau divorce non reconu. Le roi saisissant la également l'occasion d'affimer la suprématie temporel de la monarchie en réclamant un droit exclusif sur la nomination des Eveques sur le sol d'Angleterre. Le Pape refusant cet ultimaum.... la rupture avec Rome est consommée. Sur le plan extérieur, l'établissement de la Nouvelle-Angleterre en amérique est une réussite et un traité fut conclu avec les Valois de France fixant la frontière avec la nouvelle-France sur la rivière James. Helas la situation économique est par contre catastrophique. Le budget de la couronne s'élève péniblement à 30.000 livres par mois soit 360.000 livres par année fiscale. Le nouveau 1er ministre Aedan Dosière nommée par sa majesté à la tête du gouvernement s'en emeut imméditament. Le commerce extérieure de l'Angleterre est tout simplement nul en cette année 1540... aucune rentrée douanière... aucune part de marchée même à Londres... l'économie est à rebatire. Le budget royal est inférieur à celui de pays pauvres comme la Russie ou la Pologne... cela ne pouvait durer L'Expansion coloniale et commerciale Le nouveau gouvernement Dosière prend des mesures drastiques. Le commerce sera la priorité des investissements ainsi que le devellopement colonial. Des expéditions furent lancée dans le golfe Caraïbe et la Louisiane (du nom de louis de Dosière, compte du Vivarais et grand père paternel du chef du gouvernement Aedan Dosière) est explorée et parsemée de comptoir. 5 îles des Antilles seront également colonisée et 2 villes actives dans le commerce du sucre serpnt fondée en Martinique et Dominique. Enfin le contournement de l'Afrique est entrepris. une colonie est fondée en Afrique du Sud à Ciskey ouvrant la route des Indes et de l'Océan Indien. La montée sur le trone de ma reine Elisabeth 1ère d'Angleterre La reine Marie Tudor la sanglante étant morte sans enfant, c'est sa demi soeur Elisabeth qui acceda au trone d'Angleterre en 1559. ![]() La reine Elisabeth 1ère d'Angleterre En 20 années de gouvernement Dosière, l'écononomie Anglaise aura connu un véritable boom économique. Des parts de marchés commerciales sont regagnés à Londres, Moscou, Istanbul, Santee et même à Ivoria en Afrique. Le budget royal passant de 33.000 livres à 55.000 livres mensuel soit une augmentation de 70% en 20 ans. La nouvelle reine Elisabeth conservera son 1er ministre qui poura poursuivre son oeuvre de redressement. 1561, l'offensive ibérique et la déroute de l'Angleterre. Les royaumes ibériques et en 1er lieu la puissante Espagne n'appréciait point les entreprises Anglaises dans le monde. Sans avertissement, ils déclaraient la guerre au pacifique royaume d'Angleterre à l'été 1561. Le royaume n'était pas en état de se défendre. En cette année 1561, les royaumes ibériques étaient 6 fois plus riches et puissante que l'Angleterre et l'issue de la guerre était inévitable. La guerre surpris totalement l'armée et l'amirauté La royal Navy était alors divisé. Le grand navigateur Frosbisher était dans l'océan indien avec 35 vaisseaux et 20.000h tandis que l'amiral Clinton ne disposait que de 20 vaisseaux en mer du nord. Il n'y avait aucune armée en Angleterre apte à s'opposer au débarquement de 70.000 espagnols au sud de Liverpool. ![]() Sir Martin Frosbisher, commandant de la flotte australe. Sa majesté Elisabeth ne pouvait qu'accepter l'évidence et proposa imméditament aux Ibériques la capitulation des forces anglaises. Mais le gouvernement Espagnol avait besoin de temps pour piller et bruller la Louisiane ansi que les Antilles et refusa la paix. La chevauché Espagnole en Angleterre se poursuivit. L'ensemble du nord de l'Angleterre fut occupée et finalement aprés un long siège, Londres fut conquise par les forces Espagnoles. Sa majesté et le gouvernement Dosière put cependant échapper à la capture en s'embarquand sur la flotte de l'amiral Clinton que l'armada réal laissa miraculeusement s'echapper au débouché de la Tamise. Dans l'océan Indien, Frosbisher se trouvait dans une situation impossible. Le seul port disponible se trouvait dans l'Atlantique et il était évident que la flotte portugaise trés supérieure en nombre devait le chercher pour le debusquer dans l'océan Indien. La route par le cap de Bonne Espérance étant également gardée et fermée par la marine Potugaise. Frosbisher s'embarqua alors dans un long périble qui dura plus d'une année essayant tempete sur tempete ainsi que la corosion accelée des coques de sa flotte. Il décida finalement de tenter de dégager le port de Ciskey en Afrique du sud en débarquant ses forces afin de le reprendre aux Portugais. Une fois arrivé au large, des nouvelles venus d'Angleterre annonçaient un assouplissement de la position portugaise qui renonçait à Ciskey. Frosbisher annula alors le debarquement et mis le cap sur l'Atlantique mais la flotte Portugaise l'intercepta au large du cap de bonne Espérance. Ce fut une térrible déroute et le grand marin perdi 75% de ses navires et de ses hommes quand enfin intervint la paix avec le Portugal. C'est avec une flotte réduite à 2 vaisseaux et 4 navires de transport que Frosbisher pu enfin trouver une rade sur dans l'Atlantique. Si le Portugal se montra clément, le traité de paix imposée par l'Espagne fut d'une brutalitée inouie.... sans égale dans l'histoire du monde. - La Louianne Anglaise fut détruite - La Ville coloniale de Dominique fut annexée ainsi que les Colonies de Barbados, Antigua et Trinidad. Cette guerre avait été une grand humiliation pour l'Angleterre. Décidement l'Espagne avait montrée son visage de charogne sans foi ni loi en s'attaquant à un royaume en pleine reconstruction. 5 Années plus tard , l'Espagne déclarait à nouveau la guerre au royaume d'Angleterre pour la derniere ile de Martinique. Philippe II avait offert la sommes dérisoire de 250.000 ducats et apres le refus de la monarchie entra en guerre. La royal Navy étant incapable de s'opposer à la flotte Espagnole... un nouveau traité aboutit à la perte de la martinique par l'Angleterre Le redressement économique se poursuit. A l'issue de la guerre en 1563, l'économie Anglaise s'était effondrée de 35% par rapport à ses niveaux de 1561 à 39.000 livres mensuel et les riches plantations des antilles étaient perdues. Cependant les 10 années qui devait suivre seront celui du grand boom économique. Frosbisher poursuivant ses explorations découvre les places commerciales exotiques de Malacca et de Chine. En europe, les produits anglais se rependent et l'Anglerre gagne des parts de marché à Paris, genes, Venize et Alexandrie. En 1573, le royaume d'Angleterre devint la 2eme puissance économique du monde à quasi égalité avec l'Autriche mais loins derriere la richissime Espagne ceci étant du à une croissance de 70% par rapports au niveaux de 1560 ens eulement 13 années. Sous le gouvernement Dosière, soit en l'espace de 33 années, les recettes royales se seront acrue de 170% (passant de 33.000 à 88.000 livres). La situation diplomatique. L'Angleterre poursuit sa politique d'isolement. Aucune nation d'Europe n'offrit son aide directe au moment de l'agression espagnole hormis le soutien moral et diplomatique de la France. Ainsi la politique Anglaise sera de non-intervention en europe. Nous obeservons avec attention la Guerre Franco-Autrichienne ainsi que les conflits à l'est mais nous n'avons pas de commentaires à formuler... Sir Aedan Dosiere 1st minister of England Kigdom Dernière modification par Aedan ; 23/07/2006 à 19h27. |
#10
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![]() 1560-1572 : la voie de l’honneur En 1560, le sultanat était brillement administré un Suleyman d’autant plus appliqué que, depuis sa grave blessure lors de la bataille de Budapest il était cantonné à son bureau. Pourtant, les crises politiques destabilisatrices étaient fréquentes car le sultanat était démoralisé. Par deux fois en 50 ans, ses ambitions s’étaient brisées sur l’Autriche, et son armée résolument offensive. Dans les couloirs, Lala Mustapha, jeune espoir d’une armée troublée et dont la hiérarchie avait été décimée, enrageait : les réformes nécessaires pour assouplir les structures enkolysées par le méthodisme de siège seraient lentes. ![]() Lala moustapha et ses officiers Le pays était en ordre de marche, des succès en Orient compensaient quelque peu les errements balkaniques et Européens, mais le pays ne pouvait effacer complétement de sa bouche l’amertume des « décennies perdues » En juillet 1566, l’Empereur agresse la France. Un acte extraordinairement lâche, alors que le Royaume de France était agité de troubles religieux. Malgré les ratés de notre collaboration dans le passé, nous montrons immédiatement notre solidarité avec le Roi et déclaronsle guerre à l’empereur. Le Roi de France a cette fois l’intention de se battre avec acharnement. La campagne sera moins aisée que prévue pour l’Autriche. La France dispose d’un petit contingent dans les Balkans, qui fera merveille. Nous avions arraché dans le passé un droit de passage à la Serbie et pensions nous en servir pour effectuer une percée. Les Serbes nous laissèrent rentrer en Hongrie et réussir un siège sur Banat. Au moment de la contre offensive, prévisible, des Autrichiens, il était impossible de se réfugier en Serbie. Nous perdimes la cité, et une bonne partie de notre armée. Plus tard, les Autrichiens réalisèrent la même erreur. Pensant réussir une percée vers Constantinople, il se retrouvèrent en réalité isolés dans les plaines de Thrace, à la merci d’une cavalerie rapidement réunie et du contingent français. En réalité, la situation dans les Balkans est un double goulet d’étranglement sans issue pour l’heure. Mais la France ne doit pas perdre cette guerre. |
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