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  #1  
Vieux 30/06/2006, 13h31
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Déclaration du Portugal

En vertu de l'accord que sa sainteté le Pape, l'Espagne et le Portugal ont signé, il ne peut y avoir de présence française, ni d'aucun autre pays européen d'ailleurs, dans les provinces revenant légitimement aux ibériques.
Nous sommes cependant ravi de la position française de conciliation et de paix, et nous la soutenons sans réserve.
La France fait donc amende honorable en nous rendant les comptoirs volés.

Concernant l'Espagne, nous sommes au regret de dire que nous ne pouvons vous suivre quand vous affirmez vouloir dépouiller la france de ses colonies américianes au profit de l'Angleterre.
Pourquoi l'Angleterre intervient elle ici ? Elle n'a rien à voir avec cete affaire.

Cependant que ceci soit bien clair : si la france ne nous cède pas immédiatement les comptoirs, nous rentreront immédiatement en conflit avec elle, au côté de l'Espagne, et nous détruirons toutes ces colonies en Amérique.
Mais nous avons confiance dans la sagesse française.

Pour le Roussillon, le statut de cette province n'a rien à voir dans la situation qui nous concerne, et nous nous garderons bien de donner notre avis sur la légitimité de la propriété de cette province. Cependant, cela fait des siècles que les Espagnoles la gouverne, et nous n'avons pas constaté de problèmes particuliers. Nous sommes neutre sur cette question.

Enfin, nous rappelons à tout les pays européens quelques principes :
Le Portugal et l'Espagne sont les deux premières puissances économiques de notre monde, et peuvent mobiliser à leur guise grâce à leur colossal revenus, une flotte importante, ainsi que des hommes d'armes en nombre.
Hormis en Amérique du Nord, seuls l'Espagne et le Portugal ont le droit de coloniser, et ce principe ne peut être remis en cause, pour l'instant.
Si un seul de nos pays est attqué, l'autre l'aidera immédiatement.

Il nous semblai opportun de rappeler ces quelques faits.:portug:
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Vieux 30/06/2006, 15h10
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Réponse du Trés Catholique Royaume d'Espagne


Effectivement, l'Espagne souhaite, tout comme la France, rester en paix en Occident. Nos pays doivent avant tout se concentrer sur un objectif commun: La christanisation des nouveaux mondes.

Le menace turque n'étant plus ce qu'elle était, nous pouvons nous consacrer à cette sainte tàche.

Ces différents nouveaux mondes, que les geographes nomment continents, ont été partagés en zones d'influences. Certaines régions sont revenues au Portugal, d'autres à l'Espagne, et d'autres sont totalement libres de colonisation par qui le désire!

Aussi, la réaction espagnole n'est-elle pas compréhensible? D'immenses teritoires au nord sont vierges de toute présence chrétienne... et la France préfère envoyer ses colons dans une zone espagnole. Et ce alors, que d'aprés nos informations, les richesses de Savannah ne sont pas plus grandes que celles des régions québecoises où fourrures sont trouvées en quantités.

Madrid a donc vu cette action française comme une provocation.
Notre réaction était à prévoir pour qui sait l'attachement que nous portons aux décisions du Saint Père.

Mais que Dieu bénisse les hommes de bonne volonté, car dans cette houle diplomatique, une éclaircie semble poindre.
La légitimité de l'Espagne et du Portugal sur certaines régions du monde semble aussi bien acceptée par Paris que la légitimité de la France sur le Roussillon par Madrid.
Du troc diront les mauvaises langues. La suppression d'une pomme de discorde, dirais-je plutôt.

Dés que l'Espagne aura pris possession de Savannah, et dés que le Portugal aura pris le controle de la petite colonies sénégalaise de Dakar, l'Espagne cèdera sans aucune compensation la région du Roussillon à la France.

Néanmoins, comme l'a déjà précisé la missive française, cet accord se base sur une reconnaissance publique et sur l'Honneur de la France, du respect, à l'avenir, des zones d'influences dont nous avons parlé plus haut.

L'Espagne, et d'autres, comprendraient mal, que la France puisse dans le futur revenir sur cette parole donnée.

Les diplomates français sont ils disposés à confirmer leurs propositions et à nous tenir au courant de l'acceuil des nôtres, à Paris?
Une résolution semble proche, ne laissons plus trainer ce dossier.
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  #3  
Vieux 01/07/2006, 14h26
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1535 – 1546. Renforcement de la monarchie Suédoise





Le conseil des haches rouges vikings commençait à somnoler, tout était paisible et calme… Trop . Insidieux, le Mal très mauvais préparait sa revanche et tentait de ronger le pouvoir naissant de la jeune et juste monarchie Suédoise… La crise éclate en 1542. Des agitateurs extrémistes soutenus par l’étranger se soulevèrent contre Gustav Vasa, notre Roi légitime (event) : sans aucune légitimité nationale, leur mouvement impie était condamné à mourir lentement et leurs membres allaient finir mangés par les vers…



Mais quasi au même moment, Gustav, notre bon Roi, imposait de très audacieuses réformes centralisatrices pour sortir le pays du marasme économique dans lequel il s’enfonçait de plus en plus inexorablement : deux manufactures de vodka ont notamment été fondées, les Russes nous aiment désormais comme jamais et nous leur vendons notre production à prix d’or … Mais, là encore, il y a eu des mécontents qui ne pensaient qu’à leurs misérables petits intérêts personnels et non pas à la survie de la nation : l’agitation était à son comble (risque révolte + 9 à cause de ces deux events quand même ).



Naturellement, certains états lâches et perfides profitèrent de notre faiblesse très passagère pour se jeter sauvagement, fourbement, contre notre allié de Pologne. L’alliance Pomméranie, Oldenburg, Magdebourg et Saxe a montré au monde toute l’étendue de sa vilenie abjecte, mais c’était bien mal connaître le sens de l’honneur, la loyauté et la pureté du peuple de Suède (et de son Roi ) que de croire que ce double grand péril allait le détourner du Bien et de ses alliés.



Sans hésiter un seul instant, l’armée embarque et, alors que la révolte gronde, impitoyable, dans notre beau pays, marche sur le continent : le Oldenburg est écrasé. Nos fiers guerriers repartent alors pour la Baltique, où notre allié de Pologne a subi une très lourde défaite contre l’agresseur de Pomméranie , mais doit tout d’abord détourner leurs drakkars vers la Finlande, pour mater la rébellion : les agitateurs sont crucifiés, l’ordre est restauré .



Les Vikings retournent alors sur le continent et prennent d’assaut le Mecklenburg : la Pomméranie est désormais occupée, pour 2/3 par la Pologne et pour 1/3 par la Suède. Naturellement, notre pacifique pays n’a nullement l’intention d’arracher des provinces à l’alliance impie : nous sommes venu secourir notre allié, perfidement attaqué, en dépit de l’existence très passagère d’immenses troubles intérieurs et maintenant que cela est fait, les haches rouges vont rentrer au pays. Le Oldenburg a payé le prix de sa traîtrise, il a été vassalisé, cela suffira : une très généreuse paix blanche sera très prochainement accordée à la Pomméranie perfide. De nombreux pays, qui annexent sans même prendre le temps de respirer, feraient bien de prendre exemple sur nous .



L’honneur est sauf, notre allié connaît désormais toute la force de notre engagement : l’alliance Polono-Lithuano-Suédoise est l’axe lumineux du nord, le rempart contre la barbarie, un modèle de civilisation pour tous .

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  #4  
Vieux 04/07/2006, 01h54
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1503-1520 : Les guerres déshordes


La guerre de 1503 s’étala sur 5 ans, non pas que les armées de la Horde d’or fussent à même de nous repousser, mais les sièges et la rigueur des hivers prolongea la durée du conflit. C’est à cette occasion que je fis mes premières armes en participant aux charges formidables de nos cavaleries à travers les steppes infinies du grand Est. La campagne fut donc un succès mais notre vassal nous trahit en signant la paix au moment même où nos armées s’emparaient de la capitale ennemie…Ainsi après m’être illustré sur les champs de bataille, mon père m’envoya au Riazan afin de remettre à sa place notre vassal et alliée. Ces derniers nous versèrent la moitié du butin de guerre tiré de la paix. Les dix années qui suivirent furent des plus calmes pour notre pays, je me consacrai principalement à favoriser l’expansion commerciale de nos marchands. Mais en 1516 la guerre contre la Horde frappa de nouveau mais cette fois Moscou n’entendait pas se laisser doubler. Cette nouvelle campagne fut encore plus fulgurante que la dernière cependant ce fut la paix qui fut difficile à précipiter. La Horde d’Or avait en effet agressé l’Astrakhan et en occupait la capitale. Ils espéraient pouvoir tirer de leur victoire des bénéfices leur permettant de renverser la situation catastrophique dans laquelle les plongeait notre occupation. Afin d’éviter un redressement de la Horde, Moscou fit donc parvenir de par mon intermédiaire de nombreux ducats vers l’Astrakhan afin que ce dernier lève une nouvelle armée pour chasser l’envahisseur. Cette politique nous permit à la fois signer la paix avec la Horde d’Or et de nous faire un nouvel allié dans la région ! Nous annexâmes à nos contrées l’essentiel des territoires de la Horde, ne lui laissant presque que sa capitale, ceci afin qu’elle ne se relève pas de cette défaite. En 1520 Moscou était sans rivale dans les steppes de l’Est, mais à l’Ouest, d’autres dangers se levaient…
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  #5  
Vieux 04/07/2006, 12h12
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1535 – 1546. Des temps troublés

La pologne voit naitre en ce début d'année sa première académie des beaux-arts




Tableau de l'école polonaise

La pologne, nation pacifique s'il en est se contentera durant la période d'administrer paisiblement son territoire, de supporter les gaffes de ses alliés IA et de perdre des marchands


Le souverain polonais

Le roi de pologne se rendit utile à l'empereur d'autriche en lui mattant ses rebelles protestants. Un jour la pologne sera bien contente si l'autriche lui rend la pareille.

La grande affaire de l'époque fut la guerre lachement mené contre nous par une coalition de protestant du nord aux armée infiniment supérieures.
Les pertes furent terribles le royaume y perdit toute son artillerie.
Pire encore la mort du seul leader potable de pays



Le commandant des forces polonaise peu avant sa mort.

Mais en 1546 la guerre est en passe de s'achever et la pologne compte bien faire rendre gorge à la poméranie une bonne fois pour toute afin de concentrer ses forces sur l'est ou se lève une terrible menace: les hordes barbares russes!



Barbares russes se ruant vers l'ouest

Encore une fois il faut le répéter: la pologne et son allié suédois sont tout ce qui se tienne entre l'occident et le chaos!
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And so he spoke, and so he spoke,
that lord of Castamere,
But now the rains weep o'er his hall,
with no one there to hear.

"Si le droit est avec nous, qui sera contre nous?"

Citation:
Envoyé par DarthMath
[14-01, 18:22] : Yann !! Avec sa noix de coco dans le cul !!

Dernière modification par GA_Thrawn ; 04/07/2006 à 12h15.
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  #6  
Vieux 04/07/2006, 20h47
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1520 - 1547 Royaume d'Autriche :

  • 1520 - 1525 Le calme avant la tempête :
Les cinq années qui suivirent le courronement de Charles Quint furent relativement stable, une distillerie de Schnutz autrichiens ouvrit a Salzburg tandis que sur les frontières de l'empire les ingénieurs du Roi suer corps et âmes pour ériger de nouvelles fortifications.

Mais la paix ne fut que de courte durée, car jaloux de l'immense empire de Charles la France déclara la guerre a l'Autriche perfidieusement, emportant avec elle toute son alliance.
Et le roi de France surpris l'empereur car son alliance se composée uniquement de princes allemands, mené par la Hongrie. La guerre frappait donc au coeur du royaume, menacant de toute part nos territoires.

Et comme si tout ces malheurs ne suffisaient pas, l'empire Ottoman se joignit a la guerre dans un esprit de revanche bélliqueux :


  • 1525 - 1541 La seconde guerre balkanique :
La Hongrie, la Saxe, la Lorraine, la Bavière, le Wurtemberg et le Magdeburg trahirent l'empereur, se justifiant officiellement qu'ils ne fesaient que suivre le roi de Hongrie lui même manipulé par le roi de France.
Notre royaume soeur d'Espagne se joignit de notre coté dans la guerre, s'occupant du français plus au sud, dans les pyrénées.

Les plans de Charles pour se sortir de se guépier furent simple et rusés. Tandis que les troupes française partiraient a l'assaut des places fortes héritées du duc de Bourgogne, les troupes autrichiennes iraient rendre visite au roi de Hongrie, Lajos II beau frère de Ferdinand d'autriche (lui même frère cadet du roi).

En Hollande, seule la garnison locale forte de 20000 arquebusieurs et 5000 cavaliers avait pour ordre de défendre cet immense territoire. Et ils étaient clair : il n'y aurait pas de renfort et il fallait tenté de jugulé l'avancée française.
Le sort de la garnison fut rapidement scélée par la bataille de Wavre. Les arquebusiers de l'empereur s'opposaient a l'élite de la cavalerie Française :



La garnison autrichienne fut annéantie au terme d'une gigantesque boucherie. Les arquebusieurs, incapable de se servir corréctement de leurs armes sans la présence d'un bon géneral servirent de pantins aux chevalier français.

Mais tout ceci n'était guère important, qu'importe que tombe les places fortes de Hollande l'éffort du roi se portait alors sur la Hongrie. Et elle céda rapidement, les provinces d'Odenburg, de Krain, de Pest, de Croatie, de Presburg ainsi que la capitale tombèrent une a une. Les forces Hongroises furent jugulées par la téchnologie et le talent des armées de l'Empereur, menées encore une fois par Von Frundsberg.

Une fois la capitale Hongroise prise, Lajos II fut contraint de signé la paix au nom de l'alliance toute entière, entrenant malgré lui le royaume de France dans une paix forcée.
Ainsi le stratagème de François Ier s'était retourné contre lui et l'empereur, qui hérita a la fin de l'année 1526 du royaume de Bohème, put alors retourner ses forces contre le Sultan qui s'était aventuré le long des côtes dalmates menacant dirrectement le royaume et mettant en échec les troupes d'autriche :



La situation devenait préoccupante, les Ottoman avaient déclarer la guerre a la Hongrie et il était hors de question de leur laisser ne serait-ce que le moindre petit village Hongrois. Même si ces derniers venaient de nous trahir ils n'en restaient pas moins de fidèles catholiques dont la compagnie était mille fois préferable a des infidèles mahométans !
Il nous fallait donc agir rapidement, le plan Frundsberg fut mis en place. Il consisté a réitéré le plan de la grande campagne de 1517-1518 de la première guerre balkanique qui s'acheva sur la prise d'Istanbul.

Seulement, contrairement a il y a 15 ans, les troupes du sultan était désormait équipée d'arquebuse en série, et même si leur qualitée n'avait rien a voir avec celle des troupes de l'empire, elle n'en restée pas moins meurtrière.
Aidés en celà par une nouvelle géneration de géneraux Ottoman, promus lors de l'intronisation de Soliman, dont le maniement d'armées moderne leur était parfaitement connus fit que le plan Frundsberg échoua et s'éssoufla définitivement aprés la prise du Kosovo.
Frundsberg se retira alors de l'armée, ce fut une perte térrible pour nous mais qui fut compensée par une trés bonne nouvelle..

Les Hongrois rapportent en éffet que le Sultan aurait reçus une balle dans ses "bijoux" de famille durant la térrible bataille de Pest. Le sultan hors de lui aurait alors signé la paix a la hâte, arrachant le Banat a la Hongrie et surtout, rennonçant définitivement a des charges militaire !
L'empire Ottoman venait de perdre son meilleur géneral, ce qui nous consola un peu de la retraite de Von Frundsberg.


L'éssouflement du plan Frundsberg

L'échec de l'offensive, et la contre-offensive Ottomane qui s'en suivit fit bien vite comprendre a Charles quel serait la nature du conflit : il serait long, trés long, et se jouerait sur une épreuve d'endurance. Son énemis ne voulé pas baisser les bras, et bien soit ! Mais jamais un habsbourg ne fera de compromis avec un infidèle, du moins tant que Charles serait en vie.

L'empereur changea alors de tactique, d'aprés les savants de la cour une nouvelle arquebuse serait disponible d'ici 1540~1545 et permettrait a ses armées d'acquérir un avantage certains sur les troupes du sultan. La santée de Lajos II de Hongrie était elle aussi un facteur déterminant : a sa mort, Charles compter bien sur l'appuis de son frère cadet Ferdinand qui pourrait alors faire valoir ses droits légitime sur la courrone Magyar !

L'heure était donc a une guerre "maitrisée", l'inflation ne grimperait pas de plus de 0,2% par mois et le corp d'armée autrichiens devrait se limité peu ou prou a 30 000 hommes. Ce dernier point bien que contesté montra en réalité la parfaite connaissance de l'empereur de ses troupes : en effet même a 1 contre 3 les troupes autrichienne était largement capable de battre les Ottoman.
Ainsi, les 10 années réstante furent passés en de nombreuses offensive-contre offensive de la part des deux camps, aucun des deux ne l'emportant vraiment sur l'autre.


Une contre offensive ottomane.

La situation sembler bel et bien bloquée, mais graçe a Dieu et au talent de Charles Quint un miracle arriva en 1540. Le roi Lajos II de hongrie venait de décedé. L'entière pocessions du territoire Hongrois revenait a la courrone d'Autriche et les 70 000 hommes de l'armée Magyar jurèrent allégeance a leur nouveau roi.

Le reste ne fut que formalité, le Sultan devant le renversement de situation s'empressa de signé la paix contre la province Banat. Le royaume d'Autriche s'était littéralement transformé en seulement 20 ans et était désormait le plus grand pays de toute l'europe :


  • 1540 - 1547 La réparation :
La politique de Charles Quint, bien que modérée n'en demeura pas moins couteuse, 14 ans de guerre épourvèrent d'autant plus la population que l'armée, trop occupée a l'est ne trouva pas utile de répprimé les révoltes de plus en plus forte des paysans, notamment en Bohème.
Les banquiers florentins, abusèrent de la position délicate du roi pour lui soumettre d'alléchantes offres de prêt qu'il accepta sans trop y préter attention. Toujour est-il que ces emprunts, d'un montant total de 1500 ducats durent être remboursés et les échances s'étalaient jusqu'en 1545.
Les finnances était gêlée, tout notre argent fut consacrés au remboursement de nos dettes ce qui fut chose faite en novembre 1545.

Il restait pourtant bien d'autres travaux a faire, en premier lieu il fallait modernisé les administrations Hongroise et promouvoir des percepteurs un peu partout dans nos nouvelles acquisitions. La vallachie fut relâchée en tant que vassal en signe d'appaisement avec les nobles locaux, orthodoxe, qui de toute façon n'interessé guère l'empereur.

Ainsi en 1547 il ne nous restait plus qu'a faire de génereux dons a notre voisin polonais qui nous aida lors des révoltes paysanne de bohème.

Dernière modification par Leaz ; 05/07/2006 à 02h05.
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  #7  
Vieux 14/07/2006, 10h33
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Chroniques du Royaume d'Espagne

Le milieu du XVI ème siècle de notre ère... le chaos politique.


-Sire! Sire! Le Premier Ministre a disparu!
-Comment cela, disparu?
-Depuis plusieurs jours nous n'avons aucune nouvelle de sa part. Il ne se trouve plus à Madrid, cela ne fait aucun doute. Son épouse ne sait pas non plus où il a bien put passer. Des coursiers sont en route vers sa propriété aux Baléares. Peut être s'y trouve-t-il.
-Mon Dieu... la politique espagnole dépend tant de cet homme. Qui d'autre peut gèrer l'Empire? Retrouvez-le!

Charles Quint ne savait pas, à ce moment, qu'il ne reverrait jamais Don Davide, son fidèle et dévoué premier ministre, un membre de la petite bourgeoise brabançonne ayant offert ses humbles services de fonctionnaire à la couronne espagnole.
Don Davide reviendra en Espagne pourtant... mais ce sera aprés l'abdication de Charles. Et de la reprise en main du pouvoir royal par son fils, Felippe II.

Mais en attendant les années passèrent. Et toujours pas de Don Davide.
Il ne serait jamais parti sans prévenir. Il a dut trés certainement lui arriver quelque chose. Adepte de chasse en Pays Basque, un ours des Pyrénées aura-t-il mis un terme à la carrière fulugrante de ce jeune homme?
Grand pêcheur devant l'éternel, son embarcation aura-t-elle abdiqué devant les vagues infatiguables de la côté galicienne que Davide adorait?
Aura-t-il été victime de son entetement à toujours voyager seul et sans escorte aucune, alors que les routes de plusieus régions du Royaume d'Espagne ne sont sûres qu'en apparence? D'autres idées encore plus incroyables ont été évoquées; La follie l'aurait gagner, et le pauvre, devenu mendiant et méconnaissable irait de village en village, trainant sa misère et son amnésie avec lui... On dit aussi qu'il serait devenu Moine! Il serait retourné en son plat pays pour entrer dans les Ordres et Davide serait désormais Frère David, fils de Dieu et moine trappiste de son état.
Et l'une, encore plus invraissemblable que toutes les autres réunies.
Don Davide, qui depuis son enfance passée dans les provinces belges avait juré la destruction du Royaume de France, ce pays qui sans cesse ravagea les vertes et paisibles campagnes qu'il aimait tant, Don Davide... serait passé dans ce camp. Le camp du mal, à ses yeux. Le camp de l'infamie, de la barbarie. Il aurait vendu ses services au Roi de France. Quelle idée idiote!


Et rien de tout cela n'était vrai... mais Davide ne revint jamais!
Enfin, le croyait-on en tout cas. Car l'histoire de Don Davide était en fait tout simplement extraordinaire. Cet audacieux premier ministre était en fait rentré en Espagne depuis maintenant plusieurs mois. Mais il se trouvait en prison! Devenu méconnaissable, sentant l'odeur nauséabonde des hommes de la campagne, ayant perdu nombre de ses dents, ayant les bras forts mais abimés par une vie pénible, Don Davide, n'avait pas sut, quand il revint en Espagne, se faire reconnaitre, et les militaires de Seville le prirent pour un simple colon réfractaire à partir aux Amériques, et il fut emprisonné.
Pourtant, il en revenait des Amériques! C'est là qu'il avait passé toutes ces années. Alors qu'aucun membre de la Famille Royale ou de la haute fonction administrative n'y était jamais allé, pour cause de voyage trop dangeureux, Don Davide, qui depuis des années gèrait cet Empire, avait décidé de s'y rendre, pour enfin voir de ses yeux l'oeuvre de sa gestion.
Mais cela devrait se faire dans l'anonymat le plus complet.
Voyager en simple paysan désirant émmigrer. Et une fois arrivé, mener une vie de forçat, travaillant aujourd'hui dans les cultures de café, grouillant de bêtes immondes et de maladies mortelles, travaillant demain au fond d'une mine d'or au Perou, où la chaleur fait cuire jusqu'à votre esprit et où les muscles deviennent tellement douloureux que même la Foi Chrétienne en une vie meilleure dans l'audelà ne suffit plus à réconforter les plus courageux des mineurs.
Ce qu'il vit, et vécut, on le lui avait expliqué moult fois. Aussi il s'y était préparé. Et ce qui le consola de tant de souffrance, fut l'utilisation potentielle de ces richesses américaines: La ruine de la France.
Sa haine viscérale l'empechant toute compassion pour les paysans espagnols et indiens mourrant dans les mines et les cultures.

Et comment sortit-il de prison? Même vieillit et affaiblit, un homme qui a vu tant de monde dans le cadre de ses fonctions, et notemment des militaires, allait bien finir par croiser un homme qui le reconnaitrait. Mais il fallut des mois pour que cela soit chose faite.
Une fois en route vers Madrid, il savait que son retour ne serait plus attendu avec impatience. Le souverain n'était plus le même. La politique du Royaume elle même, ne sera plus la même. Etait-il seulement en mesure de reprendre son poste?
Oui... et sà nouvelle tàche, celle de la réogranation de l'Empire aprés des années de non-gestion, s'annonçait difficile, trés difficile. Bref, faite pour lui!
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Vieux 14/07/2006, 23h02
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1547 – 1560. L’unification de la Scandinavie, la volonté du peuple



Comme annoncé, le Peuple Libre, qui n’a aucune volonté impérialiste, contrairement à d’autres , s’empresse d’accorder une très généreuse paix blanche à la Poméranie lâche et perfide, ce qui répond aux demandes pressantes de notre allié Polonais, qui souhaite achever seul l’ennemi impie et lui arracher l’Hinterpommern. L’armée retourne en Suède pour goûter à un repos bien mérité : l’agitation intérieure reste malheureusement très élevée, les mauvaises récoltes suivant des affaires de corruption ou révoltes nobiliaires ( -8 en stabilité par events en 13 ans… )

A notre grande surprise, et déplaisir, la Pologne subit alors désastre sur désastre et nous ne pouvons rien faire pour lui venir en aide : une paix forcée est en vigueur entre nous et la Poméranie. La civilisation subira t-elle son premier échec devant la barbarie ? Fort heureusement, non : c’est l’Empereur d’Autriche qui intervient, loué soit-il, et repousse les brutes de Poméranie… Il n’était pas nécessaire cependant de pousser jusqu’au Bremen. L’intervention autrichienne était visiblement tout sauf désintéressée, il ne faut y voir aucun altruisme .


La victoire Polonaise se concrétise enfin en 1552 et l’axe lumineux du grand nord peut alors se tourner vers son grand projet : la libération des peuples opprimés de Scandinavie. Le Brandenbourg, puissance pourtant germanique, s’y en effet taillé la part du lion, ce qui est inacceptable pour le conseil des haches rouges vikings : contraint et forcé, il doit intervenir pour stopper un pays belliciste qui ne cache plus ses intentions d’asservir toute la pauvre Scandinavie. Cela nous attriste fort car nous avons la guerre en sainte horreur, mais il faut parfois combattre pour la liberté des peuples .


La guerre est déclarée en 1554, elle ne sera pas facile : les monstres de Berlin se préparaient en effet pour un nouvel assaut contre la Scandinavie…

-30.000 soldats bien retranchés au Gotland

-20.000 soldats au Skane, encore une province nationale Suédoise (core)

-10.000 soldats au Jutland, encore une province Scandinave.

-Curieusement, rien ou presque dans ses deux provinces germaniques : Berlin, sans aucun doute possible, s’apprêtaient à fondre une fois de plus comme un vautour sur la Scandinavie affaiblie . Mais le Peuple Libre s’est dressé devant le tyran et les vikings ont pris les armes : la victoire ou la mort !


Les effectifs de la Suède sont bien inférieurs aux monstres de Berlin, même s’ils ont été poussé au delà des limites de notre pays, ce qui a un effet catastrophique sur notre si maigre budget. Mais Dieu est avec nous, et notre allié de Pologne aussi, béni soit-il .


Les Vikings se mettent en marchent et leur charge est irrésistible : l’armée allemande stationnée au Skane est balayée comme un fétu de paille. Reste alors le gros morceau : déloger l’ennemi du Gotland. Le terrain lui est grandement favorable et les observateurs étrangers s’attendent à l’échec des vikings. Une première ‘reconnaissance du terrain’ , menée avec 35.000 hommes, échoue complètement : 9000 Vikings sont tués contre 1200 germains. Cruelle désastre, à peine compensé par la prise polonaise de la province de Kustrin.


Mais le conseil des haches rouges Vikings ne perd pas courage et confie au général Klas Fleming le soin de mener un nouvel assaut, avec des moyens accrus. 15.000 fantassins débarquent et partent aussitôt à l’assaut des vastes colonnes ennemies, avec un courage incroyable digne des plus grands éloges. La bataille est acharnée et les vikings, qui luttent à un contre deux, plient sous le nombre… Une cavalcade se fait alors attendre et Fleming surgit sur les arrières de l’ennemi avec 30.000 soldats, dont 20.000 cavaliers ! La charge disloque les rangs de l’ennemi, qui établit alors un carré défensif : le moral Suédois chute, la bataille va encore tourner au désastre. Quelques fils du Peuple Libre émergent alors de la tourmente et, menés par le glorieux général Fleming, lancent un ultime assaut contre les colonnes ennemies, soutenus par plus de 50 canons : victoire !!! Les rangs germains sont brisés et les lâches prennent la fuite, mais il n’y a plus d’espoir pour eux : leurs navires de transport ont tous été envoyé par le fond. Incapables de retraiter, les 30.000 germains disparaissent au fond de la baltique.


Cette immense victoire est suivie d’une autre de notre allié Polonais, sur le continent : leurs vaillantes armées terrassent les valets du Brandenbourg (Holstein) et prennent Berlin d’assaut ! L’axe lumineux du grand nord vient de remporter une de ses plus grandes victoires et le triomphe est proche. Gotland, la forteresse titanesque, tombe comme un fruit mûr et il ne reste plus qu’à affronter les débris de la grande armée germaniques, 15.000 soldats réfugiés au Jutland. Klas Fleming part affronter ce reliquat ridicule de la perversité Brandebourgeoise et la victoire attendue ne nous déçoit pas . La province tombe quelques mois plus tard et le Brandenbourg, devenu une puissance régionale redoutable, a été conquis à 100% : les provinces Scandinaves bien mal acquises par ce monstre nous sont cédées (Gotland, Skane et Jutland ).


L’enthousiasme en Scandinavie est indescriptible, les foules pleurent de joie et acclament notre bon roi Gustav Vasa et le vaillant général Fleming, les dernières provinces encore Danoises se révoltent contre Copenhagen et exigent leur intégration au Royaume de Suède. Le Peuple Libre accueille avec sobriété ces nouveaux arrivants (les provinces danoises de Jamtland et Finnmark passent à la Suède suite aux actions des patriotes rebelles ), qui témoignent du vibrant désir Scandinave de vivre unis, sous une même loi, un même Roi et une même religion. L’unification de la Scandinavie n’est plus une chimère, c’est désormais une réalité : ainsi en a décidé le peuple, à l’unanimité.



Vive la Suède, vive Gustav Vasa, vive notre allié de Pologne et longue vie au Peuple Libre !
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  #9  
Vieux 15/07/2006, 11h51
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1547-1560 la guerre, toujours la guerre!

La pologne eut beaucoup de mal face à la poméranie soutenue par un allié saxon étonnament puissant.
Seul face aux armées teutonnes la pologne est balayé et le danemark imbécile vient en plus nous compliquer la tache
La situation semble donc impossible à résoudre.

soldat polonais après les défaites répétés face aux saxons


Cependant de fort liens ont été tissé entre la pologne et l'autriche et, grace à une diplomatie habile, la pologne convaint l'autriche d'intervenir.
Evidemment cette intervention est motivé par d'autre but qu'une aide désinterresé mais peut nous importe après tout le sort de la saxe....
L'armée autrichienne s'occupant de la saxe nous en finissons avec la poméranie.
Nous lui arrachons hinterpommern et en faisons notre vassal.
L'autriche se permet néeanmoins de pousser jusqu'au mecklenbourg mais la pologne ne pêut décemment pas protester.


Sitot cette guerre fini il faut en commencer une autre. Fort heureusement elle sera bien plus simple.
Notre intervention se limitera à la prise de kustrin et le berlin tandis que les ennemis s'écrasent sur les fortifications d'hinterpommern.
La paix est signée à notre avantage!



Le chef des forces polonaises

Mais déja le roi prépare la grande affaire de son règne l'union totale de la pologne et de la lithuanie seul moyen de combattre la bete russe.


La charge contre les barbares russes. Tableau de l'école polonaise. 16ème


Les guerres incessantes ne nous ont pas permis de dévelloper la pologne autant qu'il l'aurait fallut et la situation est très dangeureuse.
L'inflation est bien trop haute, nos revenus ridicules, notre armée plutot faiblarde.
Mais le gros problème c'est le niveau technologique.
A terme il apparait que la pologne sera complètement dépassé, sans compter les agitations intérieures.
De sombres temps s'annoncent et de lourds nuages s'ammoncellent à l'est.
Seul la bénéfique alliance avec la suède nous permettra de tenir. Ainsi que la bienveillante neutralité de l'autriche... et la passivité de l'EO

Gloire à la pologne!!


PS: désolé c'est un peu court mais je dois partir au boulot.
__________________
And so he spoke, and so he spoke,
that lord of Castamere,
But now the rains weep o'er his hall,
with no one there to hear.

"Si le droit est avec nous, qui sera contre nous?"

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Envoyé par DarthMath
[14-01, 18:22] : Yann !! Avec sa noix de coco dans le cul !!

Dernière modification par GA_Thrawn ; 15/07/2006 à 11h56.
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  #10  
Vieux 15/07/2006, 15h39
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LE PORTUGAL EN 1560



Le Portugal continue son ouvre colonisatrice en Amérique, en développent de très nombreuses colonies au Brésil, nous permettant de devenir le première nation productrice de tabac du monde.

Mais c'est surtout en Asie, que le portugal prend une place tout à fait considérable :

D'une part par la suprématie commerciale que nous montrons en possédant de nombreux marchands dans dans tout les caravensérails de cette riche région.

D'autre part, la colonisation de terres encore inconnues il y'a quelques années encore : des îles immenses dans une mer située au Sud du royaume de Chine. Royaume de Chine, qui dans sa bienveillance et sa sagesse, a bien voulu nous octroyer une terre au sud de Guangdong, pour le commerce.

Cette suprématie portugaise en Asie a été prouvée de la plus brave et fougueuse des manières, par la prise du centre de commerce d'une île appelée Japon. Cette île qui a su si souvent repoussé les attaques mongoles, d'après les écrits des historiens chinois, n'a pu rien faire face à nos troupes, et surtout face à notre flotte !



Ainsi, le génial Memdoza, le plus brillant de nos généraux colonisateur, est il parti avec 15 000 hommes de Lisbonne, et plus de 30 navires de lignes lourdement armés en guerre, vers les côtes du Japon.

Tout d'abord, l'armada fit escale au Cape Vert, puis à Fernando-Po, puis dans nos colonies du Cap, où ils firent le plein de vins et de victuailles, qui sont en abondance dans cette région. Puis, l'expédition arriva à Zanzibar, puis à Goa, puis à Jakarta, puis à Macao. Le portugal est décidemment l'empire le plus étendu de toute l'histoire de humanité...

Arrivé en vus des côtes du Japon, par le Sud, des navires furent envoyés en reconnaissance, puis revienrent rapidement porteurs de mauvaises nouvelles : une armée de plus de 50 000 hommes campait autour de notre objectif !

Mais le général ne fut pas abattus, alors que n'importe quel homme aurait pris la fuite piteusement, lui ne se laissa pas démonter, et décida de débarquer malgré tout, mais plus au sud encore, et de prendre directement la capitale du royaume. Les navires arrivèrent dans la baie de Fukuandomi et commencèrent à pilonner grâce à leurs lourds canons les fortifications de la ville. Après avoir ouvert facilement une brèche dans ces murs qui ne sont pas conçus pour résister aux boulets, les navires de débarquements furent mit à l'eau, et 2 000 hommes d'élite lourdement armée fondirent sur le palais ! La résistance fut des plus brève : l'ennemi n'avait que des flèches et des sabres à nous opposer, alors que nos arquebusiers, et surtout notre organisation supérieure nous permiment de prendre la poterne sud ! Au prix de seulement 10 des notres, notre armée put alors pénétrer en masse dans le palai où nous attendait les lambeaux de la garnison ennemi. celle-ci était d'ailleurs complétement désorganisée : c'était bien la première fois qu'ils voyaient des hommes blancs, nous prenant probablement pour des démons étrangers où des demi-dieux, ils prirent la fuite vers le nord, certain se plantèrent même leur sabre dans le ventre, dans un geste desespéré. Dieu ne leur pardonnera jamais ce geste !

Ainsi, en seulement 3 heures de combat, la capitale du Japon était notre, mais il n'y avait pas trace de quelques roi ou gouverneur, ceux ci avait fuits dès la vu de nos navires, et rejoint la puissante armée de 50 000 hommes au nord ! Nous n'étions donc toujours pas rassuré : notre objectifs, le centre de commerce n'avait toujours pas été pris, mais nous avions quand même en prenant la capitale un avantage décisif dans la guerre qui allait s'ensuivre.
Quelle stratégie devait on adopter maintenant ? La décison fut prise rapidement, Memdoza décida de laisser 5000 hommes en garnison dans la ville nouvellement conquise, pendant ce temps, les 10 000 hommes qui restaient partiraient via notre flotte prendre l'île de Shikoku. En moins de 2 mois, l'île fut entre nos mains, elle était peu peuplée, et cela nous permit de nous en servir comme base.
Néanamoins, nous devions toujours prendre la province où se situait le centre de commerce. Mais comment faire avec une armée de 50 000 hommes qui la gardait ?
C'est alors que des renseignements surs, nous lertèrent : l'armée japonaise avait fait route vers la capitale. L'occasion était inespéreé, pendant que la piétaille japonaise iraient pourrir sous les remparts bien protégés par nos troupes de la capitale, notre armée prendrait le centre de commerce. Alors nous n'aurions plus qu'à négocier avec les japonais qui s'en nul doute céderaient alors à toute nos revendicaitons.
Ce plan était sur le point de réussir parfaitement : nous débarquâmes à Kiushu, vide de troupes ennemis, et mîmes le siège à la ville.
pendant ce temps, nos 5000 hommes de garnison tenaient facilement leur position, les japonais avaient tentés maints assauts, mais à chaque fois nos canons et nos arquebusiers, placés en hauteur, transformaient tout leur assauts en piteuse défaite.
Mais soudain, l'armée japonaise décida de lever le siège, et se mit en marche vers nous , alors que nous n'étions pas encore parvenue à prendre la cité !
Nous ne fûmes prévenus que 5 jours avant l'arrivé des troupes japonaises. il fut décider de combattre : Dieu était à nos côtés, la défaite ne pouvaient exister. Evitant les erreurs passés, notamment lors de la bataille de Lisbonne face aux Suédois, où les troupes étaient trop désorganisées, trop empréssées, Memdoza prépara savamment sa défense.
5 jours plus tard, l'armés nippone fut en vue : 35 000 hommes, 15 000 cavaliers, couvraient littéralement l'horizon. Celui ci n'était plus qu'un océan de lances et de drapeaux richement colorés. L'armée nous attaque de front : le sol se mit à trembler comme jamais, les troupes japonaises en furie criaient de toute part, leurs amis de la ville assiégait criaient aussi, et se préparaient manifestement à faire uns sortie.
Mais l'organisation des troupes portugaises brisa net l'élan ennemi : 2 000 arquebusiers de première ligne tirèrent tous en même temps : en même temps qu'un bruit assourdissant, plusieurs centaines de japonais tombèrent au sol. Puis la deuxième ligne, puis encore la troisième... Après, alors que l'ennemis ayent perdu tout élan, était en train de se ressaisir, ce fut les piquiers qui se mirent formation devant les tireurs : tel les phalanges d'Alexandre, elles engloutirent littéralement les japonais dans un mare de sang et de tripes. La btaille était terrible, chaque japonais tué était remplacé par deux autres !!
Pendant ce temps, à l'Est, un petit groupe de 1200 cavaliers Portugais, arrivé en renfort de la métropole il y'a à peine 3 jours !, avaient pris position dans les hauteurs boisés.
Au signal, ils se ruèrent sur le flanc arrière droit de l'ennemi, les transpèrcèrent complétement de part en part, comme un lame géante, et réduisit en bouillier tout l'arrière de l'armée japonaise.
Ainsi, Les Japonais furent vaincus, écrasés, et la ville se rendit en voyant ainsi la démonstration de notre supériorité invincible.
Les japonais signèrent la paix en nous cédant le CoT De Kiushu, et cela alors que seulement 500 des notres étaient morts.
Leur retour à Lisbonne 11 mois plus tard fut une véritable eplosion, digne des plus grands triomphes romains. Nul doute que cet épopée deviendrait légendaire, et que le portugal rentreraient dans l'Histoire à tout jamais.

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