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#1
18/01/2013, 17h45
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L'exécution de MAD
 A l'annonce de la sentence, Mad apparu assez calme en apparence. Il abandonna son manuscrit sur ces mots : « 10 heures du soir : On vient me chercher pour l'échafaud. Tout à l'heure, sans doute ma tête tombera. Je suis forcé, malgré moi, d’interrompre ces Mémoires, que je confie aux soins de mon éditeur. Le procès complète les révélations. Adieu à tous les êtres qui m’ont aimé, et même à ceux qui me maudissent : ils en ont le droit. Et vous qui lirez ces Mémoires, où le sang suinte à chaque page, vous qui ne les lirez que quand le bourreau aura essuyé son triangle de fer que j’aurai rougi, oh! gardez-moi quelque place dans votre souvenir ………… Adieu! » Mad était décidé à braver la mort avec dédain, même quand, au moment fatal, la guillotine s’enraya. Il y eut donc un temps d’arrêt de dix-sept secondes, dix-sept siècles pour Mad. Classieux jusqu’au bout, il chercha, sans bouger de place, à tourner obliquement la tête dans la lunette pour s'élever, jusqu’au sommet de la rainure, avec un regard dans lequel se lisait plus de surprise que d’effroi. Il achevait de déclamer son poème lorsque le couperet fatal tomba. A nous le vice et la vie à plein verre ! Vous ! mourez sans vous plaindre : est-ce pas votre sort ? Mourez sans nous troubler ou vous êtes infâmes. J'ai saisi mon poignard et j'ai dit, moi : de l'or !... De l'or avec du sang... de l'or et puis des femmes Qu'on achète et qu'on paye avec cet or sanglant. Des femmes et du vin... un instant je veux vivre... Du sang... du vin... l'ivresse... attendez un instant Et puis à votre loi tout entier je me livre... Que voulez-vous de moi ? vous parlez d'échafaud ? Me voici... j'ai vécu... j'attendais le bourreau.  Viiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiictoire s'écria Vonck. Le fourbe avocat a expié son forfait, la victoire est désormais certaine. La foule des auditeurs laissa exploser sa joie et les bouchons de champagne commencèrent à s'envoler dans le ciel de la cour de l'école. Cependant, au milieu de la liesse, une petite voix (anonyme) se fit entendre : - au fait, comment est-on sûrs que Mad était un avocat ? Vonck : …......  Les auditeurs : ….......... Hum, hum …. Vonck : oui ? Anatole ? Anatole : pour savoir si l'on a affaire à un avocat ou à un magistrat, il suffit d'ouvrir la tête sur sa partie supérieure et de la plonger dans un bocal de formol. Les auditeurs :  :c hoc:Anatole : pour une tête d'avocat, le liquide se colore en vert, comme un avocat, tandis que pour un magistrat, il vire au rouge, comme sa robe lorsqu'il devient président. La tête coupée du malheureux Mad fut ainsi ouverte puis placée dans un bocal de formol. ROUGE Le malheureux Mad était bien un magistrat. Auditeurs à l'école Sent GA Coelio Arounet Jag Reborn Jmlo Vonck Locke Le docteur et les avocat doivent m'envoyer leurs actions. Le docteur ne peut pas protéger la même personne que la nuit précédente. (j'ai un Week end un peu chargé, dans le pire des cas, je lance le jour 2 lundi à 9heures). (illustrations : lemonde.fr, guillotine.cultureforum.net, boisdejustice.com et artvalue.com)
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Etat d'esprit actuel : comme un mec qui en a 3 qui regarde les autres en pensant "à nous deux, on a 5"  "ut cooperatores simus veritatis"  
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#3
18/01/2013, 17h47
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c'était pas faute de l'avoir clamé....
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And so he spoke, and so he spoke, that lord of Castamere, But now the rains weep o'er his hall, with no one there to hear. "Si le droit est avec nous, qui sera contre nous?"  Citation:
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