Jaghnibal et ses éléphants

[jagermeister]

Hannibal appris grâce à ses espions gaulois la présence d'une puissante armée romaine à Pisae, il ordonna de lever le camp et d'aller à la rencontre de ses ennemis.

La bataille était devenue inévitable et Hannibal était justement là dans ce but, écraser toute l'armée romaine en une seule fois et entrer dans Rome en vainqueur.

[Antonius]

A l'aube d'un matin brumeu, Danto fut surpris d'appercevoir au loin un campement...
celui de Jaghnibal.

Ce dernier, plutôt que de se risqué dans les cols une fois de plus, venait tenter d'anéantir l'armée romaine, sur son territoire.
ainsi la superiorité de 1 contre deux ne lui fait pas peur, pensa le général.
Et il en fut inquiet.
Inquiet mais calme et vigilant.
Mais pas ses troupes qui furent terrorisé par la charge des éléphants. C'était la première fois qu'ils en combattaient.

Jaghnibal sur de son initiative, lanca une puissante attaque sur le flanc gauche mais Danto, payant de sa personne, put rallié ses troupe et repoussé ce premier assaut victorieusement. L'initiative échappai a Jaghnibal...

[Danton]

Le Consul Danto était inquiet: ainsi, même l'immense supériorité numérique des légions romaines, fortement soutenues par leurs alliés locaux, n'avait pas fait reculer l'envahisseur

Quand les légionnaires commencèrent à paniquer suite à la charge des éléphants, le Consul comprit que l'heure n'était plus aux doutes et aux craintes: il fallait au contraire faire preuve d'une assurance inébranlable et d'une foi absolue dans la victoire, fut-elle obtenue bien plus tard

D'une voix ferme et qui ne tremblait pas, Danto donna l'ordre de passer à la contre-offensive: la marée humaine romaine allait tout balayer sur son passage et renvoyer l'envahisseur dans ses pénates

Chargez!

[Antonius]

Malgrès la détermination de Danto, le courage des romains était fragile. Ils chargèrent mollement les puniques, sans aucune stratégie (éprouver l'adversaire) et furent violament repousser.
Les puniques de Jaghnibal en profitèrent et portère a nouveau les coups sur le flanc gauche. Les espions de Jaghnibal l'avait avertit que Danto avait placé ses unités les plus faibles sur ce coté...
Mais elles n'étaient pas si faibles que ça et les romains repoussèrent les carthaginois et reprirent l'assaut.
Mais Danto, fébrile, ne put organisé de veritable contre attaque et l'initiative fut immédiatement perdu. (éprouver l'adversaire)

[Antonius]

Les carthaginois se portèrent avec fureur sur le flanc gauche et les romains peinèrent a les contenir malgrès les efforts de Danto et même de Coelio.
Danto gemis en voyant arrivé des troupes carthaginoise supplémentaire dans la mélé coté gauche: ainsi Jaghnibal malgrès son inferiorité numérique avait mis des troupes de coté?
Il hurla : j'ai perdu! qu'en tout a coup de nouvelle troupes fraiche carthaginoise surgirent...
Ce fut la débacle.

[jagermeister]

Juché sur son fidèle destrier Hannibal regardait l'armée romaine partir en déroute mais il savait que ses hommes étaient trop épuisés pour entamer la poursuite, bien que marcher sur Rome était une option terriblement bien tentante, la guerre ne faisait que commencer...

[Antonius]

A Rome, le Sénat était en pleine ébullition: la nouvelle lui était parvenu que Danto avait été honteusement vaincu par Jaghnibal et que l'armée romaine était en déroute après avoir perdu 3 UC dans la bataille.

SILENCE! SIIILEEEENCE!!! hurla Bifidus en agitant son bâton de commandement.
Une fois le calme a peu prêt revenu, il déclara: le sénateur Antonius souhaite prendre la parole!

Le brouhaha repris deplus belle avec quelques cris aussi...

Antonius se leva, fier et digne, il lança : ASSEZ!
Le silence se fit
Oui! Je le reconnais, l'homme en qui j'avais confié la défence de la république s'est révélé incapable! Mais cette décision ne l'avions nous pas pris tous en commun?
Nous connaissions tous les exploits et l'experience du Consul Danto: il a conduit nos légion et a soumis la Gaule Cisalpine. Et quand nous avons attaqué, j'ai pensé a lui, nous avons tous pensé a lui pour conduire notre armée contre Jaghnibal. pourtant il nous afait défaut. Il m'a déçut, il nous a tous déçut. Mais n'avons nous pas été un peu vite en plaçant notre confiance en cet homme?
Regardez! De ses conquètes il ne reste rien! La gaule Cisalpine s'est soulevé et a soutenu Jaghnibal durant cette bataille.
Quand il a combattu à Pisae avec des troupes deux fois superieur, il a été incapable de remporter la victoire... Pourtant il avait laissez jusqu'à présent un passé une attitude de général capable!
(antonius fit duré un silence, un sénateur finis par le remplir...)
Vous pensez qu'il aurait... trahis?
(nouveau silence)

-Je ne sais pas! (repondit brusquement le sénateur Antonius) Mais peut être devrions nous laissez le commandement suprème des troupes au consul Coelio pour l'instant.
(nouveau silence)
Peut être n'est ce aussi que de l'incompétence et que nos jugement envers nos généraux sont érronés: le consul Coelio affirme que Jaghnibal avait dégarnis son coté droit pour avoir des réserves a envoyer sur le côté gauche. Le consul danto aurait donc fait preuve d'un manque clair de tactique et de discernement malgrès une stratégie apparament sure....

Je propose donc une sanction juste et néanmoins exemplaire a l'encontre du consul Danto: la perte de 7 point dans l'estime du peuple romain devrais le faire d'avantage réfléchir durant le combat et mettre ses émotions de côté...

[Antonius]

Apprès la défaite romaine a Pisae, les conséquences sur les peuples soumis par Rome ne tardèrent pas a se déclarer... En Appulie et en Corse, des rebellion éclatèrent, affaiblissent le pouvoir de Rome (perte de deux CP romains).
Danto était rentré a Rome avec ses troupes dans un silence glacial. Rome était furieuse contre le général vaincu mais prenait aussi conscience du danger de Jaghnibal. Il appris avec calme le changement de commandement donné par le Sénat et se retira dans sa domus, le temps que Coelio, le nouveau chef de la grande armée romaine, prenne une décision.

Seulement... Avant que les romains n'eussent pu faire quoi que ce soit, Jaghnibal leva son camp de Pisae et repris sa marche. (jet de poursuite réussis)

[Danton]

Le Consul Danto retourna dans sa Domus avec toute la dignité d’un grand général trahi : son plan audacieux avait échoué, certes, mais à qui la faute ? On le vilipendait à présent, mais si Jaghnibal avait remporté la victoire, on l’oubliait un peu vite, c’est parce qu’un traître l’avait renseigné sur le point faible des armées romaines . Pour survivre, Rome devait régler au plus vite le problème de la 5° colonne.

Le Consul Danto était-il le seul à comprendre ce danger ? Car qui avait trahi ? Un allié de Rome non satisfait de son sort de citoyen ne disposant pas des mêmes droits qu’un vrai romain ? Un rival politique, comme le Consul Coelio, qui n’aurait pas hésité à mettre la patrie en danger pour satisfaire ses seules ambitions ? Dans les deux cas, le problème pouvait, un jour, s’amplifier jusqu’à mettre en danger l’existence même de Rome. Grand visionnaire, Danto percevait déjà ce double danger, mais que pouvait-il faire à présent ? Pouvait-il encore sauver la République ? L’humeur du peuple est versatile se dit-il avec sagesse, son heure reviendrait, pour le plus grand profit de la République Romaine qui, il n’en doutait pas, avait le plus grand besoin de lui

[Antonius]

Rome peu enfin respirer un peu: Jaghnibal a considéré ses troupes et les a trouver trop fatigué pour une marche directe contre Rome. De plus le problème du ravitaillement et des renforts se pose pour l'armée Carthaginoise. Aussi, Jaghnibal décida de faire reposé ses troupes à Cosa, un port au sud de Pisae. (jag n'avance que d'une case suplémentaire)



C'est à Coelio