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#1
10/01/2009, 19h04
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Toutes les guerres sont des guerres civiles parceque tous les hommes sont frères.
4 aout 1914 Quelque part dans le Maryland. Mme Zelaski, veuve Braddock se leva péniblement de sa chaise alors qu'on frappait à la porte. Cela l'étonna un peu car d'habitude personne ne frappait jamais. Comme à chaque fois qu'elle passait dans le salon elle jeta un regard triste à la photo de son cher Robert tué en 1881 à Louisville. Elle ouvrit la porte et se retrouva façe à un monsieur d'âge mur, très bien habillé. Derrière lui une automobile flambant neuve avec un chauffeur et un deux autres hommes à l'intérieur. Elle remarqua que le chauffeur avait un uniforme militaire. Le monsieur la salua gravement en otant son chapeau. -Je suis Monsieur Gibbs du département de la guerrre. Je suis désolé, madame, je dois vous remettre ceci... Il lui tendit une envellope marqué du sceau de l'administration américaine. -Je suis désolé Madame, répéta t'il. Alors elle compris. Très digne elle s'empara de la lettre et la décacheta. Depuis la voiture l'homme l'observait intensément comme si il avait pu y faire quelque chose. -Vous n'étiez pas obligé de venir monsieur fit remarquer son compagnon. -Je le devait pourtant Franck, parce que je dois me rappeler à chaque seconde ce que mes décisions implique. Puis d'un pas raide, Théodore Roosevelt, Président des Etats-Unis descendit de la voiture et se dirigea vers la ferme. Tom Braddock fut le premier mort de la guerre. Il fut tué la 4 aout 1914, dans une rencontre entre patrouilles dans le Kentucky. Il avait 23 ans.
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And so he spoke, and so he spoke, that lord of Castamere, But now the rains weep o'er his hall, with no one there to hear. "Si le droit est avec nous, qui sera contre nous?"  Citation:
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#2
10/01/2009, 21h04
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A la grande fureur de l'état major américain c'est bel et bien l'ennemi qui est passé à l'offensive le premier nottament dans le Kentucky et dans le Maryland.
Washington est en feu sous les obus confédérés. :evil: Et les rebs ont débarqué dans le delaware pour contourner notre dispositif. Des miliciens de la garde nationale sont envoyés les bloquer.   Mais plus au sud je crois que nous avons trouvé notre schwerpunkt. Nous avons d'excellentes troupes dans le secteurs, les irlandais de l'irish brigade et les allemands de la division "Pickelhaube" et des reserves pour exploiter la percée.   Au canada les opérations ont commencé mais la défense ennemie est forcenée. :sad:   Dans le sud les combats se déroulent en territoire confédérés.   Dans le Kentucky enfin l'aggressif général Custer lance ses troupes sur les ponts flottants à travers le fleuve pour contourner l'ennemi.   En Europe la première tentative de sortie de la Hochseeflotte de nos alliés allemands à été contrecarré par la Royal Navy.
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And so he spoke, and so he spoke, that lord of Castamere, But now the rains weep o'er his hall, with no one there to hear. "Si le droit est avec nous, qui sera contre nous?" Citation:
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#3
11/01/2009, 15h48
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Peu d'image du front cette semaine car mes offensives ont toutes plus ou moins échoué.
Oui le feu tue! et l'état-major paye le prix fort pour s'en rendre compte. Les combats se sont concentrés dans les zones urbaines ce qui à aggravé l'ampleur des pertes. :sad: En Europe les allemands appliquent le plan Schlliefen tandis que les serbes repoussent les autrichiens.   Durs combats autour des ruines de Washington.   Dans le reste du pays les offensives ont été repoussé en particulier au canada ou nous nous heurtons à d'excellentes troupes, bien entrainés et qui se battront jusqu'au bout pour défendre leur pays. On signale les premiers cas de francs-tireurs. Dans le Kentucky sanglants combats autour des villes principales pour tenter de franchir le fleuve.  
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And so he spoke, and so he spoke, that lord of Castamere, But now the rains weep o'er his hall, with no one there to hear. "Si le droit est avec nous, qui sera contre nous?" Citation:
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#4
11/01/2009, 23h07
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Do what you can, with what you have, where you are.
Theodore Roosevelt La situation dans le Maryland commence à devenir inquiétante. Nos troupes sont bousculé et l'ennemi semble vouloir avançer dans les brèches. Nous ramettons en catastrophe un corps du Canada jusqu'a Philly. Un train blindée vient soutenir les réservistes de la garde nationale qui tiennent en échec les rebelles à Dover.   Le président Roosevelt écume de rage dans son bureau. Il vitupère contre les lâches du congrès qui commencent à évacuer la capitale. Il jure de défendre les armes à la main la capitale plutôt que d'évacuer. -Je pendrais par les c*** le premier qui me parlera de reddition! 
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And so he spoke, and so he spoke, that lord of Castamere, But now the rains weep o'er his hall, with no one there to hear. "Si le droit est avec nous, qui sera contre nous?" Citation:
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#5
12/01/2009, 18h35
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C'est un peu l'abattement au GQG à Philadelphie.
Après un mois de boucherie il faut se rendre à l'évidence l'armée US n'a atteint aucun de ses objectifs de guerre. Nous sommes encore à plus de 150km de Winnipeg et les canadiens défendent chaque pouce de leurs terres avec archarnement.  Dernier accroc en date la flotte envoyé pour prendre Pearl-Harbor aux anglais par surprise à piteusement échoué. En Europe les autrichiens subissent défaite sur défaite et les Russes s'approchent de la Hongrie.   Dans le Maryland nous avons du rappeler un autre corps du Canada pour combler les brèches. Les troupes levés dans les marins de la flotte défendent courageusement Baltimore.   En conséquence le piteux général Griffon a été limogé par le président. Son défaitisme et ses tentatives de maquiller la vérité on fini par lasser Roosevelt. Son remplaçant le général Thrawn, devra faire mieux. Seul réconfort dans les sud l'armée impériale mexicaine ( :lolmdr: ) à fait preuve de son peu de motivation à se battre. Leurs maitres sudistes vont devoir trouver d'autres alliés pour gagner la guerre. Dans le Kentucky on se charcute joliment à coup d'obus des deux cotés du fleuve. Cependant au sud des Blue Ridge Moutain les confédérés commencent à montrer des signes d'épuisement.
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#6
12/01/2009, 18h49
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L'entousiasme général du déclenchement de la guerre est peu à peu en train de s'émousser. Le carnage du mois d'Aout efface peu à peu l'image de la guerre fraiche et joyeuse.
 Roosevelt méprise cordialement son homologue du sud, Wilson, qu'il considère comme un mou et un pacifiste. Mais force est de constater que le Sud était prêt pour cette guerre. Les rebelles ont meme trouvé le moyen d'utiliser les noirs qui servent dans la logistique, dans l'intendance et qui creusent les tranchées. (L'esclavage fut aboli en 1882 remplacé par un régime d'apartheid). Cruelle ironie quand on sait qu'aux Etats-Unis il est interdit aux noirs de servir dans l'armée. Seul la Navy les accepte. Il semblerait que l'amérique paye le prix de son arrogance aujourd'hui, elle qui pensait pouvoir défaire anglais, canadiens, confédérés et mexicains en 1 mois... :sad: 
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#7
12/01/2009, 19h06
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#8
12/01/2009, 19h20
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Quelque part sur le front de l'est.
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#9
13/01/2009, 14h36
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aller un petit encouragement pour cette dure période que tu traverses qui risques d'empirer si tu recrutes encore des griffons :p
PS : l'equipe de soutien du palpate
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Loose, Jambon et Fromage
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#10
13/01/2009, 19h45
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Speak Softly and Carry a Big Stick
Théodore Roosevelt. Discours d'investiture 1912 Philadelphie est sauvé! :D Nos troupes ont héroiquement défendu Baltimore et ont stoppé l'avance confédéré pour la premiere fois depuis 4 semaines. Nos troupes rameuté du Canada arrivent par l'ouest. Si les rebelles persistent dans leur avance ils se retrouveront pris de flanc.   En virginie occidentale, violents combats autour de Big Lick. Dans le Kentucky aussi nous enregistrons des progrès notable en faisant sauter plusieurs verrous sur le fleuve aux deux extrémités du front. La percée tant attendue va peut être finir par arriver.  Au sud nous avons ramené un corps de Seattle pour tenter de percer définitivement à Nogales.  Au canada aussi nous enregistrons quelques progrès. Avec notamment un percée et la prise d'un fort dans l'ouest du pays. Voilà qui devrait obliger encore un peu les rebelles à diviser leurs troupes. En Europe les nouvelles sont moins encourageantes. Les autrichiens subissent défaite sur défaite et Hotzendorf appelle les allemands à l'aide. Ceux-ci envoient plusieurs corps prélevé en France, sonnant sans doute l'échec définitif du Plan Schllieffen.  désolé je tatonne un peu pour la taille des images. :oops:
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