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J'ai encore le beau rôle
![]() Qu'est ce que vous avez contre les saucisses, c'est important les saucisses !
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![]() http://schnick.labrute.fr Seule une femme peut vous consoler d'être moche. [Benoît Poelvoorde] |
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#2
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Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!
![]() :foule de jeunes pucelles en délire devant leur Héro Mâle, leur star testostéronée préfée : marlouf l'AARiste!: ![]() ![]()
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"Péricliter = tourner autour du clitoris" d'après "Le Dictionnaire de ceux qui ne savent pas" de Ar Sparfell |
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#3
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Chapitre 3 : Du jeune autiste au puissant commerçant, ou l'épopée de Chazam le Grec
C’est peu avant la traversée du Pont et notre arrivée en Asie que j’eus le bonheur de retrouver mon jeune frère Chazam, dont la distance et mes occupations auprès de la famille impériale m’avaient privé de la compagnie. Je lui avais envoyé un message lui faisant part de notre passage à proximité de la Grèce, ayant le vague espoir qu’il pourrait peut être nous rejoindre. C’est néanmoins avec une grande surprise que le messager revint au bout de quelques jours accompagné d’un homme portant un long manteau à capuche le protégeant de la poussière soulevée par les chevaux. Quand il souleva la capuche pour me montrer son visage rieur, j’éclatais de joie et attendais qu’il descende de cheval avant de sauter dans ses bras. Lui dont le souvenir m’avait laissé l’image d’un tout jeune garçon renfermé sur lui-même était devenu un jeune homme aventureux au contact facile, aimant à découvrir le Monde et s’émerveillant encore de tout. Les quelques jours durant lesquels il suivit la même route que nous ont marqué mon esprit puisque, 5 ans après, je m’en souviens toujours comme l’un de mes derniers moments de pur bonheur, avant que les événements liés à la famille impériale ne mettent un terme à ma douce quiétude. Nous passions les journées à discuter du passé, et de notre enfance dans les faubourgs d’Athènes. Chazam était le fruit du remariage de notre mère, ce qui expliquait la sensible différence d’âge entre nous. Enfant rieur et éveillé, il était tombé rapidement dans le mutisme le plus total après le décès soudain de notre mère suite à une maladie qui l’emporta au bout de quelques semaines, événement qui nous marqua bien plus que nous ne l’aurions admis en public. Je me dirigeais rapidement vers la médecine, science portée au statut d’art dans le Péloponnèse tellement la découverte et la lutte contre les maladies avaient acquis ses lettres de noblesse avec les médecins grecs. Une maison sur 2 étages, des voisins fortunés, 2 chars garés dans la cour... toi, tu es médecin ! J’étais assez inquiet lorsque j’embarquais pour le Latium puisque Chazam ne semblait toujours pas remis du choc, mais le destin sait parfois se montrer clément, plaise aux dieux. Malgré la proximité de la mer, que l’on pouvait voir des hauteurs de l’Acropole, les différents ports d’Athènes avaient perdu de leur superbe depuis la colonisation des Romains, et le Pirée avait même été complètement détruit par le tristement célèbre Sylla. Le général romain s’y comporta comme il le fera quelques années plus tard à Rome, commandant des exécutions sommaires, envoyant de vielles familles athéniennes en esclavage et détruisant – espérait-il – tout une partie du panhellénisme. Avec la perte de ses ports les plus prestigieux, le déclin d’Athènes fut irrémédiable, et il fallu plus de deux siècles pour que le commerce par voie navigable revienne en force dans la région. C’est aussi avec un plaisir certain que je voyais Chazam sortir de son mutisme et scruter, les yeux ronds comme des soucoupes, les navires de l’est accostant au Pirée et y déversant tous les trésors de l’Orient, tandis que les cales des bateaux pour l’ouest étaient remplies de marbre rosé et de statuettes finement travaillées, afin d’accroire un peu plus le luxe des édifices romains. Je savais en embarquant sur l’un de ces bateaux que Chazam avait certainement découvert ce qui le sortirait de son apathie. Du plaisir, j’en avais aujourd’hui, alors qu’il me narrait ses différents voyages à travers la Méditerranée, lui qui était devenu un commerçant sans peur, n’hésitant pas à aller taquiner du Parthe pour obtenir des soies plus fines, ou s’enfoncer au-delà des déserts Egyptiens pour ramener des trésors de Nubie. Il ne lassa d’ailleurs pas de m’étonner quand j’appris qu’il était à l’origine de cette mode actuelle des poupées africaines travaillées dans du bois rare et que l’on retrouvait dans les mains de tous les enfants de la haute société romaine : l’idée lui en était venu au contact des familles de mercenaires koushites. La chute du sesterce a fait des esclaves un valeur refuge, oui, c'est sur ! Et lui de m’expliquer un peu plus qui étaient tous ces peuples, de me parler du grand chaudron romain en ébullition, des tentatives impériales pour écraser les cultures par une incorporation très parcimonieuse de leur culture, comme pour mieux les combattre. Chazam avait décidemment bien changé : lui à qui l’on ne pouvait pas faire décrocher un mot était désormais un expert en populations indigènes. Je regardais ce jeune homme, me demandant si réellement le même sang nous unissait, moi le médecin suivant une cohorte impériale sans réellement exercer sauf à de rares occasions, et lui le commerçant aventurier qui autrefois se fondait avec les murs d’Athènes, et dont aujourd’hui le nom de Chazam le Grec était connu aussi bien aux sources du Nil que sur les hauts plateaux d’Arménie. Plus dangereux surtout, les idées de mon frère sur la grandeur de la Grèce ancienne et l’autonomie des peuples frisaient dangereusement la sédition. Les mouvements d’indépendance étaient une perpétuelle épine plantée dans l’orteil de Rome, et l’Empire se devait de les gérer avec célérité. Je savais en bon médecin qu’une minuscule blessure, a priori insignifiante, pouvait amener si elle n’était pas traitée à une nécrose pouvant emporter le sujet. Il en était de même pour Rome, et si les quelques 30 Légions réparties à travers l’Empire avaient vocation à empêcher toute intrusion extérieure, elles étaient politiquement là pour empêcher tout heurt intérieur. La meilleure preuve en était l’expédition à laquelle je participait pour restaurer l’ordre en Syrie et en Egypte face au général Avidius Cassius, et qui une fois de plus dans l’Histoire de Rome opposait la terre natale du Latium et son pouvoir central, face aux anciens Royaumes d’Orient. Répartition des Légions Romaines. Elles seront au nombre de 30 sous le principat de Marc Auréle Enfin alors que nous commencions à traverser l’Anatolie, après la traversée du Bosphore, Chazam nous quitta afin d’embarquer pour la Judée, où il espérait arriver rapidement afin d’y conclure des affaires. Je l’introduisais peu avant son départ auprès de la Cour, à commencer par Marc Aurèle, qui lui prêta un intérêt réel. Commode lui laissa une impression extrêmement mitigée, surtout quand Chazam reconnu à ses côtés Schnickeon. Le tableau qu’il me dressa sur l’ancien proxenéte athénien était encore bien plus sombre que les échos que j’avais eu jusque là. L’homme était retord, avide d’argent, et n’hésitait devant rien pour acquérir la moindre once de pouvoir. Un homme extrêmement dangereux, me confia Chazam – et j’aurais malheureusement le privilège de m’en rendre compte par la suite. Finalement Chazam croisa également l’impératrice Faustine, le temps de quelques instants, mais ce qu’il me glissa après l’entretien me glaça le temps, lui qui n’était là que depuis quelques jours et rencontrait cette Cour pour la première fois. Avait-il saisi les regards rapidement glissés, l’intonation de voix peut être un peu trop mielleuse, avait-il pu analyser tout cela aussi rapidement tout en connaissant la réputation de croqueuse d’hommes collant à la peau de Faustine ? Toujours est-il qu’il me fit remarquer que coucher avec la femme de César n’était pas être aventurier, mais suicidaire. Je n’essayais même pas de nier ce que lui avait pu découvrir en l’espace de quelques minutes, me demandant uniquement où ma tête roulerait si l’affaire était découverte par d’autres. Le regard que me coula Chazam avant d’embarquer pour la Judée me laissa dans un état de tristesse contrastant avec les derniers jours, tel un voile venant ternir les joies passées. Chazam l’avait pressentit, et dans son regard on lisait tout : Parmi ceux qui avaient tout, je m’étais mis dans une situation inextricable et excessivement dangereuse. Comme l'homme se rendant aux vespasiennes et tombant dans l'orifice, je me retrouvais, littéralement, dans la merde. ![]() Allez rentre bien, de toute façon on se refait une bouffe dans quelques années !? |
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#4
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étonnant qu'il ne vende pas des saucisses !
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#5
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C'est la loi du marché, la saucisse n'est pas encore assez côtée
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Mad, dans ton dernier post, je ne vois pas les illustrations 1 et 3. Suis-je le seul ?
Superbe, mais où ai-je mis ma b..., je veux dire ma tête... (terme, mal venu aussi, vu que les citoyens romains - et un aussi éminent médecin est nécessairement citoyen romain - sont exécutés par décapitation) Sinon, une petite incohérence (à moins que ce cher Otto Grandpieos aime beaucoup la seconde épouse de son papa - il semble aimer les femmes un peu blettes, Faustine ayant fait un nombre horrifique d'enfants à son empereur de mari - ) : il parle de sa mère à propos d'une personne qui ne peut d'évidence être que sa belle-mère...
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Ce sont les événements qui commandent aux hommes et non les hommes aux événements. Hérodote Rien n'arrête le progrès. Il s'arrête tout seul. Alexandre Vialatte |
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#7
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Effectivement j'ai moi même aujourd'hui un probléme avec les 3 premiers screens (sur 4, c'est un peu chiant )
Il y a de bons hébergeurs d'images autres que imageshack ? (je me doute que la question a déjà été souvent posée )Sinon je confirme, Otto, que Chazam et toi êtes bien nés de la même mére (suite au décés accidentel du premier mari, mais je ne rentre pas dans les détails, ça ferait un peu trop Côte Ouest )Quant à Faustine, malgré le nombre de mioches qu'elle a enfanté (12 ou 13 pour Marc Auréle, de mémoire ? ), elle était (semble t'il) réputé pour son côté couche-toi-là (autre cause, la couche impériale, ça se refuse difficilement sous certaines conditions )
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#8
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Chapitre 4 : De l'insistance d'Otto Grandpieos à tremper son biscuit dans la couche imperiale
La réputation de l’impératrice Faustine n’était plus à faire, et seul le profond respect des soldats pour leur empereur avait empêché l’étalage des ragots sur la place publique. Il est même certain, et j’en fus témoin, que Marc Aurèle, dont l’intelligence n’était pas la moindre des qualités, avait eut vent de ces rumeurs. Plusieurs facteurs avaient du jouer pour éviter le courroux impérial, à commencer par le penchant que Marc Aurèle eut la plupart du temps pour la retenue, en application de vieux philosophes grecs. La Cour était également un bruissement perpétuel de lutte pour le pouvoir, et la sexualité n’était qu’un des nombreux moyens pour parvenir à ses fins. Qu’elle semblait loin, l’époque où un César aurait exécuté ou, plus hypocritement encore, banni sur quelque rocher perdu au milieu de la Méditerranée, la malheureuse concubine qui aurait de trop nombreuses fois tenu écarté ses cuisses pour une semence autre qu’impériale… Un ragot sorti d'une auberge romaine a toujours un fond de vérité ! Un destin trop cruel pour Faustine, qui avait donné à Marc Aurèle une sacré tripotée d’enfants, treize pour être exact, et dont j’avais aidé à la naissance un certain nombre. De plus, comme me le confia ce soir là César alors que je lui prenais le pouls, renoncer à Faustine correspondait, dans sa pensée stoïcienne, à renoncer à l’empire : c’était en se mariant à cette fille d’Antonin que Marc Aurèle avait pu accéder aux plus hautes sphères de l’Etat. Tandis qu’il me faisait cette remarque, je rougissais, songeant également à la récente constatation de mon frère Chazam. Soigner un vieil homme tout en couchant avec sa femme n’était pas un exercice aisé, surtout quand l’homme en question n’était autre que le maître du monde connu. Les dieux m’avaient ils rendu fou en me jetant dans les bras de l’impératrice ? Elle n’était pas spécialement attrayante, et l’idée même de me retrouver dans ses draps ne m’aurait pas un instant effleuré si elle n’avait pas joué tout en finesse, tandis que je tombais dans le piége comme un rat. Mon quotidien durant cette traversée d’une partie de l’Europe et de l’Asie était réglé comme une horloge, partagé entre Marc Aurèle dont je surveillais la santé encore un peu chancelante, et l’impératrice Faustine dont j’étais devenu, sans même m’en rendre compte, le confident. Chaque matin, elle s’inquiétait de la santé de son mari, et je la rassurais par quelques mots. Depuis plusieurs mois déjà, elle avait pris l’habitude de me consacrer une partie de ses matinées, demandant toujours plus de détails sur les lassitudes de son mari, me questionnant sur une toux plus rauque que la veille, ou un vertige qu’elle pensait avoir constaté chez lui. Etranges séances qui se répétaient sans cesse, et dont j’aurais dû, dés le début, me douter des conséquences. Une main lascivement posée sur mon avant-bras, un regard troublant qui semblait me percer de part en part, le tout dans l’atmosphère feutrée de la tente de l’impératrice, entre tapis de Syrie et fins voilages venus par delà l’empire, des terres inconnues d’Extrême Orient. Je ne sais comment mon esprit n’a pas pu déceler la situation extrêmement pénible dans laquelle je plongeais, et des deux pieds. Une épouse que j’estimais mais dont l’éclat semblait avoir terni depuis qu’elle avait donné naissance à notre fille unique ? Le contact rugueux des soldats de la Légion, dont les imprécations auraient pu dépuceler les Vestales elles-mêmes ? L’excitation du voyage et des expéditions, la peur de la mort dont l’idée ne pouvait jamais lâcher les hommes quand on avait eu en face de soi les barbares de Germanie ? Le contraste entre les horreurs de la guerre, dont je n’étais malheureusement pas plus protégé que quiconque lorsque nous avions rejoint le Danube, et la chaude ambiance au contact de l’Impératrice m’avait précipité dans une double vie dont je ne mesurais pas les conséquences. Un matin où elle avait été plus pressante encore, alors que nous traversions la Macédoine, j’avais capitulé face à la reine du monde et partagé sa couche, me souillant comme le plus misérable des damnés. Construction d'un campement pour la nuit avec 1) un mur, 2) un fossé et des soldats au torse huilé, 3) le lupanar de Faustine Et chaque matin, ou presque, le rituel recommençait, quelques précisions sur l’état de santé de Marc Aurèle récompensés par quelques instants avec Faustine, le tout étant assez bestial et effréné, dans la crainte de se faire prendre. Le type exact de relation qui pouvait me faire perdre la tête pour un bruit, une indiscrétion, un témoin. Un matin, je ressortais de la tente et tombait nez à nez avec Schnickeon, qui me fixa avec un rictus passablement agaçant. Je rentrais les épaules et détalais sans demander mon reste, priant pour qu’il n’ait rien vu qui puisse m’accabler. Pour la première fois depuis bien des années, je pensais même à sacrifier un animal, n’importe lequel, afin de m’attirer les bonnes grâces des dieux. Je passais la journée dans un état de terreur permanent, transpirant plus que de raison et sursautant à chaque fois que l’on venait m’enquérir sur la santé de César. Le soir enfin, je me rendais au banquet donné lors de notre nouvelle étape pour les familiers de la Cour. J’avais quelques instants auparavant encore, caressé du doigt la pointe de mon poignard, me demandant si j’aurais le courage de me trancher les veines. Faire sortir le sang d’autrui était certes en partie mon métier, mais il n’allait pas de soi que je puisse faire de même sur mon corps, surtout que je l’estimais en trop parfaite santé pour le charcuter. Et alors que je prenais place sur l’un des siéges autour de la table (les lits n’étaient utilisés pour les repas que lorsque nous étions à l’abri d’une ville et non, comme ici, en rase campagne anatolienne) je m’imaginais des tableaux tous plus dramatiques les uns que les autres, qui avaient tous comme finalité que je mourrais dans des circonstances horribles, tandis que ma famille était, dans le meilleur des cas, déportée sur une île déserte voir, pour ne pas faire désordre, proprement massacrée et jetée dans un fleuve dont personne ne se souviendrait le nom. Je regardais les convives se mélanger les uns aux autres, voyant dans une dernière vision cauchemardesque ma fille se faire violer par un soudard aviné avant d’être exécutée, puisqu’il était dit qu’une vierge ne pouvait se voir ôter la vie. Vite, s'assoir sans regarder personne, vite et... merdeuhhhh, je me suis assis sur les genoux de Faustine ! Aussi l’habituelle bonne humeur de Marc Aurèle se révéla une surprise inattendue, et tout en discutant avec mes voisins, j’en venais à penser que la liaison n’avait pas été ébruitée. Il y avait bien des regards insistants venant de Commode, ainsi que de tout ce petit monde qui tournait autour du prince comme des chiens qui glapirait pour obtenir un morceau de viande : Schnickeon, bien sur, qui était désormais aussi collé à Commode que s’il était ombre, et qui l’emmenait jusqu’au bout de la nuit dans des jeux de dés, où le vainqueur se voyait attribuer les femmes les moins farouches. Mais également un ancien esclave, Perenis, que Commode avait affranchit contre, disaient les rumeurs, de folles nuits un peu plus intimes, et à l’écart des yeux et des oreilles de Marc Aurèle. Sans compter Chal, le jeune fils de Perenis, un peu moins vieux que Commode mais tout aussi pervers et débauché que son père. Difficile de savoir comment Commode allait pouvoir se départir de cette néfaste compagnie afin de recevoir l’éducation que Marc Aurèle tentait d’apporter à son fils, et lui éviter ainsi les écueils d’un pouvoir trop grand, arrivé trop tôt. Et Faustine, dont l’état se dégradait au fur et à mesure que nous approchions de la Syrie, Faustine qui assouvissait dans le sexe ses inquiétudes grandissantes alors que nous étions sur le point de porter le fer contre le général rebelle Avidius Cassius. Faustine qui scellerait bientôt mon destin, un destin devenu inexorable par la volonté des dieux, puisqu’il était dit que j’étais maudit et que ma famille ne me survivrait pas. Le probléme avec ces esclaves, c'est cette volonté de sortir de leur crasse et leur basse extraction. Feignasse! |
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#9
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Toujours aussi bien écrit.
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"Péricliter = tourner autour du clitoris" d'après "Le Dictionnaire de ceux qui ne savent pas" de Ar Sparfell |
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#10
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Mieux que Gladiator
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Ce sont les événements qui commandent aux hommes et non les hommes aux événements. Hérodote Rien n'arrête le progrès. Il s'arrête tout seul. Alexandre Vialatte |
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