Les aventures de la GPO 2008

[Pedrolane]

La Main de l'Ombre s'étend sur la France 1557-1576

La maladie, voilà ce qui forca le roi à se trouver au chevet de la reine durant des années et des années jusqu'a sa mort . Ainsi le roi délégua son pouvoir à un conseil de régence qui fut malheureusement rapidement dirigé dans l'ombre par le duc Iatus de Lorraine.
Ainsi meme à la mort du roi, son succèceur ne put prendre le pouvoir directement les renes du pouvoir car il se trouvait dans les antilles lors du décès de son père, ainsi le duc Iatus embriguada les membres du conseil en pronant une phase de transition de 5 ans avant que l'héritier légitime ne puisse monter sur le trone et ce pour qu'il se remette au courant des affaires européennes

Ainsi durant cette sombre période, le conseil sans aucune diplomatie décida unilatéralement de déclarer la guerre à de nombreuses nation européennes, parfois avec raison, souvent sans mais toujours avec ignorance, ainsi les tactiques militaires misent en place par le conseil furent rapidement dépassées et très vite les défaites se succédèrent contre l'autriche et plustard sur mer contre l'Angleterre.

De plus le conseil, toujours habillement manipulé par l'ignoble Iatus de Lorraine, continua à oeuvre contre la France et contre la NEF, en effet il est maintenant avèré qu'Iatus était en réalité un catholique et un serviteur direct de l'Empereur d'Autriche et du Pape.
Ainsi, la Lorraine décida de rejoindre l'empire sous la pression de l'empereur, lui-meme, mais aussi d'Iatus qui martella au souverain Lorrain que le futur-roi de France, digne héritié du royaume souhaitait annexé la lorraine ... de force.
Après d'habiles manipulations et de nombreuses correspondances, Iatus qui oeuvrait au service de l'Empereur parvint à obtenir la neutralité de la France dans l'Affaire Lorraine.
Ainsi la France ne réagit pas, les memes manipulations furent mise au jours quant à l'affaire Genoise.
Alors que la date de passation de pouvoir entre le conseil de régence et le Roi légitime s'approcha a grand pas, voilà que le Duc Lorrain disparu, selon les sentinelles poster à la frontière entre la France et la Lorraine, il se serait réfugié en Autriche.

Ainsi, le Roi qui s'appretait à prendre le pouvoir fut maintenant certain de ce qui s'était tramé durant ces sombres années, en effet au début, n'étant pas au courant des affaires européennes il ne put que faire confiance au conseil, mais au fur et à mesure que le temps passait, il se rendit compte que les choses n'étaient pas aussi simple que l'on souhaitait lui faire croire.

Les temps changent, la nuit se termine et le jour se lève.

L'Honneur de la France doit etre rétabli ainsi que son statut de Puissance diplomatique incontournable.

Tous les regards se tournent maintenant vers l'Autriche qui continue à héberger le traitre Iatus et qui n'a toujours pas accepter de rendre sa liberté à la Flandres.

[TCAO]

Réponse au demande Française:

Très cher roi, soillé réaliste! Gènes ne fait que chercher la guerre, ce ne sont que des béllisciste, ils ont déjà par le passé essayer de nous attirer dans une guerre contre l'Angleterre et l'Espagne! Cette république était gouverné par des fous, qui ne font que trahir notre cause en métant à mal notre réputation. Attaquer le royaume du pape, c'est donner un geste de discorde entre chrétien, et c'est donner beaucoup trop d'importance à ce Pape, qui n'est que la répresentation de la corruption du catholicisme.
Nous proposons que Genes nous soit ceder contre compensation à l'Espagne, la ville sera vassaliser et restera sous notre autorité pour empecher tout nouvelle acte béllisciste de leur part.

Amicalement le roi de scandinavie.

[comeon]

Déclaration de la République de Venise sur la question gênoise

Le Doge refuse toute imiscion non franco-vénitienne dans cette partie de l'Italie, et refuse donc à l'Espagne le droit de posséder des terres ou d'avoir un quelconque droit de vassalité sur un état italien. Nous demandons la libération totale de Gênes.
Sinon quoi Venise s'offre toutes les possibilités pour expulser les espagnols récalcitrants.
Encore une fois l'Espagne montre sa volonté de disperser le camp catholique, alors qu'au contraire Venise essaye de le rassembler autour du giron impérial.
Nous demandons à l'Espagne de revoir sa position, il en va de l'avenir de l'Elgise catholique déjà en bien mauvaise posture.

[lemarseillais]

DECLARATION OTTOMANE

Le Sultan fait savoir à Venise qu'il serait mal avisé pour elle de lancer ses armées dans une opération x ou y alors même que la pomme de discorde bosniaque demeure entre nos deux Etats.
Si le sort de Gênes nous importe autant que la vie de l'empereur, nous ne manquerons pas de profiter de l'occasion qui pourrait nous être donné.

PS : bon en même temps y'a 99.99% de chance que l'ia russe me dow donc je ne pourrais rien faire d'autre. Mais d'un point de vue rp en tout cas j'aurais exigé satisfaction

[SnoopyNap]

Epopées mamelouks (1557 - 1578) - Les années noires
Au faîte de sa gloire notre regretté souverain Jaqmaq III mourût mystérieusement dès août 1557. Sans héritier, c'est un obscur neveu, Qânsawh I, qui hérita du trône. Il était doté de piètres compétences et ne bénéficiait d'aucune reconnaissance nobiliaire. Au point qu'à ce jour personne ne s'est résolu à écrire l'histoire de son règne. C'est donc à vore humble serviteur, SnoopyNap, qu'incombe la charge de relater brièvement les événements passés.
Dès son accession au trône, Qânsawh I dût affronter une révolte des nobles du pays. Durant 5 longues années, l'armée - ou plus exactement les quelques troupes demeurées fidèles, car les effectifs chutèrent - dût être mobilisée en permanence afin de mater les révoltes qui éclataient aux quatre coins du pays, et reconquérir les provinces qui tombaient l'une après l'autre aux mains des rebelles. Lorsqu'il fût finalement accepté, à défaut d'être chassé, Qânsawh I tenta de reprendre les travaux entrepris par son oncle. Hélas en vingt ans réussît-il tout au plus à convertir Qoijiam et Gonder, deux provinces chrétiennes orthodoxes. La Tunisie, notre vassal, profita des troubles du pays pour refuser obstinément une annexion diplomatique qui eût pourtant fait le bonheur de nos peuples. Voyant cela, le petit état du Yémen lui-même refusa pareillement l'annexion de ses deux provinces. Les efforts de rapprochement avec le Swahili initiés sous le règne précédent aboutirent tout juste à une alliance, cet état barbare armé de sagaies refusant net toute vassalisation. Comble du désastre, tous les espoirs placés en nos chercheurs sont suspendus à une révolution scientifique pourtant promise mais dont nos savants semblent difficilement accoucher. S'ils tardaient trop, cela pourrait retarder d'une trentaine d'années le décollage de notre nation. A mort notre souverain !

Cet écrit fût retrouvé dans le bureau de SnoopyNap-père , et caché jusque la fin du règne de Qânsawh I. Quant à SnoopyNap-père, il était interné et torturé dans les geôles du sultan usurpateur pour tentative de rébellion.

SnoopyNap fils, Grand Vizir des Mamelouks.

[SnoopyNap]

Au sultan ottoman : malgré les troubles internes de notre pays, nous garantissons à notre voisin notre soutien militaire au moment où des bruits de bottes et d'épées nous parviennent de Russie.
Aux royaumes chrétiens méditerranéens : nous n'abandonnons pas notre promesse de pacifier le Maghreb et supprimer les pirates barbares de ses côtes, nous avons simplement besoin de plus de temps. Nous appelons l'Autriche à une diplomatique retenue en cas de guerre entre les musulmans et la Russie ; il n'est pas de l'intérêt des souverains chrétiens de laisser indéfiniment grossir leur voisin orthodoxe.
Au roi espagnol : nous lui rappelons que son dernier ancêtre castillan s'était engagé jadis à dévassaliser le Maroc, avant qu'une malheureuse régence ne suspende cet accord.

[Pedrolane]

Déclaration française à L'Empereur:

Empereur, nous vous demandons d'intervenir pour règler la question genoise et apporter une vision neutre et objective, sans vous souviez des affaires qui nous préoccupent et font qu'inévitablement vous cherchez la guerre contre nous.
Nous vous demandons de bien vouloir presser l'Espagne de libèrer Genes, sans quoi un nouveau pt de discorde surviendra entre plusieurs nations européennes, l'Espagne n'a rian a faire en Italie, je suis sur que dans votre analyse et votre objectivité, certes peu développée, mais qui existe tout de meme vous trouverez la sagesse d'accèder à notre requete.

En ce qui concerne la Russie, sachez Empereur, que votre attitude à l'égard de cet ogre nous surprend on ne peut plus, là ou vous crier au scandale lorsque la France intègre des monoprovinciaux, vassaux epuis des dizaine sd'années en elle, vous laissez la Russie annexée des dizaines de povinces lithuanienne et polonaises.
Nous vous demandons de vous montrer ferme envers la Russie et ce malgré votre alliance militaire claire envers l'Ottoman.
Nous vous demandons de clairement revoir votre politique internationale, qui pour l'instant n'est pas dirigée vers la paix et la sauvegarde des petites nations mais plustot vers une obstination quasi-maladive à vouloir faire la guerre à l'Empire Ottoman et à controlé ce que fait la France, tout en occultant le reste de ce qui se passe dans le monde.

Empereur, voilà ce que nous vous demandons, malgré le fait que nos deux pays ne peuvent plus maintenant reculer et règler nos différents autrement que dans une guerre ' qui s'annonce magnifique-sublime-pleine d'honneur, cependant il vous faut jouer le role d'Empereur que vous vous acharnez à conserver et pour cela, nous vous demandons de proposer des solutions aux conflits somnolents qui se balencent telles des épées de Damoclès au dessus de l'Europe.

[Danton]

Déclaration Impériale



La position Impériale en ce qui concerne Gênes est claire, limpide et nullement neutre : le Royaume de Gênes fait en effet partie du Saint Empire Romain Germanique. Ce Royaume, s’il ne peut rester indépendant, ne peut donc avoir qu’un seul et unique Suzerain légitime : l’Empereur du Saint Empire Romain Germanique, c'est-à-dire Nous .



Depuis trop longtemps, certains pays violent honteusement les droits des peuples et du Saint Empire en particulier, profitant du fait que l’Empereur ne peut être partout . Nous sommes ravis de constater que la France, enfin, semble se préoccuper du sort de ces royaumes martyrisés. Aussi, nous en faisons le serment, dès que la France aura rendu leur liberté aux pays du Saint Empire sur lesquels elle exerce actuellement une tutelle illégale ( Brunswick, Suisse, Savoie, Trier, Liège, Provence, Milan etc etc), nous prendrons, à ses côtés, toutes les mesures nécessaires pour contraindre l’Espagne à faire de même ( libération de Gênes). Ainsi, la liberté des peuples aura été rétablie au sein du Saint Empire ! Que la France nous rejoigne dans notre éperdu soucis de liberté et nous serons les meilleurs alliés du monde !


Nous profitons d’ailleurs de l’occasion pour rappeler que la guerre qui se prépare entre nos deux royaumes est votre seule et entière responsabilité . L’Autriche, elle, ne cherche nullement la guerre et s’en tient à l’accord Franco-Autrichien qui fut signé lors de la disparition tragique de la Bourgogne. Ce traité que vous avez signé stipulait clairement et sans équivoque possible que les Flandres étaient légitimement Terres d’Autriche.


En remettant en cause ce traité, le Roi de France ne viole pas seulement sa parole et ne montre pas uniquement son bellicisme avide au reste du monde : il fait aussi voler en éclat le traité qui nous liait. Les conséquences seront inimaginables...




L’Empereur rit enfin de vos déclarations concernant l’Infidèle : le Roi de France nous reprocherait-il maintenant de défendre la Chrétienté ? Il faut bien que quelqu’un le fasse et Paris semble plus motivé par l’annexion de ses frères chrétiens que par la défense de ceux-ci, l’Aragon martyr en est le témoin le plus vibrant, innocente victime d’une barbarie qu’on pensait d’un autre âge .


Par ailleurs, l’Empereur a tendu sa main bienveillante vers l’Infidèle, ne demandant que le respect des terres chrétiennes en échange de sa neutralité : le Sultan nous a craché dessus et menacé de guerre . Nous ne verserons donc pas une larme quand les Cosaques raseront la capitale de cet outrecuidant personnage grossier et malpoli qui refuse de vivre en paix avec nous .




L’Empire est Paix et Amour, mais ceux qui défieront les libertés des peuples et ses droits les plus sacrés apprendront à leurs dépens qu’il est aussi Gloire et Victoire .

[SnoopyNap]

Oups, une bourde. Toutes mes excuses au souverain espagnol quant à ma remarque sur le Maroc. J'avais dû rater une étape.
SnoopyNap, Grand Vizir des Mamelouks

[Danton]

Chroniques Impériales. 1578 – 1595. La première puissance mondiale attaque l’Empire





L’année 1578 vit des changements malsains se réaliser en Italie : la France, de loin la première puissance mondiale, cédait la Lombardie à Venise, tandis que l’Espagne cédait Gênes à Kalmar. La boulimie annexionniste de certains semblent vraiment sans limite . Cela se confirma avec la débauche de menaces françaises à notre égard : Paris voulait la guerre. Soit, elle allait l’avoir, qu’elle ne vienne pas se plaindre après : quand on défie l’Empereur Dieu, on en paye toujours le prix .


A partir de 1581, les effectifs de la France, première puissance mondiale, commencèrent à enfler de façon vertigineuse et cela se poursuivit deux années entières. Enfin, en 1583, la France nous agressait sauvagement. Si les effectifs étaient à peu près semblables des deux côtés, le renouvellement des troupes allait vite poser problème pour l’Empire, qui ne disposait pas , et de beaucoup, des formidables moyens financiers de la France, qui disposait en outre de tout un puissant réseau d’alliés ( Savoie, Milan, Suisse, Liège, Utrecht, Auvergne etc etc).


L’Empereur Dieu , en réalité, n’avait qu’un seul avantage : il était un Vrai Chrétien . De ce fait, il avait pris la croix contre l’Infidèle et avait longuement bataillé pour libérer la Pologne de l’emprise du Sultan. Conséquence de tout cela : la croisade avait permis la promotion de jeunes officiers de grands talents . Instruits durant la guerre contre l’Infidèle, ces hommes de talents allaient diriger avec le plus grand talent les forces armées Impériales contre l’assaut Français.



De grandes batailles commencèrent en effet aux frontières, au cours desquels les pertes Françaises étaient parfois jusqu’à 10 fois supérieurs aux notres. Nos habiles généraux faisaient merveilles, tout simplement.







Devant cette hécatombe, les Français réagirent et gonflèrent encore plus leurs effectifs. Ainsi, 44.000 soldats se ruèrent dans les Flandres, au devant des 28.000 Impériaux. 40.000 Français ( sur 44.000 !) furent massacrés .







Même chose en Franche-Comté, où la puissante cavalerie Française est écrasée par nos troupes d’élite .







12 mois seulement après le début de la guerre, la France était déjà usée et affaiblie, mais non pas démoralisée. C’est à ce moment que fut lancé une grande contre-offensive Impériale, qui emporta rapidement sur son chemin le Luxembourg et la quasi-totalité des alliés Italiens et Germaniques de la France. Le torrent impétueux de nos armées semblait irrésistible et toutes les tentatives Françaises pour nous arrêter étaient brisées dans l’œuf : l’offensive avait changé de camp .


Son armée en déroute, ses alliés conquis, le Roi de France dut se résoudre à admettre l’évidence : la première puissance mondiale subissait sa première défaite en 170 ans ! L’Empire victorieux, champion de la liberté des peuples, exigea la libération de Trier, de Liège et de Brunswick, ainsi que la cession du Luxembourg et l’abandon des revendications françaises sur la Franche-Comté.



L’Europe incrédule et endormie se réveilla en sursaut : le colosse Français avait été vaincu, non pas par une coalition, mais par un seul et unique pays . Pendant 150 ans, l’ombre de Paris avait fait trembler l’Europe. L’Empire avait mis fin à cette ère de terreur sans nom et, de partout, les ambassadeurs déferlèrent : Anglais, Espagnols, Vénitiens, tous se précipitaient pour adresser leurs plus chaleureuses félicitations à l’Empereur .


La liesse généralisée qui gagna l’Europe libérée fut cependant rapidement ternie par le bruit des canons : l’Espagne et Kalmar attaquaient Venise. L’Empereur, n’ayant été sollicité par aucun des deux camps et ne comprenant de toute façon pas les raisons de cette guerre , se retrancha derrière la plus parfaite neutralité. Mais celle-ci fut violée par Kalmar qui, sans le moindre scrupule aucun et sans même nous prévenir, utilisa notre port de Krain comme base avancée pour sa redoutable flotte. Venise était de ce fait acculée et la neutralité Impériale bafouée. L’accès militaire fut donc légitimement cassé : Vienne refusait de se mêler de cette sombre histoire.


Kalmar, qui nous avait trompé , réagit avec la plus grande haine et un mépris insondable : Hambourg fut vassalisé de force, dans le seul et unique but de nuire à l’Empereur… La riposte ne se fit pas attendre et le riche centre de commerce des Flandres fut interdit aux marchands de Kalmar, dont les revenus s’effondrèrent rapidement : défier l’Empereur, c’est souffrir d’avance . Vienne invite toutes les capitales Européennes à frapper Kalmar d’un blocus impitoyable.


Sournoisement, la France profita des tensions en Europe pour attaquer sauvagement la Saxe et la Pologne, déclarant publiquement qu’elle ne vassaliserait ni l’une ni l’autre. Le monde entier connaît désormais le crédit que l’on peut accorder à la parole du Roi de France : AUCUN . La Saxe et la Pologne furent en effet vassalisés de force. Choqué par ce manque total de sens de l’honneur et de respect de la parole donné, l’Empereur intervient pour exiger la libération des deux pays martyrs. Avec une rare mauvaise foi, le Roi de France fit alors traîner les choses de longs mois durant, inventant un prétexte après l’autre pour retarder le moment de la libération… La raison de ces nouveaux mensonges odieux nous fut connue quelques mois après : une mobilisation démentielle qui avait demandé presque deux années entières pour arriver à son terme.



En 1594, la France sournoise et menteuse attaqua brutalement l’Empire : plus de 80.000 cavaliers déferlèrent, la plus gigantesque force montée jamais vue en Europe. Et comme si cela ne suffisait pas, Paris s’était allié à Kalmar… Ce coup de force abject avait visiblement pour but de rétablir la domination totale de la France sur l’Europe qui, menacée, ne bougea pourtant pas d’un pouce. L’Empereur était seul pour sauver la liberté de l’Europe, seul contre les 80.000 cavaliers Français ( il n’en disposait de son côté que de 32.000), seul contre la France, première puissance mondiale, et le haineux de Kalmar, qui avait annexé le territoire de Sa Sainteté le Pape : rien de tout cela ne décida les autres royaumes Chrétiens à intervenir .


Pendant que des forces françaises nous frappaient à partir de territoires neutres du Saint Empire, positionnées là avant le début de la guerre en violation de toutes les conventions du droit internationales, les hordes de cavaliers Français déferlèrent, vagues après vagues.








Les officiers Français étaient de meilleure qualité et avaient été instruits au cours de la guerre précédente, mais l’Empereur, lui, disposait toujours de ses brillants officiers formés durant la croisade. Si le choc initial fut clairement à l’avantage des Français, qui s’emparèrent du Luxembourg, de Breisgau et de la Franche-Comté, la résistance Impériale se raidit rapidement. Afin de brise celle-ci, le Roi de France céda une fois de plus à sa folie démentielle : il lança pas moins de 40.000 soldats, dont 37.000 cavaliers , en Lorraine .







Les forces Impériales furent anéanties, mais les pertes Françaises étaient bien supérieures : le Roi de France cependant, grand boucher devant l’Eternel, ne s’en souciait nullement. Plus économe de la vie de ses hommes, l’Empereur lança un petit groupe d’assaut contre les alliés Italiens de Paris : trois mois plus tard, toute la Savoie était entre nos mains, ainsi qu’une partie de la Toscagne .


Dans les Flandres, le Roi de France tenta de répéter sa manœuvre de Lorraine : 43.000 soldats s’élancèrent contre les positions Impériales, tenues par seulement 19.000 hommes.







La déroute Française fut suivie d’une contre-offensive Impériale qui permit de récupérer le Luxembourg. C’est à ce moment qu’une nouvelle étonnante parvient aux oreilles délicates de l’Empereur : les armées de Kalmar étaient à moins de 50 kilomètres de Vienne . Jusqu’à présent, en effet, cet allié de la France s’était fait discret, mais la raison en était enfin connue : il avait attendu dans l’ombre, perfidement, que les armées Impériales partent sur le front pour ensuite traverser le Saint Empire Romain Germanique de la Baltique à Vienne et surgir inopinément devant les murs de la capitale Impériale.


En janvier 1596, l’Empereur doit faire face au soudain raid de Kalmar, aux nouvelles offensives Françaises dans les Flandres et en Lorraine, ainsi qu’à la contre-attaque de Paris en Savoie : les heures sont sombres et ce n’est pas le sort de l’Empire qui se joue actuellement, mais la destinée de l’Europe. Si l’Empereur Dieu succombe, la domination Française sera repartie pour durer encore 150 ans .




Au nom du Christ Sauveur, au nom de la Liberté des Peuples, au nom de l’Equilibre Européen, l’Empereur Dieu en fait le serment : nous lutterons et nous vaincrons !



Vive l’Empereur ! Vive Danton I !