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Vieux 17/02/2008, 21h11
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Chroniques Françaises, second chapitre (1453-1488).




La France, après de nombreuses années d'obscurantisme et d’une féodalité toujours plus morcelante, fut en 1455 prise d'un choix douloureux.
En effet, s'affrontèrent les nobles, attachés a un pouvoir décentralisé, a l'aristocratie et au morcellement du territoire et les Royalistes, dévoués au Roi tout puissant et à sa grandeur.



Au fil des années précédent cet an de grâce 1455, de nombreux ducs, comtes et autres gens de la noblesses décidèrent de s'allier au Roi afin de réunifier le Royaume, cependant certains nobles continuèrent à comploter sournoisement dans le dos de notre souverain bien aimé.

C'est ainsi que sa mort en 1454 laissa la cours pantoise, cela ne ressemblait en rien à une mort naturelle, en effet le roi fut empoisonné.
Forte heureusement son fils était apte a gouverner et toute tension interne fut écartée, cependant il était clair maintenant que nombreux étaient ceux qui voulaient voir s'effondrer la monarchie.
Le nouveau Roi réunit ainsi ces plus proches ministres afin d'établir une stratégie visant à éradiquer cette menace.
La décision fut prise de par le jeu d'alliance, de mariages et de guerres ; de terminer ce que ces prédécesseurs avaient commencés, c'est-à-dire : unifier le Royaume sous une seule bannière et éradiquer le pouvoir des Nobles.

En quelques années, Gaston Ier réussi a réunir les provinces d'Anjou, de Provence et du Bourbons sous la bannière Française, dans le même temps et fort de ces succès diplomatiques et de l'amélioration de vie des paysans et citadins de ces régions ; les populations de nombreux autres états voulurent intégrées le merveilleux royaume de France.
Cependant tous les dirigeants n'agissaient pas dans l'intérêt de leur population et c'est ainsi qu'éclatèrent des révoltes paysannes en Bretagne, les révoltés envoyèrent un émissaire au Roi de France afin qu’ils interviennent et leur permettent de rejoindre la France. N'écoutant que son coeur, Gaston Ier déclara la guerre a la Bretagne et annexa au royaume la Vendée, le Morhiban et l'Armor.
Ainsi s'acheva la glorieuse mission de Gaston Ier qui s'éteignit le 15 septembre 1473.

C'est ainsi que débuta le Règne de Louis XI, au début le jeune roi était plein d'espoir et de bienveillance, bien sur il tenait a rester ferme sur certaines questions mais possédait un esprit conciliant que ne possédait pas son père.
De nombreux ambassadeurs furent envoyés vers l'Angleterre afin de résoudre le problème qui faisait que Français et Anglais se confrontèrent déjà depuis des dizaines et des dizaines d'années. Malheureusement ces négociations n'aboutirent pas et aucun accord ne fut signer, ce fut un net revers pour la nouvelle politique Royale.
Ce revers fit élever des voix, de nombreux nobles n'accordaient plus leurs confiance au Roi et commencèrent à comploter contre lui.
Cependant un évènement vint le sauver de "justesse" et ainsi sauver toute la France.
La Bourgogne déclara honteusement et dans le dos la guerre à notre royaume, le Roi décida de prendre le contrôle des opérations et combattit ainsi farouchement les bourguignons jusqu'a contrôler la moitié de leur territoire.
L'évènement qui intervint quelques mois après le début de la guerre fut très surprenant, en effet la Castille, l'Aragon et Venise décidèrent de déclarer la guerre à la France, sous le prétexte fallacieux d'un hypothétique "dépeçage" de la bourgogne, alors que ce fut la Bourgogne, elle-même ; qui nous agressa…



Au début l'ensemble de la cours s'exclaffa de rire en entendant la nouvelle tant cela pouvait paraître incroyable que des gens sains d'esprit en arrivent à penser ainsi. Mais le Roi dut se rendre à l'évidence... ils étaient sérieux. Dans sa concilliance habituelle le roi décida de signer une paix blanche avec la bourgogne et de la pardonnée de ces fautes afin d'épargner des vies humaines.
Cependant cet évènement le blessa dans son être le plus profond, lui qui croyait à la bonté de l'homme et à son intelligence fit une chute idéologique incroyable, il tombait de haut, de très haut même ...

Puisqu'ils avaient agis ainsi, il se vengerait
. Après avoir fait marché ces services de renseignements, le Roi arriva à la conclusion que l'instigateur de ce géant complot n'était en réalité pas Lord Aedan mais bien le conspirateur félon Comeonus. Des sanctions furent donc prises contre le Doge : un embargo engagé et des guerres en menées en Italie afin d’affaiblir son emprise sur la région (vassalisation de la Savoie et de Milan )

C’est à ce moment là que mourut notre bien-aimé souverain mourut sans héritier, un conseil de régence fut donc mis en place pour géré les affaires en cours.



La guerre contre la Toscane s’engagea rapidement à la suite de la mort du roi, en effet le royaume toscan décida d’attaquer le petit royaume de sienne dont nous étions les garants.

Evidement le conseil de régence décida d’intervenir dans son souci de protéger les plus faibles.

Ainsi la guerre fut déclarée, très vite la France prit le dessus, cependant le félon, le mal, le diable sur terre alias le Doge vénitien décida d’attaquer la Toscane et somma la France de la laissée au sort de Venise.



Après cet acte, le Doge Vénitien osa même, fort de ses alliés, envoyé une série de revendications au à la France sans quoi une coalition serait déclanchée contre elle.

Le Conseil de régence, décida pour calmer le jeu d’accepter la fin de la guerre contre la Toscane sans aucune compensation. Le conseil espéra que ce geste eut pour conséquences de prouver la bonne foie Française au monde.

Cependant ce geste ne profita qu’au vil Doge qui en profita pour asseoir un peu plus son néfaste pouvoir dans le nord italien.
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Vieux 17/02/2008, 21h13
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L’affaire de Clèves.



Sentant la pression montée, et s’appuyant sur des rapports d’espionnages précis qui prouvaient l’amassement de troupe bourguignonnes aux frontières Clèviennes, le Roi décida de venir demander le protectorat français afin d’éviter la destruction de son petit, mais humble royaume. Le nouveau Roi Charles VIII, doté d’un fin sens de la diplomatie décida d’accepter et assura au Roi Clèviens sa protection.

Au bout de 4 mois, et malgré les avertissements français, l’ignoble souverain bourguignon décida d’envahir Clèves, fidèle à son engagement le Roi de France décida alors de protéger son allié, cependant pendant ces années d’accalmies le perfide Doge n’avait pas chômer et d’après nos renseignements, il est celui qui de nouveau avait rassemblé le concert européen contre le Français en cas de conflit Franco-bourguignon.

L’Autriche, ensuite la Castille, Venise et pour finir l’ Angleterre déclarèrent la guerre à la France, désolé de devoir abandonnée Clèves mais soucieux de son propre royaume avant tout , le Roi de France dut une nouvelle fois se résigner à signer une paix blanche avec la Bourgogne (la laissant ensuite vassalisée Clèves) et envoya une proposition de paix blanche à tous les pays concernés.



Quelle ne fut pas la surprise lorsque la missive marquée du sceau anglais revint négative. En effet l’Angleterre refusait la paix car elle souhaitait s’emparer des territoires écossais.

Le Roi rentra dans une rage folle, en effet le concert européen refusait que le Roi de France châtie un royaume violent, qui avait attaqué la France et ensuite s’en était pris à un petit royaume frêle, mais ce même concert acceptait et encourageait même que l’Angleterre s’empare des terres écossaises. Le Roi comprit alors que la Bourgogne n’était qu’in prétexte pour pouvoir bridée la France et non pas pour protéger cette même Bourgogne.

Ce fut de trop, le Roi décida alors de faire parler les armes, la seule langue dans laquelle savaient s’exprimer ces pays.

La punition contre le Doge n’avait pas été suffisante, soit, tous les pays seraient alors châtier, ainsi la France conclu une alliance avec la Sainte Hongrie dans le but de la protéger des vues Autrichiennes, et ce qui dut arriver arriva, l’Empereur dans sa folie déclara la guerre à la Hongrie, celle-ci nous appela et nous décidâmes d’intervenir.



La France se retrouva donc en guerre contre deux ennemis différents et loin l’un de l’autre,les tactiques militaires ne pouvaient être les mêmes contre ces deux pays, le roi décida de mettre en place deux états-majors distincts afin qu’ils s’occupent tous deux d’une seule et même guerre.





Guerre contre l’Angleterre :



Après qu’elle ait refusée l’offre de paix, l’Angleterre fit immédiatement joué son avantage le plus marquant, alias le contrôle des mers. Très vite la Royale Navy balaya la flotte Française qui ne fut réduite qu’à une poignée de navires réfugiés dans le port de Saintonge.

Pour l’Etat-major français il s’agissait maintenant de réussir à s’emparer de Calais et de la Gascogne le plus rapidement possible afin d’effectuer une pression forte sur le gouvernement Anglais.



Très vite la Gascogne fut prise et contrôlée par plus de 7000 hommes, 6000 cavaliers quant à eux étaient poster en Saintonge afin de prévenir tout débarquement Anglais.

Pour Calais l’opération fut plus délicate, en effet la royale Navy contrôlant l’entièreté des mers, nous dûmes comptés sur une inattention Anglaise afin de sortir notre flotte et d’embarquer – débarquer illico presto nos forces en calais.

Une fois le débarquement effectués, nos troupes furent renforcées par plus de 12 000 hommes lorrains, qui possédaient un accès de passage en Bourgogne.

Après ces victoires retentissantes, la guerre se calma très vite, les combats se firent moins nombreux et l’Angleterre mit l’ensemble de la cote ouest Française sous blocus.



Fort de sa puissance navale l’Angleterre pouvait frappée n’importe ou à n’importe quel moment et effectua ainsi plusieurs débarquements en Gascogne mais surtout à Calais.

En Gascogne les débarquements Anglais furent à chaque fois suivis d’échecs mais à Calais les Anglais avaient réussis une percée non négligeable surtout qu’ en Ecosse les territoires tombaient les uns après les autres (dans l’indifférence totale des autres pays). Fort heureusement Calais décida de rallier le Camps français juste avant la fin du siège Anglais et devint ainsi une province française à part entière.



Cependant l’espoir existait encore en France de gagner cette guerre, en effet depuis le début des caravelles étaient en constructions dans les deux ports de méditerranée que les Anglais n’avaient pas mis sous blocus.

Une flotte de 6 Caravelles et 5 Caracks étaient prête a affrontée la Royale Navy, cependant tous les navires étaient éparpillés dans différents ports français et là encore ce ne fut que la distraction de l’état Major Anglais qui permit à la Flotte Française de se réunir et ensuite vaincre la Royale Navy de manière assommante.

Malheureusement, cette victoire arriva trop tard, en effet l’Angleterre avait déjà dépecée l’Ecosse et annexée la quasi-totalité de son territoire.

Cependant, fort de se succès, la France envoya une missive exigeant la cession de la Gascogne à la France. Ce que le Roi d’Angleterre accepta.

Mais pourrons-nous lui pardonner le mal fait aux Ecossais ?



La Guerre contre l’Autriche



L’Etat-major s’occupant de la guerre contre l’Autriche dut travailler avec moins de moyens, en effet la guerre contre l’Angleterre mobilisait la moitié des hommes mais quasiment l’ensemble du trésor pour la construction de navires.

Ainsi l’Etat-major du se contenter des 25 000 homme mis à son service et d’un renfort de 7000 hommes potentiel.

Tout d’abord l’Etat-major décida de mener bataille au Luxembourg, à Breisgau et en suisse, afin de ne permettre qu’une seule ligne de front entre la Suisse et l’Autriche.

Une fois le Luxembourg et Briesgau tombés, les troupes françaises furent dirigées vers les provinces de Tyrol et de Trentin, lesquels furent toutes deux assiégées par 7000 hommes.

Et afin de prévenir toute attaque des troupes autrichiennes, une garnison de 6000 cavaliers fut gardée en suisse pour intervenir à tout moment. C’est ainsi qu’au fur et à mesure de l’avancement français et de ses défaites en Hongrie l’Empereur du se résigner à signer une paix Blanche et ainsi mettre fin à cette guerre qui décima sa jeunesse.





Diplomatie :



A Frise : Nous sommes étonnés très chèr Roi que vous écoutiez le félon Vénitien sans même nous demander de quoi il s’agit, en effet nous n’avons jamais revendiqués les Flandres, cette histoire est aussi farfelue que l’étincelle qui y a mise le feu.

Nous vous annonçons ne plus vouloir de votre amitié si vous copulez ainsi avec le félon Vénitien.



A l’Angleterre : Nous éspèrons que maintenant que vos objectifs écossais sont atteints et que la Gascogne et calais sont revenus à leur juste propriétaire, nos relations vont enfin pouvoir se normalisées, nous tendons encore une fois la main à l’Angleterre .



A la Castille : Nous savons que la décision du Roi d’Aragon de nous rejoindre vous décoit beaucoup, cependant sachez que nous pouvons toujours discuter avec lui pour lui faire changé d’avis.



Au perfide Vénitien : L’embargo continuera a être maintenu et sachez que plus aucun de vos diplomates de repartira avec sa tête sur le cou tant que vous ne vous serez pas excusés.
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Vieux 18/02/2008, 13h58
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Castille 1458-1487



Les rois et reines de castille s’attachèrent à achever la tache de « reconquista », ainsi les derniers vestiges de la présence mahométane sur le sol national fut balayée à jamais, avec l’extermination du sultanat de grenade.



Ce ne fut pas chose facile, étant donné que la solidarité barbare jouait son plein. A chaque conflit entre nos vaillantes armées et les infidèles, toute une petite cohorte de cloportes enturbannés venait se joindre à la fête (Maroc, Algérie, Tunisie), mettant à mal notre marine.

Aussi un effort substanciel fut lancé dans le domaine naval, afin de libérer nos armées de la menace d’un débarquement.



Sur le continent européen, la Castille joignit les royaumes Anglais et Vénitien dans un pacte baptisé « Ligue de Bruges » en référence à son créateur, le comte Bruno van der Brekelen , un marchand de tapis Vénitien dont les accointances avec la reine de Sabah étaient connues du tout Paris, et qui s’était illustré dans un tournoi organisé sous l’égide de sa sainteté Pie VII en comtat Venaissin, pour avoir été celui dont la lance fendit nette l’armure du prince noir Edouard de Woodstock.



La ligue de Bruges avait pour but avoué de limiter l’influence Françoise sur le continent. Ainsi, lors de la première guerre Franco-Bourguignonne, elle se mit en branle et attaqua directement la France, qui fut forcée de signer une paix blanche avec l’ensemble de l’Europe.
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Vieux 18/02/2008, 14h23
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Castille 1488-1510



La naissance d’une nation n’est point chose aisée. Ainsi malgré une union dynastique saluée par toute l’Europe, entre Isabelle de Castille(oui le pays où il y a une fille qui aime les glaces citron et vanille) et Ferdinand d’Aragon(oui le pays où il y avait un garçon qui vendait des glaces vanille et citron), des évènements pour le moins surprenant vinrent tuer dans l’œuf, l’embryon de ce qui aurait put devenir la nation Espagnole (poil au nez).



Commençons par le commencement (poil au dos) :

La ligue de Bruges, secte composée d’olibrius aussi divers que variés, s’enrichit d’un éminent membre en la personne de l’Empereur-Dieu « Dantonnus 1er »

Son but : se taper des donzelles à gogo (Françoises de préférence), afin d’oublier la tragédie qui le frappa avec la perte d’Eva Mendes au profit de l’immonde sultan de constantinople.



Lors de l’affaire de Clèves qui éclata selon l’AFP en 1874(oui!! parfaitement!!), la France se trouva une nouvelle fois en guerre contre la bourgogne. Le Tocsin sonna et la ligue de Bruges se mobilisa pour une nouvelle fois signifier à la France : pas touche à la bourgogne !!

Entre-temps, échaudée par la première intrusion dans ses affaires nationales, le roi de France entretint des rapports plus que chaleureux avec le royaume d’Aragon (par pudeur, nous ne mentionnerons pas les détails de cette relation, mais il se dit ici et là, que les relations étaient si étroites que le roi de France astiquait de sa salive la sainte verge Aragonaise…mais chuuut..cela ne nous regarde pas, comme diraient de fameux ménestrels de l’époque)…



La paix signée, sauf avec l’Angleterre, pour une obscure raison écossaise, l’Empereur-Dieu déclara la guerre à la Hongrie. Par jeu d’alliances et de protections mutuelles (la Hongrie étant la patrie natale d’Eva Mendès, nouvelle concubine du sultan), l’Empereur-Dieu se retrouva seul en guerre contre les deux ogres (EO et France), + la Hongrie, donc…

La Castille, n’écoutant que son courage, vint au secours de Dantonnus 1er et déclara la guerre à l’Empire Ottoman.

Et là..patatras !!!! L’Aragon trahit notre alliance. Incompréhensible décision qui voulut que ce roi nous suivit contre un coreligionnaire et sans Casus Belli (autre que la mission de la ligue de Bruges) mais qui trahit alors que nous attaquons un infidèle et avec Casus Belli(Deus Vult) !!!

Il n’en fallut pas plus pour que la France saute sur l’occasion inespérée d’officialiser sa relation sodom … amicale, par une alliance militaire, suivit quelques mois plus tard par un serment de vassalité (et malgré les stats diplo pourries du roi de France… ).



Nous ne nous éterniserons pas non plus sur l’absence très remarquée à Madrid, d’un célèbre navigateur Génois, qui pour une raison obscure, a oublié qu’il avait rendez-vous en 1486 avec la reine de Castille…



Voila une Espagne Castille qui commence bien…
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Dernière modification par vince ; 18/02/2008 à 14h56.
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Vieux 18/02/2008, 15h46
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Appel à la Résistance

Suite aux évènements terribles qui ont secoué l'Europe jusqu'a aujourd'hui,1510, il nous semble bon de reclarifier la situation :

La Ligue de Bruges ayant échoué suite à l'interception des missives entre Venise, Madrid, Vienne et Londres par des malandrins français, le royaume de France en a bien évidement profité pour étendre encore davantage son emprise sur l'Europe.
Rendez vous compte que ce pays si puissant qui selon son Roi souhaite provoquer une situation telle que la Ligue de Bruges n'aurait plus de substance, nous montre maintenant par son comportement chaotique tout le contraire de ce qui serait bon pour que de tels évènements aboutissent enfin : la vassalistion de l'Aragon est en effet un acte inqualifiable, qui risque encore de mobiliser l'Europe contre ce royaume boudiné.

En réalité, voilà la politique du Roi de France : nul doute que le roi de Castille recevra si ce n'est pas encore le cas, une missive de la France lui proposant de dévassaliser l'Aragon en échange du départ de Madrid de la Ligue de Bruges.
Nous avons nous aussi été la proie d'une telle diplomatie du chantage et de l'extorsion : la France nous proposait la même chose en échange d'un départ d'Italie et la levée de son embargo.
Or cette diplomatie ne possède que la limite que la Terre toute entière donne à l'expansion française. En effet, chaque chantage produit d'une provocation française (annexion vassalisation), sera l'occasion pour le Roi de France d'avancer de deux pas pour ne reculer que d'un seul une fois que son ennemi aura céder au chantage et à l'accord pseudo-équilibré proposé par Paris.

L'Europe et en particulier la Ligue de Bruges ne doivent pas permettre à cette diplomatie malfaisante de réussir : si un seul des membres de la Ligue trahis, alors demain l'Europe toute entière sera couverte des fleurs de Lyse de la tyrannie française. Les innombrables cohortes de piétailles françaises pourfondront toute résistance et s'insinueront dans toutes les vallées, remontront les fleuves, graviront les collines jusqu'aux limites de la chrétienté. Pendant que les plétoriques régiments de cavalerie française écraseront sous leur fers la moindre armée.
Seule l'unité permettra de calmer les ardeurs de la France, et alors la menace sera écartée.

Certes la Bourgogne est encore saine et entière, et en cela un semblant d'équilibre au nord existe encore à peu près, mais tout cela est très fragile.
Encore une fois rappelez vous : si nous cédons au chantage français, si un seul cède, alors tout est perdu définitivement, et Venise se contentera alors d'envoyer des marchands et paiera tribut à la France comme vous serez un jour obligé de le faire...

En réalité, tout dépend du Roi de France, qui si il le souhaite peut enrayer cette marche vers la Guerre, mettant en danger le sort de la chrétienté, le turc étant en embuscade, en dévassalisant l'Aragon et Milan unilatéralement et immédiatement.
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Vieux 18/02/2008, 16h43
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Quand la Sublime Porte parle on se tait


[mode rp off] Quel discours alarmiste et alarmant que nous énonce le doge ! [/mode rp off]


Mon maître le sultan m'a chargé de faire savoir aux cours européennes qu'il y avait peut être une petite méprise après les propos du doge affirmant que la France met en danger la chrétienté car nous serions en embuscade.
Cela est faux...plus précisément c'est incomplet. En effet, nous sommes effectivement à l'affus de saisir toute opportunité qui nous semblerait intéressante mais nous n'attendons ni une dow française ni une dow contre la France pour cela . Une Venise qui entrerait en guerre contre une ia nous suffirait amplement pour fondre sur la Bosnie. Une Autriche en guerre contre la Hongrie nous ferait également réagir.

Aussi croyez moi sur parole, la France peut bien faire ce qu'elle veut, elle n'accentue en rien le risque de la chrétienté. D'ailleurs, pourquoi parler de risque alors que nous vous apportons la vraie foi. C'est la Bien que nous amenons avec nous .
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VIVE LA FRANCE !!!
VIVE L'OM !!!
VIVE LE ROI DES rois !!!

Vous voulez vraiment savoir qui est Danton ? Alors cliquez ici (surtout montez le volume avant )
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Vieux 18/02/2008, 16h59
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Déclaration Française .

Après les propos diffamatoires et allarmistes du Félon le Doge, nous tenons à mettre certanes choses au clair.

- La France n'a jamais eu et n'aura jamais de volonté impérialiste, nous avons toujours souhaité la paix avec nos voisins.

- Dans les deux guerres nous opposant au Bourguignon nous n'avons jamais déclaré la guerre en 1er mais nous sommes défendu pour la première ou avons défendu une petite nation indépendante du SERG.

- La France n'a vassalisée l'Aragon et Milan qu'en gage de punition contre ces adversaires qui a chaque fois l'attaquaient à 4 contre un sans aucun scrupule.

- La France se dit prete et disposée à négocier avec quiquonque sur quelquonque question à partir du moment ou les propositions sont concrètes et cohérentes.

- La France a déjà accepter de fair eun geste envers l'Alliance en arretant nette sa guerre contre le Toscan, mais Venise n'en a eu que faire et a continuer à comploter contre la France.

Nous pensons sincèrement que les cours Européennes ne sont pas assez idiotes que pour croire au discours du Félon mais nous tenions tout de meme à préciser certaines choses, en effet sachez encore maintenant que la France s'engage à ne plus entrer en guerre contre la Bourgogne ou en tous cas à le fair euniquement avec l'approbation de l'Empereur.
Nous éspèrons vivement que maintenant le concert européens acceptera de négocier avec la France plustot que de chercher perpétuellement l'affrontement et que les cours européennes cesseront d'écouter cette pipelette de Doge qui n'a fait que vous apporter des ennuis jusqu'à présent.

Et enfin le Doge peut etre sur que la France n'oubliera jamais ces actes immondes et immorales.



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  #8  
Vieux 18/02/2008, 17h06
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Epopées mamelouks (1453-1510)

Ambassadeurs de tous les pays, oyez ! En cette fin de IXème siècle, en cette année fatidique 888 (= 1510 - 622), nos astrologues nous prédisent un avenir glorieux.
Note : ne vous fiez pas à la datation que vous voyez sur vos écrans. Notre voisin ottoman n'ayant pas choisi un mod avec datation musulmane , nous le soupçonnons à cet égard contre toute apparence de complaisance envers les Chrétiens .
Le siècle passé fut marqué par la restauration de notre pouvoir. Et nous partions de loin : stabilité en berne, révoltes grondantes, trésor en déficit .



Au nord, un puissant état s'imposait en allié, l'Empire Ottoman . Au sud-est, nous disposions d'un vassal allié, Najd. Pour le reste nous devions nous armer de patience et faire profil bas ; les Qara Qoyunlu constituaient une menace potentielle. Sur nos côtes , des pillages incessants des Chevaliers de Rhodes nous exaspéraient . Hélas étions-nous impuissants à les combattre , d'autant plus que notre flotte est condamnée à être divisée, de part et d'autre de notre capitale , Caire, d'une part notre flotte méditerranéenne, et d'autre part notre flotte méridionale.


Du coup, nous avons décidé d'en faire autant envers les Chrétiens, en soutenant des pirates , na ! Chut , surtout ne le leur dites pas ! :lolmdr:


Passé cette première période de rétablissament , nous avons intégré à notre empire notre vassal Najd, puis incorporé Haasa, puis grignoté Yémen et Ethiopie. Tout ceci fut promptement mené , cependant que notre réputation en pâtissait, ainsi que notre trésor, malgré la course en avant de notre inflation jusque là maîtrisée (IA au pouvoir).


Heureusement, aujourd'hui, en l'an 888 après l'Hégire, après bien de la patience et quelques malheureux événements, notre réputation est redenue acceptable.


L'heure est donc venue pour notre sultan de réunir notre conseil de sages astrologues , et voici ce qui est sorti de ce conseil exceptionnel :
- au Nord et à l'Est, nous maintenons notre alliance indéfectible avec l'Empire Ottoman, afin de garantir notre sûreté sur ces frontières. Nous proclamons cependant notre souveraineté sur les terres du Qara Qoyunlu, de culture Iraqi Arabic.
- notre premier but sera l'unification de la péninsule arabique ; au nom de notre foi musulmane sunnite, nous voulons Médine, aujourd'hui aux mains de l'Hédjaz. Puis viendra le tour du Yémen.
- en Méditérannée, annexions de Rhodes pour se débarasser des Chevaliers, et revente à Venise qui semble intéressée. Nos ambassadeurs retourneront chez le Doge le moment venu.
- au Sud, nous souhaitons poursuivre notre expension sur les anciennes terres d'Ethiopie, aujourd'hui aux mains des yéménites, en direction des légendaires mines d'or de Kefa
- à l'ouest, après la chute du califat Omeyyade en Espagne, nous nous lancerons à la reconquête des royaumes musulmans restants en sud-Méditerranée (Tripolitaine, Algers, Tunis, Maroc). En cela nous sommes disposés à toute action commune avec la Castille au cas où ceux-ci leur causent soucis.
- En effet l'unification de terres musulmanes n'est en rien une agression contre les Chrétiens ; nous prendrons précisément modèle sur l'ancien émirat de Cordoue pour son image de tolérance et de diffusion culturelle. Tout au plus ces guerroiements serviront-ils à dorer notre prestige misérable dont souffre notre commerce, malgré nos efforts financiers en ce domaine (niveau 4, le plus fort de nos sliders !).
- A plus long terme, notre soucis sera de restaurer notre recherche scientifique, grâce à la révolution scientifique (mais avec jusque là un petit niveau 2 atteint en gouvernement, ce n'est pas gagné !)

SnoopyNap, grand vizir auprès du sultan mamelouk. vvv

Dernière modification par SnoopyNap ; 18/02/2008 à 18h38.
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Vieux 18/02/2008, 18h36
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Chroniques Impériales. 1487 – 1510. Le triomphe des sournois





A l’initiative de celui qui se prétendait notre allié, le Doge de Venise, une alliance fut établie entre l’Autriche, Venise, l’Angleterre et la Castille : celle-ci était purement défensive et très limitée. Elle ne visait en effet qu’un seul et unique point : intervenir si un agresseur belliqueux tentait de dépouiller sauvagement le royaume de Bourgogne. La France était visée, elle qui semblait littéralement dévorée par le démon du bourinage le plus effréné. Cependant, le Roi de France avait été avertis déjà une fois qu’aucune annexion en Bourgogne ne serait acceptée : l’équilibre européen était en jeux.


A la très grande surprise de l’Empereur, le Roi de France récidiva et se rua à nouveau sauvagement en Bourgogne : ne comprenait-il pas ? N’en avait-il pas déjà assez fait en vassalisant la moitié de l’Italie du nord ? L’alliance de Bruges se déclencha immédiatement, tous les participants honorèrent celle-ci. Terrifié, le Roi de France, après de nombreux hurlements , fit marche arrière et signa une immédiate paix blanche.


Mais il était déjà trop tard : les armées Impériales s’étaient réveillées et elles n’allaient pas retourner se coucher sans en découdre . Puisque le Roi de France avait refusé le combat, il fallait trouver autre chose… Tiens, le Sultan par exemple, une croisade contre lui remplit toujours le cœur de l’Empereur de joie et de satisfaction . Malheureusement, il manque une frontière terrestre commune, la Hongrie étant toujours dans le chemin. L’Empereur décida donc de faire sauter ce verrou : rusé et habile, il se doutait que cela déclencherait l’intervention du Sultan qui, pleutre de nature , tremblait à l’idée d’avoir un jour une frontière commune avec nous, raison pour laquelle il avait, au mépris de tout rp, garantis l’indépendance des très chrétiens Hongrois. L’Infidèle qui protège les chrétiens, voilà qui était grotesque .


Prévoyant donc cette intervention et connaissant la déjà très grande valeur de l’armée Hongroise, l’Empereur prit contact avec son allié le Doge pour le lancement d’une nouvelle croisade : à sa grande surprise, le Doge ne cessa de louvoyer et de faire traîner les choses en longueur . Pendant plus d’une année, le Doge poursuivit ainsi sa fourbe attitude et il fallut que l’Empereur Dieu tapa du poing sur la table pour qu’il obtienne enfin une réponse : le félon nous abandonnait…


En 1495, le bras Impérial s’éleva haut dans le ciel étoilé d’Autriche et les armées s’ébranlèrent : les forces Hongroises sont balayées comme des fétus de paille, mais, surprise, la France nous frappait dans le dos avec le courage typique des lâches. La France avait refusé un combat loyal et équitable avec la coalition de Bruges, mais ne semblait guère avoir de scrupules à frapper dans le dos un Chrétien en lutte contre l’Infidèle… Que Dieu juge la France et paix à son âme tourmentée.


De ce fait, la lutte était désormais sans espoir : Français, Ottomans et Hongrois alignaient des troupes 5 fois plus nombreuses que nous et des moyens financiers dix fois plus importants . Ce n’était plus une guerre, mais un tabassage en règle. Certains se seraient enfuis en pleurnichant, d’autres auraient usés de chantage, l’Empereur, lui, fit front , mais sans espoir aucun. En fait, il y en avait cependant un : que les membres de la coalition de Bruges interviennent. Et tous les firent… Tous ? Non, il en manquait un…


L’Angleterre était en effet déjà en guerre de son côté contre la France et ne pouvait faire plus, la Castille noble et pure déclara la guerre à l’Infidèle et nous envoya un corps expéditionnaire. Le Doge, lui, qui n’avait cessé de vouloir détruire la France se contenta de regarder sans bouger… Indéniablement, Venise allait sortir salie et souillée de toute cette histoire.


L’intenable situation Impériale aurait incité beaucoup à se cloîtrer sur la défensive en jouant l’usure : tel ne fut pas le choix de l’Empereur Dieu. Le front Français fut complètement abandonné et tous les efforts Impériaux portèrent contre la Hongrie : il s’en fallu de peu que nos hordes ne remportent là une victoire totale qui aurait changé tant de choses. Mais il nous manquait quelques régiments… Faute de recevoir le moindre soutien financier, le formidable potentiel humain Impérial ne put jamais être exploité réellement et les armées reculèrent devant des Hongrois survoltés quasi aussi nombreux que nous ( plus de 15.000 soldats Hongrois lors de la dow, auxquels il faut ajouter les supplétifs Ottomans , au moins 25.000 hommes, soit au total quasi le double des forces Impériales).


Ainsi, après avoir conquis la moitié de la Hongrie, les armées Impériales durent retraiter et le corps expéditionnaire Castillan ne suffisait pas pour enrayer l’inéluctable : en tête de toutes les offensives, en effet, on trouvait les Hongrois et la Castille n’était pas en guerre avec eux . Il fallut se réorganiser et l’on fit retraite. L’arrivée des Français au Tyrol nous obligea en outre à nous intéresser enfin à ce front et 25% des armées partirent à l’ouest. Ces régiments allaient désormais cruellement manquer pour le front est, où Hongrois et Ottomans étaient passés à l’offensive. En 1498, la chrétienté fut secouée par un choc terrible : Vienne, la capitale Impériale, le berceau du Gardien de la Chrétienté, du Bras Armé de Dieu, était assiégée par l’Infidèle .


Et personne ne bougea. La Chrétienté de fait était déboussolée par l’attitude de certains, et notamment du Roi de France, qui, chrétien, frappait dans le dos un autre chrétien pour faciliter l’invasion du grand turc. L’absence de réaction du monde Chrétien, Castille exceptée, restera à jamais comme une des tâches les plus sombres de la chrétienté et Sa Sainteté le Pape, désespéré, s’écria ce jour là : « Si Vienne tombe, ce sera le triomphe de l’Antéchrist ».


Une douce voix paniquée se fit alors entendre, venant des sombres cachots du Sultan : c’était Eva Mendes , la princesse Hongroise enlevée de force par l’Infidèle parce qu’elle avait tenté de s’opposer à la main mise du Sultan sur son beau pays. De toutes ses forces, de toute son âme, elle appelait l’Empereur et l’implorait de tenir bon, de sauver la Chrétienté puis de la sauver elle ( c’était en effet une Sainte, qui faisait passer son propre sort après celui de la Chrétienté). Les liens qui l’unissaient à l’Empereur étaient tellement puissants que sa voix parcoura les milliers de kilomètres qui les séparaient : rien ne peut s’opposer à l’Amour et ces deux êtres d’exceptions s’aimaient comme Tristan et Iseult jadis . La jalousie du Sultan envieux, bien incapable de sentiments aussi purs, expliquait à elle seule l’acharnement de l’Infidèle contre Vienne, où se trouvait l’Elu du Cœur d’Eva.





Eva, dans les geôles du Sultan











L’Empereur Dieu, entendant au plus profond de son cœur juste et bon la voix si douce de sa bien aimée , leva alors à nouveau son bras et une flamboyante lumière s’éleva haut dans le ciel : paniqués, les Ottomans prirent la fuite. Les armées Impériales victorieuses poursuivirent les Infidèles et les boutèrent hors du pays : Vienne était sauvée ! A bout de force, le Sultan proposa la paix en échange de la dévassalisation du royaume de Karaman. Conscient que les miracles ne pouvaient à eux seuls contrebalancer un rapport de force qui était de l’ordre de 1 contre 5, l’Empereur accepta. Et comme il était honnête homme, il accorda de même la paix blanche à la Hongrie. Les troupes d’élite Impériales allaient désormais montrer à la France pourquoi elles étaient considérées comme les meilleurs du monde. Manque de chance, la paix signée avec la Hongrie incluait la France…



L’Empereur fit contre mauvaise fortune bon cœur et établit le bilan de la guerre : l’inflation n’avait même pas progressé d’un dixième de pourcent, grâce aux massives subventions des nobles Autrichiens qui, la paix revenue, intensifièrent celles-ci et permirent au budget Impérial de littéralement exploser. Actuellement, l’Autriche est plus forte que jamais : quiconque défiera la puissance Impériale aura à en payer le prix . Nos hordes n’attendent qu’un geste de l’Empereur pour déferler. Seule la direction reste encore incertaine…
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  #10  
Vieux 18/02/2008, 19h03
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Par défaut Accord Franco-Anglais

Déclaration Bilatérale de la France et de l'Angleterre.

Un conseil de sages composés de 7 Français, de 7 Anglais et d'un médiateur Epagnol a désormais tranchés.
Après avoir épluchés des milliers de parchemins sur les légitimés de l'Angleterre en Ecosse et de la France à Calais et à Bordeaux, ils sont tombés d'accord.

L'Angleterre est la légitime héritère du trône d'Ecosse.
La France est la légitime héritère des provinces de Bordaux et de Calais.

Ainsi, les deux Rois ont contre-signés un accord qui reconnait à l'autre la légitimité sur les terres sus-ditées.

L'Angleterre tient à préciser que cet accord ne la déshonore pas pour autant de ces accords la liant à la ligue de Bruges.




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