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Chronique de Pologne : La guerre sainte contre l'empire Ming !
En ce début de XVIIeme siècle la Pologne parviens enfin a augmenter sensiblement ses revenus, passant des 50 ducats mensuels du XVIe siècle a prés de 90 ducats, montés a 120 graçe aux efforts de guerre et a l'impot spécial appliqué auprés de nos sujets. La compagnie des indes orientales, aprés avoir completer l'établissement Polonais sur l'île de Jakarta se lance a présent dans le commerce de fourrure du grand nord de l'Amérique. Certains marchands Polonais chuchotent même entre deux réunions que la nouvelle richesse anglaise viendrait en partie de toute les nouvelles richesse amenée par la Pologne dans le centre commercial du Niagara, profitant avant tout au souverain d'Angleterre. Mais hélais notre préstige était au plus bas, nos revandications sur la Saxe tombant les une aprés les autres, les armées Polonaise manquait aussi cruellement d'experience de la guerre moderne. Il fut donc décidé, alors que la Pologne héritais du titre de contrôleur pontifical de partir en croisade contre l'empire millénaire des Ming. Contrôlant les steppes d'asie centrale, de la mer Caspienne a la mer Jaune, s'étendant jusqu'a a l'indus, ce monstre asiatique est un adversaire a la mesure des fiers cavaliers Polonais. C'est donc soutenus par nos amis et alliés du Grand duché de Frise que la guerre fut déclarée. Frise s'occupant en prioritée des territoires cotier, les soldats polonais eux devront dans un premier temps couper l'empire Ming en deux, afin d'isoler la partie Est de la partie Ouest, puis de faire la jonction avec les forces Frisonnes pour repousser dans un ultime éffort les troupes chinoise plus loin au sud. Ce plan fut un succés certains, malgrés quelques revers et des troupes chinoise toujours corriace malgrés l'écart technologique, il continue encore a ce jour pour voir l'écrasement progressif du Ming qui ne cesse de perdre du terrain. Ici, sur cette carte prise par un scribe royal, les gains de la Pologne contre l'empire Ming sont clairement visible. Plus a l'est notre alliés Frisons occupe tant bien que mal les provinces cotières, subissant régulièrement l'assaut de milliers de soldats Ming. ![]() Missive diplomatique a l'adresse des souverains d'europe : A la Russie, notre amis et notre alliés de toujours nous vous remercions encore une fois de faire parvenir a nos soldats l'aide et la logistique nécessaire jusqu'en en Chine. A la Frise, nous sommes toujours aussi ravis de collaborer avec vous contre le démon Ming, de même le Roi est heureux de voir qu'aprés tant de siècle a se regarder en chiens de faïence, le duc a enfin compris qui était le véritable énemis.. A l'Autriche, votre guerre contre la France est injustifiée et injustifiable, nous esperons que vous subirez une défaite rapide et sans concession qui ne sera que le prélude au démembrement de l'empire Habsbourg. Au Sultan de la sublime porte, que dire si ce n'est que nos positions actuelle nous conviennent parfaitement, il est clair que nos pays n'ont pas vocation a être énemis, seul l'influence néfaste de puissance exterieur a jusqu'a présent nuit a nos relations. Tout comme la Russie je vous invite a rejoindre le pragmatisme orientale et a vous méfier des puissances occidentales. A la France, nous esperons que la brillante démonstrations de vos force militaire méritera ce titre et que les soldats Français pourront venir se détendre dans les hotels de Cracovie aprés un long et harassant chemins jusqu'a Vienne. A l'Angleterre, puissiez vous prosperer et faire enfin face a vos vieux démons interieur qui vous tourmente depuis bien trop longtemps. Aux puissance ibérique, a la Suède et a Venise, nos relations sont moins étroites, mais la Pologne tiens tout de même a envoyez ses plus sincères voeux de réussite dans vos entreprises.
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EU2 : GPO Molo, l'AAR. Dernière modification par Leaz ; 26/11/2007 à 15h53. |
#2
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Déclaration du roi de France :
Aux princes concernés et pour rafraichir la mémoire aux autres (au cas où cela serait nécessaire) Jusqu'à preuve du contraire, la France n'est pas une fille de joie que l'on peut se payer contre quelques bonnes pièces bien sonnantes. L'histoire n'a aucune trace d'un quelconque "allié" du royaume qui nous versa de l'or en échange de notre aide, que ce soit les Venitiens, les Frisons, les Anglais, les Polonais et, aujourd'hui les Espagnols. La France a toujours agit motivé par ses intérêts propres qui pouvaient alors entrer en commun avec ses "alliés". JAMAIS un seul prince étranger de ce monde ne dicta une marche à suivre à la France. JAMAIS la France ne s'embarqua dans un projet qu'elle n'avait pas voulu, organisé seule ou collégialement. De fait, le roi de France est profondément surpris, pour ne pas dire outré, de lire certaines déclarations qui font de lui un client de l'Espagne. Que ces propos soient directs ou indirectes cela n'y change rien. Il ne faudrait pas négliger l'intelligence diplomatique française. Si le fond de ces déclarations visait à jetter le discrédit sur l'Espagne, leurs formulations génèrent une opprobe pour l'honneur français. Mais en plus, ils sont une attaque indirecte à la puissance mondiale de la France à partir du moment où l'on peut imaginer une seule seconde notre puissant royaume au service d'un autre. Il paraît donc évident que, qui que vous soyez, ancien allié ou non, nous ne nous laisserons pas insultés et traités de la sorte. Le roi de France demande avec insistance, pour rester encore courtois, des explications sur ces déclarations et un éclaircissement officiel s'il s'agit d'une maladresse d'ambassade. Comprenez bien que ceci est l'ultime acte diplomatique et courtois que nous pouvons encore faire lorsqu'on nous insulte. Dans le cas de non réaction diplomatique des ambassades concernées ou s'il ne s'agissait pas de propos maladroits, c'est sous une autre forme diplomatique que nous ferions sentir tout le poids de notre mécontentement. Nos armées en Autriche pourraient très bien aller voir ailleurs.
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VIVE LA FRANCE !!! VIVE L'OM !!! VIVE LE ROI DES rois !!! Vous voulez vraiment savoir qui est Danton ? Alors cliquez ici (surtout montez le volume avant ![]() Dernière modification par lemarseillais ; 26/11/2007 à 15h56. |
#3
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![]() ![]() Déclaration sur la genèse des Pays Bas.
Aujourd’hui après des décennies sinon des siècles d’intégration au sein du duché mère de Frise, les représentants de toutes les provinces métropolitaines se sont réunit pour déclarer leur union à la face du monde, qu’ils ne font qu’un autour de leur souverain ! Le nouveau royaume car il ne s’agit plus d’un duché dont la légitimité vient d’un don du suzerain impérial, mais d’une légitimité amplement plus importante, c’est à dire une légitimité venant du peuple reconnaissant en lui l’envoyé de notre bien aimé seigneur. Les nations constituantes de notre état reconnaissent la primauté du duc sur ses terres et lui offrent la couronne royale, et se place derrière lui et lui déclarent allégeance. Le Royaume des Pays Bas s’institue comme une terre de tolérance et ne luttera pas dans les querelles qui secouent notre église chrétienne, la liberté appartient à chacun de suivre sa voie, tant qu'elle ne remet pas en cause la foi officiel du royaume. En matière internationale, le royaume des Pays Bas reprend les politiques amorcés précédemment, nous réaffirmons notre amitié au roi de France et d’Angleterre mais aussi à la nation vénitienne et à la grande nation russe. Nous déclarons de plus notre union au royaume de Pologne auxquelles nous sommes liées par le sang tout atteint à son intégrité territoriale serait considérée comme une atteinte à notre royaume ! Nous ne laisserons pas des cousins être frappé lâchement, comme semble se préparait un certain royaume… En ce qui concerne les royaumes d’Ibérie notre royaume restera neutre, nos inimités sont trop lointaines pour continuer à être fondé et espérons pouvoir engager des relations amicales pour le bien de nos peuples. Le Royaume des Pays Bas déclare ne pas abandonner ses prétentions précédentes en Germanie ! Nous demandons à l’empereur de nous rétrocéder les terres prise lors de la dernière guerre ceci est la base de toute base de dialogue ! Sans cela le peuple des Germains du Nord sera pousser à des extrémités que nous voudrions éviter ! Que dieu bénisse les Pays Bas ! |
#4
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1650 – 1663. L’Angleterre, dernier îlot de réel au milieu du néant
Malgré tous les efforts du conseil de Sa Majesté, la Glorieuse Angleterre voyait le gouffre technologique qui la séparait des autres pays occidentaux se creuser toujours plus. La faute à nos principes de justice, d’égalité et de fair-play. Alors que les gros goinfres impérialistes et amoraux se gavaient de mines d’or facilement arrachées à des païens retardés, sans le moindre panache, honneur ou gloire, Londres poursuivait sa politique d’équilibre, plus juste, plus morale et conforme au droit international, quand bien même nous étions le dernier à respecter celui-ci. Naturellement, cela rendait inévitable notre retrait des affaires européennes, mais quelle importance ? Pourquoi aller se salir avec ces crabes amoraux ? Au milieu des brumes et des tempêtes, l’Angleterre vivait hors du temps et hors de l’espace, et cela est très bien ainsi, rien ne nous semble assez digne d’intérêt pour sortir de notre retraite paisible. De temps en temps, le conseil de Sa Majesté daignait passer le bout du nez par la fenêtre pour contempler, désabusé, le panier de crabe qui s’agitait vainement en Europe : toujours les mêmes histoires, toujours les mêmes rapports de force. Rien ne changeait et beaucoup, à Londres, en venaient à penser que ce n’était pas l’Angleterre mais le reste de l’Europe qui vivait hors du temps et de l’espace. En vérité je vous le dis, ce sont ces penseurs qui ont raison. Notre valeureuse nation est la seule à évoluer et à garder sa liberté, alors que les autres s’enfoncent de plus en plus dans le néant. Bientôt, nous serons la seule nation au monde et, de cette façon, nous le dominerons ![]() Aux pseudo-royaumes qui seraient nos voisins : France. Nous attendons toujours le retour à Londres de l’ambassadeur nommé Lemarseillais, aussi inexistant soit-il : son fantôme nous amuse ![]() Autriche. Vous serez le dernier à disparaître, nous n’en doutons pas. Vive l’Empereur ![]() Russie. Puissiez-vous réussir dans vos chimères, qui mériteraient presque d’être réels. Frise. On nous annonce que vous formez désormais le Royaume des Pays-Bas : serait-ce là un changement réel ou juste une illusion apportée par de doux rêveurs ? Portugal. Nous louons votre immobilisme habile : vous au moins, vous avez compris que pour amener du changement, il ne faut surtout rien modifier. Votre puissance vous permet désormais de vous passer de la tutelle Espagnole : le Portugal évolue ! Ne changez donc surtout rien, ainsi l’évolution viendra tout naturellement. Espagne. Nous avons décidé de vous pardonner et d’ouvrir une nouvelle page dans l’histoire de nos non-relations. Votre pays n’étant que chimère, nous sommes disposés à revoir nos positions vis-à-vis de celles-ci, puisque cela ne nous engage plus en rien dans le domaine du réel. Venise. La réception grossière que notre ambassadeur dépêché auprès de vous a reçue nous a rappelé pourquoi nous avions rompus nos relations à la mort du dernier Doge réellement vivant, Pedrolane le Gueux. : votre pays a cessé d’exister à partir de ce moment et ce qui subsiste encore, ce sont ces âmes damnées, et grossières, qui sont perdues dans l’entre-monde et ne parviennent pas à trouver le repos éternel. Patience, le néant viendra bientôt vous libérer de tous ces tourments affreux. |
#5
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Ultimatum Néerlando-Polonais sur l'Autriche.
Très cher roi d’Autriche, aujourd’hui en ce saint jour, le royaume des Pays Bas et de Pologne vous réclame la cession de Lubeck à ce dernier. Ce territoire étant poméranien, ce peuple étant en majeur partie au sein de son royaume, ces terres devrait lui revenir, le droit est avec nous! Si vous n’obtempéré pas, nos demandes seront revues à la hausse, et porteront en plus sur les provinces perdus par votre perfidie lors de la dernière guerre ! Nous demandons aux autres nations de rester neutres dans cette affaire, celle ci ne concerne que nous et l’Autriche qui depuis des siècles nous menace, elle ne connait que le rapport de force et nous allons lui en donnez! Nous espérons que l'Autriche fera le bon choix! Le roi des Pays Bas et de Pologne. |
#6
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Chroniques Autrichiennes 1650 – 1663
Compromis avec la France Les armées Françaises tenaient le Palatinat et la Suisse occidentale. Mais n’avançaient plus. Toute attaque était repoussée. Cependant, cette guerre malmenait la jeunesse Autrichienne qui hélas n’était pas infinie. A l’opposé, la France pouvait compter sur un réservoir humain largement supérieur. Aussi l’empereur dépêcha une ambassade à Paris et un compromis fut trouvé. Conscient qu’à la longue cette guerre aurait été perdue, l’Empereur proposa au roi de France d’épargner à nos deux pays un sacrifice inutile. Le roi de France sut se montrer magnanime, et une paix honorable fut trouvé. L’Autriche cédant à titre provisoire (une durée équivalente aux règnes de l’empereur Ferdinand et de son fils Karl) la jouissance de centre de commerce de Lübeck. A compter de ce jour, et ce jusqu’à la mort de Karl, 4e du nom, seule la France est en droit de disposer d’un monopole dans ce COT. Sur simple demande de la France, n’importe quel pays trop offensif dans ce centre peut se trouver soumis à un embargo commercial. Grave crise économique A la mort de Ferdinand, Karl hérita d’un royaume, aux finances saines en apparence. En apparence seulement, car peu de temps après la prise de fonction de Karl des évènements gravissimes se produisirent. Quelques fonctionnaires vinrent subistement se plaindre de n’avoir reçus leurs appointements. Puis il en virent d’autres. Puis ce fut le tour des militaires… Tout ceci était étrange. Les livres de compte n’indiquaient pas une quelconque pénurie d’argent. Pourtant il fallut se rendre à la raison. Des parchemins manquaient… L’Autriche avait, à la grande surprise de l’Empereur, dépensé beaucoup plus d’argent que ce qu’elle ne disposait. Pourtant, rien ne permettait de le soupçonner. L’Empereur demanda des comptes au grand trésorier national, un certain Ludwig ENRON. Ce dernier avoua, qu’il avait falsifié les comptes. Il fut limogé et emprisonné pour haute trahison. Les conséquences furent dramatiques(-1000 ducats). Chaque mois, il fallait emprunter(5 emprunts). La monnait fut dévalué (inflation + 5), le pays grondait (stab-3) car le pain coûtait une fortune. L’empereur fit appel à l’aide internationale, et remercia chaleureusement tous le pays qui ont aidé l’Autriche dans ces instants très délicats. (Russie, Venise, Portugal et d’autres).
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on peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas... En France, on n'a ni pétrole, ni idées. Mais on a des taxes... ![]() |
#7
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Réponse Autrichienne à l'ultimatum Néerlando-Polonais
Alors que l'Autriche traverse une grave crise économique et intérieure, des espions hollandais n'ont pas hésité à saboter notre stabilité, que nous avons grand mal à remonter. Le roi de Pologne a ironîsé, en qualifiant l'Empereur de "Pleutre" puisqu'il ne relevait pas l'outrage. Eh bien, puisque l'Empereur est un "pleutre" et que le roi de Pologne est si "courageux", qu'il n'hésite surtout pas à nous faire valoir ses "légitimes" prétentions sur Lûbeck, en tête à tête.
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on peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas... En France, on n'a ni pétrole, ni idées. Mais on a des taxes... ![]() Dernière modification par vince ; 03/12/2007 à 18h49. |
#8
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Reponse de Pays Bas.
Citation:
Nous ne voyons pas de quoi vous voulez parlez, cessez vos calomnies! ![]() Dernière modification par TCAO ; 03/12/2007 à 18h40. |
#9
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1663 – 1669. L’Europe à feu et à sang
En 1664, le Conseil de Sa Majesté fut brutalement réveillé par les bruits violents qui retentissaient à l’extérieur : des brigands ? Des violeurs ? Impossible, nous n’avions aucun bien qui pouvait les intéresser et nos femmes et filles étaient bien à l’abris, protégées par les brumes que nous seuls pouvions traverser. Il se passait donc quelque chose au milieu de ce néant qu’on appèle Europe ![]() ![]() ![]() La Pologne et les Pays-Bas ( « Tiens, ce royaume n’existait pas la dernière fois que j’ai regardé par la fenêtre » constata le volontaire ![]() ![]() Messages diplomatiques A l’Empereur. Toutes nos félicitations pour votre victoire mais la prochaine fois, de grâce, faites un peu moins de bruit : nous avons le sommeil si léger ![]() Aux Pays-Bas et à la Pologne. Toutes nos félicitations pour votre combat intrépide. A défaut de victoire, vous avez donné une leçon d’Honneur à certains ![]() A la Russie. Nous applaudissons votre succès diplomatique, qui n’est pas passé inaperçu à Londres, preuve que certes nous dormons, mais d’un œil seulement. A la France. Mon pauvre ami, quelle horrible tragédie vous a donc frappé ![]() A Venise. Vous faites honneur à vos ancêtres, grands constructeurs de moulins à vents. Continuez donc à brasser du vent, puisqu’il s’agit là d’une tradition familiale. A la Suède. Prenez garde quand même ! N’oubliez pas que l’action mène au néant et que seul l’immobilisme permet d’évoluer. Reprenez-vous et venez roupiller avec nous. Au Portugal. Le temps qui ne passe pas efface tout dit-on. A Londres, l’on a finit par oublier vos crimes passés. De toute façon, votre Empire, comme tous les autres, n’est que néant et poussière : poussière tu étais, poussière tu redeviendras ![]() A l’Espagne. Vous voilà soudainement bien silencieux, auriez-vous enfin à votre tour découvert les subtils délices de la sieste, du repos et de l’inactivité ? Venez donc nous rejoindre et nous pourrions deviser aimablement des vertus de l’inaction. |
#10
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Chronique des Pays Bas :1663-1669 La victoire qui nous échappe.
Depuis les 2 derniers siècles, notre peuple n’avait jamais été aussi préparé à la guerre, les réserves avaient été augmentées de 50 pourcent, et le moral augmenter, par une propagande savamment dosée et par les victoires en extrême orient. Le militarisme avait forgé une nouvelle nation, à partir du duché de Frise, le royaume des Pays Bas, toute les provinces du royaume n’avait qu’un seul but, la gloire sur-le-champ de bataille, l’honneur est ce qui importe ! Tous les regards étaient porté à l’Est vers l’Autriche, celle-ci nous avait traité trop longtemps comme des faibles, il fallait leur faire payer ! C’est ainsi qu’en 1664, après leur avoir laissé un an pour s’aider à nos exigences nous partîmes avec notre cousin le roi de Pologne à l’attaque de l’Autriche, celui ci avait attiré le Doge a son aide, le rapport de forces nous était défavorable nous le savions mais qu’importe, nous nous avons un honneur et ne jetons pas l’éponge comme des lâches… La première phase de la guerre commença bien mais un fauteur de trouble rentra dans le conflit pour protéger l’empereur de la perte de Lubeck, la Suède. La moitié de notre cavalerie fut donc dépêcher sur place et tenta de protéger en vain les troupes de siège polonais, perdant la moitié du corps de batailles dans cette simple bataille, avant d’apprendre que les Suédois ne ferrait rien qu’empêcher un siège de la province, ne pouvait-il pas le dire avant que nous envoyâmes nos troupes ? Nous laissâmes donc la province et nous préparèrent à défendre nos sièges des forces vénitiennes face à nous. Pendant ce temps dans les colonies, nos minuscules forces étaient détruites par la vague vénitienne 10 fois plus nombreuses. Sur le front principal, la province de Hesse était devenue le centre des combats sur le front Ouest, l’armée du Doge nous bombardait de ses assauts soutenus quelque fois par l’empereur en personne, c’est ainsi que celui-ci tomba dans une ce ses batailles, en l’année 1665. Notre général Jongstra, le meilleur officier tous camps confondu, l’étoile de nos innombrables généraux était arriver à temps pour soutenir nos 12 milles fantassins et 5000 artilleurs assiégeant, avec ses 20 milles cavaliers, face à lui 40 milles fantassins et la fine fleur de l’armé autrichienne, la garde impérial, 4000 cavaliers commandaient par Karl I. Les combats furent terribles, en 10 jours l’armé du Doge se débanda face à Jongstra manœuvrant admirablement face à l’empereur, celui-ci fut surpris en pleine charge sur le centre de l’armé néerlandaise par la fuite des Italiens. Jongstra qui chargeait sur les flancs ne poursuivit pas ceci ; il fallait couper la retraite à l’empereur et l’arrêter ! Malheureusement celui-ci s’écroula, frapper par un boulet de canon en pleine poitrine, il fut ramener au camp, mais il mourra de ses blessures, un grand empereur était mort, mais la guerre continuait…. Les combats continuèrent ainsi nos cavaliers repoussant les charges du Doge sur Hesse avec ses 50 milles fantassins, les envoyant vers une mort certaine, à l’Est la Pologne faiblissait et la Saxe commençait à être reprise, nous tentâmes alors de l’aidait envoyant notre cavalerie pour repousser les troupes impériales, ceci fut l’erreur de trop, le Doge en profita pour relancer l’offensive sur Hesse, notre cavalerie arriva trop tard et la retraite devint la seul possibilité, nos troupes furent massacrer, poursuivit par une cavalerie italienne qui n’avait souffert aucune bataille, juste quelque millier de cavalier arrivèrent à partir et à rejoindre la Pologne pour se refaire, l’infanterie quant à elle s’installa en Flandres pour attendre. La dernière phase de la guerre fut une guérilla sur notre territoire et des charges sur les troupes disperser de par notre cavalerie commandait par Jongstra écrasant plusieurs 15 milles autrichiens avant la paix. Notre coalition avait perdu certes mais dans l’honneur, le roi de Pologne fut obliger de céder l’Altmark à l’empereur. Première guerre et défaite de l’alliance Néerlando-Polonaise. Nos généraux n’étaient malgré tout pas abattu, aucun de nos cadres n’avait péris, et un très grands nombres de soldat était prêt à sortir des rangs. Missive diplomatique : A la Suède : Nous n’oublierons pas cet acte de traitrise, vous avez attiré une rancœur profonde sur vous… J’espère que vous savez à quoi vous vous exposer. A l’Empereur : Cette guerre a encore démontrait votre domination sur le Saint Empire Romain Germanique. Ne vous inquiété pas nous reviendrons. A notre cousin le roi de Pologne : Très cher, nos deux peuples sont unis dans la défaite, nous essayerons de vous envoyer toute l’aide nécessaire à votre reconstruction. A l’Angleterre : Avec quels dédains traitait vous les affaires continentales ! |
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