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#1
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Asimov était à la base un scientifique, qui est plus connu aux Etats-Unis comme LE grand vulgarisateur scientifique que comme écrivain de SF.
Ses romans en portent la trace : par exemple, ses trois lois de la robotique sont toujours considérées comme une base incontournable par les scientifiques actuels. En général, il part d'une idée scientifique (plus ou moins vaguement : la psychohistoire restera vraisemblablement longtemps une science virtuelle ![]() En tant qu'écrivain, son style s'en ressent, qui ne brille pas par la légèreté et l'inventivité et ses personnages n'ont pas toujours une grande profondeur psychologique. Ce qu'il faut retenir à mon avis du cycle de Fondation, c'est l'ampleur de la vision et l'intégration dans le monde plus vaste des nouvelles et romans qu'il a écrit : en quelque sorte, c'est le cadre historique où se déroule l'ensemble de son oeuvre de fiction.
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Ce sont les événements qui commandent aux hommes et non les hommes aux événements. Hérodote Rien n'arrête le progrès. Il s'arrête tout seul. Alexandre Vialatte |
#2
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Moi j'ai eu exactement la même impression que Marlouf.
![]() Ca dépend de ce qu'on cherche dans un bouquin. Dans la série Fondation, j'ai particulièrement apprécié les passages "désincarnés", où les individus ne sont pas grand chose face au mouvement de l'histoire finalement. J'ai trouvé que l'ampleur épique en était fortement grandie. ![]()
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"Péricliter = tourner autour du clitoris" d'après "Le Dictionnaire de ceux qui ne savent pas" de Ar Sparfell |
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