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#1
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Asimov, j'ai quasi tout lu de lui, et j'ai accroché à la Pentalogie de la fondation surtout le cinquième tome (Terre et Fondation) qui est bourré de rapport à ses précédents bouquins (hors Fondation). Maintenant c'est difficile de donner une explication rationelle au fait que l'on aime un livre ou pas.
Concernant Ender (c'est aussi un cycle), j'ai lu les deux premiers tomes "La stratégie Ender" et le deuxième je ne sais plus le titre. Autant j'ai dévoré le premier autant le deuxième m'a vite lassé... Comme quoi les goûts et les couleurs ![]() ![]()
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![]() ![]() http://schnick.labrute.fr Seule une femme peut vous consoler d'être moche. [Benoît Poelvoorde] |
#2
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Pour la stratégie Ender je suis de même avis que Schnick. d'ailleurs j'ai pas lu les autres.
Et pour la série des 2 premiers "fondation" il faut savoir que ça regroupe une série de nouvelles écrites pour des revue de SF à l'époque , d'ou les longueurs, les personnages insignifiants etc... Il me semble que le 3ème de la série est un roman à part entière (mais j'ai lu ça y'a très longtemps... ![]() Ou alors tu lit fondation foudroyé qui lui est un vrai gros roman avec son héros et son histoire ![]() |
#3
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![]() Citation:
![]() On aime ou on aime pas la suite mais le premier tome reste un classique à dévorer ![]()
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Franquin : " Moi boy-scout ? Tu veux rire. J'ai échappé à tout : à la chorale, à l'équipe de foot , à l'armée, et oui, j'ai même échappé aux scouts..." Balzac : " Pour empêcher les peuples de raisonner, il faut leur imposer des sentiments". |
#4
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Marrant, j'ai de mon côté été enthousiasmé par les 2 premiers tomes, avec ses héros d'un jour (Belisaire, les maires, les princes marchands, le Mulet) autant j'ai moins accroché au troisiéme.
Quant aux deux derniers volets, je les ai trouvé trés trés poussifs (avec un héro, Trevise, trop fade à mon gout) et sentant vraiment les 20 années écoulées depuis les premiéres nouvelles de Fondation. Bref j'ai beaucoup aimé le caractére nouvelle des premieres tomes, les personnages restant interessants et disparaissant avant de devenir ennuyeux. Le gros probléme de la suite, je trouve, avec l'arrivée des mentalistes de la 2nde fondation (pourtant une riche idée) c'est qu'Asimov tire trop sur la corde. Sinon mon personnage préféré d'Asimov reste Bailey - et les robots Giskar et Daneel qu'on retrouve (entre autre) dans le cycle des robots (les caverne d'acier, robots et empire, etc) Accroché par la Fondation, j'ai vraiment été conquis par ce cycle, bien plus uni que les récits éparses de la Fondation. Dernière modification par marlouf ; 03/01/2007 à 15h28. |
#5
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Mort aux hérétiques ! Vive le Grand Asimov !
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#6
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Asimov était à la base un scientifique, qui est plus connu aux Etats-Unis comme LE grand vulgarisateur scientifique que comme écrivain de SF.
Ses romans en portent la trace : par exemple, ses trois lois de la robotique sont toujours considérées comme une base incontournable par les scientifiques actuels. En général, il part d'une idée scientifique (plus ou moins vaguement : la psychohistoire restera vraisemblablement longtemps une science virtuelle ![]() En tant qu'écrivain, son style s'en ressent, qui ne brille pas par la légèreté et l'inventivité et ses personnages n'ont pas toujours une grande profondeur psychologique. Ce qu'il faut retenir à mon avis du cycle de Fondation, c'est l'ampleur de la vision et l'intégration dans le monde plus vaste des nouvelles et romans qu'il a écrit : en quelque sorte, c'est le cadre historique où se déroule l'ensemble de son oeuvre de fiction.
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Ce sont les événements qui commandent aux hommes et non les hommes aux événements. Hérodote Rien n'arrête le progrès. Il s'arrête tout seul. Alexandre Vialatte |
#7
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Moi j'ai eu exactement la même impression que Marlouf.
![]() Ca dépend de ce qu'on cherche dans un bouquin. Dans la série Fondation, j'ai particulièrement apprécié les passages "désincarnés", où les individus ne sont pas grand chose face au mouvement de l'histoire finalement. J'ai trouvé que l'ampleur épique en était fortement grandie. ![]()
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"Péricliter = tourner autour du clitoris" d'après "Le Dictionnaire de ceux qui ne savent pas" de Ar Sparfell |
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