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#11
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Bon la suite ...
![]() Après la prise d'Hanoï, je lance la majeure partie de mes troupes vers Haïphong, là où se replie les forces japonaises en déroute. J'espère arriver avant que les Japs puissent fuir vers le sud. Et de fait, mes braves combattant chinois purent barrer le passage inextrêmisse. Plus de 30.000 Japs se trouvaient pris au piège dans Haïphong (la garnison comptait presque 20.000 hommes, plus les fuyards), la ville se trouvant dans l'embouchure du Mékong et n'offrant une sortie qu' au Sud et à l'Ouest. Pour contrarier, voire empêcher le ravitaillement par mer, je rebasais ma seule escadrille de bombardiers lourds présents sur le théâtre, la seule américaine du reste, composée de 24 B-24 "Libérator". C'est engins me permettaient de quadriller la Mer de Chine, apporter un support conséquent aux troupes au sol et même frapper la production de caoutchouc en Thaïlande. En 2 sorties, elle frappait durement 3 cargos japonais. Ceux-ci renonçaient à ravitailler les assiégés. De toute façon, à ma grande surprise, Haïphong ne tiendrait pas plus d'une semaine. Après 2 tentatives suicidaire de sortie (charge Banzaï bayonette au canon) qui leurs coutaient plus de 4.000 hommes ![]() En l'espace de 3 semaines, les chinois se sont rendus maître de tout le Nord de l'Indochine, coupant la liaison entre la Chine et les troupes basées plus au sud. Une offensive britannique en Birmanie pourrait s'avérer dévastatrice ![]() Plus à l'Est, à Canton, 110.000 chinois font face à 120.000 japonais. Après plusieurs attaques meurtrières et infructueuses, mes forces se contentent de faire le siège de la ville, les Japs perdant régulièrement plusieurs centaines d'hommes dans des assauts inutiles. Mais en l'état actuel, impossible de prendre la ville.
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L'année 2010 sera dantonique ou ne sera pas ! ![]() ![]() |
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