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![]() ![]() Для Святой России : 1606 - 1626 : Doénavant les yeux du Tsar étaient tournés vers l'Est et ses prometteuses richesses. Depuis Moscou, les colons russes quittaient la ville régulièrement sous la bénédiction du Patriarche avant d'entamer leur long chemin vers les vastes plaines de Sibérie. Une nouvelle province, Obdorsk, était rapidement rattachée à l'Empire. Mais avant d'arriver en Sibérie, il fallait franchir les encore steppes de Sibir, sous la coupe d'un chef Mongol. Aussi, le Tsar mis à disposition ses armées pour aider nos colons et par la même conquérir les terres de Sibir. Après sa défaite, le chef mongol nous céda ses territoires et accepta de remettre sa capitale sous la domination de notre allié et vassal kazakh. Aussitôt fait, les colons continuaient leur expansion vers l'Est. ![]() La Russie pouvait donc espérer de nombreux jours de tranquilité lorsque la nouvelle atteigna le Kremlin : Le Sultan attaquait le Saint Empire Germain. Fort de notre parole, nous mettames nos armées au service de la coalition et declarèent la guerre à notre tour à l'Empire Ottoman. Cependant, les diplomates du Sultan firent leur oeuvre et obtinrent une paix séparée à l'Ouest, sans que la Russie soit incluse dans les discussions, avec les royaumes qui hier pronaient la solidarité chrétienne et qui aujourd'hui laissaient la Russie seule dans le conflit. Si nos forces étaient comparables, il apparaissaient que nos armées souffraient d'un manque de discipline considérable sur le champ de bataille nous conduisant de défaite en défaite. Mais fort de notre potentiel humain, nous poursuivions le conflit jusqu'à l'arrivée de nouvelles catastrophiques : L'immense Empire Timuride nous déclarait la guerre. Pire une pluie d'étoiles filantes fut prise comme un signe de mauvaise augure par nos paysans et notre stabilité en fut largement affectée (-2). Nous devions alors céder aux demandes de l'Ottoman et abandonner une nouvelle province, Saratov. Enfin soulagé de la pression ottomane et Mamelouk nous pouvions rediriger nos armées contre les Timurides et les vaincre, obtenant de la sorte 2 nouvelles provinces : Ulrask et Baybaktu. ![]() Au Sultan : Une nouvelle fois vous avez vaincu nos armées et conquis une partie de notre territoire. Nous ne saurions l'oublier et souhaitons l'ouverture de négociations pour le retour de ces territoires. A la coalition Chrétienne : Nous avons été particulièrement affecté par la décision unilaterale qui a conduit la Russie a mener seule le conflit contre l'Empire Ottoman et vous prions donc d'oublier la Russie dans vos futurs plans |
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Espagne: 1606-1626, les années Olivares
![]() Ces 20 années seront marquées par la réaffirmation de la foi catholique en Espagne, ainsi qu'une succession d'intrônisations et de conseils de régence. ce fut d'abord un refus des indulgences telles qu'elles existaient depuis des lustres, et qui furent une des causes principales à l'émergence des thèses luthériennes. Le clergé Espagnol, sans condamner la pratique, conseillais d'en modifier la substance. ![]() Il eut l'occasion de mettre ce débat à l'odre du jour d'un concile que les évèques espagnols avaient la charge d'organiser, dans les pyrénnées. ![]() La résolution fut adoptée selon laquelle, les indulgences, sans être proscrites, devront dorénavant être dispensées avec la plus grande parcimonie. En 1620 le roi Felipe III se meurt, et cède le trône à son fils qui règenra sous le nom de Carlos II. ![]() Très tôt, le jeune roi se distingua par ses capacités intellectuelles limitées, qui lui valurent d'être rapidement la risée de toute la cour. Il eut cepedant la sagesse de s'entourer de ministre très compétents, parmi lesquels, le duc d'Olivarès : ![]() A Madrid, personne n'était dupe. Le jeune roi n'était pas apte, et sa mort brutale et inopinée ne cause de douleur à pas grand monde. Le duc d'Ilvares prit la régence en main, et la différence était nettement visible... ![]() Un de ses premières décisions furent d'investir dans la marine royale, bien que nombreux étaient réticents. En effet, la dépense allait être énorme, et les résultats plus qu'hypothétiques, étant donné les armadas dont disposent les autres pays européens. ![]() D'autant que l'Espagne fut aux premières loges de ce qui peut arriver à une flotte, de nos jours. En effet, une ggantesque bataille navale eut lieu au large de gibraltar, mettant aux prises scandinaves et vénitiens. ![]() Les vagues, rouges-sang, qui frappèrent les falaises de Gibraltar, témoignèrent de la violence des combats, et fit prendre conscience à Olivarès de l'immense difficulté pour pouvoir rivaliser avec cela...
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on peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas... En France, on n'a ni pétrole, ni idées. Mais on a des taxes... ![]() |
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Diplomatie Espagnole
![]() Russie Grand tsar, le roi d'Espagne tient à vous témoigner sa solidarité et sa plus profonde confusion. Nous ne savons rien des négociations qui eurent lieu avec le Sultan, mais il ne peut s'agir que d'une incompréhensible méprise. Nous avons toute confiance en l'empereur-dieu pour qu'il mette toute son énergie à réparer cette tragédie. Empereur-Dieu ![]() Cher ami, malgré vos multiples exploits, la perfection n'est pas de ce monde, et cette triste affaire russe vient nous rappeler, qu'en définitif, vous êtes chair et sang, car l'erreur est humaine. Nous ne doutons pas que en votre for intérieur, vous considérez avoir une dette envers le tsar. Nous ne saurions trop vous encourager à vous en acquitter au plus vite. Venise et Kalmar Nos pécheurs andalous vous remercient chaleureusement pour la pêche miraculeuse qu'ils ont fait après votre combat naval. Néanmois, leurs femmes et enfants nous signalent que leur sommeil est perturbé par vos canonades. Vous êtes charitablement priés de mettre une sourdine.
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![]() Chroniques du Royaume de Grande-Bretagne La Nouvelle-Angleterre se devellope. Depuis la fondation de la Virginie, la colonisation de l'amérique se poursuivit de plus belle avec l'arrivé du nouveau gouverneur Carington. En application du traité de Paris, les terres française du Canada et du fleuve Saint-Laurent furent racheté à la couronne de France. La culture du Tabac fut placé sous monopole d'Etat puis bientot celle du Coton qui ne cessa de se develloper dans le Sud. Cependant l'arrivé de colons vénitien à l'embouchure du Mississipi mis en colère le gouverneur Carington. L'Ambassadeur de Venise a Londres fut sommé de s'expliquer devant une telle provocation ! Les premiers pour-parler furent vite encourageant... un accord avec Venise serait envisageable dans le futur... la sérénissime ne souhaitais pas ouvrir un conflit colonial et commercial avec la Grande-Bretagne au moment ou sa rivalité avec Kalmar atteingnait des sommets Les desastres de l'Extreme-orient Le Capitaine Frobisher était revenu d'extreme orient avec d'ambitieux plan de colonisation et de commerce... la route des épices semblait à porté de main. Helas, le port le plus proche de l'Indonésie était St-Kitt...dans les .... Antilles ![]() Un accès militaire fut négocier avec le royaume Swazili dans le sud-Est de l'Afrique. L'empire mamelouk inquiet demanda des explications au gouvernement Britannique mais fut rassuré quand des garenties de non ingérences furent données. A la fin des années 1580, une puissante expédition appareilla de Plymouth: 9 navires de transport avec à son bord une armée de 9.000h et escorté de 6 galion de guerre quitta la Grande Bretagne pour le Makassar. L'escadre fit escale en pays Swazili pour réparer les navires, pour que les hommes se reposent et qu'enfin que le ravitaillement soit recomplétée. Au printemps suivant, l'escadre britannique de 15 navires quitta l'Afrique et apres avoir franchi le détroit de Malacca apparut au large du Sultanat du Makassar. Une déclaration de guerre fut adressé au Makassar et le général Taylor commença le débarquement... Helas Makassar avait fait appel au Sultan de Brunei qui envoya son meilleur amiral ainsi qu'une flotte de combat de 17 navires de guerre. La flotte britannique fut completement surprise. Les 6 galions ouvrirent le feu mais rapidement encaissèrent de fortes avaries car leurs coques avaient déjà fortement étaient eprouvée apres le long voyage depuis le pays Swazili.... Ce fut un terrible desastre.... l'intégralité de la flotte Britannique sombra, les pertes furent immenses: 6 galions 9 navires de transports 6.000 hommes et 3.000 cavaliers L'amiral Frobisher et le général Taylor Les nouvelles du desastre arrivèrent à Londres avec beaucoup de retard... ordre fut donné de reconstruire une flotte de transport encore plus puissante.... mais le temps passant... une paix blanche automatique du être concédé... Mais le gouvernement Eden ne voulait pas en rester la. Une irresistable Armada fut constituée: 15 navires de transport 10.000 hommes et 5.000 cavaliers 26 galions de guerre pour l'escorte L'amiral Hawkins et le général Clary L'objectif était clair... si cette fois la flotte de Brunei intervenait pour empecher le debarquer à Makassar, les 26 galions ultramoderne avait pour mission de pulvériser la flotte adverse. Des la fin des préparatifs, la puissante armada appareilla pour Makassar avec l'étape et le repos obligatoire en Pays Swazili. Arrivé devant Makassar, la treve fut rompu ( --5 stab) Et le puissant debarquement britannique débuta.... Quand intervint une nouvelle fois la flotte du Brunei qui fut cette fois repoousée avec de lourdes pertes pour les navires musulmans. Mais une deuxieme puis une troisieme attaque retarda encore et encore le debarquement... Les navires Britaniques commençaient à montrer des signes d'usures inquiétant.... cela faisait de trés long mois que l'armada avaient quitté les ports Swazili sans avoir fait aucune escale.... il était impératif de s'emparer rapidement du port de Makassar sous peine de grands naufrages à venir Le général Clary debarqua avec 11.500 soldats en état de combattre dont 3.300 cavaliers. Mais Clary devait se montrer un commandant totalement incapable pour les combats dans la Jungle (des series incroyables de dé calamiteux). Le combat contre les 7.000 soldats du Makassar étaient interminables.... cela dura des semaines.... pourtant gagner le port était vital pour la flotte. Finalement les forces de Clary se debandèrent vers le nord de l'Ile. La flotte ne pouvait plus attendre pour recuperer le corps expéditionaire et la capture du Port de Makassar était devenu hors de porté. L'Amiral Hawkins ordonna la retraite vers le Pays Swasili.... mais il était trop tard... les navires trops endommagé.... l'armada, ou ce qu'il en restait fit naufrage à l'Ouest de Sumatra.... 26 galions et 15 transports sombrèrent... L'armée du général Clary coincé dans le Nord des Celebes.... à 20.000 kms du premiers port britannique fut frappé par les maladies et la famine... la mort faucha tous les chevaux et des milliers de soldats. Il ne restait plus qu'un milliers d'homme malades et faméliques à Clary, bien peu pour affronter les 7.000h du Makassar. Pourtant Clary par 2 fois sonna la charge.... par deux fois evidement ce fut de terribles desastres. Oublié de la mère patrie, deshonnoré par ses echecs alors qu'il avait eu jusqu'a 15.000 hommes sous son commandement... Clary devait mettre fin à ses jours et les quelques centaines de soldats britanniques survivants s'enfoncèrent dans la jungle.... la Grande Bretagne ne devaient plus jamais avoir de nouvelles... peut-etre ont'il trouvé femme et on fait souche? personne ne le saura jamais.... Ce deuxième desastre, encore plus terrible que le premier, eu raison du gouvernement Eden qui fut renversé. Le nouveau premier ministre Tarleton décida de stopper totalement toutes initiative en extreme Orient pour se concentrer en amérique. Les reves d'extreme-orient avaient couté: 31 galions 24 transports 24.000h dont 8.000 cavaliers 2 amiraux et 2 généraux... Une rupture de treve.... Tout cela pour .... rien... La Royal-Navy cherchait toujour son premier succé depuis 150 ans. Apres avoir été desintégré par la France puis Venize et enfin Kalmar... la voila subissant de lourdes pertes face au Brunei... Le lord de l'amirauté fut également limogé... |
#215
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![]() Chroniques de Grande Bretagne Le renforcement de la Nouvelle Angleterre Le nouveau gouvernement Tarleton avait décidé de tirer un trais sur les aventures britanniques en extreme orient. Il décidait alors de faire de la nouvelle-Angleterre sa priorité. Or il était évident pour tous que la defense de la Nouvelle-Angleterre dependait du controle navale de l'Atlantique... or le moins que l'on pouvait dire c'est que le dernier echec de la Royal Navy face au Brunei ne rassurait pas le gouvernement. Il fallait donc que la Nouvelle-Angleterre puisse etre capable de se defendre seule meme en cas de rupture des communications avec la métropole, pour cela il fallait: 1) develloper les capacités de levée d'une milice coloniale 2) Disposer d'une profondeur stratégique suffisante pour combattre loin des cotes ou une puissance européenne hostile pouraient opérer 3) Sécuriser les frontières avec les indiens 4) Disposer d'éclaireurs voir de vrais suplétifs connaissant parfaitement le terrain pour seconder la milice coloniale Cela passer par la mise sous tutelle des principales tribues indiennes d'amérique du nord La guerre indienne du nord La confédération Iroquois-Hurons regnait sur les grands lacs. Le gouvernement Tarleton décida de frapper au nord en premier et 30.000 soldats furent envoyé en Nouvelle-Angleterre répartis en 3 armées de 10.000h - L'armée du nord fut déployé à Quebec - L'armée du centre dans le Delaware et le Conoy - L'armée du Sud au nord du Potomac dans le Powatan Des le debut du conflit, l'armée du centre franchi le Delaware et se porta à l'Est des terres iroquoises écrassant 8.000 guerriers Mohawks. Mais l'armée principale des Onodeigas tenta une contre attaque qui fut repousée. Les Onodeigas tentèrent alors de descendre vers le sud afin de piller la riche Virginie mais ils furent stoppé net sur les rives du Potomac par l'armée du Sud qui les poursuivit.... Au Nord, les Hurons, plus de 13.000 guerriers, descendirent le Saint-Laurent en direction de Quebec.... mais devant la puissance de l'armée du nord, preferèrent camper à 200 kms en amont de Quebec. L'hivers approchant, l''armée du nord ne bougea pas en attendant un temps plus clément Au sud, les iroquois subissait defaite sur defaite. Cependant un groupe de 3.000 guerriers parvient à tourner par l'Ouest l'armée du sud et deboula en virginie pillant et ravageant les champs de tabac.... finalement ils purent etre rattrapé et massacré. Les Mohawk s'étaient soumis comme les Onodeigas.... l'occupation de la fédération iroquoise s'acheva sans grande difficulté... Au nord, des le début Avril, l'armée du Nord se mis en marche et pénétra au coeur des terres Hurons pillants et brulant tout sur son passage, obligeant l'armée Hurone à engager le combat. l'armée du nord n'eu que peu de difficulté à disperser les forces indiennes qui reflurent vers l'Ouest. L'armée du centre traversa le fleuve Niagara et fit sa jonction au nord du lac Erié. Les Hurons, comme les Iroquois durent se soumettrent... La fédération iroquoise et les tribus Hurones pretèrent allégeance à la Grande-Bretagne et signèrent des traités d'alliance et d'assistance. La guerre du nord était terminée La Guerre du Sud Le Sud était riche de son coton... mais 3 puissantes fédérations d'indiens dominaient l'intérieurs de terres. Au sud, jouxtant la mer des Caraibes se trouvait les Creeks. Au sud-Ouest de la Virginies se trouvaient les Cherokees et enfin un peu plus au nord -Est se trouvait les Shawnees. 3 armées Britanniques furent constituées: - L'armée du Sud à l'embouchure du Mississipi - La 1ere et 2 eme armée de Virginie en... Virginie L'Armée du Sud Franchi le Mississipi et se porta sur Pensacola. L'armée Creek fut repoussée facilement... mais des renforts Creeks soutenus par des contingents Cherokees ne tarda pas à contre attaquer forçant l'armée du sud à la retraite en désordre au dela du grand fleuve... tout était à refaire La 2eme armée de Virginie se porta sur les Appalaches dont la defense avait été dégarnis par les Cherokees qui aider les Creeks plus au sud.... 2 importantes villes Cherokees furent capturées....de belles contrées à tabac... La 1ere armée de Virginie se porta en terres Shawnee et apres un premier echec pu prend pied à l'Ouest des Appalaches semants la désolation au sein de cette fédération. La guerre se poursuivit sous de bons hospices.... Les Cherokees furent vites soumis. La guerre contre les Creeks dura plus longtemps et fut plus couteuses en vie humaines. Les Shawnees eux n'eurent comme répit que ce que leurs donna les longues distances à parcourir depuis la Virginie. Finalement les terres à Coton des Creeks furent confisquéee.... les Shawnée furent vassalisés.... et les terres à tabacs des Cherokees devaient etre confisqué quand éclata un terrible scandale à Londres. Le Duc de Tarleton englué dans un scandale Le Duc de Tarleton était un homme fort capable dans la conduite des affaires du royaume. Il avait su rompre avec les chimères d'Extreme orient pour se concentrer sur la defense de la Nouvelle Angleterre. Cependant, bien que marié et père de 7 enfants, le duc était un homme à femme. Dame Elisabeth Godmer était femme de chambre au service du roi et le duc l'avait trouvé fort jolie quand il l'avait entre aperçu dans les couloirs du chateau des Yorks. Cependant la jeune femme tomba enceinte et certains de ses amis sentant la bonne affaire, décidèrent de demander au Duc de Tarleton de reconnaitre l'enfant ou du moins d'acheter le silence de Dame Elisabeth Godmer en octroyan des genereuses donations pour l'éducation de l'enfant. Le Duc était fort embarrasé. Soit il reconaissait l'enfant mais le scandale provoquerait sa disgrace et la chute de son gouvernement.... soit dementait publiquement mais prenait le risque qu'une enquete publique confirme sa paternité in-fine... ce qui était fort possible.... et qui provoquerait un scandale encore plus grand. Le Duc de Tarleton décida de choisir de payer et d'acheter le silence de la jeune femme. Mais celle-ci apres avoir touché l'argent décida d'en demander à nouveau... puis encore...et encore.... l'affaire trainait en longueur et les indiscretions se multiplaient... sans etre officiel, le scandale couvait et le Duc de Tarleton n'avait plus la tete au travail... la réputation et la stabilité du Royaume chancellait..... Il était temps d'expliquer à la jeune femme qu'a trop insister, cela finirait fort mal pour elle ! Au 8ème versement, elle disparut définitivement de la circulation... personne ne sut si elle profita de son argent ou si elle ne fut pas égorgée et jeté dans la Tamise.... Le duc de Tarleton s'était cependant ruiné, avait puissé dans le trésor des sommes colossalzs.... finalement épuisé, il devait démissioner du gouvernement. Cette triste histoire (qui coutat dans les 1500 d et 13 BB !!) devait avoir aussi des repercutions en amérique. Devant la mauvaise réputation du gouvernement, il fut décidé de laisser les riches terres à tabac aux Cherokees (depassement de limite de BB sinon)... le monopole du tabac demeura que partiel... Dernière modification par Aedan ; 07/04/2008 à 00h38. |
#216
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![]() Chroniques de Grande-Bretagne Le traité de St-Kitt Alors que la guerre entre Kalmar et Venise se terminait pas une victoire de Kalmar, un traité commercial était signé entre La Grande-Bretagne et Venise concernant les amériques 1) La Grande Bretagne cede l'ile sucrière de St-Kitt à Venise 2) Venise cede la plantation de Tabac de la Havane et la plantation de Coton de Banyagoula ( Lousianne) à la Grande Bretagne 3) La Grande bretagne reconnait la floride Venitienne 4) La Grande Bretagne déclare eviter de coloniser les terres sucrières et à Café et Venise les terres à Tabac et à Coton dans les amériques La vallée du Mississipi Le nouveau gouvernement Faraday décida de poursuivre la politique d'extension de la Nouvelle-Angleterre initié par le gouvernement Tarleton. La mise en valeur de la vallée du mississipi devient une priorité et des centaines de colon remontèrent la vallée vers le nord fondant avant-poste et surtout d'immense plantation de coton dont la main d'oeuvre necessaire fut constitué de Creek et de Shawnee. Dans le sud, les anciennes terres creek devait se montrer parciculièrement instable et les révoltes nombreuses et violentes ravagèrent le grand sud jusqu'a la Floride. Il fallut à de nombreuse reprise faire donner l'armée. Enfin une expédition fut mené vers l'Ouest jusqu'a un nouvel Ocean occidental... l'Ocean pacifique fut atteind dans les années 1620. Le retour en Extreme-Orient Le gouvernement Faraday décida de reprendre les tentatives d'implantation en orient. Afin de raccourcir les lignes de communication, et apres moultes livraisons d'or, l'émirat de Johor controlant le détroit de Malacca accepta de nous preter sonport pour une durée de 20 ans. Le Royaume du Portugal accepta a son tour d'offrir un accé militaire en Afrique du sud et à Mahé 3 expeditions quittèrent la Grande-Bretagne et se reunir à Johor pret à intervenir au Makassar quand le sultan de Malacca déclara la guerre à Johor. Faisant jouer notre alliance militaire, les troupes Britanniques entrèrent à Malacca quelques jours avant qu'une puisante armée du Brunei ne debarque à son tour. La guerre dura quelques semaine, les formidables armées du Brunei (Premiere force terrestre et navale de la région) écrasèrent le Sultanat de Malaca dont les 2/3 fut annexé. Le Sultan de Malacca ne controle plus que Malaccca et se trouve prisonnier des forces Britanniques. Une abdication semble imminente... |
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![]() La 1er guerre de la Mer Noire Qu'Allah soit loué mille fois. Que des infidèles soient convertis ou tués pour rendre grâce à mon Dieu. Par sa bonté il m'a donné la vie que j'ai eu et je lui en rends grâce. Puisqu'il a fait de moi un lettré, j'espère lui donner un peu de ce qu'il attendait de moi par ce récit. Introduction Alors que les dernières années de la décennie 1580 s'achevaient, l'Empire Ottoman avait atteint sa maturité. Le temps de la chrysalide était achevé et il restait à voir si nous nous étions transformé en une larve impériale grotesque ou en un Etat redoutable. Je sentais déjà en notre peuple les prémices de la fierté, de l'assurance, de l'arrogance d'appartenir à une grande puissance de ce monde. Je me souviens du temps de ma jeunesse où les frontières du nord étaient craintes à outrance peut être. 60 années ont passé depuis et la jeunesse de l'Empire se sent prête à renverser des montagnes. C'est ce nouvel état d'esprit qui fut à l'origine de la guerre contre les russes. A cette époque, la puissance russe est à son apogée. Tout le monde la craint, personne n'ose l'affronter. Les rumeurs sur le caractère inombrable de cette armée affolent plus d'un monarque. L'empereur-qui-fait-dans-sa-culotte avait, dès 1500, signé un accord secret avec le Tsar qui stipulait en gros ceci : l'Autriche, plus peureuse qu'une femme, reconnaît volontiers la toute puissance de la Russie et la laissera allégrement bouffé du catho comme bon vous semblera Majesté le Tsar, mon maître, et si vous voulez nos terres il ne suffira que d'un ordre de votre part. Une chose ne peut être dite : c'est que l'empereur-qui-mouille-sa-culotte ne tient pas parole. En effet, en un peu plus de 100 ans, JAMAIS il ne broncha, ne bougea un sourcil à une action russe. Sa loyauté était totale même quand elle en advenait absurde. C'est ainsi que l'Empire Ottoman se retrouva à plusieurs occasions comme le seul défenseur de la Pologne ou de la Lithuanie. Mais revenons en à notre époque, donc tout le monde craint la puissance russe. Tout le monde ? Non ! Un petit empire local résiste encore à la peur générale et bon an mal an avance ses pionts petits à petits, attendant patiemment le jour où il n'aurait plus à courber l'échine devant la russie. Oh bien sur, il n'avait jamais été question de lui faciliter la tâche et à plusieurs reprises nous nous interposèrent au projet russe mais pour autant d'échecs. Notre peuple n'était pas assez fort, pas prêt mentalement à de grandes ambitions. En cette fin de XVIe siècle, c'est tout cela qui avait changé. Depuis ma naissance, l'Empire s'était nettement développé. Les conquêtes du XVe siècle dans le Caucase et en Perse occidentale étaient à présent complètement intégrées à l'Empire et avait été complété par les terres voisines. La culture perse s'était répandu dans tout l'Empire, fusionnant même avec celle existante pour donner une nouvelle forme à notre civilisation dont nous pouvons retrouver des influences, aujourd'hui, dans la culture grecque, turque et perse. Cette politique avait eu de nombreuses conséquences. Economiquement d'abord, le pays avait les moyens de son ambition, une armée permanente de 150000 hommes pouvait être entretenue sans faire souffrir notre économie. Cette solidité économique avait également un impact certain sur notre technologie qui se mis à avancer au même rythme que nos voisins chrétiens dans certains domaines (grande révolution qui fait qu'aujourd'hui l'Empire Ottoman dispose d'une des meilleures tech terrestre du monde). Plus de moyens permettaient de multiplier les oeuvres de foi et l'Empire s'unifie alors progressivement en une même foi. Toujours plus grand, toujours plus peuplé était notre empire, et déjà notre potentiel militaire distançait celui impérial pour nous rapprocher de plus en plus de celui russe. Ces changements, mes compatriotes les virent autant que moi. D'autant mieux qu'elles s'accompagnaient de nombreuses victoires sur le plan extérieur. La confiance en un avenir toujours meilleur s'ancra dans chaque âme ottomane. Cette optimisme devint glconfiance en soi. Cette confiance devint ambition. Au moment où je couche ces lignes sur le papier, pas un ottoman ne rêve de gloire et de grandeur. Aujourd'hui nous regardons nos frontières du nord non plus avec l'espoir qu'on nous oubli mais avec l'envie d'aller voir ce qu'il y a au delà. C'est ce contexte générale, la force de l'Etat, cette évolution lente des mentalités tout au long du XVIe, qui explique grandement ce qui se passa au tournant de 1600. L'Empire Ottoman est entré dans ce nouveau siècle en frappant fort, très fort. Il a violemment claqué la porte du siècle et jetté la stupeur parmi les chrétiens. Puissance ne rime plus qu'avec chrétienté. Notre Empire est redouté par nos voisins, soutenu par nos alliés, admiré par le peuple hongrois (et kate est morte...). L'Empire Ottoman a mis à genoux l'ogre russe ! Le récit Tout commença en 1579. Notre Sultan aimé, Celui-dont-on-ne-souvient-plus-du-nom V, avait montré de manière publique la confiance qui habitait les ottomans. Il accepta, pour la première fois dans toute l'histoire du monde, de revecoir des envoyés de provinces russes venus se plaindre de leur sort et demander aide et secours. Ce geste incensé alors pour tous les chrétiens du monde était une grande preuve de courage pour les musulmans. Nous reçumes les envoyés de Karkhov, frères de foi. Mais notre Sultan, dans sa grande clairvoyance, accueillit aussi les envoyés orthodoxes de Voronecz. Ces derniers ayant connaissance du bon traitement des chrétiens au sein de l'Empire manifestérent leur confiance en un meilleur sort en tant que sujet du Sultan. Leurs doléances furent donc entendus en séance pleinière et le Sultan rendit son verdict : l'Empire Ottoman acceptait cet appel à l'aide et faisait immédiatement porter au Tsar une missive l'invitant à reconnaître la volonté de ces 2 peuples. C'est ainsi qu'éclata la guerre de la Mer Noire. Fort de n'avoir jamais perdu, ou peut être trompé par le fait de n'avoir jamais connu la défaite, le Tsar refusa d'entendre nos réclamations et foula du pied notre avertissement. Il était persuadé que nous ne faisions que bluffer ou, au pire, que notre armée serait broyée en quelques semaines. Bien mal lui en pris. La campagne de Russie avait été merveilleusement préparée par le Sultan et ses généraux. L'Empire Ottoman était prêt à se lancer dans ses rêves de grandeur et à les transformer en réalité. ![]() En automne 1600, la guerre éclatait. Conformément au plan prévu, le Sultan porta une attaque sur le front est, temporisa au centre mais fut pris de court sur le front ouest. C'est dans cette zone que le Tsar avait vraisemblablement choisi de frapper fort. Ne voulant pas sacrifier ses troupes, le Sultan ordonna la retraite générale sur 100 km de la zone ouest. Il fit prélever des renforts sur les armées du centre et mobilisa toutes les réserves restées au coeur de l'Empire. Sur le front est, tout se passait parfaitement. Dès la première offensive, 10000 russes tombèrent pour seulement quelques centaines de nos frères. Déjà le Mordvar et Saratow subissaient le siège de nos armées. Une contre-attaque russe avait été repoussée et sévèrement affaibli pour garantir quelques mois de tranquilité. Sur le front central, la temporisation était toujours de rigueur, d'un côté comme de l'autre. A l'ouest, les Russes ne rencontrant guère de résistance avançaient à grands pas. La Crimée, le Cherson et la Bessarabia était tombé et les armées russes venaient d'atteindre la Silicie, juste à quelques dizaines de kilomètres de Byzance. Le Sultan estima qu'il était grand temps d'agir et d'enrayer l'avancée russe sur ce front. En été 1601, une offensive moyenne fut lancée sur la Silicie pour la dégager. Pendant ce temps, le Sultan fit convergé d'importantes troupes pour les lancer simultanément sur Bessarabia et la Crimée. La victoire fut rapide en Silicie mais les pertes russes avaient été minimes. Il ne fallait surtout pas laisser à l'ennemi le temps de reformer ses troupes. Les troupes victorieuses de Silicie, renforcée par 20000 cavaliers, foncèrent en Bessarabie. Une première importante bataille se joua là. Aux troupes russes stationnées en Bessarabie s'ajoutèrent ceux retraitant de silicie et quelques renforts milliers d'hommes en renfort. Plus de 20000 russes se trouvaient là quand les 30000 ottomans déferlèrent sur eux. 10000 janissaires arrivèrent quelques jours après en renfort. Après quelques jours de combats intenses, les troupes russes furent décimées. Les armées ottomanes venaient de détruire la menace pesant sur la capitale. Poursuivant son élan victorieux, les troupes encore fraiches se portèrent alors sur la Crimée, appuyés par 10000 janissaires du Kersh. Victoire ! Le front ouest était totalement dégagé et l'Empire venait d'envoyer en enfer plusieurs dizaines de milliers de russes pour peu de morts de son côté. ![]() En hiver 1602, fort de ses premiers succès éclatants, le sultan décida de renforcer l'offensive sur le front est. 20000 hommes furent ajoutés au 20000 déjà sur le secteur et un nouveau siège débuta : celui de Samara grâce à un accès au travers du territoire de notre voisin Timuride. Le Mordvar venait de tomber et une nouvelle offensive russe sur Saratow fut repoussée pour un minimum de pertes de notre côté. Sur le front ouest, les troupes russes ayant été décimées, l'espace était ouvert pour que nos armées s'y engouffrent. Conjointement avec le front centre, le Sultan lança plusieurs dizaines de milliers d'hommes bousculer les troupes défensives russes situées sur une bande allant de Podolia à Voronecz Les Russes refluèrent sur le secteur ouest et 3 sièges furent entamés. Au centre, la situation fut plus contrastée : Azow et zarapotovia étaient assiègés mais les Russes nous avaient repoussé de Karkhov et Voronecz était encore trop bien défendu pour y lancer un assaut. La situation se figea durant tout le reste de l'année 1602. Nos troupes poursuivaient les différents sièges et les russes furent à chaque fois repoussés. L'état major jouait la patience et l'économie des troupes. L'objectif était d'attendre que le fruit soit mûr avant de lancer plus en avant les troupes. De leur côté, les Russes rassemblés de nouvelles forces et amorcèrent ce que nous attendions : une contre-offensive sur plusieurs points stratégiques simultanément. Mais encore une fois les troupes ottomanes firent merveille et le Tsar ne retrouva que des lambeaux de son armée. L'année 1602 s'achevait par la conquête des provinces russes frontalières à notre empire, excepté Voronecz et Karkhov. ![]() ![]() Les bases d'opérations plus profondes ayant été posées, notre Sultan décida d'amorcer une nouvelle offensive de grande envergure. Sur les trois fronts, les ottomans avancèrent, heurtèrent et repoussèrent les russes. Les combats devenaient de plus en plus acharnés, de plus en plus nombreux. Visiblement le Tsar considérait cette étape de la guerre comme celle décisive : la chute ou la victoire. Les Russes s'acharnaient aux combats, même lorsque les conditions climatiques ou géologiques ne favorisaient pas l'offensive. En maints endroits, des janissaires s'illustrèrent mais ce sont les cavaliers saphy qui soutinrent l'ensemble du front. Ne prenant guère de repos, ils enchainèrent bataille sur bataille, tout en prenant le temps de décimer les fuyards qu'ils croisaient. Cette pugnacité se paya au prix fort du côté russe. Le silence qui suivi symbolisait probablement les doutes qui rongeaient le Tsar. Karkhov et Voronecz étaient tombés dans la foulée de l'offensive, en un seul assaut. Déjà certains corps remontaient vers le coeur de l'ancienne Lithuanie. Abattu, le Tsar entama des négociations en fin d'année 1603. Nos exigences l'accablèrent. Il pris sur lui une dernière tentative, un baroud d'honneur, qui couta encore le sang de plusieurs dizaines de milliers de russes. C'en était trop. La Russie était vaincue et capitulée selon nos conditions. Au printemps 1604, la paix était signée et l'Empire Ottoman accédait au rang des très grandes puissances militaires. ![]()
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VIVE LA FRANCE !!! VIVE L'OM !!! VIVE LE ROI DES rois !!! Vous voulez vraiment savoir qui est Danton ? Alors cliquez ici (surtout montez le volume avant ![]() Dernière modification par lemarseillais ; 07/04/2008 à 16h27. |
#218
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![]() La revanche tsarine Auréolé d'une victoire retentissante, l'Empire connut une tranquilité comme jamais il n'aurait pu imaginer. Plus aucun Etat ne prenait de haut le nôtre, plus aucun Etat ne nous menaça pendant une 20e d'années. Au contraire, nous eûmes la très nette sensation que les brayars d'hier, toujours prompts à se mêler de nos affaires, s'étaient subitement tûs. Nos voisins hostiles comprenaient à quel point le péril était grand pour eux s'ils éveillaient notre couroux. C'est ainsi que, comme par enchantement, les ambassadeurs de certaines nations chrétiennes (Venise, Empire) devinrent tout mielleux. Mais l'on ne trompe pas un lion avec du miel. Le Sultan ne fut pas dupe. Il fit congédier certains de ces ambassadeurs et réserva ses grâces aux fidèles et honnêtes gens. Les années passaient, des années de paix. L'Empire continuait de croitre en richesse et en force. La pacification religieuse avançait à bon rythme. Personne n'osait venir nous reprocher de convertir des chrétiens. Sûr de notre force, il était temps de rétablir ce qui n'aurait jamais dû être changé. La Dalmatie, sous contrôle vénitien, était ancestralement une province de l'empire byzantin dont nous étions les dignes successeurs. Elle devait donc revenir sous notre juridiction directement ou indirectement. Soucieux de récompenser son vassal bosniaque, le Sultan proclama sa volonté de rattacher la Dalmatie au royaume de Bosnie. Evidemment, la grenouille vénitienne qui voulait se prendre pour un boeuf refusa nos légitimes demandes. Pendant ce temps, Français et Autrichiens se faisaient la guerre. Si beaucoup d'hommes quittèrent cette terre du côté des latins, on ne peut pas en dire autant du côté germanique. L'empereur-qui-rêve-le-jour méritait depuis longtemps notre juste châtiment. Mais le Sultan, dans sa grandeur et magnificence, décida qu'il faudrait punir seul l'empereur quand il serait au sommet de sa puissance. Sa défaite inéluctable lui serait alors d'autant plus humiliante et le marquerait bien plus en profondeur. C'est pourquoi la paix fut maintenue. Toutefois, à la fin des années 1610, l'Autriche qui avait signé une paix victorieuse contre la France depuis quelques années déjà se montrait de nouveau arrogante et nullement reconnaissante de notre neutralité passée. Le fol empereur avait l'audace de croire que cela était normal. Notre maître lui fît alors savoir qu'il avait le choix entre se repentir en rendant sa liberté à la Transylvanie et au Krain ou ce serait la guerre. Evidemment un fou ne voit jamais le danger dans lequel il peut foncer tête baissée. L'empereur était de cet accabit. Atteint d'une paranoïa aigue depuis plus de 30 ans, l'Autriche entretenait une armée complétement démesurée par rapport à ses moyens. 130000 impériaux servaient continuellement, et l'empereur porta même ces effectifs à 145000 hommes après notre ultimatum. Le Sultan n'en disposait que de 150000 en face. Pire encore, allant contre toutes les lois de guerre signées à la convention de Genève, l'Autriche alignait presque autant de cavalerie que d'infanterie à 10000 hommes près. Voici le comportement de celui qui se prend pour un Dieu et se permettait de reprocher à la France d'avoir levé 75000 cavaliers pour 100000 hommes d'arme. Il en fallait toutefois plus pour faire renoncer le fier peuple ottoman. Conscient de sa force, notre Empire était prêt à en découdre face à celui dont on disait qu'il disposait en qualité de la meilleure armée du monde. Sans avantage numérique, sans avantage technologique, sans avantage de commandement le Sultan déclara la guerre à l'Autriche.... Ce fourbe, ce mécréant, sous ses beaux airs, avait en fait monter une réseau défensif autour de lui. Perfide petit joueur et trouillard invétéré, l'empereur fit mine de ne pas être au courant que l'Espagne, Venise et la Russie soutiendraient l'Autriche. C'est de cette manière que le Sultan se retrouvait en guerre contre ces 4 nations, avec le seul appui de son allié de toujours le sultan des mamelouks. Face à cette attitude honteuse, le Sultan prit un destrier et, seul, s'engouffra en Hongrie et fonça sur Vienne. Il eut bien quelques impériaux à trucider ici ou là mais il filait à une telle allure que personne n'arrivait à le stopper. Arrivé aux portes de Vienne, il les fracassa d'un bon coup de pied, terrassa la garnison en lançant sur la place des morceaux de viande (ils s'entretuèrent tous pour un morceau) et pénétra comme un tigre dans le palais impérial. L'empereur-fou qui était alors en train de se maquiller se trouva confus d'être vu par un Grand Seigneur de ce monde en petite robe d'étée avec un corset rembouré... La colère du Sultan fut elle qu'il ne remarqua pas cet accoutrement travesti. D'un bond, il se retrouva près de cette femme-dans-un-corps-d'homme, lui écrasa le visage contre un parchemin et ordonna d'une voix divinement en colère : Signez cette paix vaurien où je vous jette aux cochons. Terrifiée, la pauvre enfant obtempéra. Ce n'est que plus tard, une fois le Sultan repartit, que les conseillers de cette femme lui firent remarquer que le Sultan lui avait fait signer un traité de paix en échange de la dévassalisation de la Wallachie. Retrouvant des couleurs, l'empereur-folle fit mine d'avoir exigeait cela de la part du Sultan et transforma sa petitesse en un coup diplomatique mineure mais un succès tout de même. La vérité c'est que l'Empire Ottoman avait gagné plus qu'il n'avait perdu. Turcs et Russes se trouvaient de nouveau l'un contre l'autre. Sauf que cette fois, pris de cours, les armées ottomanes étaient loin du front russe et c'est donc notre allié mamelouk qui dû tenir les positions le temps que nos troupes se positionnent. Guidé par Allah, les troupes mamelouks firent des merveille et nous leur en somme fort reconnaissant car ils nous permirent d'installer le front sur des positions avantageuses pour nous. Ayant acquis de grands honneurs, les troupes ottomanes prirent le relais et les mamelouks se retirérent des champs de bataille. La guerre qui s'ensuivit fut assez similaire à la précédente. Le Tsar avait reruté plus de cavalerie et disposé de généraux de qualité. Mais face à l'ardeur ottomane, les défaites russes s'accumulèrent aussi vite que les pertes humaines. Déçu, le Tsar se résigna à signer la paix contre la session d'une province musulmane : Saratow. Ainsi, une province de notre foi était libérée du joug orthodoxe. En quelques décennies, la chrétienté avait fait étalage de ses divisions pendant que les musulmans se montraient unis comme les doigts d'une main. ![]() ![]() ![]()
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#219
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Epopées mamelouks (1608 - 1626)
En ce début XVIIème, toujours sous la régence malienne, les Mamelouks piaffaient d’impatience pour repartir à la conquête du monde. Préparant l’avenir, ils envoyèrent des émissaires aux extrémités du royaume afin d’améliorer les relations avec nos voisins. Et là, surprise !, tandis que nos relations avec le Swahili frisaient l’amour passionnel, nous nous aperçûmes que nous pouvions leur proposer de rejoindre notre glorieux royaume, même en l’absence de souverain. Sans illusion sur l’issue d’une telle proposition, convaincu de devoir multiplier les arguments avant de les convaincre, nous tentèrent notre chance. Et nouvelle surprise !, ces adorables sauvages acceptèrent d’emblée, reconnaissant en nous leurs dieux éternels. Hélas, la venue soudaine de cette nouvelle nation en notre sein nous amenait au bord de l’indigestion, notre réputation ayant explosée ses limites. En catastrophe nous dûmes casser les fondements de l’état moderne récemment construits, et retourner au despotisme féodal. S’ensuivit une descente en flèche de notre stabilité, aggravée par d’autres événements, dont des soulèvements massifs qui nous prirent de cours. ![]() Au final, en quelques mois, nous passèrent de +3 en stabilité, à virtuellement -6, ce qui nous obligea à pédaler longuement pour restaurer notre stabilité, au détriment d’autres investissements. Cependant grâce aux richesses des nouvelles provinces (or, ivoire), l’assemblée réunie des peuples de la Terre nous éleva au rang de grande puissance ! ![]() Pour clore cette période en demi-teinte, les mamelouks retrouvèrent leur autonomie dynastique en 1615 lors de l'avènement d'Ahmad III. Nous n'entretinrent plus de relations avec le Mali, malgré leurs demandes fourbes et répétitives de mariage royal ! SnoopyNap, Grand Vizir des Mamelouks Dernière modification par SnoopyNap ; 07/04/2008 à 16h32. |
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Aux nations chrétiennes qui prennent la planète pour un terrain de jeux et de coloriage :
Nous voyons passer de plus en plus d’expéditions à destination de l’Asie. Nous prenons la décision unilatérale de vous compliquer la tâche dans vos entreprises d’asservissement de ces peuples asiatiques. Si ce n’est pas nous, qui d’autres essayera de limiter votre puissance expansionniste ? Veuillez donc nous verser une dîme conséquente si vous voulez pouvoir poursuivre vos expansions. Nous attaquerons en Asie (du moins ce que nous en voyons) toute colonie d’une nation avec laquelle nous aurions une relation inférieure à 50. Inversement nous accorderons le passage et l’abris de nos ports (Zanzibar, Ceylan), à toute nation qui veillerait à maintenir ces relations à plus de 50. [Hors rp : je vous invite à me dire ce que vous pensez de ce niveau fixé à 50. Trop, pas assez ?] Aux Ottomans : Nous espérons votre soutien dans cette entreprise, sur le continent, le cas échéant. |
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