L'Orage en provenance de la mer gronde
Le XVIIème siècle avait vu la réconciliation de l'Angleterre et de l'Espagne aprés 5 décénies de conflit à l'initiative des ibériques. Cependant l'Espagne entrée en décadance économique avait compris l'interet pour elle de renoncer à la course ruineuse des armements navals et avait opté pour ce rapprochement en vue d'économiser ses forces vives pour la reconstruction de l'état Espagnol au bord de la faillite apres les banqueroute de 1626.
La politique Portugaise avait été plus versatile. S'opposant à l'Espagne en choisissant l'alliance Française, elle fut vaincu par l'espagne puis par l'Angleterre. Plus par realisme politique que par conviction, le Portugal avait ensuite opté pour un rapprochement avec l'espagne et même une alliance avec l'Angleterre qui atteind son paroxisme avec els accord de Methuen ou l'Angleterre se déclarait protectrice de la royauté portugaise.
Le petit Portugal était ainsi un royaume fort prospère. Son commerce dominait le monde au coté de celui des Britanniques. Sa société moderne et scientifique en faisait une des nations la plus moderne du monde et sa flotte était également la plus avancée.
Mais le Portugal souffrait d'une faible démographie l'empechant d'entretenir d'importantes forces armées. Le Portugal en ce début de XVIIIeme siècle était une superpuissance économique grace à son commerce florrissant mais ses possibilités militaires étaient faibles. Sur le plan terrestre sa voisine l'espagne pouvait alligner 4 à 5 fois plus d'homme et sur le plan naval, la flotte Portugaise ne pouvait briguer que la 2ème place loin derriere la royal Navy Brittanique.
La versatilité de la politique Portugaise s'exprima au cours du conflit commercial anglo-turc. Les Portugais poutant allié de l'Angleterre et vassal de cette dernière, prirent fait et cause pour le sultan et cassèrent leur alliance avec l'Angleterre au début du conflit et rompirent également leurs lien de vassalité. Le Portugal venait de trahir l'empire Britannique.
Le gouvernement Portugais sortit de la protection Britannique se retrouvait en situation de vulnérabilité car son empire maritime restait fort vulnérable devant une puissance maritime comme la Grande-Bretagne. Pour le Gouvernement Walpole, le revirement portugais n'était pas une surprise et n'alarma pas l'empire Britannique.
Cependant le portugal se lança alors dans une course à l'armement Naval. les chantiers navals du Portugal mais aussi du Brésil et d'Indonésie fonctionnèrent à plein régime pendant des années pour produire des centaines de vaisseaux nouveaux. Nous devions découvrir que Madrid fut abusé pas Lisbonne qui déclarait craindre une alliance Franco-Suédoise.
Les services espagnols avertir Londres qu'effectivement l'Espagne finançait la flotte Portugaise car le roi de Portugal pensait qu'une attaque Franco-Suédoise contre la péninsule ibérique menaçait. Pendant ce temps le Portugal avertissait l'Angleterre qu'il envisageait une guerre éclair contre la France dans le but de s'emparer des coloneis françaises d'afrique. Enfin le Portugal faisait mention que l'Angleterre pourait s'emparer du centre de commerce espagnol de zacatécas.
La diplomatie tortueuse portugaise était en marche et comme par le passé, Lisbonne faisait financer par Madrid la construction de la flotte portugaise pendant que le Portugal investissait ses propres deniers dans son éconnomie et son commerce. Comme par le passé, l'Espagne se faisait "pigeoner" (expression Française) en payant pour le portugal...
L'Empire Britannique n'avait plus de problème avec la France et la frontière actuelle entre la Nouvelle-France et la Nouvelle-Angleterre était satisfaisante. des premiers contacts fructueux furent établit entre Paris et Londres.
Le doublement en 10 ans de la flotte portugaise qui atteignit 500 vaisseaux ne pouvait qu'alerter les services de l'amirauté et le gouvernement Walpole dut prendre les mesures nécéssaires. Les impots furent triplés dans tout l'empire pendant 7 années consécutives et la royal Navy fut portée de 300 à 700 vaisseaux afin de maintenir une marge de sécurité suffisante vis à vis de la flotte Portugaise qui commença à manquer de port pour entretenir une flotte supérieure à 500 vaisseaux.
Un Ultimatum fut envoyé à Lisbonne, si le Portugal pousuivait la course navale, l'empire britannique prendrait les mesures qui s'imposait. Et si une guerre éclatait, le Portugal vaincu devrait céder son riche centre de commerce Africain d'Ivoria.
La guerre semblait à présent inévitable. Les espions Français présent en Espagne annonçait la levée d'une puissante armée de plusieurs centaines de milliers d'hommes tandis que les arsenaux espagnols fabiquait des centaines de navires de transport.
L'empire Britannique et la Frannce avait à présent signé un accord defensif de coopération militaire qui prévoyait notament la conquète de la Lousiane Espagnole si Madrid commetait la folie d'entrer en guerre. Pendant ce temps, Portugais et espagnols courtisait Paris et inondait de subside le gouvernement de Louis XV afin de reconstruire son armée et de construire des arsenaux navaux.
Louis XV feignit de suivre les ibériques dans leurs préparatifs de guerre contre la Grande-Bretagne. Le Portugal et l'Espagne ne se sentaient visiblement pas assez forts à 2 vs la Grande Bretagne et demandait en plus l'alliance Française. Finalement Louis XV estima qu'il en allait de l'honneur de la France de ne pas participer à une curée à 3 vs 1 contre la seule Angleterre et choisi alors définitivement l'alliance Brittanique d'utant que les gains en cas de victoire s'annonçait encore plus important pour la France.
Les ibériques se sentaient pret mais la peur ne les quittait pas, les empechant de franchir le Rubicon. L'Espagne quand à elle s'appretait à fouler au pied un siècle de colaboration fructueuse avec l'Angleterre et les hesitations restaient nombreuses.
Le Gouvernement Walpole était tombé en Angleterre, remplacé par Lord aedan Dosière. Lord Aedan réunit son cabinet et décida qu'il fallait pousser les ibériques à la faute car maintenir les forces navales et terrestres en alertes coutait une fortune. L'embargo comemrcial contre les royaumes ibériques fut proclamé imméditament suivit par un embargo similaire de la part de Madrid et Lisbonne. Le prostectionnisme économique fut couteux pour l'economie Britanique qui se contacta de 25% en valeur. Mais le resultat escompté fut atteind, l'alliance Ibérique entra en guerre contre l'Empire britannique bientot suivis, esperaient-ils par la France de Louis XV.
L'espagne et le portugal attaquent l'Empire Britannique
D'apres les historiens, voici les forces initiales au début du conflit
Empire britannique
*Flotte:
- 750 vaisseaux dont la Home fleet de 700 vaisseaux commandé par les amiraux Byng et Boscawen
- 50 vaisseaux répartis entre la Nouvelle-Angleterre, Ceylan et l'Australie
*Armée
- 100.000 h en Angleterre
- 30.000 h en Amérique
- 30.000 h à Ceylan
- 15.000 h en Crete
- 10.000 h en Australie
Les estimations des services secrets Britanniques aidé par les services Français étaient de
Portugal:
500 vaisseaux en europe
50 vaisseaux dans le reste du monde
100.000 h à Lisbonne
30-40.000h en Asie
Espagne:
400 navires dont une majorité en europe
50 navires hors europe
350.000 -400.000h en Espagne
35.000h en Lousiane
France:
2 navires

35.000 h dans la vallée de l'Ohio
100.000 - 150.000h en France
Le 1er ministre Dosière reunit son cabinet et plusieurs mois avant la déclaration établit son plan de bataille:
EUROPE:
Les Amiraux Boscawen et Byng commanderaient chacun une flotte de 350 vaisseaux. Les Flottes britanniques devaient appareillaient pour le nord vers l'actique et les ports novégiens de la Suède afin de laisser la voie libre aux Ibériques pour approcher de l'Angleterre et y débarquer.
L'amiral Byng était confiant sur sa capacité à affronter les 900 navires ibériques avec ses 700 vaisseaux car les équipages et les navires espagnols n'avaient pas bonne réputation en Angleterre. cependant une telle bataille bien que gagnée serait terriblement couteuse en navire. Il insista donc sur la necéssité de séparer les flottes portugaises et espagnoles (plus lentes car les navires étaient de modèles plus anciens) et de les combattres et de les battres séparéments.
La stratégie maritime établit était ainsi d'attirer les flottes ibériques le plus au nord possible tout en les incitant à passer à l'attaque et à prendre l'offensive. Ainsi pendant des mois, la Home fleet patrouilla entre l'islande et le port norvégien de Narvick.
Cependant pour que le plan fonctionne, il fallait que les 100.000h de l'armée britannique d'Angleterre soit capable de resister au débarquement de plus de 300.000 espgnols alors qu'aucun grand général depuis Marlborouth n'avait repris le commandement des forces terrestres.
Lord Aedan établit donc ses plans pour attirer les Espagnols dans son piège. Il décida d'abandonner la défense de Londres et de cantonner l'armée au centre de l'Angleterre et loin des côtes. Ainsi l'armée serait à l'abris d'un débarquement surprise des Espagnols qui perdraient leurs avantage numérique à 3 vs 1 et manquant de ravitaillement, l'armée Espagnole seraient obligée de se diviser ce qui permetrait la encore de la battre séparément. Enfin si les forces espagnoles demeurait trop puissante, l'armée Brittanique devait renoncer au combat et attendre le moment propice de la contre attaque quand la famine ou une eureur de commandement auront affaiblit les espagnols.
Lord Aedan resuma ainsi son plan
- Laisser la route maritime de l'Angleterre ouverte et sans protection
- Inciter les Ibériques à attaquer
- Proteger au centre de l'Angleterre l'armée
- attendre les débarquements espagnols
- Ramener à ce moment précis la Flotte Britannique et essayer de détruire séparément els flottes ibériques
- Contre attaquer au sol les Espagnols au moment opportun quand l'usure ou une erreur de commandement sera commise
- Détruire tout les espagnols imprudement débarqué une fois le controle naval revenu.
Le plan secret établit fut alors voté et transmis aux officiers supérieurs de l'armée et de l'amirauté. Alors qu'un calme olympien regnait à Londres sur de l'efficacité du plan de bataille adopté, au même moment à Madrid et Lisbonne, les Stratèges ibériques donnaient leurs ordres de mouvement dans un climat de tension extreme si contrastant avec la sereinité qui régnaiit à Londres