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Vieux 05/10/2006, 13h19
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Ambassade de France

LA GUERRE DU RHIN : Aout 1680




La Chambre des Réunions a décrété que les frontières de notre Royaume sont désormais fixées par les rives du Rhin.

Notre bon roi Louis XIV suit donc les recommandations de ses ministres.

La Lorraine, puis l’Alsace sont ainsi rattachées à la France après une courte guerre contre le Palatinat.



Une ambassade est envoyée à Vienne pour faire valoir nos droits sur les provinces occupées par l’Autriche. Malheureusement l’Autriche refuse toute discussion et face à l’intransigeance de l’Empereur, la guerre devient inévitable.



La Hollande est emportée dans le tourment par son jeu d’Alliance. Nous proposons aussitôt une paix blanche à Amsterdam qui refuse.

Soit, nous envisagions d’oublier toutes prétentions sur les Provinces Unies, mais de part la décision batave, elles seront donc traitées de la même sorte que leur alliée.



Nos armées avancent en territoire ennemi et affrontent les armées coalisées autrichienne, hollandaise, bavaroise, saxonne et badoise et celles du Palatinat....

Au Nord, la Suède est également entrée dans le conflit contre l’Autriche en respect de ses propres prétentions sur les rivages de la Baltique.



Après quelques batailles, nos armées ont pu défaire Bade, et sont maintenant en Flandre, au Brabant et au Luxembourg.


Le Connétable Elvis, qui a laissé la Comtesse de Breteuil à Paris, conduit les armées francaise lors de la prise des Flandres.

A la demande de l’Empereur, aucune action offensive n’est menée sur la province de Palfz où des envoyés du Pape tentent de convertir la population au Catholicisme.





Cependant, le reste de l’Europe n’est pas indifférente au conflit. L’Angleterre et le Portugal refusent l’activité de nos commerçants, comme ceux des autres belligérants, mis à part les Provinces Unies.



Cette décision n’est pas critique car notre activité commerciale s’est focalisée sur les Centre de Commerce contrôlées par la France.

Néanmoins, nos Ministres discutent sur d’éventuelles mesures que nous pourrions être amené à prendre.

Mais avant, toute décision hâtive, nos ambassadeurs souhaitent s’entretenir avec ces royaumes qui nous ferment les portes de leur Centre de Commerce.



Situation à l'été 1680 :



Nos revendications comprennent donc : Flandre, Brabant, Zeelande, Luxembourg, Palfz auxquelles s'ajoute Hinterpormmern pour la Suède.

La France est ouverte à toute discussion et attend les plénipotentiaires bataves et autrichiens pour discuter de l'issue du conflit.

Dernière modification par Elvis ; 05/10/2006 à 13h25.
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