"C'est quoi ce délire avec Zymet, t'as intérêt à t'expliquer dans le topic du forum !
Parce que je suis pas d'humeur !"
Moi non plus, et pour commencer c'est quoi ce ton!!!!
J'ai, à toute l'alliance, fait part de céder mon compte au plus tard dans les 10 jours le 12/07. Je n'ai eu à ce jour et même avant les attaques de Zymet du 14/07 aucune réaction de votre part (ce que je peut comprendre, mon compte n'était peut être pas si intéressant que ça.... il l'est d'autant moins aujourd'hui que l'autre l'a amputé de sa capitale et de son 15C).
Je t'ai même envoyé un courrier personnel à ce sujet, Gilou,le 12/07 qui est resté sans réponse à ce jour.....
Je ne suis pas revenu sur ma décision de quitter le jeu suite à ces attaques, bien au contraire... et j'ai décider de me saborder plutôt que de laisser le reste de mes villages à l'abandon. Je ne vois pas pourquoi je devrais laisser ces "frigos" à l'ennemi. Mes villages restants disparaitront avec moi puisque de toute façon il n'y a pas de repreneur
La seule chose exacte dans tout votre verbiage, c'est que suite à ses attaques, j'ai envoyé un courrier à mon adversaire pour le féliciter. Après tout, j'ai toujours reconnu sa valeur et son Fair-play même si nous étions dans des camps adverses, chose dont je ne me suis jamais caché (cf rapport à ce sujet sur le forum suite aux batailles de juin).
Je lui ai fait part à lui aussi de ma décision de me retirer et je lui ai dit que s'il s'attaquait à SOAN, il y avait peu de temps et un bon commité de phalanges pour l'acceuillir. C'EST TOUT.
S'il y avait eu collusion entre nous, je n'aurai pas laisser mes troupes en place et je n'aurai pas bousiller ses sénateurs.... Je ne m'amuserais pas non plus à distribuer mes ressources vers les membres de FRANCON plus petit que moi, et je n'aurai pas conseillé à Gamecubeaccro de rappeler les troupes qu'il vient de m'envoyer en assistance.
Vos sous-entendus sont infamant au regard de la fidélité sans faille qui me lie à cette alliance.
Comme je l'ai dit à Schnick je part même avec une certaine amertume.
En tout cas j'ai agit selon ma conscience et je reste droit dans mes bottes.