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Vieux 04/07/2006, 19h47
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1520 - 1547 Royaume d'Autriche :

  • 1520 - 1525 Le calme avant la tempête :
Les cinq années qui suivirent le courronement de Charles Quint furent relativement stable, une distillerie de Schnutz autrichiens ouvrit a Salzburg tandis que sur les frontières de l'empire les ingénieurs du Roi suer corps et âmes pour ériger de nouvelles fortifications.

Mais la paix ne fut que de courte durée, car jaloux de l'immense empire de Charles la France déclara la guerre a l'Autriche perfidieusement, emportant avec elle toute son alliance.
Et le roi de France surpris l'empereur car son alliance se composée uniquement de princes allemands, mené par la Hongrie. La guerre frappait donc au coeur du royaume, menacant de toute part nos territoires.

Et comme si tout ces malheurs ne suffisaient pas, l'empire Ottoman se joignit a la guerre dans un esprit de revanche bélliqueux :


  • 1525 - 1541 La seconde guerre balkanique :
La Hongrie, la Saxe, la Lorraine, la Bavière, le Wurtemberg et le Magdeburg trahirent l'empereur, se justifiant officiellement qu'ils ne fesaient que suivre le roi de Hongrie lui même manipulé par le roi de France.
Notre royaume soeur d'Espagne se joignit de notre coté dans la guerre, s'occupant du français plus au sud, dans les pyrénées.

Les plans de Charles pour se sortir de se guépier furent simple et rusés. Tandis que les troupes française partiraient a l'assaut des places fortes héritées du duc de Bourgogne, les troupes autrichiennes iraient rendre visite au roi de Hongrie, Lajos II beau frère de Ferdinand d'autriche (lui même frère cadet du roi).

En Hollande, seule la garnison locale forte de 20000 arquebusieurs et 5000 cavaliers avait pour ordre de défendre cet immense territoire. Et ils étaient clair : il n'y aurait pas de renfort et il fallait tenté de jugulé l'avancée française.
Le sort de la garnison fut rapidement scélée par la bataille de Wavre. Les arquebusiers de l'empereur s'opposaient a l'élite de la cavalerie Française :



La garnison autrichienne fut annéantie au terme d'une gigantesque boucherie. Les arquebusieurs, incapable de se servir corréctement de leurs armes sans la présence d'un bon géneral servirent de pantins aux chevalier français.

Mais tout ceci n'était guère important, qu'importe que tombe les places fortes de Hollande l'éffort du roi se portait alors sur la Hongrie. Et elle céda rapidement, les provinces d'Odenburg, de Krain, de Pest, de Croatie, de Presburg ainsi que la capitale tombèrent une a une. Les forces Hongroises furent jugulées par la téchnologie et le talent des armées de l'Empereur, menées encore une fois par Von Frundsberg.

Une fois la capitale Hongroise prise, Lajos II fut contraint de signé la paix au nom de l'alliance toute entière, entrenant malgré lui le royaume de France dans une paix forcée.
Ainsi le stratagème de François Ier s'était retourné contre lui et l'empereur, qui hérita a la fin de l'année 1526 du royaume de Bohème, put alors retourner ses forces contre le Sultan qui s'était aventuré le long des côtes dalmates menacant dirrectement le royaume et mettant en échec les troupes d'autriche :



La situation devenait préoccupante, les Ottoman avaient déclarer la guerre a la Hongrie et il était hors de question de leur laisser ne serait-ce que le moindre petit village Hongrois. Même si ces derniers venaient de nous trahir ils n'en restaient pas moins de fidèles catholiques dont la compagnie était mille fois préferable a des infidèles mahométans !
Il nous fallait donc agir rapidement, le plan Frundsberg fut mis en place. Il consisté a réitéré le plan de la grande campagne de 1517-1518 de la première guerre balkanique qui s'acheva sur la prise d'Istanbul.

Seulement, contrairement a il y a 15 ans, les troupes du sultan était désormait équipée d'arquebuse en série, et même si leur qualitée n'avait rien a voir avec celle des troupes de l'empire, elle n'en restée pas moins meurtrière.
Aidés en celà par une nouvelle géneration de géneraux Ottoman, promus lors de l'intronisation de Soliman, dont le maniement d'armées moderne leur était parfaitement connus fit que le plan Frundsberg échoua et s'éssoufla définitivement aprés la prise du Kosovo.
Frundsberg se retira alors de l'armée, ce fut une perte térrible pour nous mais qui fut compensée par une trés bonne nouvelle..

Les Hongrois rapportent en éffet que le Sultan aurait reçus une balle dans ses "bijoux" de famille durant la térrible bataille de Pest. Le sultan hors de lui aurait alors signé la paix a la hâte, arrachant le Banat a la Hongrie et surtout, rennonçant définitivement a des charges militaire !
L'empire Ottoman venait de perdre son meilleur géneral, ce qui nous consola un peu de la retraite de Von Frundsberg.


L'éssouflement du plan Frundsberg

L'échec de l'offensive, et la contre-offensive Ottomane qui s'en suivit fit bien vite comprendre a Charles quel serait la nature du conflit : il serait long, trés long, et se jouerait sur une épreuve d'endurance. Son énemis ne voulé pas baisser les bras, et bien soit ! Mais jamais un habsbourg ne fera de compromis avec un infidèle, du moins tant que Charles serait en vie.

L'empereur changea alors de tactique, d'aprés les savants de la cour une nouvelle arquebuse serait disponible d'ici 1540~1545 et permettrait a ses armées d'acquérir un avantage certains sur les troupes du sultan. La santée de Lajos II de Hongrie était elle aussi un facteur déterminant : a sa mort, Charles compter bien sur l'appuis de son frère cadet Ferdinand qui pourrait alors faire valoir ses droits légitime sur la courrone Magyar !

L'heure était donc a une guerre "maitrisée", l'inflation ne grimperait pas de plus de 0,2% par mois et le corp d'armée autrichiens devrait se limité peu ou prou a 30 000 hommes. Ce dernier point bien que contesté montra en réalité la parfaite connaissance de l'empereur de ses troupes : en effet même a 1 contre 3 les troupes autrichienne était largement capable de battre les Ottoman.
Ainsi, les 10 années réstante furent passés en de nombreuses offensive-contre offensive de la part des deux camps, aucun des deux ne l'emportant vraiment sur l'autre.


Une contre offensive ottomane.

La situation sembler bel et bien bloquée, mais graçe a Dieu et au talent de Charles Quint un miracle arriva en 1540. Le roi Lajos II de hongrie venait de décedé. L'entière pocessions du territoire Hongrois revenait a la courrone d'Autriche et les 70 000 hommes de l'armée Magyar jurèrent allégeance a leur nouveau roi.

Le reste ne fut que formalité, le Sultan devant le renversement de situation s'empressa de signé la paix contre la province Banat. Le royaume d'Autriche s'était littéralement transformé en seulement 20 ans et était désormait le plus grand pays de toute l'europe :


  • 1540 - 1547 La réparation :
La politique de Charles Quint, bien que modérée n'en demeura pas moins couteuse, 14 ans de guerre épourvèrent d'autant plus la population que l'armée, trop occupée a l'est ne trouva pas utile de répprimé les révoltes de plus en plus forte des paysans, notamment en Bohème.
Les banquiers florentins, abusèrent de la position délicate du roi pour lui soumettre d'alléchantes offres de prêt qu'il accepta sans trop y préter attention. Toujour est-il que ces emprunts, d'un montant total de 1500 ducats durent être remboursés et les échances s'étalaient jusqu'en 1545.
Les finnances était gêlée, tout notre argent fut consacrés au remboursement de nos dettes ce qui fut chose faite en novembre 1545.

Il restait pourtant bien d'autres travaux a faire, en premier lieu il fallait modernisé les administrations Hongroise et promouvoir des percepteurs un peu partout dans nos nouvelles acquisitions. La vallachie fut relâchée en tant que vassal en signe d'appaisement avec les nobles locaux, orthodoxe, qui de toute façon n'interessé guère l'empereur.

Ainsi en 1547 il ne nous restait plus qu'a faire de génereux dons a notre voisin polonais qui nous aida lors des révoltes paysanne de bohème.

Dernière modification par Leaz ; 05/07/2006 à 01h05.
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