
18/04/2006, 20h13
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Franconaute
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Date d'inscription: octobre 2005
Localisation: La Louvière, Henegouwen, Groot Nederland
Messages: 4 779
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-Mon petit Ar sparfell… Venez au tableau nous présenter votre poème.
-Oui m’sieur…
(Premiers rires dans l’assemblée, dus à la démarche du poète) [À imaginer, impossible à décrire]
Oh, toi, handicapé sans bouche
Non pas que je te trouve louche
Mais tu me concèderas qu’une louche
Pleine de soupe conduite à ma bouche
Amène moins de foin qu’une fourche
Ne le pourrait au bovin
-Heu… intéressant, comme toujours d’ailleurs… mais la dernière rime ne rime à rien !
-Oui m’sieur… Mais plongez vous un instant dans la peau d’un conducteur de train du XIXème, çà vous aidera à comprendre…
-Chère Ar Sparfell, zéro pour zéro, je prends le risque… allez y, je me suis plongé, poursuivez !
-He bien, …. Heuuu… bon bah non, tout comptes faits j’arrive pas à enchainer…
- ?????
-J’allais vous présenter ma nouvelle théorie sur l’impossibilité pour un mot en terminaison « in » (tel Bovin) de s’accorder avec un mot en « ch », d’où le bégaiement des trains (terminaison « in »), quand ils essaient de démarrer…. « ch ch ch ch ch ch ch…. »
C’est à ce moment que le professeur nota dans son carnet «Le petit Ar Sparfell a des théories vraiment à ch ch ch ch ch ch, il finira par rater le train…. »
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