Sachez également que si j'en vois un s'adonner au voyeurisme aiguë et à l'espionnite pour savoir qui envoie quoi à qui en privé, le temps de l'enquête, il sera immédiatement appréhendé par la gendarmerie et devra répondre de ses actes directement dans mon bureau - puis devant la foule déchaînée (petite disposition non prévue dans le code de procédure pénale, mais ça ne fait pas de mal d'innover !)
La rumeur ne deviendra pas loi, nous ne sommes pas à Carpentras !