
07/02/2010, 13h21
|
 |
Franconaute
|
|
Date d'inscription: septembre 2005
Localisation: Asgard, monde des Ases
Messages: 4 627
|
|
Le front de l’Est
Le général Koniev ouvre les hostilités avec une offensive à l’ouest de Kursk : non seulement c’est un sanglant échec, mais Manstein en profite pour contre-attaquer et pulvériser les Bolchéviques au sud de Tula. Au nord, Timoshenko et Vatutin se montrent plus prudents, méthodiques et lents dans leurs avancées qui menacent l’ensemble de la région Moscovite. Le général Kesselring, malgré la pression toujours grandissante, ne cède cependant pas grand-chose, seule Ryazan est perdu malgré la résistance des SS Slaves, et la Wehrmacht conserve plus ou moins ses positions, tout va pour le mieux .
Dans le sud, Joukov concentre le gros des moyens de l’Armée Rouge et lance un assaut extrêmement violent (offensive chit) : les blindés de la Garde franchissent en masse le Dniepr, Nikolaev tombe après de sanglants combats. Tout le front sud est menacé d’effondrement, mais Berlin réagit avec calme et assurance : des unités d’élite arrivent de France, notamment la 1° Panzer SS, et une partie du GAC fonce vers Kiev afin de renforcer le GAS.
Ces mesures énergiques sont salutaires, les nouvelles offensives de l’Armée Rouge au sud de l’URSS se soldent toutes par de retentissants échecs ! Sournois et perfides, Timoshenko et Vatutin en profitent pour relancer l’offensive dans les régions de Tula et Moscou : qu’ils se réjouissent donc, ils ne pourront plus le faire longtemps ! Maintenant que la situation au sud a été rétablie, la Wehrmacht va pouvoir passer à la contre-offensive et repousser tous ces sauvages jusque derrière la Volga.
|