Chronique Française : 1690-1703 Conflit autour du Québec.
Le 23 mars 1690 s’ouvre le premier conflit contre les Anglais depuis 1453, l’affaire tourne autour du Québec, les anglais nous menaçant d’entré sur ce territoire dans trois mois si nous ne cédons pas trois de nos établissements dans la région.
Le royaume de France est alors en situation économique très difficile, la lassitude de guerre baissant les forces financières et humaine mobilisable, en plus de la menace de blocus de nos côte, la situation financière sera des plus désespéré, beaucoup de conseiller de bas étage nous conseillèrent de céder face à la puissance anglaise qui tient les mers. Le roi de France Louis XVII, souverain depuis 1688, décida de combattre, la France doit faire payé le prix du sang à tout état tentant de la spolié, s’il faut perdre, il faut le faire avec Honneur, et Courage devant l’adversité !
L’amiral Louis De La Galissonière, et le général de Maurepas furent donc lancé dans des opérations parallèles au front principal du Québec où nous ne pouvions tenir, les 4 milles fantassins malgré leur commandant le grand Michel de Saint Chamond (6/6/4/1) qui dut après avoir tué prêt de 10 milles ennemis se résoudre à retourner en métropole à bord d’un navire des Pays Bas pour commander les expéditions européennes sur les alliés de l’Angleterre, Milan, Brème, l’Oldenbourg et la Suède en juin 1691.
Dès Juin 1690, l’armée française commença la campagne d’Italie, combattant en Lombardie avec les suisses contre Milan, et commençant à assiéger Mantoue et Parme dès juillet.
Jusqu’en septembre aucune nouveauté ne se fit, jusqu'à la première bataille naval entre la France et l’Angleterre, la flotte du Québec constitué d’un navire lourd prit au pirate et 4 transport s’attaquant aux 3 frégates faisant le blocus de la colonie, cette bataille marque le début de la série de victoire de la Royale sur la Royal Navy.
Les choses ne bougèrent pas jusqu'à l’été 1691, avec la fin de l’occupation du Québec par la coalition et le début de la campagne nordique, nos armés ayant obligé dès Juillet 1691, Milan à libéré Mantoue.
La guerre s’ouvrit en 1692 sur l’Amérique du Sud, par le débarquement de nos forces au Chili pour entreprendre la prise des colonies pour disposer d'une valeur d’échange dans les prochaines négociations. L’année fut marquée aussi par la défection de Brème qui dut passer de la théocratie à un régime de marchant et de celle de l’Oldenbourg.
L’année 1693 fut marquée par le débarquement d’un corps de siège britannique sur l’île Dominique durant le mois de juillet, composé de 11 milles homme dont 2 milles cavaliers et milles artilleurs.
Il fallut attendre Mai 1694, pour que l’amiral Louis De La Galissonière et le général de Maurepas tentent de sauver la situation, après avoir finit la pacification du Chili, coulant la flotte de blocus (5 navires lourd et une frégate) pendant que les transports anglais fuyaient pour rejoindre leur base, les 7 milles cavaliers furent lancé sur les 11 milles anglais très rapidement, ils nous fallaient sauvé nos perles des Antilles !
Les combats furent acharnés mais notre cavalerie malgré des pertes effroyable ayant perdu la moitié de ses hommes, écrasa totalement les fanatiques protestants, ceux-ci n’ayant demandé aucune négociation dans l’affaire.
Bataille naval des antilles.
La situation resta inchangé durant 1 ans, une escadre anglaise nous bloquant maintenant aux Antilles, l’amiral devait sortir à tout pris, la flotte française n’avait qu’une chance dans cette guerre dans le conflit, la surprise, mais en restant bloqué ainsi, elle ne pouvait que se désagrégé dans l’attente, laissant à l’ennemie les mains libres, la peur ne les prenant pas de subir le même sort que les autres…
Dans la nuit du 15 octobre , De La Galissonière sortit donc du port, face à lui 6 navires lourd et 13 léger, du notre 10 lourd, 7 frégate et 13 transport transformé pour l’occasion en brûlot pour couvrir notre fuite éperdu. Le stratagème fonctionna à ravir, cela est peu orthodoxe je vous l’accorde, mais quand on est poursuivit comme une bette jusqu'à ces derniers retranchements, la nécessité nous pousse à des choses extraordinaires.
La flotte anglaise prise de surprise fut complètement anéantit ne pouvant se détourné à temps, le vent la poussant inexorablement sur notre flotte, notre perdit 9 transport dans l’affaire, empêchant tout mouvement de nos forces dans le conflit dès à présent, mais notre flotte était libre de partir rejoindre celle du levant et d’écrasé le blocus anglais sur notre mère patrie !
Après plusieurs mois au Brésil notre flotte put partir dans se dessein, elle rencontra en septembre à Gibraltar notre marine du levant, croisant là une flotte anglaise au port qui ne fut aucun mouvement contre nous à notre surprise.
Le 30 octobre 1696 commença l’épuration de nos côtes, l’ennemie perdant 7 navire lourd, et nous 4 de nos 25 galères, puis en mer d’Iroise se fut 3 autres navires lourd qui bloqué la Rochelle, le 19 novembre se fut l’entré en Manche, où nous coulèrent 9 autres navires.
Après cela s’ouvra les négociations avec le roi d’Angleterre, contre une colonie et la rétrocéssion du Chili, la paix était faites, mais il nous fallut attendre 1698 pour que cela prenne effet, le temps que l’anglais reprenne le contrôle de ses terres.
C’est ce moment que choisit l’Espagne pour nous frapper dans le dos, ceux-ci frappant le pape, le roi du se résoudre devant la situation économique et humaine où nous étions à ne rien faire, attendant un moment propice pour agir de toute notre puissance.
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On dit qu'il y a trois millions de personnes qui veulent du travail. C'est pas vrai, de l'argent leur suffirait. ( Coluche )
Si l'Administration travaillait dans le Bâtiment, elle aurait les doigts pris dans le béton. ( Coluche )
Dernière modification par TCAO ; 24/08/2008 à 21h28.
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