Sa Très Chrétienne Majesté, François Ier, Roy de France et de Naples
Prince de la rennaissance, premier monarque absolu en Europe, le début du règne du "Roy qui entend etre obéi" fut très faste. La période 1515-1530 voit la confirmation de l'hégémonie française en Europe :
Economiquement, le Royaume voit ses revenus s'envoler, passant en moins de 2 decenies de 90 000 livres tournois mensuels a plus de 120 000 livres tournois. Le pays compte 22 millions d'habitants et la taxe annuelle atteind 300 000 livres tournois. Le tresor peut ainsi compter sur 500 000 livres en tout et par ans. La conséquence d'un tel revenu est simple : constructions de manufactures en serie, domination commerciale, début de la colonisation, avancée technologique dans tous les domaines. Au niveau commercial, nous sommes les plus forts, légèrement devant notre allié suédois. Technologiquement, nous sommes de loin les premiers en infrastructure et en commercial, nous avons tout recemment depassé l'autriche en militaire, il ne reste qu'en naval ou nous sommes encore provisoirement a la traine.
Politiquement, nous avons déclaré la guerre contre le portugal. L'objectif premier etait la fin de l'embargo, le 2e etait la prise des cartes de l'afrique. Or comme nous l'avions hélas prevu, l'allié espagnol nous fait la guerre aussi. Nous defendons le sud du pays et sommes pret a passer a l'offensive s'il le faut. Pendant ce temps, nous prenons une a une les iles des antilles.
Missives aux souverains estrangers :
Au Roy des Espagnes, Carlos don Habsburg :
Nous ne souhaitons que la paix entre nos deux peuples. Mais il est vrai que la guerre nous a couter le tiers de notre armée. Cette guerre nous l'avons gagner. Nous sommes pret a faire de grandes concessions pour la paix, la plus importante etant le don de Naples a la couronne espagnole. Cette ville est non seulement très riche, mais aussi très peuplée. En echange nous voulons le Béarn, et les antilles. Nous considerons l'amerique centrale et les andes comme votre. Nous vous garantissons aussi de vous laissez le monopoles a Seville. Si vous refusez, la guerre continuera et s'achevera forcement par notre victoire totale.
Au Roy d'Angleterre, Henry VIII :
Nous avons les moyens de prendre facilement le monopoles dans le centre de commerce de la riche Londres. Un accord de principe est le bienvenue. Nous proposons que vous reconnaissiez nos monopoles, en echange du votre a Londres.