Janvier-Février 1915.
Phase stratégique:
Bizarrement, le bilan des pertes est moins sévère que pour l'end point de décembre 1915.
On fait la cour aux neutres, des deux côtés. L'Italie est très courtisée...
On continue à courtiser les neutres.
Pour la recherche et développement, on remercie le Royaume-Uni de fournir la puissance industrielle. On progresse dans le domaine de l'artillerie, de la construction de tranchées, des avions et des gas (vivement que j'ai le premier niveau). Tout ça.
Quelques exemples de choix economico-strategiques: la France se focalise sur les armes légères, le matériel de tranchée (disons que c'est des machins d'acier, des casemates, du barbelé...) un peu de naval, histoire de refaire sortir la flotte.
Le Russe est loin d'être en économie de guerre (en fait, chaque économie progresse au fur et à mesure de la guerre, si elle ne subit pas de destruction. A l'exception de la Belgique, les combats se déroulent chez l'ennemi pour le moment). On achète des armes et des tranchées. Il va falloir penser à investir dans la logistique pour QG, histoire de lancer des offensives en Turquie ou à l'Est.
Comme prévu depuis l'automne, la flotte Britannique vient s'occuper des allemands effrontés en mer du Nord.
Et comme prévu, l'Entente reprends la maîtrise de la quasi-totalité des mers.