Novembre et décembre 1914 présentent les premières occasions de décisions économico-stratégiques de grande ampleur.
La recherche en artillerie continue.
Les diplomates commencent à s'agiter. Que ce soit pour dissuader/retarder une entrée en guerre contre l'Entente ou au contraire la favoriser.
La Russie investit pour de futures offensives. Il faudra songer à continuer l'avance en Allemagne ou à repousser les Austro-hongrois. Et la logistique, ça s'improvise pas...
Pour la France ou la Serbie, la quasi-totalité de l'effort est mis dans les fournitures militaires, afin d'équiper les remplacements dont les deux pays ont, déjà, cruellement besoin. Les Britanniques, eux, se chargeront du naval, de la diplomatie et de la recherche.
Dans les airs, le nombre d'appareils s'accroit. Pas encore de combats aériens, aucun des deux côtés n'ayant encore la technologie requise.
Sur mer, peu de changements. Les Empires centraux profitent encore de l'excès de confiance de la Royal navy. Ca ne durera pas... Surtout que des plans de débarquement dans les Balkans ou d'attaque massive par la Palestine fleurissent dans mon esprit. Gallipoli? Pas fou!