
14/06/2008, 13h00
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Franconaute
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Date d'inscription: septembre 2005
Localisation: Asgard, monde des Ases
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Jour 1 de l’invasion – Première partie de la nuit
Le Démon Marseillais quitte sa tour noire et rejoint le général Comeon, qui ne cesse d’ordonner à ses troupes d’accélérer : « Tout se passe bien, mon général en chef ? » « Oui, ô Seigneur, mais les troupes n’avancent pas assez vite » « Nous ne sommes pas pressés… Avec mes Démons, la victoire est acquise. Je file en Orkreish, agis au mieux, ta vie en dépend » « Oui, ô Seigneur ». Pendant que le sombre démon file, le noir Comeon fronce les sourcils : contrairement à son maître, lui n’est pas persuadé qu’il ne faut pas se presser. Sa stratégie est d’ailleurs basée sur la rapidité : il veut prendre au plus vite Morgenstern, la capitale de la province, avant l’arrivée des inévitables renforts Impériaux. « Ainsi, la victoire sera mienne. Quand je t’assassinerai , tout le monde reconnaîtra en moi le vrai gagnant de cette guerre. L’Empire Franconaute sera mien ! »
Le demi-démon Marseillais, ignorant probablement tout cela, poursuit sa route et rallie le volcan de Thorth, où il conjure une centaine de gigantesques élémentaux du feu, qu’il lance contre les Impériaux. Au même moment, menés par Ben Artistim et Jagermeister, les orques lancent un gigantesques assaut contre les troupes Impériales : très habiles au combat nocturne, les peaux-vertes font un carnage abominable . Déboussolé par ce déchainement de violence, l’Abbé-Général Coelio pousse un long cri : « Mon Leazounet ! J’ai besoin de ta force ! »
A l’est, Palpatine et Thrawn relancent l’assaut avec acharnement : pour la première fois, Palpatine lui-même prend pied sur les remparts. Mais le Vicomte Elvis s’avance alors vers lui, l’épée haute : « Tu vas retourner d’où tu es venu ». Un violent combat s’engage et, finalement, d’un habile coup, le Vicomte Elvis précipite son rival par-dessus les remparts ! Un anneau de vol lui permet cependant de s’en sortir sans trop de dommage, l’orgueil excepté. Et, naturellement, l’assaut est un nouvel échec.
« J’arrive, mon Coelionounet ! ». Et c’est avec ce cri de guerre que les elfes du Prince Léaz déboulent enfin et chargent les orques, leurs ennemis héréditaires : 2.000 tombent sous leurs flèches !
Ce sera cependant l’unique contre-attaque de l’Empire…
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