[Elvis]

Для Святой России : 1596 - 1606 :


Le retour aux affaires fut fastidieux. Le Conseil de Régence qui avait gouverné la Russie pendant ces 20 dernières années avait vidé les caisses et s'était engagé dans des dépenses pharaoniques.
Notre première action fut de stopper l'incroyable et dispendieux programme de construction navale qui aurait fait palir les puissances navales d'Europe.
Néanmoins, nous consentions à investir dans la demande d'un aventurier qui s'était présenté au Kremlin, Yachvili Yemak
Celui ci nous demandait notre soutien pour explorer les lointaines et inconnues terres de Sibérie à l'Est.
Nous confions ainsi 7000 cavaliers à cet aventurier et lui souhaitions bonne chance pour son expédition.





Fort bien nous en pris car les rapports qui nous parvinrent faisaient état de nombreux territoires vierges susceptibles d'accueillir de nouvelles colonies russes et ce jusqu'au lointain Océan Pacifique.




Notre première colonisation fut ainsi célébrée en moins de 10 ans avec la création de la de capitale de Berezov, nouvelle province de l'Empire de la Sainte Russie.




Alors donc que la Russie aspirait donc à la Paix et à la Prospérité, nous recumes ce diplomate ottoman, au ton acerbe qui nous adressa ce message dédaigneux :
"Nous voulons les provinces de Kharkov et Voronezh."
Naturellement nous lassions une fin de non recevoir à cette demande incongrue et qui ne fut jamais discutée entre Moscou et Constantinople.
Aussitôt, l'Empire Ottoman lança ses troupes contre nos armées.
Les puissances sont potentiellement comparables, mais la Russie n'avait pas fini son redressement après la période de Régence.
La stabilité politique etait encore loin d'être acquise (+1) entamant le moral de nos hommes.
De plus la composition de notre armée était déséquilibrée et manquait de cavalerie.
Cet état fut catastrophique car nous subissions l'assaut de dizaines de milliers de cavaliers qui enfoncerent nos lignes nous forçons à de nombreuse retraite et causant des pertes considérables.
Nous devions alors puiser dans le Trésor, déjà vide et entamer une politique inflationiste , enfoncant la situation financière de la Russie.
Mais le mal était fait et nous ne pouvions mener que des combats d'arrière garde retardant l'inéluctable.
Aussi, la défaite certaine, il était inutile de poursuivre la guerre et cédions temporairement ces 2 provinces au Sultan.
Profitant de la guerre qui nous opposait aux troupes ottomanes, les Mamelouk tentèrent de débarquer à de nombreuses reprises à Chypre pour se joindre à la curée.
Mais la garnison, soutenue par une flotte de 4 caravelles repoussèrent avec succès les attaques Mamelouks qui rentrerent penauds.





Au Sultan, nous demandons la retrocessions de Kharkov et Vorozonev, provinces historique de la Russie pour lesquelles nous avons investi de nombreux Ducats pour leur développement et demandons le respect de nos frontières naturelles, les rives du Don et de la Volga
Nous insistons égalemen,t pour l'arret immédiat d'envoi d'espion ottoman sur notre territoire, que nous considerons comme une déclaration de guerre si cela se reproduisait.


Au Grand Vizir, nous sommes particulierement déçus par votre action contre Chypre qui vous a fait perdre du crédit au Kremlin. Nous souhaitons donc une déclaration offcielle reconnaissant la souveraineté russe sur cette ile et l'arret de vos prétentions.

A l'Empereur du Saint Empire germanique : Nous vous félicitons pour votre brillante victoire et saluons l'accomplissement de votre devoir en tant que Protecteur du Saint Pere après votre libération de la ville Sainte de Rome

Au Roi d'Espagne : Nous accueillons avec joie vos déclarations d'amitié pour la Sainte Russie et vous retournons notre amitié et notre estime, ainsi que nos meilleurs voeux pour vos aventures dans le Nouveau Monde.

Au Roi de France, nous demandons l'arret de vos prétentions sur la Pologne pour laquelle nous répétons les positions russes, à savoir la prédominace du Kremilin sur les territoires à l'Est du Saint Empire Germanique.










Notre première colonie fut ainsi cél