[Elvis]

Les Années Noires

Alors que le conseiller Ivan Elvis avait du quitter les affaires gouvernemebntales pour quelques temps, de pauvres individus prétentieux se sont élevés pour diriger les affaires de la Russie ces vingt dernières années.
Mal leur en pris : Le Tresor est vide causé par l'icompétence de ces prentendus conseillers
En particulier, une aspiration à devenir une puissance navale conduisit la Russie à lancer la construction de nombreux navires de guerre.
Or la Russie a peu d'interet à controler les mers, et surtout cela s'avera être un gouffre financier que le Tresor Russe est incapable de soutenir....

Certains tenterent egalement d'avancer leur interets personnels pour gouverner de nouvelles provinces, et lancerent la Russie dans des guerres successives ruineuses.

Heureusement quelques succès repondirent à l'appel : Un travail diplomatique mené depuis de longues années permit à l'ile de Chypre à rejoindre l'Empire de Russie...

Mais si aujourd'hui, le conseiller Elvis de retour aux affaires est accaparé par un travail de redressement de la Russie, nous n'en oublions pas le role de notre Empire sur l'évolution des crises europeennes.

Aussi solanellement, le Tsar repete ici ses considérations :
La Russie ne supportera aucune ingérence etrangere sur les territoires et royaumes à l'Est du Saint Empire, dont nous nous garantissons l integrité.
En particulier, nous demandons à la France de renoncer à sa protection sur la Pologne.
Nous ne souhaitons pas revendiquer les provinces polonaises, mais il ne peut etre autres decideurs à Cracovie que les désirs du Tsar à Moscou.

Egalement, nous sommes surpris du manque de considération du Sultan quant à l'affaire sur la Bosnie - Dalmatie, royaumes Orthodoxes qui se sont soumis à la volonté religieuse du Tsar, protecteur du Grand Patriarche de l'Eglise Orthodoxe.
Aussi avant toute entreprise, nous demandons au Sultan de nous envoyer quelque ambassadeur afin d'exposer les volontés ottomanes sur la région.

Nous adressons par là même notre amitié à la Republique de Venise et de ses intérets que nous nous engageons à défendre lorsque ceux ci correspondent aux propres interets de la Russie.