Afficher un message
  #8  
Vieux 23/03/2008, 19h55
TCAO TCAO est déconnecté
Honorable posteur
 
Date d'inscription: juillet 2007
Localisation: le mans
Messages: 726
Par défaut

Chronique de Scandinavie : 1578-1595.



I. L’affaire vénitienne.



En l’année 1578, le grand souverain de l’union de Kalmar eut la bonne surprise de recevoir des ambassadeurs espagnols à Copenhague. Il portait en urgence les demandes de rachat de la ville de Gènes menaçait par une entente entre français et vénitiens. Notre politique ne prenait pas en compte l’achat d’un centre de commerce, malgré que nous ayons porté cette solution dans cette affaire pensant qu’elle serait rejetée. Les ambassadeurs demandaient 740 ducas pour la province, une somme rondelette. Le conseil royal débâta de la question durant plusieurs jours, lors de séance houleuse, mais nous avions porté cette situation précédemment notre honneur demandait un respect de notre parole, la province protestante fut donc achetée et le conseil municipal reprit forme purgée des éléments qui avait conduit la politique militariste.

Les discutions engagé prirent rapidement un autre tour, l’Espagne était enfin prête à partir en guerre contre Venise, une guerre que nous étions en train de préparé. Avec l’alliance espagnole nous, nos préparatifs prirent du retard, les Espagnols voulant une préparation d’une offensive sur la péninsule, changeant notre plan qui ne devait toucher que les iles de la Sérénissime. Comme tout le monde le sait, notre engagement était des plus justifié, l’ile de Sardaigne demandant notre aide après la répression sanglante qui avait touché l’ile lors d’une insurrection pour se libérer, de plus Venise se targuant d’avoir une meilleur marine que nous, l’orgueil est un vilain défaut !

La guerre débuta donc le 29 juin 1529, nos forces navales fonçant face à Venise où étaient établit la flotte du doge, nous ravitaillant dans les ports autrichiens et de Modène, attendant une sortie de l’amiral vénitien, qui survint le 23 décembre, empêchant la célébration de Noel ! Des hérétiques, que des hérétiques, ces catholique, nous perdîmes beaucoup plus de navires que l’ennemie lors de l’épisode mais Venise étaient maintenant totalement affaiblit, ne pouvant percer notre étau.




Pendant ce temps nos forces s’installé devant les places fortes des iles de Venise. Les Espagnols eu débarquant sur la péninsule, en nombre conséquent vainquant les troupes italiennes face à eux.

Durant la période nous tombèrent en discorde avec l’Empereur, celui-ci remettait en cause notre droit de passage demandant d’enlever notre suzeraineté sur la ville de Brème, nous prirent l’engagement de ne peut vassaliser Hambourg, allié de Venise, mais ceci ne suffit pas, l’Empereur croyait nous faire peur ! Nous avons un droit de passage avec Modène, pas besoin de vous ! Nous installâmes donc notre autorité sur Hambourg…

La guerre se termina après une seconde sortie navale de Venise le 31 mars 1587 alors que notre flotte était en ravitaillement, grâce à notre vivacité de réaction, nous éclatèrent les restes de la flotte de Venise ! Alors qui est le maitre des mers ! Le doge signa donc la paix qui lui était assez favorable, l’Espagne ne gagnant rien, nous ne prenant que la Sardaigne.



II. Le Pape, un fou !



Cette guerre nous avait placé dans une nouvelle place en méditerrané, alors que nous étions en train de rapatrier nos troupes, nous fumes alerté en juillet 1588 que le Pape venait de déclarer la guerre au reste du royaume de Naples qui avait demandé notre alliance pour les protéger de ses voisins boulimiques. Nous ne comprimes pas ce geste, celui-ci était en guerre depuis juin en guerre contre Venise, belle preuve de l’amitié que porte les catholiques à leur guide spirituel… Nous portâmes donc des renforts en Italie, Frederik IV se déplaçant en personne pour diriger les opérations, 16 milles hommes furent amener pour cette guerre.

Après la signature de la paix entre Venise et le Pape, ce premier lui enlevant tous ses territoires autres que ceux autour de Rome, pour le protéger, belle excuse ! Leur père religieux n’est qu’un impotent à déposséder ! Le Pape malgré ce fait garder une belle force, près de 6 milles cavaliers, 6 milles fantassins et de l’artillerie, totalement fanatisé ! Nous miment donc 3 ans après la première rencontre en aout 1591, les pertes furent nombreuse, prêt de 20 milles hommes de notre coté contre 5 milles de l’autre, mais soudainement lors de la bataille d’octobre 1592, l’armé ennemie se débanda malgré nos pertes bien supérieur, un miracle, dieu est avec nous ! Votre idole n’a aucun autre soutien que votre hypocrisie sur lui.

Après 1 ans et demi de siège, la ville s’écroula enfin, Frederik IV faisant son entré en triomphe dans les rues de Rome, telle un empereur romain.

Face à cela, aucune réaction internationale, des catholiques, leur idole, fondement de leur dogme, leur est donc totalement indifférent ?



III. La guerre contre l’Empereur.



Malgré l’inaction des catholiques celle-ci ne durerait pas indéfiniment, nous engageâmes dans ce but des pourparlers avec Paris pour défendre nos positions à Rome. Leur demande un soutien contre l’Empereur, un autre hérétique de première, il se dit l’empereur dieu !

Celui-ci ayant déjà vaincu la France, il fallait rééquilibrer la situation. Nous entrames donc en guerre avec la France sans avoir été prévenu de la déclaration de guerre préalablement, le 11 novembre 1594. Nos armées totalement détruites, n’ayant pu de réserve à mobiliser furent installer en cantonnement dans les pays frère de l’empire, se préparant à frapper Vienne…
__________________

L'homme n'est pas fait pour travailler, la preuve c'est que cela le fatigue. ( Voltaire )

On dit qu'il y a trois millions de personnes qui veulent du travail. C'est pas vrai, de l'argent leur suffirait. ( Coluche )

Si l'Administration travaillait dans le Bâtiment, elle aurait les doigts pris dans le béton. ( Coluche )

Dernière modification par TCAO ; 23/03/2008 à 20h17.
Réponse avec citation