Une chose rampe vers des villageois horrifiés, traînant des labeaux de chaires sur le sol poussiéreux, la peau lacérée et sanguinolante...On ne le reconnaît plus, mais la bouche du malheureux s'ouvre en un rictus édenté d'ou sortent ces quelques mots à peine audibles:
"Je...je vais mourri, braves gens." :râle rauque: Rakkllleepreullle "J'ai pas reconnu mes agresseurs, mais...kreullgle...ils puaient, c'était abominable. Je...je n'regrette rien, c'est une bonne chose que j'meurt, au moins je n'aurai plus à supporter leur odeur pestilentielle. En plus, j'aurai pas pu être présnt la semaine prochaine vu que j'dois partir dans un labo, et j'avais des problèmes avec ma femme, elle voulait divorcer et avoir la garde des enfants, alors que c'est elle qui m'a trompé avec le forgeron, si je l'tenait c't'ordure, je...je...:les villageois se penchent sur lui:...je...Gréla...gaaaaahhhhhhh"
Et c'est ainsi que j'mourus dans d'atroces souffrances, trompé par sa femme et l'forgeron qui fournissait de la camelotte en plus le saligaud
A qui le tour???