L’affaire de Clèves.
Sentant la pression montée, et s’appuyant sur des rapports d’espionnages précis qui prouvaient l’amassement de troupe bourguignonnes aux frontières Clèviennes, le Roi décida de venir demander le protectorat français afin d’éviter la destruction de son petit, mais humble royaume. Le nouveau Roi Charles VIII, doté d’un fin sens de la diplomatie décida d’accepter et assura au Roi Clèviens sa protection.
Au bout de 4 mois, et malgré les avertissements français, l’ignoble souverain bourguignon décida d’envahir Clèves, fidèle à son engagement le Roi de France décida alors de protéger son allié, cependant pendant ces années d’accalmies le perfide Doge n’avait pas chômer et d’après nos renseignements, il est celui qui de nouveau avait rassemblé le concert européen contre le Français en cas de conflit Franco-bourguignon.
L’Autriche, ensuite la Castille, Venise et pour finir l’ Angleterre déclarèrent la guerre à la France, désolé de devoir abandonnée Clèves mais soucieux de son propre royaume avant tout , le Roi de France dut une nouvelle fois se résigner à signer une paix blanche avec la Bourgogne (la laissant ensuite vassalisée Clèves) et envoya une proposition de paix blanche à tous les pays concernés.
Quelle ne fut pas la surprise lorsque la missive marquée du sceau anglais revint négative. En effet l’Angleterre refusait la paix car elle souhaitait s’emparer des territoires écossais.
Le Roi rentra dans une rage folle, en effet le concert européen refusait que le Roi de France châtie un royaume violent, qui avait attaqué la France et ensuite s’en était pris à un petit royaume frêle, mais ce même concert acceptait et encourageait même que l’Angleterre s’empare des terres écossaises. Le Roi comprit alors que la Bourgogne n’était qu’in prétexte pour pouvoir bridée la France et non pas pour protéger cette même Bourgogne.
Ce fut de trop, le Roi décida alors de faire parler les armes, la seule langue dans laquelle savaient s’exprimer ces pays.
La punition contre le Doge n’avait pas été suffisante, soit, tous les pays seraient alors châtier, ainsi la France conclu une alliance avec la Sainte Hongrie dans le but de la protéger des vues Autrichiennes, et ce qui dut arriver arriva, l’Empereur dans sa folie déclara la guerre à la Hongrie, celle-ci nous appela et nous décidâmes d’intervenir.
La France se retrouva donc en guerre contre deux ennemis différents et loin l’un de l’autre,les tactiques militaires ne pouvaient être les mêmes contre ces deux pays, le roi décida de mettre en place deux états-majors distincts afin qu’ils s’occupent tous deux d’une seule et même guerre.
Guerre contre l’Angleterre :
Après qu’elle ait refusée l’offre de paix, l’Angleterre fit immédiatement joué son avantage le plus marquant, alias le contrôle des mers. Très vite la Royale Navy balaya la flotte Française qui ne fut réduite qu’à une poignée de navires réfugiés dans le port de Saintonge.
Pour l’Etat-major français il s’agissait maintenant de réussir à s’emparer de Calais et de la Gascogne le plus rapidement possible afin d’effectuer une pression forte sur le gouvernement Anglais.
Très vite la Gascogne fut prise et contrôlée par plus de 7000 hommes, 6000 cavaliers quant à eux étaient poster en Saintonge afin de prévenir tout débarquement Anglais.
Pour Calais l’opération fut plus délicate, en effet la royale Navy contrôlant l’entièreté des mers, nous dûmes comptés sur une inattention Anglaise afin de sortir notre flotte et d’embarquer – débarquer illico presto nos forces en calais.
Une fois le débarquement effectués, nos troupes furent renforcées par plus de 12 000 hommes lorrains, qui possédaient un accès de passage en Bourgogne.
Après ces victoires retentissantes, la guerre se calma très vite, les combats se firent moins nombreux et l’Angleterre mit l’ensemble de la cote ouest Française sous blocus.
Fort de sa puissance navale l’Angleterre pouvait frappée n’importe ou à n’importe quel moment et effectua ainsi plusieurs débarquements en Gascogne mais surtout à Calais.
En Gascogne les débarquements Anglais furent à chaque fois suivis d’échecs mais à Calais les Anglais avaient réussis une percée non négligeable surtout qu’ en Ecosse les territoires tombaient les uns après les autres (dans l’indifférence totale des autres pays). Fort heureusement Calais décida de rallier le Camps français juste avant la fin du siège Anglais et devint ainsi une province française à part entière.
Cependant l’espoir existait encore en France de gagner cette guerre, en effet depuis le début des caravelles étaient en constructions dans les deux ports de méditerranée que les Anglais n’avaient pas mis sous blocus.
Une flotte de 6 Caravelles et 5 Caracks étaient prête a affrontée la Royale Navy, cependant tous les navires étaient éparpillés dans différents ports français et là encore ce ne fut que la distraction de l’état Major Anglais qui permit à la Flotte Française de se réunir et ensuite vaincre la Royale Navy de manière assommante.
Malheureusement, cette victoire arriva trop tard, en effet l’Angleterre avait déjà dépecée l’Ecosse et annexée la quasi-totalité de son territoire.
Cependant, fort de se succès, la France envoya une missive exigeant la cession de la Gascogne à la France. Ce que le Roi d’Angleterre accepta.
Mais pourrons-nous lui pardonner le mal fait aux Ecossais ?
La Guerre contre l’Autriche
L’Etat-major s’occupant de la guerre contre l’Autriche dut travailler avec moins de moyens, en effet la guerre contre l’Angleterre mobilisait la moitié des hommes mais quasiment l’ensemble du trésor pour la construction de navires.
Ainsi l’Etat-major du se contenter des 25 000 homme mis à son service et d’un renfort de 7000 hommes potentiel.
Tout d’abord l’Etat-major décida de mener bataille au Luxembourg, à Breisgau et en suisse, afin de ne permettre qu’une seule ligne de front entre la Suisse et l’Autriche.
Une fois le Luxembourg et Briesgau tombés, les troupes françaises furent dirigées vers les provinces de Tyrol et de Trentin, lesquels furent toutes deux assiégées par 7000 hommes.
Et afin de prévenir toute attaque des troupes autrichiennes, une garnison de 6000 cavaliers fut gardée en suisse pour intervenir à tout moment. C’est ainsi qu’au fur et à mesure de l’avancement français et de ses défaites en Hongrie l’Empereur du se résigner à signer une paix Blanche et ainsi mettre fin à cette guerre qui décima sa jeunesse.
Diplomatie :
A Frise : Nous sommes étonnés très chèr Roi que vous écoutiez le félon Vénitien sans même nous demander de quoi il s’agit, en effet nous n’avons jamais revendiqués les Flandres, cette histoire est aussi farfelue que l’étincelle qui y a mise le feu.
Nous vous annonçons ne plus vouloir de votre amitié si vous copulez ainsi avec le félon Vénitien.
A l’Angleterre : Nous éspèrons que maintenant que vos objectifs écossais sont atteints et que la Gascogne et calais sont revenus à leur juste propriétaire, nos relations vont enfin pouvoir se normalisées, nous tendons encore une fois la main à l’Angleterre .
A la Castille : Nous savons que la décision du Roi d’Aragon de nous rejoindre vous décoit beaucoup, cependant sachez que nous pouvons toujours discuter avec lui pour lui faire changé d’avis.
Au perfide Vénitien : L’embargo continuera a être maintenu et sachez que plus aucun de vos diplomates de repartira avec sa tête sur le cou tant que vous ne vous serez pas excusés.
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