Battus mais pas encore mis en déroute les Coalisés ont renoncés pour un temps à se frotter à leur ennemi juré et du côté français, pensant la victoire acquise, l'impétueux Ney se met en marche sur Bruxelles le 8 juillet pour porter un coup fatal à l'ennemi en s'emparant des dépots de l'arrière des anglais.
Le même jour remise en état l'armée du Nord se met en marche sur Beauvais.