1611 – 1620. Le retour au pouvoir de Lord Danton
La situation du Royaume d’Angleterre, en cette année 1611, était des plus sombres

. En cause, l’esprit trop conciliant et trop pacifique de l’Angleterre, certainement, mais aussi de bien trop nombreuses années passées sous la férule du très incompétent Régent De IA. Appelé d’urgence sous d’autres cieux, Lord Danton, loué soit-il

, avait en effet du abandonner les rênes du pouvoir en 1590. Un Régent habile et rusé, Lord Bubu, le remplaça les premières années puis du à son tour jeter l’éponge, plaçant de fait la direction du puissant royaume Anglais sous la férule lamentable de Lord De IA.
En 1611, lors de son retour triomphal au plus haut sommet du pouvoir, le très illustre Lord Danton, qui avait profité de son congé pour corriger un impudent Marseillais

, ne put que constater le désastre : tant pour les revenus que pour l’avance technologique, l’Angleterre était dernière des puissances occidentales et latines

. Ah non, la Frise était quand même derrière elle. Les mensongères paroles venues de France ( « L’Angleterre est quand même la cinquième puissance mondiale ») ne pouvaient dissimuler la triste vérité : certes, Londres devançait la Russie, la Pologne ou l’Empire Ottoman, mais enfin, le contraire aurait été plus qu’étonnant, ces nations n’ayant pas les performances des nations occidentales et Latines. Il fallait réagir, et vite.
L’arrivée sur le trône de Charles I allait considérablement faciliter la tâche colossale qui nous attendait : compétent et habile, ce monarque allait propulser notre commerce, qui tripla en quelques années seulement. Le Portugal cru intelligent de nous mettre sous embargo, continuant ainsi la politique anti-Anglaise qu’il menait depuis plus de 150 ans : blocage systématique des côtes pour ralentir nos explorateurs, coloriage de cartes, envois de saboteurs et maintenant embargo

. L’Angleterre réagira comme elle l’a toujours fait jusqu’à présent, Lisbonne est prévenu… Madrid aussi si elle se met une fois de plus en travers de notre chemin vengeur, mais légitime

.
Charles, en plus du commerce, relança un vaste plan d’évangélisation des païens d’Amérique du nord, avec plus ou moins de succès. Sa mort prématuré mit fin aux espoirs de Londres : son successeur, Henry VIII, n’avait pas la moitié de ses compétences

. Notre technologie et nos revenus restent dérisoires comparés aux puissantes nations de France, d’Ibérie ou d’Italie, mais notre volonté reste inébranlable et qui oserait nous considérer comme une puissance de seçonde zone ferait là une erreur fatale…
Déclarations diplomatiques
A notre allié de Venise. Bien cher ami, votre puissance sans cesse grandissante a toute notre admiration et nous sommes heureux d’avoir pu vous aider à atteindre celle-ci : veillez cependant à ne pas vous faire trop d’ennemis et si vous avez trop de ducats, pensez donc à nous

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Au Duc de Frise, ami lui aussi. Vous savoir de retour est un émerveillement pour nous. Veillez de votre côté à vos possessions outre Europe, sait-on jamais.
Au Roi de France, euh, cher à notre cœur

. Nous constatons que vous êtes aussi sous embargo Portugais, voilà qui devrait nous rapprocher…
Au Roi d’Espagne. Cessez de danser sur deux pieds. Il est ridicule de venir vous plaindre dans les boudoirs des cours Européennes de « l’attitude Anglaise qui ne mesure pas le danger Français » quand, dans le même temps, vous ne faites rien pour contraindre votre épouse Portugaise de cesser ses actes agressifs envers notre royaume.
Au Portugal impie. Nous espérons que vous avez bien profité de notre absence, mais sachez que nous voilà désormais de retour, brandissant l’épée de la justice. Pour la paix et la sécurité dans le monde.
A l’Empereur. Courage, digne choupinette

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