Discussion: AAR GPO5 le VRAI
Afficher un message
  #144  
Vieux 24/09/2007, 14h56
Avatar de lemarseillais
lemarseillais lemarseillais est déconnecté
Franconaute
 
Date d'inscription: mai 2006
Messages: 4 344
Par défaut

CHRONIQUES FRANCAISES 1562-1576


Une période de paix à la romaine.


Ces années en France furent marquée par une maître mot : expansion.

Dans le domaine militaire, la France prit conscience que les armées de ses voisins atteignaient des proportions supérieures à notre armée, ainsi en Autriche ou en Turquie, nos informateurs nous faisaient parvenir les chiffres de 80000 hommes pour l'armée régulière. Le roi prit donc la décision d'adapter ses effectifs à l'augmentation des armées voisines. Un effort fut fait pour réformer l'armée et grossir les troupes. L'armée française fut portée à 110000 hommes pour l'armée régulière se répartissant ainsi : 20000 en Amérique et 90000 en France.

Sur le plan économique, notre grand roi argua du fait que c'était el commerce qui faisait toute la richesse de l'Espagne. La France devait en faire autant. Une grande politique commerciale fut menée et petit à petit les fruits tombent même si la lutte est difficile. L'économie français est en progrès constant et rattrape petit à petit la Portugal, 2e puissance économique.

Sur le plan colonial, après avoir découvert l'Indonésie et établit 2 premières colonies, il fut décidé de mener une politique vigoureuse d'expansion dans cette zone par la conquête de terres autochtones. L'objectif étant de conquérir les ressources les plus demandées dans notre royaume et chez nos voisins. Sans de grande difficulté, si ce n'est logistique, la France fit la conquête de plusieurs colonies de Piment, de Tabac, de Tissus.... Surtout, le centre commercial de Malacca, gonflé par les colonies françaises, ne pouvait plus échapper au roi de France.

Diplomatiquement, la France perpétua ses bonnes relations avec ceux qui forment ses alliés ou bonnes relations. A l'Angleterre qui se plaignait dans manque d'aide financière de la part de la France, arguant du fait que l'Espagne payait bien ses "alliés", notre roi lui répondit qu'à sa connaissance l'Espagne ne versait pas d'or au Portugal. Pourtant, la différence économique entre ces deux pays équivalait grosso modo à celle entre la France et l'Angleterre, c'est-à-dire pas énorme. Nous ajoutâmes que si l'Angleterre était de facto allié à la France, c'était simplement par intérêt commun et non parce que nous avions "acheté" l'alliance anglaise.
Néanmoins, par bonté d'âme, le roi écouta tout de même le discours anglais prenant sur lui l'impolitesse flagrante de la demande. L'Angleterre ne pouvait pas assumer seule le contrôle des mers, elle n'avait pas les moyens de se payer une immense flotte rapidement. Le roi assura donc son homologue anglais qu'un effort serait fait par la France dès maintenant et qu'une flotte française digne de ce nom verrait le jour.

C'est là que le roi anglais dit en gros : "non mais donne moi plutôt l'or pour que je batisse les navires. Ma marine est plus forte que celle française". Notre roi ne manqua pas de répondre :" tu me demandes de te payer ta flotte sans savoir si un jour tu ne vas pas la retourner contre moi". Le Roi d'Angleterre jura sa bonne foi et son sens de la loyauté, etc.
La France accepta et envoya en une petite décennie 2000 ducats à l'Angleterre qui pu ainsi produire environ 30 caravelles supplémentaires. L'histoire nous montrera quelques années plus tard, après la défaite dans la guerre des 2 blocs, la faible reconnaissance anglaise et son incroyable impolitesse puisqu'elle reprochera à la France de ne pas s'être bâtit une flotte et d'avoir laissé seule l'Angleterre dans la lutte pour le contrôle des mers. Osant se faire passer pour le Sauveur des colonies françaises indiennes alors que sans notre or sa flotte aurait été moitié moindre et n'aurait pu que fuire face aux ibériques.

Mais comme tout propos n'est jamais vain, la démonstration de mauvaise foi anglaise nous a ouvert les yeux. L'Angleterre sera évidemment ravi d'apprendre que la France poursuivra son effort d'aide à ses alliés de manière plus soutenu encore. Comme l'Angleterre le prône, il faut aider les plus "faibles". Nous serons donc disposé à aider financièrement la Frise et la Pologne. L'Angleterre, malheureusement, et Venise, dans une moindre mesure, ne répondent pas aux critères de "faiblesse économique".
D'autre part, pour ne plus laisser seule l'Angleterre dans la lutte des mers, nous allons batîr une flotte digne d'elle et ne pourrons plus, à notre plus grand regret, financer l'effort naval anglais.
__________________
VIVE LA FRANCE !!!
VIVE L'OM !!!
VIVE LE ROI DES rois !!!

Vous voulez vraiment savoir qui est Danton ? Alors cliquez ici (surtout montez le volume avant )
Réponse avec citation