Discussion: AAR GPO5 le VRAI
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Vieux 11/09/2007, 10h53
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CHRONIQUES AUTRICHIENNES 1562-1576


Après ces années de guerre où l’Empire paya un lourd tribut humain, l’Empereur Friedrich V honora la dernière clause du traité de Düsseldorf (écrite en tout petit), c'est-à-dire la cession de Berg. Cela lui coûta, mais puisque le sceau impérial avait été apposé par ses prédécesseurs, Friedrich s’exécuta. Il y allait de notre honneur.
Puis il s’attela à deux chantiers qu’il jugeait prioritaires :

- augmenter la réserve d’hommes disponibles en cas de conflit. En effet, notre contingent mobilisable était l’un des plus faible d’Europe. Dans un premier temps, des centres de recrutement furent construits dans les provinces les plus peuplées de l’empire, doublant ainsi leur potentiel militaire, tout en améliorant la rapidité avec laquelle les troupes étaient prêtes à combattre. Dans un deuxième temps, l’Empereur décréta la conscription nationale. L’Autriche pouvait donc compter sur tous les hommes valides ayant au moins 21 ans, et non sur les seuls soldats volontaires.

- Le deuxième chantier prioritaire n’était pas le moins compliqué. Il s’agissait de lutter contre l’hérésie luthérienne. … Malgré tout, l’Empereur prit des mesures impopulaires mais qui s’avéraient indispensables. Il décréta des lois religieuses que bon nombre de scientifiques prirent comme un retour à l’obscurantisme (innovation – 1), en favorisant le clergé qui du coup ne rechignait plus à former des inquisiteurs (1 tous les 2,5 ans), chargés de ramener vers la vraie foi les brebis égarées. CE sera u travail de longue haleine pour l’Autriche. L’Empereur, à plusieurs reprises a lancé un appel aux cours européennes, pour qu’elles combattent ce fléau à leur tour(des terres protestantes à nos frontières sont une menace pour le travail accompli) . En vain… Personne dans les grands royaumes catholiques ne se semble prendre la menace au sérieux, au grand dam de l’Empereur. La politique extérieure de l’Autriche risque donc d’être revue…



Preuve des efforts que fournit l’Autriche, sa Sainteté elle-même accorda audience à l’Empereur, et lui proposa d’être son bras armé (alliance). L’Empereur n’imaginait pas à quel point sa Sainteté était belliqueuse, puisque tout à tour, elle déclara la guerre à Venise, avec qui nous signâmes une paix blanche, en vertu du traité de Gênes, puis la Savoie. (guerre encore en cours).





Messages diplomatiques



Au Kniaz de Russie : L’Empereur n’a pas oublié comme vous fûtes une entrave dans sa politique extérieure (lors de la guerre avec la Pologne). Aussi, il ne vous accorde pas la garantie que vous réclamez. D'autant qu'il est hors de question d’attaquer le Sultan qui fut notre allié, et auprès de qui nous avons toujours une dette d’honneur. Toutefois, entre vous et les Ming, l’Empereur préfère que Dieu vous prête victoire.



A toutes les cours catholiques

L’Empereur ne peut que renouveler ses appels à la rigueur cléricale. L’hérésie protestante doit être combattue.
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on peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas...

En France, on n'a ni pétrole, ni idées. Mais on a des taxes...
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